Ce matin, lors du petit déjeuner, Ekaterina a la tête des mauvais jours et c’est à peine si elle répond au bonjour de ses parents et de ses sœurs. Ils savent dans quel état elle doit être, en sachant qu’elle va être corrigée dans la journée. La peur doit la submerger bien que tout le monde tente de lui faire penser à autre chose.
Vêtue d’une robe, elle parait très chic, mais c’est sa responsable, Isabelle F., qui lui a demandé. De cette façon, elle pourra être troussée plus facilement. Isabelle F. lui a aussi demandé de venir sans sous-vêtement, ce qui renforcera la vexation et le sentiment de honte d’avoir désobéi aux ordres de la direction. En ces temps de confinement, le chiffre d’affaire est en chute libre, et si en plus, les responsables de vente se mettent à modifier les stratégies, c’est la pérennité de la société qui est mise en jeu.
Avant qu’elle ne parte, la
famille la serre dans ses bras, pour lui donner du courage :
« Courage,
ma chérie, tu te sentiras mieux après » lui dit Irina.
« On
pensera à toi très fort, sœur chérie » lui disent en cœur,
Olga et Iourievna, ses sœurs cadettes.
« Merci,
à ce soir »
Ekaterina se dirige à pied
vers le centre-ville et lorsqu’elle arrive chez PROMONT, sa société,
spécialisée dans le prêt à porter haut de gamme, Isabelle F. vient la chercher
pour aller dans le bureau de Jean-Pierre B., le patron de l’agence :
« Ah,
vous voilà, Mademoiselle S., je vous attendais. Je vois que les consignes
vestimentaires ont été respectées, tant mieux ! Pas de
sous-vêtements ? »
« Bonjour
Monsieur B., non, pas de sous-vêtements, je n’ai que cette robe sur moi » lui
répond, très embarrassée, Ekaterina.
« Isabelle,
réunissez tout le monde dans la salle de conférence, nous allons procéder à la
correction d’Ekaterina pour la motiver un peu plus qu’elle ne
l’est actuellement »
« Mais,
je suis motivée, Monsieur. J’ai pensé bien faire en mettant en évidence notre
nouvelle collection plutôt que l’ancienne »
« Mademoiselle,
si vous faites ça, nous aurons toute notre ancienne collection qui ne se vendra
plus et qui va finir en perte et vous savez très bien qu’au siège social, ça ne
va pas être apprécié du tout ! Je vous l’ai répété à maintes reprises
»
« Oui
Monsieur, je suis désolée, je vous demande pardon. Mais pourquoi vais-je être
la seule à être punie ? Jeanne, elle aussi, a mis en place cette
stratégie ! »
« Mademoiselle,
je suis le patron et c’est moi qui décide ! Jeanne est ma fille et elle
m’a dit que vous l’aviez encouragée à faire ça. Elle s’est juste laissé embarquer
dans vos délires ! »
« Mais,
ce n’est pas vrai, elle était d’accord lorsqu’on en a parlé toutes les
deux ! »
« Puisque
vous dénoncez effrontément vos collègues, vous recevrez une autre fessée ce
soir, avant de partir ! »
« Mais,
ce n... »
« Taisez-vous
Ekaterina ! Un mot de plus et vous en recevrez une autre fessée ce
midi ! » la coupe Jean-Pierre B.
De son côté, Jeanne B. est
toute rouge et honteuse vis-à-vis de son amie Ekaterina, car elle sait bien qu’elle
aurait dû être corrigée comme elle et c’est uniquement le fait qu’elle soit la
fille du patron, qui l’a sauvée. Jeanne B. s’est uniquement pris des
remontrances verbales en privé avec son père, la veille, par contre,
Jean-Pierre B. lui a dit que son statut privilégié dans l’entreprise avait des
limites et qu’elle pouvait aussi s’en prendre une si elle persistait dans ses
mauvais choix...
Lorsque les quinze personnes
de l’entreprise sont dans la salle de conférence, Jean-Pierre B. annonce la
sanction :
« Mesdames,
Messieurs, nous allons procéder à la correction de Mademoiselle S. devant vous
pour avoir mis en danger notre société. Pour ça, elle va recevoir trente coups
de palette à fessée et elle en recevra vingt autres ce soir avant de partir. De
cette façon, nous allons lui apprendre à respecter les consignes et c’est
valable pour chacun d’entre vous. Ce sont deux des apprenties d’Ekaterina qui
vont procéder à la fessée »
Les trois apprenties d’Ekaterina,
Laurie C. dix-sept ans, Charlène T. dix-huit ans et Coline V. dix-sept ans, se
regardent l’une l’autre, assez embarrassées de devoir corriger leur responsable.
Jean-Pierre désigne Laurie C.
et Charlène T. pour appliquer la fessée. Tout d’abord réticentes à corriger
leur tutrice d’apprentissage, elles se décident à exécuter les ordres lorsque
Jean-Pierre B. hausse le ton.
« Ekaterina,
courbez-vous sur cette table ! et plus vite que ça ! ! » lui
ordonne son patron.
Ekaterina, toute rouge de
honte, sachant qu’elle va montrer son intimité à tous ses collègues, s’allonge
à contrecœur.
« Laurie,
Charlène, ne soyez pas timide, trousser Ekaterina jusqu’à la taille »
ordonne Jean-Pierre B.
Laurie C. et Charlène T.
relèvent la robe d’Ekaterina et dénude les fesses de leur responsable. Deux
belles fesses sont mises à la vue de tout le monde, humiliant Ekaterina, qui
n’en mène pas large.
« Mais
quel beau fessier que voilà ! Voilà les palettes à fessées, vous allez les
étrenner. Ce sont des modèles de la maison DELANIAIRES et spécialement fait
pour corriger les filles dans votre genre, Ekaterina. Mesdemoiselles prenez les
palettes à fesser »
Laurie C. et Charlène T. se
munissent chacune d’une palette et l’examinent, car elles sont impressionnées
par ces instruments. Composé d’une poignée qui est prolongée par une épaisse et
large sangle de cuir de quarante centimètres de long, certifiée pour mettre le
feu aux fessiers des punis.
En voyant les instruments,
Ekaterina a le sang qui se glace. Elle se contracte et serre les cuisses tant
elle peut, pour en montrer le moins possible. Sa situation est déjà assez
humiliante comme ça.
« Mademoiselle
S., écartez bien les cuisses ! Mieux que ça ! »
Jean-Pierre B. écarte lui-même
les cuisses d’Ekaterina, afin que tous aient une vue directe sur son intimité.
Quant à Ekaterina, les larmes commencent à couler.
« Mesdemoiselles,
allez-y, mettez-y du cœur. Nous voulons l’entendre crier ! »
A tour de rôle, Laurie C. et
Charlène T. lui cinglent les fesses, dosant leurs cinglées, car ce n’est pas
évident pour elles de fesser leur tutrice.
« J’ai
dit que nous voulions l’entendre crier, ne me le faites pas
répéter ! »
La menace suffit à convaincre
les deux jeunes femmes et les claquements sont plus secs, ce qui fait rugir et
se cabrer Ekaterina.
Les marques rouges ornent la
chair blanche de la punie qui s’égosille en demandant pardon. Comme transformées,
Laurie C. et Charlène T. visent avec précision les endroits des fesses qui ne
sont pas ou peu marqués. Ekaterina s’agrippe aux rebords de la table pour
résister à la morsure des sangles. Ses larmes dégoulinent et la bouche grande
ouverte, Ekaterina laisse échapper toute sa douleur.
N’y tenant plus, Ekaterina
s’affale par terre en implorant l’arrêt de la fessée.
« Mais,
ce n’est pas fini, Mademoiselle, il vous en reste neuf à recevoir. Je vous
ordonne de reprendre la position ou c’est moi qui vais vous fesser »
Ekaterina, les mains se caressant
les fesses en feu, se relève et se remet en position, courbée sur la table.
Malgré sa vision brouillée par les larmes, elle voit les visages hilares de ses
collègues masculins.
Laurie C. et Charlène T.
terminent le reliquat des cinglées et on entend Ekaterina brailler dans toute
l’agence.
A la dernière cinglée,
Ekaterina, glisse de la table pour terminer à genoux, recroquevillée sur le
sol, le corps secoué de par ses sanglots. Laurie C. et Charlène T. lâchent
leurs sangles et aident Ekaterina à se relever.
« Ne
la plaignez pas, ses fesses sont rouges mais pas de quoi en faire tout un
plat ! Elle aura son dessert, ce soir, avant de partir ! La pause est
finie, reprenez le travail, maintenant »
Laurie C., Coline V. et
Charlène T. amènent leur responsable aux toilettes. Le frottement de la robe
sur ses brulures fait grimacer et gémir Ekaterina. Sur la vasque, penchée en
avant, les fesses de nouveau à l’air, Ekaterina laisse Laurie C., Coline V. et
Charlène T. lui mettre de l’eau fraiche sur les parties échauffées. Laurie C.
et Charlène T. ne cessent de s’excuser pour la sévérité de la fessée.
« J’espère
que tu comprends qu’on a pas eu le choix, Monsieur B. nous y a forcé »
« Ouais,
les filles, je sais. Aouh ! Doucement... Mais n’allez pas raconter ça
partout. AAAH ! Aouh ! mmmh ! aaaah ! Ça brule... »
« On
dira rien, mais avec le film qui a été fait, je ne sais pas ce que Monsieur B.
va en faire ? »
« Selon
l’article de loi numéro 1995-1278, Monsieur B. doit l’apporter à la gendarmerie
et à mes parents pour démontrer que la fessée n’est pas allée au-delà de la
limite autorisée » explique Ekaterina.
« C’est
encore bien rouge, mais avec l’eau fraiche, ça devrait te faire du bien » tente
de la rassurer Charlène T.
« Merci
les filles. Bon, on retourne travailler, car Monsieur B. nous attend au
tournant, maintenant. Ah ! bon sang que ça fait mal ! »
Ekaterina et ses employées
reprennent leur travail. Ekaterina évite de s’assoir, pour ne pas souffrir
inutilement et se concentre pour ne plus fauter.
Tous les employés regardent
Ekaterina du coin de l’œil, surtout les hommes qui ont un petit sourire en
coin, tant ils ont aimé la regarder gigoter sous les coups de sangle.
Tout d’abord honteuse d’avoir
exhibé ses fesses et ses parties intimes devant eux, Ekaterina finit par
fulminer de colère :
« Bon,
ça suffit les gars ! vous n’avez jamais vu une paire de
fesses ? » reproche Ekaterina à ses collègues masculins.
« Si,
mais aussi rouges que les tiennes, rarement ! Tu as un beau cul... »
Ekaterina lance un regard noir
à l’auteur de cette réflexion déplacée !
« D’ailleurs,
c’est pas comme si tu n’avais pas l’habitude de montrer tes
charmes ! » dit Céline R., une responsable d’une des
succursales de la société PROMONT.
« Je
ne comprends pas, Céline ? » tente de feindre la surprise
Ekaterina.
« Il
y a des bruits qui disent que c’est toi qu’on a vu, entièrement nue à vélo à
travers la ville avec une copine, l’année passée ? »
Rouge de confusion, Ekaterina
dit que ce n’est pas vrai et que les bruits qui insinuent ça se trompent et
qu’elle n’aurait jamais osé faire ça !
« Mouais,
et ben de la façon que tu rougis, ça ne m’étonnerait pas que ce fut
toi ! »
« Attention,
Céline, la diffamation est grave et Ekaterina pourrait porter plainte... » dit
Jeanne B. pour protéger son amie.
« Merci
Jeanne, c’est sympa de m’aider ! » dit Ekaterina
Tout bas, Jeanne lui demande quand
même des précisions :
« C’est
vrai ou pas cette histoire ? Sur les photos dans le journal, c’est
ton profil tout craché ! Promis, je ne dirais rien ! »
« A
toi, je peux le dire, oui, c’est vrai, c’était moi, on nous avait piqué nos
fringues sur la plage et comme on s’était baignées toutes nues, on a dû rentrer
à poil et manque de chance, on s’est fait courser et rattraper par les
gendarmes près du centre-ville et on était qu’à cinq cents mètres de chez nous »
« Ah,
la honte, c’est bête pour vous, ce qui s’est passé ! Toutes nues dans
la rue, j’aurais pas voulu être à votre place »
« Surtout
qu’on s’est fait sévèrement fesser pour exhibitionnisme dans la cour de la
gendarmerie et entièrement nue, vu qu’on avait plus de vêtement ! »
Se rendant compte que ses
trois apprenties ont tout entendu, Ekaterina leur demande le plus grand secret
sur cette affaire qui avait fait grand bruit à l’époque, car voir 2 filles
déambuler nues à travers les rues de la ville n’est pas commun.
La journée de travail se
termine lorsque Jean-Pierre B. vient trouver Ekaterina et lui demande de se
rendre dans la salle de conférence pour y recevoir sa fessée.
« Je
vous en supplie, mes fesses sont encore super sensibles de la fessée de ce
matin ! » supplie Ekaterina.
« Il
fallait y penser avant au lieu de moucharder sur vos collègues » la
réprimande Jean-Pierre B.
« Je
suis désolée de tout mon cœur, épargnez-moi, pitié ! » supplie
Ekarerina.
Les suppliques de la jeune
femme n’apitoient pas son patron qui la prend par un bras et l’entraine vers la
salle de conférence où sont déjà réunis les autres employés, trop heureux
d’avoir le droit à un second spectacle. Céline R. se régale déjà, elle va pouvoir
prendre plaisir à la voir pleurnicher et par là même se venger de la réflexion
de ce matin.
« Pour
sa seconde fessée, j’ai choisi Coline et Jeanne, vous aurez le plaisir de
fesser cette cafteuse, pour lui apprendre à rester à sa place ! Mademoiselle
S., prenez place, vous connaissez le rituel »
Toute tremblante, en sanglots
et n’en menant pas large, Ekaterina se courbe sur la table, s’attendant à
souffrir à nouveau. Ses regards implorants n’apitoient que ses apprenties.
Coline V. et Jeanne B. la troussent,
découvrant ses fesses encore rouges de la correction du matin et elles
s’emparent des palettes à fessées.
« Ecartez
les cuisses plus largement que ça, avec la fessée de ce matin, ça ne devrait
plus vous déranger ! » lui dit son patron, avec arrogance.
Ekaterina écarte plus grand
les cuisses, ne voulant pas rajouter au courroux de son supérieur.
« Eh
bien voilà, la position est correcte ! Mesdemoiselles, allez-y, corrigez-la ! »
Munies des impressionnantes
lanières, Coline V. et Jeanne B. fessent Ekaterina qui pousse des hurlements
stridents dès la première cinglée. Les cinglées appliquées sur celles reçues du
matin lui procurent une douleur aigue. Ekaterina trépigne tant et plus, ne
sachant plus quelle position prendre pour supporter sa punition.
Coline V. et Jeanne B. sont
obligées de la remettre en position à plusieurs reprises, car Ekaterina glisse
et tombe à genoux.
« Après
ça, elle va rabattre son caquet, la cocotte ! »
plaisante Rodolphe, un retoucheur de l’entreprise.
« Et
puis regarde comment elle mouille, en plus, ça doit l’exciter de nous montrer son
intimité » complète Angela, la collègue de Rodolphe.
Au dernier coup de palette, Ekaterina
se prend les fesses dans les mains et se caressent pour tenter d’apaiser la
douleur. Elle a l’impression d’être assise sur un feu ardent.
« Rabattez
votre robe, Mademoiselle S., on a assez vu votre arrière-train ! relevez-vous
et vous pouvez partir. Je vous conseille de bien méditer ce qui vous est arrivé
aujourd’hui » dit Jean-Pierre B.
Coline V. et Jeanne B. aident
Ekaterina, boitant, à sortir de la salle où les commentaires ont repris.
Après quelques minutes de
repos, Ekaterina se réajuste et sèche les larmes qui lui ont rougi les yeux.
Elle prend ses affaires à son bureau, salue humblement ses collègues et quitte
l’entreprise.
Marchant à petits pas, en
faisant attention, Ekaterina traverse la ville pour rentrer chez elle où
l’accueille Irina, sa mère qui la prend dans ses bras et tente de l’apaiser,
car elle se doute que la journée n’a pas dû être facile pour sa fille ainée.
Se déshabillant, Ekaterina
raconte à sa mère le déroulé de la journée, avec le supplément de fessée juste
avant son départ. Allongée dans le canapé, Irina S. lui pose des linges
mouillés pour apaiser l’intense chaleur de ses fessiers.
A leur retour de cours,
Iourievna et Olga trouvent leur sœur, nue, dans le salon, câlinée par leur
mère.
« Eh
ben, elles ne t’ont pas ratée, tes collègues ! »
constate Iourievna.
Entre deux sanglots, Ekaterina
bafouille :
« Après
ça, comment pourrais-je être reprise au sérieux ? Tous mes collègues
me regardent de travers, maintenant ! »
« Ne
t’inquiète pas, Katiousha, fait de ton mieux et ils verront que tu es digne de
confiance » tente de dédramatiser Irina.
« Oui,
Maman ! »
Malgré le fait d’être consolée
par les uns et les autres, Ekaterina est toujours accablée d’avoir dû être
exhibée et fessée devant ses collègues.
La reprise de son travail est
particulièrement pénible durant quelques jours après sa correction et Ekaterina
fait profil bas, puis les choses se tassant, le cours normal de la vie reprend
le dessus...
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Bonjour, Elena. et bonjour à tous.
RépondreSupprimerDeux fessées coup sur coup, le même jour, on doit le sentir passer! Et devant les collègues, de la main des apprenties, là, c'est l'amour-propre qui en prend un sacré coup. Difficile, après ça, de pouvoir faire preuve d'autorité. Cet épisode va rester pour longtemps inscrit dans les annales de l'entreprise. Quant à la fille du patron, on ne peut que souhaiter que son tour finisse par arriver et que ce soit à Ekaterina que soit confiée la "mission" de la fesser. Elle ne boudera certainement pas son plaisir.
Amicalement.
François
Bonjour François,
SupprimerLa fessée au sein de l'entreprise fait toujours un sacré effet, car on croise ses collègue tous les jours et difficile de ne pas voir les sourire et regard en coin de ceux qui ont assisté à la correction. Une partie des plus intimes a été largement dévoilée. Ces messieurs pourront s'en régaler en y repensant. Pour Ekaterina, ça restera comme un caillou dans sa chaussure, ce qui l'obligera à se surpasser pour tenter de se racheter une conduite.
Pour Jeanne, la fille du patron, peut-être que viendra son tour, mais je ne sais pas si Ekaterina sera ravie de fesser son amie ?
Amitiés.
Elena.
Bravo Elena, encore un superbe épisode très excitant, François-Fabien a tout dit et je ne vais pas en rajouter. J'espère que vous continuerez encore longtemps à nous régaler de vos récits croisés. Quelle imagination vous avez pour trouver aussi fréquemment des scénaris aussi emballant . Félicitations .
RépondreSupprimerCordialement . serge
Bonjour et Merci Serge.
SupprimerPour les idées, je m'inspire de ma vie, de ma région et des infos que je vois ou lis, le tout en complicité avec mon compagnon. Voilà le secret. Je cherche à changer et à innover presque à chaque chapitre, à inventer des scénarii solides. Je cherche à créer des situations sur le thème avec une pointe d'érotisme, ce qui ne gâche rien à la recette.
Mais le principal, c'est le plaisir que j'ai à écrire et si les lecteurs aiment, alors là, c'est le bouquet final.
Pour ma complicité avec François, c'est une change que nous nous soyons trouvés. Nous formons un beau duo.
Amitiés.
Elena.
Amis de la poésie et de la fessée en doublette...bonjour !
RépondreSupprimerEt bien mes amis, un vrai carnage!! La maison Delaniaires a encore frappé! Fessées en double, pour deux palettes achetées !! Sans doute, comme dit François, que l'amour propre de Ekaterina en a pris un coup, mais ce n'est rien, à côte de ses fesses qui s'en sont pris en rafales... Et pas des coup du sort!
Mais heureusement la famille est là, qui ne manque pas d'humour sans le faire exprès, solidaire dans la tempête de claques, avec les mots qu'il faut pour réconforter la suppliciée. Et ça ne manque pas de sel, heureusement, pas sur les plaies.
"Courage, ma chérie, tu te sentiras mieux après " Qu'elle dit Irina, la cruelle. Mais elle ne sait pas qu'elle est cruelle elle veut faire du bine. C'est sûr, que ça lui fera du bien à Ekaterina, quand les deux furies aurons fini de lui transformer le derrière en Haut fourneau! Tes malheureux sur terre... c'est pas grave, ça ira mieux au paradis, quand tu seras mort... Les petites sœurs aussi sont de tout cœur avec elle... ce que c'est que les liens familiaux et la solidarité féminine...
Il faut dire que dans le genre rebellitude ça déménage pas mal depuis un moment. On ne citera pas de noms pour ne pas nuire à la santé des fesses de l'entourages, mais il y en à quand même certains, et certaines, qui exagèrent un peu.
Cumules de dérapages et de mandales en tous genres. On se fait des tours pendable, on se dénonce, on moucharde, fait des fichiers et des films interdits, on se diffame à tour de bras...pique les fringues, traverse la ville à poil en vélo... On en passe et des plus pires que la morale réprouve. Faut pas s'étonner après et venir pleurnicher, de devoir se mettre à table pour se faire reluire les fesses à coup de palette à fessées.
Dur dur pour pour la chef de rayon, qui vient de perdre son autorité devant le personnel, pour n'avoir pas su ménager ses arrières...train!
L'a pas une vie facile Ekaterina en ce moment, son postérieur non plus. Autant passer au prochain épisode.
Cordialement.
Ramina
Ami de la synthèse et des bons jeux de mots en tout genre, bonjour Ramina,
SupprimerLe monde où évolue mes personnages n'est vraiment pas de tout repos. Mais que dire. Ainsi va la vie et il en faut du cran pour résister. Après tout, ces petits recadrages aideront surement nos héros et héroïnes à se forger le caractère d'acier pour passer les épreuves de la vie. En attendant, il faut faire le dos rond pour tenter de sauver ce qui peut l'être encore. Mais avec leur caractère, ce ne sera pas si simple.
La rebellitude est le socle de cette fresque d'aujourd'hui. Il ne faut pas plaindre ces personnages qui fautent à tout va, sans trop se soucier des conséquences. Peut-être par manque de maturité et de réflexion... Mais durant les corrections, seul leur amour propre est vraiment blessé, pour le reste, après quelques jours de repos, tout rentre dans l'ordre.
Amitiés.
Elena.