lundi 9 novembre 2020

Les rebelles -chapitre 42 acte 3

Pendant que je suis en cours, via la messagerie de l’établissement, Madame la proviseure envoie des SMS à Maman pour l’informer :

·     Bonjour Madame E. Conformément à la décision prise lors du conseil de discipline, votre fille Elena a été corrigée ce midi. Après quelques soins et une douche, elle a pu rejoindre, nue, ses camarades pour les cours de l’après-midi. Pourriez-vous venir la chercher à Ste CROIX ce soir, car elle ne supportera pas d’être vêtue durant quelques jours ! Il serait souhaitable pour elle, qu’elle ne soit pas obligée de prendre le bus ce soir, entièrement nue, pour rentrer chez à son domicile. Cela dit, si vous le souhaitez, nous pouvons l’obliger à emprunter ce transport en commun. Sincères salutations.

è  Bonjour Madame la proviseure. Mon mari et moi passerons chercher Elena vers dix-sept heures à la sortie de ses cours. Cordialement.

·   Votre fille et moi-même, nous vous attendrons dans mon bureau. Je souhaiterais vous entretenir de son attitude. Sincères salutations.

è    Merci Madame la proviseure. A tout à l’heure. Cordialement.

A la sortie du cours d’économie, Léa vient me voir et me dit que je suis convoquée chez la proviseure. J’y récupèrerai mes vêtements et mes parents viendront me chercher. Iourievna et Olga me souhaitent bon courage et me promettent de passer me voir chez moi, car nous sommes en vacances de la toussaint pour deux semaines.

Avec Léa, nous retraversons l’école et croisant à nouveau des élèves hilares, ce qui me rend écarlate à nouveau :

« Eh, visez, les mecs, c’est la meuf de ce midi, elle est encore à poil ! »

« Elle doit se les cailler ! »

« C’est clair, regarde, elle a les tétines qui pointent »

Léa ironise :

« Alors, ma vieille, t’en a pris une bonne, aujourd’hui ! Ça en a ravi plus d’un ... J’ai même vu Théo et Adilson qui s’astiquaient ... Remarque, t’avais des postures particulièrement excitantes ».

Moi qui pensais que Théo était un ami compatissant... Il aurait pu le faire discrètement ! Il va m’entendre, celui-là !

Dès que nous sommes à l’administration, notre secrétaire, Marie P. prévient sa supérieure :

« Madame !... Mademoiselle E. est sortie de cours. Elle est arrivée »

« Ah, très bien, Marie, faites-la entrer »

Toujours douce, Marie P. me dit que je peux y aller :

« Viens, Elena. Je suis désolée pour ce qui t’est arrivé, mais c’est fini maintenant, ça va aller ! Allez, entre. Madame D. t’attend »

« Merci Madame P. »

Timidement, j’entre dans le grand bureau de ma proviseure.

« Vous voilà, Mademoiselle E. ! Mettez-vous là, en attendant vos parents, ils ne devraient plus tarder. J’aurais quelques remarques à leur formuler. Vous en faites une tête ? Vous devriez être contente, ce sont les vacances de la Toussaint, vous allez pouvoir vous faire oublier quelques jours... » ironie ma proviseure.

Vers dix-sept heures, mes parents entrent dans le bureau de ma proviseure. En les voyant, j’explose en sanglots, confuse qu’ils me voient en si mauvaise situation et je me doute qu’ils sont tristes de me voir avec le corps marqué. Mes parents me prennent délicatement dans leurs bras pour tenter de me consoler. Des larmes de honte coulent.

« Monsieur et Madame E., veuillez-vous assoir et merci de vous être déplacés, car j’ai des remarques à vous faire quant à l’attitude de votre fille dans l’établissement »

« Tout d’abord, Madame D., veuillez accepter nos excuses de la part de mon mari et de moi-même. Nous avons élevé Elena dans des principes de respect, mais, il lui arrive de dériver »

« Je comprends bien, Madame. Elena est une fille intelligente, avec de bons résultats et c’est la raison pour laquelle la décision du conseil de discipline a été orienté vers une sévère correction en public, plutôt qu’une exclusion, car telle aurait pu être la décision finale. Il faut qu’elle corrige ses humeurs et accepte la discipline. C’est une composante importe de notre enseignement »

« Merci pour cette faveur. Nous comprenons tout à fait et je veillerai personnellement que ça ne se reproduise plus. Nous reconnaissons que la correction d’Elena a été méritée. Nous avons investi dans des martinets de la maison DELANIAIRES. Jusqu’à lors, ils servaient d’épées de Damoclès, mais à présent, ils vont prendre du service au moindre écart »

« Nous sommes tous en phase et je vous remercie de l’accompagnement que vous ferez à Elena. Vous pouvez la ramener chez vous. Les vacances de la Toussaint débutent ce soir. Elena a deux semaines pour méditer sur ses actes. J’espère qu’elle reviendra avec de meilleures intentions ! Le film de la correction d’Elena est sur le site de l’école, vous pourrez le consulter et ainsi constater comment nous remettons les élèves dans le droit chemin »

« Nous le regarderons. Je vous promets que notre fille va s’améliorer. Elena ! présente tes excuses à ta proviseure ! » m’ordonne Papa.

« Je vous prie de m’excusez Madame D. et merci de ne pas m’avoir renvoyée, j’ai compris et je serai une bonne fille à l’avenir »

« Mais j’espère bien, Mademoiselle ! sinon, je n’hésiterais pas à vous marquer le corps autant de fois qu’il sera nécessaire avec, en plus, des jours d’exclusion. Nous arriverons à vous mater, je vous l’assure »

« Oui Madame... J’ai compris. Au revoir Madame... »

Nous quittons la proviseure et Papa et Maman me ramènent à la voiture. Papa me dit qu’il est garé dans une rue perpendiculaire à l’établissement, de ce fait, il faudra que Maman et moi l’attendions à l’entrée de Ste CROIX. Je suis toujours nue et je rougis d’avance de me ridiculiser une énième fois aujourd’hui, en pleine rue, cette fois. Je réajuste au maximum mon masque pour qu’aucun passant ne puisse me reconnaitre vraiment, mais c’est une maigre protection.

Bien évidemment, les passants, les gens à leur fenêtre ou les commerçants à leur vitrine ne manquent pas de pouffer de rire en me voyant vainement tenter de cacher na nudité. Je vois des passants se retourner vers moi et rire :

« Oh, regardez, y’en a une qui a morflée, elle a dû faire une grosse bêtise, elle a des traces partout ! »

« Ah, c’était donc elle, les hurlements qu’on entendait ce midi ! »

« Il devait y avoir plusieurs élèves qui y sont passés. Les jeunes sont bien dressés dans cet établissement, j’y mettrai bien mon fils l’année prochaine, car il ne suit rien en classe, un vrai cancre, là au moins, il rentrerait dans le rang »

Dix minutes plus tard, Papa arrive avec la voiture. Je tente de m’assoir à l’arrière mais aussitôt, je pousse des cris de douleur, car le contact de mes fesses et de mon dos, hypersensibles, avec une surface ravive la cuisson. Durant tout le parcours, je pleure en gigotant. Ma douleur cesse un peu lorsque je rentre à la maison.

Je vais dans ma chambre où je tente de m’allonger sans trop souffrir. Maman vient à mon chevet et me dit :

« Il n’y a pas grand-chose à faire, ma chérie. Trouve une position confortable et tente de te reposer ! Ça ira mieux dans les prochains jours »

Lorsque je me suis calée sur le côté, je ne mets pas longtemps à sombrer dans mon sommeil, car entre ma dernière nuit blanche et la fatigue de la journée et malgré mes souvenirs sombres qui me reviennent en tête, je suis vraiment lasse.

Le lendemain matin, je me réveille avec le corps qui me tiraille de partout et tout mouvement est douloureux. Prenant mon courage à deux mains, je me lève avec difficulté et je vais à la cuisine où mes parents y sont déjà depuis un moment et y prennent leur petit déjeuner. Nue comme un ver, je dois mettre ma pudeur de côté et accepter cet état durant quelques jours.

« Bonjour Lena ! Comment te sens-tu, ce matin ? » me questionne Maman

« Bonjour Papa, bonjour Maman, ça brule toujours partout »

Ne voulant pas m’accabler une nouvelle fois, Maman change de conversation, jugeant que j’ai déjà assez payé ma faute.

« Après une bonne douche fraiche, tu te sentiras mieux. Allez, viens prendre ton thé et mange un peu, tu n’as rien pris hier soir »

« Oui, Maman. Hier, je n’avais pas faim »

« Tiens, ce matin, Ioura a téléphoné, elle voulait prendre de tes nouvelles, elle et ses sœurs vont passer dans l’après-midi. Elles étaient tristes pour toi. Tu en as de la chance d’avoir de bonnes amies comme elles, elles ne te laisseront pas tomber »

« Oui Maman ! » dis-je d’une petite voix, car je ne suis pas très fière de mon comportement et du fait que je les ai une nouvelle fois déçus.

La douche est particulièrement bonne. Se sentir propre est vraiment plaisant, même si mes mouvements brusques réveillent des douleurs que je pensais atténuées.

Lorsque je suis séchée, je tente d’enfiler des habits que je dois retirer de suite, car le contact est pénible avec ma chair enflammée. Je me résigne à rester nue, même si mes amies vont venir me rendre visite. Je me dis qu’après tout, elles m’ont déjà vues nue et un peu plus un peu moins... mais tout de même, ce n’est jamais plaisant de se sentir rabaissée. D’habitude, lorsque nous allions à la plage naturiste, nous sommes toutes nues, à égalité, ce qui passe mieux.

Après une matinée à me reposer et à faire quelques actions de ménage pour aider Maman, vers quatorze heure, Iourievna, Olga et Ekaterina arrivent à la maison. En les voyant, je suis dans mes « petits souliers », rougissant, malgré leur gentillesse qu’elles me témoignent.

« Ah oui, elles ne t’ont pas ratée, t’es bien marquée, ma pauvre. Ça doit bruler ? » Remarque Ekaterina, la seule des trois qui n’ait pas assisté à ma punition.

Je lui réponds : « Oui, ça brule partout, j’ai l’impression qu’on me pose des barres brulantes sur le corps et ça à chaque mouvement »

« Ça se voyait que t’en bavais, vu comment tu’t’trémoussais ! »

Ekaterina me demande :

« Vous avez récupéré le film de ta punition ? »

« Euh, oui, pourquoi ? »

« T’accepterais de me l’envoyer, il parait que c’était super excitant ! »

« Excitant pour les autres, mais surement pas pour moi, mais d’accord, t’es ma copine et je veux bien. Passe-moi une clé USB, je vais te le copier pour vous trois seulement. Vous le prêtez à personne ! j’ai pas envie que ça fasse le tour de la ville, déjà que plus de sept cents personnes m’ont vue, c’était super humiliant »

Confortablement installée sur le divan, assise sur des coussins moelleux, mes amies et moi discutons entre filles, mais ma punition revient assez souvent, m’obligeant à répondre aux questions.

« Eh Lena, qu’est-ce tu comptes faire avec la roumaine ? Elle va pas s’en tirer comme ça ? » me demande Iourievna.

« Que veux-tu que j’fasse, Eh banane ! Tu veux que j’m’en prenne une autre ? »

« Mais non, j’sais bien, mais tu pourrais te plaindre à Madame D. qu’elle te cherche encore et elle se refera punir »

« Non, j’pense pas, c’est un coup à s’faire choper et à être re-punie. J’vais plus la calculer, d’toute façon, j’en ai à cirer de c’te meuf »

« Ouais, ben, t’aurais dû l’faire avant, ma cocotte ! » me dit Olga

« Je sais, Olia, je sais. Tiens, au fait, y parait que ton Théo, y s’est bien astiqué en m’regardant souffrir ? »

« Ah bon, tu crois ? »

« Fais pas celle qui a rien vu, tu l’sais très bien. Tu lui diras que j’vais lui dire c’que j’pense de lui, la prochaine fois que j’vais l’voir ! J’supporte pas que ma douleur serve au plaisir des autres ! »

« Ouais, ben, c’est un mec ! Y’en a pas beaucoup qui ont résisté et puis toi aussi, tu t’caresses vachement lorsque tu vois des mecs s’faire corriger, et pas que des mecs, d’ailleurs... » tente de se justifier Olga pour défendre son fiancé.

« Ouais, mais c’est pas des prétendus potes à moi... »

« Mouais, on dira ça ! »

L’après-midi se termine comme ça, en discussions sur des sujets les plus variés : Les élections américaines, les attentats, le couvre-feu et la probabilité d’un second confinement...

Pour nous, un second confinement ne changerait presque rien, puisque nous nous verrions à Ste CROIX quelques jours par semaine et le reste du temps à distance via des sessions en ligne, car étant en session informatique, nous sommes super équipés, avec des retransmissions des cours même lors des amphis.

Trois jours plus tard, je fais une surprise à mes amies. Vêtue, je vais leur rendre visite. C’est Irina S., la mère de mes copines qui vient m’ouvrir.

« Tiens, bonjour Lena, quelle bonne surprise de te voir. Ça va mieux ? »

« Oui, Madame, merci. J’ai pu enfiler une robe et ma veste, mais je suis nue en dessous, car avec des sous-vêtements serrés, ça picote encore ! »

 « Je me doute bien, les filles nous ont fait voir le film de ta correction, t’en a bavé, mais tu dois reconnaitre que tu l’avais amplement méritée, cette correction. J’ai eu ta mère au téléphone et elle me disait qu’elle allait te reprendre en main, avec si besoin, des passages au conseil des mères »

« Oui Madame, je sais. Il faut que je me calme »

« Katia ! Ioura ! Olia ! devinez qui est là ? »

« Oh, Lena, c’est super que tu sois là ! T’as pu t’habiller et venir, finalement ! »

« Oui, avec des vêtements amples, ça passe et mes traces ont presque toutes disparues mais mes muscles me font encore mal »

« Bon, on monte dans la chambre et tu vas nous montrer tout ça ! »

Entre temps, nous apprenons la décision du second confinement, ce qui nous semble être une punition pour nous, car nous ne pourrons plus nous voir comme avant. Nous vivons le couvre-feu, et maintenant, le second confinement est en place.

Côté Ste CROIX, Fabienne D. passe un coup de téléphone à Léa :

« Bonjour Léa, comment allez-vous ? »

« Bien, Madame, merci »

« Léa, on m’a rapporté qu’un bon nombre d’élèves s’amusent à noter leurs camarades et leurs professeurs. Etes-vous au courant de ces pratiques ? »

« Oui Madame, je pense connaitre des élèves qui font ce genre de fichage »

« Pourriez-vous me donner leurs noms, car ces pratiques sont totalement interdites. Ficher les élèves et des professeurs sur des critères physiques, sociaux et autres est répréhensible par la loi et je ne tolèrerais pas ça au sein de l’établissement. L’article E1922-2 est très clair à ce sujet et si ça s’ébruitait, le recteur demanderait une enquête à la gendarmerie, ce qui jetterait le discrédit sur l’école et nous perdrions notre renommée »

« D’accord, je me renseigne et je vous établis une liste des élèves potentiellement impliqués »

« Merci Léa »

Avec cette mission donnée par la proviseure, Léa va, une fois de plus, jouer dans le corps enseignant et livrer en pâture les élèves qui s’amusent à cartographier et répertorier leurs camarades.

Deux jours plus tard, Léa donne une liste d’élèves qu’elle a pu récupérer, mais elle stipule à Fabienne D. que cette liste n’est pas exhaustive, car d’autres élèves dont elle n’a pas pu avoir les noms sont impliqués dans ces fichage d’élèves et de professeurs :

·       Garçons impliqués : Clément G., Lucas C., Thomas P. et Yohan K.

·       Filles impliquées : Emma D., Alicia G., Sixtine J., Mélodie M., Tiphanie de M., Chelsea C. et Lucia Q.

Fabienne D. est satisfaite de ce retour, car elle va pouvoir remettre les choses au clair dans son établissement.

Lors de la reprise des cours, les ordinateurs des élèves suspectés sont fouillés et sur certains, on y trouve des fichiers interdits :

·       Lucas C., Thomas P., Yohan K., Alicia G., Sixtine J., Mélodie M., Tiphanie de M., Chelsea C. et Lucia Q. sont inscrits pour le conseil de discipline.

Clément G. et Emma D. ne sont pas inquiétés, car on ne trouve rien dans leur ordinateur ou dans leurs affaires, ils auront surement été plus prudents que leurs camarades.

Lors de la rentrée, les discussions tournent beaucoup autour du ou des corbeaux qui auraient vendu la mèche auprès de la proviseure. Nous suspectons bien Léa et les autres délégués de classe, mais sans preuve, difficile d’accuser et puis Léa nous joue son rôle de bonne copine triste de ce qui arrive aux neufs élèves impliqués, ce qui nous fait ne pas la désigner comme l’une des auteurs de ces dénonciations, qui nous paraissent totalement déplacées.



Une série écrite par Elena

Elle nous revient pour quelques épisodes, un, c'est sûr, deux, très probable, plus ? ça semble le cas ! L'aventure continue !
Dans l'entourage d'Iourevna d'autres fessées ont déjà été administrées, lisez-les ici : le chapitre 1, début de la série et l'épisode précédent, le chapitre 42 scène 2

Retrouvez-les tous sur la page des auteurs invités

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5 commentaires:

  1. Bonjour, Elena. Et bonjour à tous.
    Il y a la fessée proprement dite et puis il y a ce qui s'ensuit: l'absence de vêtements: on ne les supporte pas. Les réactions des uns et des autres. Et puis le souvenir de l'humiliation éprouvée qui ramène systématiquement le rouge au front, qui, sans doute, ne disparaîtra jamais complètement. qui ressurgira, au fil du temps, dans toutes sortes de circonstances. D'autant plus que, comme c'est maintenant l'habitude, un film de la punition a été tourné qui, même si les trois amies d'Elena, le conservent pour elles, finira forcément par fuiter malgré tout par d'autres canaux. La métamorphose de Léa se confirme dans cet épisode. Il est clair qu'elle est maintenant totalement "de l'autre côté". Quant à Ekaterina, qui s'était fait oublier, dont on ne parlait pratiquement plus, elle avoue sans complexe l'excitation qu'elle éprouvera, elle qui n'est pas - ou plus - à Sainte-Croix à voir Elena fouettée. On peut donc en déduire que, dans l'ombre, elle était à l'affût de tout ce qui se passait et en faisait son miel. Sans compter tout ce qu'elle peut vivre de son côté. Quant à Théo, son comportement ne surprendra personne et certainement pas Olga qui se livre à la même activité de son côté.
    Amicalement.
    François

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  2. Bonjour François,
    Dans cet épisode, il y a l'apprêt avec tout ce que ça comporte. Une chance pour Elena, les vacances de la toussaint sont arrivées juste après la punition, ce qui a pu faire passer un peu de temps avant de retourner à Ste CROIX et d'y recroiser tous les élèves qui l'ont vu être fouettée. Par contre, la rentrée sera assez compliquée, car les souvenirs étant encore frais, Elena va encore s'en prendre plein les oreilles. Adilson, sera l'un des élèves qui ne se gênera pas de faire des réflexions. D'autres garçons ou filles auront, à coup sûr, le mot blessant, en ce qui la concerne.
    Ekaterina est la grande soeur des jumelles et à ce titre, elle est un peu plus mûre que ses soeurs. Par contre, elle ne sera peut-être pas à l'abri d'une rechute ou d'un mauvais concours de circonstance, comme ce qu'elle a connu par trois fois, par le passé ( en se promenant nue en rentrant de la plage, lors du voyage en Russie et lors d'une confession à l'église ).
    Il y a tellement de personnages que j'avoue m'y perdre un peu, mais ceux-ci sont toujours à disposition pour les remettre dans la lumière.
    Amitiés.
    Elena.

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    1. Amis de la faute d'orthographe et du commentaire écrit trop vite, bonsoir,
      Voilà ce qu'il se passe lorsqu'une commentatrice écrit trop vite et ne se relit pas, elle fait n'importe quoi. 1 phrase, 1 faute...
      La commentatrice pense qu'elle devrait recevoir comme ses personnages, une fessée de temps en temps, ça lui remettrait les idées en place.
      Amitiés.
      Elena.

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  3. Amis de la poésie et de la pause fessée... Bonjour!

    Bonjour Elena...qui s'auto-flagelle parce qu'elle fait des fôtes d'orthographe. Qui n'en fait pas ? Surtout quand on tape ses textes à deux doigts... d'en mettre à côté ! Quitte pour une bonne fessée, effectively! (toujours mon anglais impeccable !)

    Bon, après l'impressionnante correction de l'épisode précédent, on peut comprendre que le chapitre suivant passe à la phase récupération. Vu l'état de la pauvre Elena qui ne sait plus où est le devant de son derrière, c'est la meilleure option.
    On est content d'apprendre que l'institut Ste Croix est équipé en instrument de travail par la maison DEALANIAIRES... Avec DELANIAIRES Attention aux derrières! Résultats, Elena a la peau du dos, des cuisses, et des fesses, (mais pas la tête... alouette!), comme des tranches de jambon de Bayonne! La pauvre, sans culotte, sans pantalon et sans dessus dessous, est obligée de faire du naturisme dans les transports en commun... Ce qui pour le coup, n'est pas très commun.

    Heureusement, papa et maman sont là pour la réconforter, même s'ils trouvent normal la raclée qu'elle s'est ramassée. Loura, Olga, Ekérina, les fidèles copines, lui apportent la bonne nouvelle. Elle est le personnage vedette du film de sa punition publique. Sept cents personnes y on D2J0 assisté... un tabac! La directrice, pas cynique du tout, est toute fière de l'avoir mis en ligne... avec ça, pas besoin d'aller sur les sites porno pour se faire dépoussièrer le plumeau!

    Pour compléter le tableau noir, à Ste croix, on ne croit que ce qu'on voit, et quand on ne voit pas...on dénonce. belle mentalité! La liste des auteurs de fichage interdit circule sous le manteau...
    La trêve des fessées ne va pas durer longtemps... On entend les fesses des coupables, claquer des dents ... avant de claquer tout court.
    D'accord, un peu raide comme formule, mais j'avais rien d'autre en magasin.
    Amicalement
    Ramina

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    1. Ami des bonnes synthèses et des remarques pertinentes, bonjour Ramina.
      Merci pour cet élégant commentaire. Un résumé clair, net et précis, comme d'hab... Il est vrai que la discipline est sévère à Ste CROIX, mais on ne s'en plaint pas. Remettre les élèves dans le droit chemin pour en faire l'élite de la société, ça vaut bien quelques sacrifices.
      Dans mes textes, j'adore faire souffler le chaud ( sur les fesses, voire ailleurs ) et le froid ( pour refroidir le tout ), comme le feraient une éducatrice qui puni les dérives et des parents, soucieux de l'avenir de leur fille. Après la pluie, vient le beau temps, comme on dit.
      De mon côté, avec une Maman prof, les fautes d'orthographe sont proscrites et j'ai horreur de ça, pour moi et pour les autres...
      Amitiés.
      Elena.

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