Elle envoie du lourd d'entrée, j'avais presque oublié qu'elle tapait aussi fort, elle bénéficie d'une technique innée, pas comme Corinne à qui on s'en souvient, elle avait été obligé de faire la leçon, sa main s'arrondit sur ta fesse et provoque d'entrée une vive douleur, c'est pas aussi raide, leur physique n'est pas comparable, que les fessées de Madame Leblanc ou de la mère Bruno, aux gabarits impressionnants, alors que ma cousine ne doit guère dépasser les 50 kilos toute mouillée, comme Justine d'ailleurs, mais il n'empêche, ça te massacre bien le fessier.
La garce compense son déficit musculaire
par l'intensité et la vivacité des claques qu'elle balance, plus un certain vice,
elle frappe où elle sait que ça va faire mal, à la commissure des cuisses, au
plus près de la raie ou de mes précieuses. On dirait que son bras est monté sur
ressort et j'ai très rapidement le cul qui me cuit. Je me dis que tant qu'elle
ne se servira pas d'un instrument, à ma connaissance il n'y a pas de martinet à
l'appartement, mais une règle, une ceinture ou que sais encore pourrait faire
l'affaire, je réussirai à ne pas me donner le ridicule de me mettre à sangloter
devant ma copine, même si dans le passé, Lucie est parvenue à me tirer des larmes
par de simples fessées manuelles, spécialement longues et appuyées ou suivant une précédente. Parfois, la seule émotion
ressentie par mon humiliation lors d'une fessée particulièrement honteuse, suffisait
à me faire pleurer.
J'ai tenu le choc, pourtant la garce n'a
pas ménagé sa peine, même si je me suis un peu tordu sur ses cuisses, remuant
et écartant mes jambes, exhibant au passage mes attributs à Justine qui les
connaissait certes, mais dans cette position, ce n'était guère valorisant. Elle
me confia, le soir mêmes qu'elles effectuaient une sorte de danse et que cela l'avait
beaucoup amusée. Dans la compassion, on repassera, ça te l'avait bien excitée
ma copine de me voir prendre une avoinée par ma cousine.
Cette dernière n'a pas poussé le vice jusqu'à
m'infliger un passage au coin, quand elle a estimé que la correction était suffisante,
que son message était bien passé pour reprendre l'expression de Madame Leblanc
et d'autres de mes tourmenteuses, elle a cessé de me tanner les fesses et s'est
mise à les parcourir à nouveau.
– Qu'est-ce que tu en penses Justine,
Fabien a-t-il été suffisamment puni ? Penses-tu qu'il fera un peu plus attention
la prochaine fois qu'il lancera une machine à laver, tu veux bien t'approcher pour
juger sur pièces ? »
J'entends son rire qui ajoute à la douleur
très vive que je ressens, même si j'ai hélas pris des fessées bien plus sévères
et quelques secondes plus tard, une main plus fraîche qui appartient de toute
évidence à ma fiancée, qui fait le tour de mon fessier meurtri, s'aventurant jusqu'à
la naissance de mes couilles, ce qui me donne une belle érection en dépit de ma
situation.
« Je crois que cela sera suffisant.
Il a été bien plus durement fessé par sa mère lorsque j'y ai assisté et en plus
elle ne lui a pas épargné le piquet.
– Tu ne veux pas lui en remettre une couche.
– Pas aujourd'hui, mais à une occasion,
à sa prochaine bêtise, je ne dis pas non. »
Ça y est, j'y suis, Justine va entrer
dans le cercle, hélas bien trop large des personnes qui s'autorisent à
m'infliger des fessées déculottées, ce n'est pas la meilleure nouvelle de la
journée, mais je me dis que j'aurais la possibilité de revoir la question avec
elle en privé.
Cela dit, il fallait s'y attendre, elle
m'avait vu me ramasser une déculottée par ma mère et tôt ou tard, elle aurait eu
vent de celles que je ne manquerais pas de prendre, je ne me faisais pas d'illusion,
à l'école, même si la terrible Madame Bruno n'avait plus ma classe en charge,
ou chez notre logeuse. Ce qui n'aurait pas manqué de lui donner des idées.
Le fait d'être fessé devant elle par ma
jeune cousine, ne faisait que de précipiter les choses. C'est en tout cas, ce
que je m'efforçais de penser alors que je me reculottais piteusement, tout
heureux d’avoir échappé au mortifiant piquet.
Justine nous a quitté sur ses entrefaites
sur un dernier bisou, me gratifiant d'un sourire ambigu et d'une tape sur une
fesse encore douloureuse qui l'était moins. Il me fallait désormais m'attendre à
ce qu'elle mette en œuvre ses projets à la première occasion, mais ça ne m'angoissait
pas outre mesure, tant que la chose resterait entre nous, il pouvait y avoir un
côté érotique et je pouvais envisager de lui rendre la pareille, la perspective
de ces jeux amoureux me permit de surmonter ma honte.
Juste avant d'aller prendre notre repas
du soir chez Madame Leblanc, Lucie me glissât qu'elle serait magnanime.
« Puisque tu t'es laissé faire, je
ne dirais rien à Madame Leblanc, ce qui t'évitera un éventuel complément, genre
une fessée à l'extérieur, une à la maison, tu devrais me remercier. »
Je pris sur moi pour lui glisser un
" merci Lucie" qui m'arrachait la gorge, je ne sais pas si j'aurais
eu droit à une réplique, ma faute n'était pas si évidente, mais il est vrai que
j'aurais pu m'abstenir de mettre ce tee-shirt rouge vif dans la machine, ma mère
m'avait suffisamment mis en garde, mais une fois de plus, j'avais été négligent
et peu soucieux des fringues de ma cousine, sauf que je n’écartais toujours pas
la possibilité d’un coup monté, même s’il m’aurait étonné que Lucie accepte de
sacrifier la couleur de ses sous-vêtements pour le seul plaisir de me fesser.
En ce sens la fessée était un peu méritée, même si la présence de ma fiancée
avait été dure à vivre.
Le pauvre Kevin était encore au piquet, pantalon
de jogging aux chevilles et slip aux genoux, les mains sur la tête et les fesses
rubicondes, finissant de sangloter, sous les regards de deux des filles et de notre
logeuse qui tricotait tranquillement.
« Mince on a raté quelque chose, me
murmure Lucie, décidément il prend cher le jeune Kevin et en peu de temps. »
Nous n'eûmes pas d'explication quand aux
raisons qui avaient justifié cette correction, les marques que j'apercevais sur
le fessier du jeune homme, me semblaient bien signifier qu'il avait eu droit à
la règle, juste après les terribles orties, cela faisait beaucoup en peu de
temps.
Je me disais que j'avais à peu près
commencé sur les mêmes bases, notre logeuse connaissait bien sa partition et entendait
mettre les choses au point très rapidement, même si je pouvais en témoigner, la
suite des évènements risquait d'être encore riche en corrections et humiliations
diverses et variées, Kevin n'avait guère d'autres choix que de s'y soumettre,
comme j'avais dû le faire. Je préférais ne pas songer à tout ce que j'avais
subi sous la férule de Madame Leblanc, même si je devais en convenir, mon
comportement s'était largement amélioré à bien des égards.
Le piquet de Kevin se prolongeât au-delà
du repas, je compris qu'on lui apporterait quelque chose dans sa chambre, en
attendant, il avait écopé de deux longues heures de piquet, j'imaginais qu'il
avait une nouvelle fois refusé la fessée, ce qui lui valait cette
exceptionnelle rigueur, sans omettre un probable rappel le lendemain matin
qu'il devrait solliciter, comme cela m'était arrivé en son temps.
A la fin du repas, juste avant qu'on
prenne congé, Madame Leblanc a appelé Kevin devant elle, le pauvre s'est
avancé, tout maigrelet et les fesses encore marquées, on s'est aperçu qu'il
était complètement épilé, y compris sous les aisselles que sa position mains
sur la tête découvraient.
Devant notre air étonné, notre logeuse a
bien voulu nous éclairer :
« C'est sa Maman qui l'a fait épiler,
elle trouve qu'il ressemble ainsi davantage au petit garçon qu'il est resté dans
sa tête et en plus c'est bien plus hygiénique, n'est ce pas Kevin.
– Oui Madame.
– Tu en recevais des fessées à la
maison, ta mère me l'a confié.
– Oui Madame.
– Et alors, pourquoi, tu rechignes à en recevoir
ici.
– Cela n'arrivera plus, Madame, cette fois
j'ai bien compris.
– Je l'espère pour tes fesses et
n'oublie pas que je t'attends demain matin pour un rappel, mais tu ne réponds
pas à ma question.
– Ce n'est pas pareil, vous n'êtes pas
ma mère et j'estime qu'à dix- huit ans je suis trop grand pour recevoir des
fessées déculottées, surtout en public.
– Voyez vous ça et bien j'aime mieux te
dire que tu n'es pas au bout de tes peines, demande à Fabien qui est plus âgé
que toi, s'il ne s'attend pas à se retrouver prochainement les fesses à l'air et
bien rôties par mes soins ou par l'un de ses professeurs. »
Je rougis et j'acquiesçai.
« En attendant, je veillerai à ce que
tu restes exempt de toute pilosité puisque c'est le souhait de ta Maman, tu
peux aller te coucher, Madame Sand t'apportera de quoi ne pas mourir de faim. »
Deux jours plus avant, Lucie se pointe
en retard, elle n'a pas le temps de sa changer pour aller rejoindre notre hôtesse,
je me disais que fringuée comme elle l'était, elle prenait quelques risques, d'autant
que la veille, elle avait passé un grand moment à se peindre les ongles des
mains et des pieds, elle devait probablement avoir une idée ou plutôt une conquête
en vue derrière sa jolie figure.
Ça n'a pas raté, quand Madame Leblanc
l'a vu se pointer, les yeux charbonneux, la jupe au milieu des cuisses et les
ongles faits, son sang n'a fait qu'un tour.
« Lucie, qu'est-ce que c'est que
cette tenue ?
– Mais c'est vous qui m'aviez dit de ne
plus me mettre en jeans, faudrait savoir ce que vous voulez.
– D'abord, tu vas changer de ton, je
vois que j'ai été trop indulgente avec toi le soir de ton arrivée, je vais
remédier dès à présent à cette erreur. Sylvie, tu veux bien aller me chercher
du dissolvant, en attendant, tu viens avec moi dans la salle de bains pour que
je te débarbouille. »
Ma cousine, sans doute énervée par sa journée,
venait de déraper, notre logeuse ne supportait pas l'insolence et je m'apprêtais
à vivre un grand moment.
Je ne fus pas déçu, j'ai d'abord vu
revenir vers nous Lucie, le visage rougi par un lavage au gant que j'imaginais
rustique et probablement quelques larmes, après lui avoir ôté à l'arrache le vernis
de ses ongles, Madame Leblanc la fit se mettre entièrement nue, ce qui était
une première, pour une fille en tout cas et elle eut droit à une super raclée.
Ce fut abord une rude fessée manuelle,
qui laissât sa victime en larmes, avant de lui infliger vingt coups de baguettes
qui la firent hurler et mirent ses fesses en feu. La baguette c'est assez
terrible, au départ chaque coup laisse une marque rouge sur toute la largeur des
fesses, les coups se succédant, les marques s'échelonnent peu à peu jusqu'à ne
former qu'un seul ensemble incendiaire, je crois bien pour y avoir largement goûté
que c'est l'instrument punitif que je redoute le plus, à l'exception de la fessée
aux orties qui te fais souffrir plusieurs jours, hélas, l’un n’empêchant pas
forcément l’autre.
Pour cette fois, Lucie y échappe, j'imagine
que son fessier rubicond aurait véritablement eut du mal à l'endurer, car elle a
beaucoup souffert, pleuré, supplié, hoqueté, pour finir par s'éteindre, accablée,
sanglotante, brisée, les jambes largement écartées ne nous laissant rien ignorer
de son intimité et en particulier de son trou de balle.
Tu parles que je bandais, je supposais qu'il
en allait de même pour Kevin, sans exclure les filles dont les culottes
devaient être trempées. Un séjour complètement nue au piquet a complété sa punition,
évidemment comme elle poursuivait ses sanglots, on lui a intimé le choix entre
la discrétion ou le retour sur les genoux de qui vous savez, elle a pris sur elle
et si on avait toujours l'image, le son a disparu.
Elle n’y restée qu'environ une demi-heure
avant d'être autorisée à se rhabiller pour prendre part au repas, s'en sortant
plutôt bien au regard de ce qui avait été infligé au jeune Kevin.
Néanmoins, Madame Leblanc lui annonça
qu'elle avait été punie pour son retard et sa tenue, mais pas de son insolence,
il était tard, mais elle serait de nouveau châtiée le lendemain au petit
déjeuner auquel, elle été "invitée" à se présenter un peu en avance.
Merci pour la bonne nouvelle, Lucie a réussi
à faire à peu près bonne figure au repas, se contentant de s'agiter sur sa
chaise, pourvue pourtant d’un coussin, mais dès qu'on a regagné l'appart, elle
m'a envoyé le reste.
« Tu n'es qu'un salaud, tu t'es
bien gardé de me dire que l'autre morue ne voulait pas qu'on se maquille ou qu'on
mette des minis jupes.
– Ma chère, je croyais que tu l'avais
compris, tu as bien vu comment sont fringués les filles en pension.
– Non, je n'ai rien vu, tu me paieras
cette fessée, je te le garantis et cher.
– Sans compter celle que tu vas ramasser
demain matin, tu peux préparer tes fesses.
– Rira bien qui rira le dernier, je te
garde un chien de ma chienne, tu sais que j'ai les moyens de faire pression sur
toi et que je tiens toujours mes promesses.
–Tu sais où tu peux te mettre tes menaces
et sache que j'ai moyennement apprécié que tu me donnes une fessée devant Justine.
– Oh, elle n'était pas bien forte.
– Que tu dis !
– Il n'empêche, je peux toujours envoyer
à tes copains et copines de l'école la jolie vidéo où on te maltraite avec Corinne,
sans que tu te rebiffes outre mesure.
– Je m'en tape, un bon quart s'est déjà
pris des fessées chez eux ou à l'école.
– Peut être bien, mais par sa jeune cousine,
c'est un brin différent, tu ne crois pas ? »
Elle avait raison et je préférais en
rester là, mais je me disais que je pourrais à mon tour raconter qu'elle aussi
se prenait des raclées par notre logeuse, mais ce n'était pas tout à fait la même
chose et que surtout, je n'avais pas de vidéo à exhiber. D'ores et déjà, je devais
être content qu'à l'occasion de notre cohabitation, elle n'ait pas remis en
oeuvre la complète emprise sur moi que sa mère lui avait donné à la fin de mon
séjour estival.
A savoir, me laver, me soigner et donc
le cas échéant, prendre ma température, m'habiller, me sortir etc. Le pire est
qu'après m'être rebiffé au départ, j'en avais payé le prix fort, je m'étais
presque habitué à être entièrement sous sa coupe, comme un petit garçon, toute
initiative individuelle m'étant retirée. Je préférais ne pas y penser, me
demandant comment je réagirais si elle se mettait en tête de recommencer, ma fessée
devant Justine me laissait supposer que ce n'était pas tout à fait exclu et
j'en frémissais déjà de honte.
Cela m'a donc réjoui d'assister le lendemain
matin à sa nouvelle correction, juste avant le petit déjeuner. Elle s'était
appliquée, fringuée très jeune fille de bonne famille. La tante Maud avait fait
le nécessaire, suivant les instructions de l'école, mais sa fille avait remisé
le tout au fond de son armoire, trouvant ses vêtements de gamine parfaitement ridicules.
Fini le maquillage, une queue de cheval
très stricte, une jupe bleu marine qui s'arrêtait aux genoux, un chemisier blanc
à col Claudine et des ballerines claires, elle était néanmoins fort mignonne, ce
que je lui glissais en passant, sans lui arracher un sourire.
Sur mes avisés conseils, c'est elle qui
après un petit déjeuner silencieux, va se planter piteusement devant notre logeuse.
« Que t'arrive-t-il ma chérie ?
– Je viens pour la fessée que vous m'avez
promise.
– C'est bien, je vois que tu apprends
vite et que Fabien est de bon conseil. Relève ta jupe, baisse ta culotte et
viens te mettre sur mes genoux ! »
Je me régalais de la voir si soumise et
aussi de la vision de son joli petit cul, j’attendais de la voir à mon instar écarter
ses cuisses graciles sous la rigueur de la fessée, son entre jambes n'aurait
plus aucun secret pour moi et ce serait d'ores et déjà, une petite revanche.
Je pensais à tout ce que cette garce m'avait
fait subir, les fessées administrées devant et ensuite par Corinne, les sorties
en short au ras des fesses avec mes cuisses marquées, l'abominable fessée cul
nu sur la plage devant mes copains et copines avec le retour en slip puis carrément
tout nu, les lavements si humiliants et si douloureux, la prise de température,
mon épilation, j'en passais et des meilleures, sans oublier ma dernière
correction devant Justine. Il était bien temps que je prenne une petite vengeance
en la voyant à son tour se faire martyriser les fesses en public.
Madame Leblanc ne fut pas trop sévère,
sans doute pour tenir compte de l'attitude repentante de Lucie, elle cessât de la fesser dès que sa
victime se mit à pleurer, j'étais assez près pour me rendre compte néanmoins que
cela n'avait pas été une fessée pour rire, il n’y en avait guère avec notre
logeuse, la couleur du derrière de ma cousine en attestait et comme je l'envisageais,
elle avait craqué en fin de correction et m'avait régalé une nouvelle fois de
la vue de ses trésors intimes, me donnant une splendide érection que je
dissimulais de mon mieux.
Elle échappât au traditionnel piquet, il
ne fallait pas qu'elle soit en retard à l'école.
« Tu t'en tires bien ma jolie, mais
n'oublie pas que nous sommes en compte et que tu me dois une demi-heure au
coin.
– Oui, Madame Leblanc, je vous remercie.
– Pour le piquet ou pour la fessée.
– Pour les deux.
– Très bien, alors vient m'embrasser. »
Amis de la poésie et des fessées dès le matin dans la cuisine, ( ça résonne mieux sur le carrelage)... Serge, bonjour!
RépondreSupprimerQuand Madame Leblanc voit rouge, c'est la couleur des fesses qu'elle corrige. Un bon petit déjeuner ne suffit pas pour bien commencer la journée, une bonne fessée après le café permet une digestion plus facile et donne de l'entrain pour la suite. Lucie en sait quelque chose, qui n'est pas la dernière à claquer le derrière de son cousin Fabien, mais s'en prend une, à son tour, par sa logeuse... Qui l'oblige même à venir la réclamer. Et le bureau des réclamations se transforme en bureau des pleurs. Voilà ce que ça coûte de mettre des jupes trop courtes! Madame Leblanc est généreuse et se fait un point d'honneur à répondre à la demande. Contrairement au commerce de distribution aujourd'hui, elle a du stock, notamment au rayon fessées et peut satisfaire tout le monde. Direct de la main distributrice aux postérieurs consommateurs!
L'ami Fabien, quant à lui n'a pas de problème d'approvisionnement, avec un large choix de corrections et de déculottées en tous genres. Il se fait régulièrement assaisonner le derrière à la sauce piquante, par un entourage féminin à la main lourde qui ne lui ménage aucune séquence humiliante. Fesses rouges garanties!
Ces demoiselles, de cuisante compagnie, ne font pas dans la dentelle, sinon celle de leurs petites culottes qui n'ont pas le temps de sécher à cause de la fréquence des fessées.
Récit alerte...au feu... aux fesses, avec une écriture où l'on retrouve un peu de ce style direct aux expressions imagées, chères à François Fab' dans le " Journal d'Olga''.
Tendance sur le blog... personne ne s'en plaindra, manquerait plus que ça !
Cordialement
Ramina
Mille mercis Ramina, je suis heureux de faire l'objet de votre commentaire qui me régale comme d'habitude par son humour très décalé, quel talent vous avez, j'attends avec impatience votre retour aux affaires!
SupprimerSympathiquement.
Serge
Bonsoir Serge.
RépondreSupprimerGrand merci, à mon tour, pour ces compliments qui me font monter le rouge aux joues... à défaut des fesses !
La saison 4 de CDAMF devrait commencer fin novembre...
Amicalement
Ramina