Retour sur le 19ième épisode de " Fabien une bonne fessée", on se souvient peut être et si ce n'est pas le cas, je recommande fortement la lecture des derniers épisodes de la saga de Fabien, voire de l'intégralité de cet excellent récit que je reprends avec l'accord de son auteur, que Fabien avait subi une épreuve douloureuse lors de cet après midi de baignade à la plage en compagnie de sa désormais "tutrice", sa jeune cousine Lucie, dix sept ans, alors qu'il va vers ses dix neuf et de sa meilleure amie Corinne.
En effet, à la suite d'un mouvement de
bravade, Lucie n'avait pas hésité à le déculotter au milieu de la plage et à
lui administrer une fessée, certes brève et légère au regard de celles qu'elle
lui réservait par ailleurs, mais extrêmement mortifiante, car tous les présents
avaient pu constater l'état de totale soumission à sa cousine dans lequel se
trouvait le pauvre Fabien.
Elle l'avait ensuite séché et débarrassé
du sable qu'il conservait sur le corps, debout et entièrement nu durant plusieurs
interminables minutes, comme s'il s'était agi d'un bambin.
En partant, elle avait ajouté à voix
suffisamment haute pour que les plus proches voisins en fassent leur profit que
la petite fessée infligée n'était qu'un acompte et que dès le retour à la maison,
il serait corrigé à l'aide du martinet.
Lucie avait ensuite contraint son cousin
à regagner leur logement de vacances vêtu de son seul slip, c’est-à-dire en
tongs et torse nu, le chargeant par ailleurs des deux parasols.
J'avais bien tenté de protester de mon
ridicule, mon slip blanc n'ayant rien à voir avec un maillot de bain, j'étais
véritablement à la limite de l'indécence.
« Tu ferais mieux de ne pas aggraver ton cas Fabien, si tu ne veux pas que j'informe ma mère de ta désobéissance, tu sais déjà ce qui t'attend ce soir, ce n'est peut-être pas la peine d'en rajouter pour tes fesses. »
Son regard noir confirmait qu'elle ne
plaisantait pas.
Le trajet, presque un kilomètre à
travers les rues de la station balnéaire heureusement peu fréquentées à cette
heure où les retours massifs des plages n'étaient pas encore amorcés, me parut
interminable, un véritable chemin de croix.
J'essayais de me hâter pour abréger mon
calvaire, mais je fus vite réprimandé par Lucie.
« Fabien, nous ne sommes pas au feu,
je veux que tu marches dix pas devant nous, pas plus, pas moins, afin que nous
puissions bien t'admirer. »
Pour ajouter à ma honte, elle m'oblige à
les accompagner à la devanture d'un marchand de glaces, prenant bien son temps
avec Corinne pour choisir les parfums qui leur convenaient.
« Tu n'en auras pas Fabien, tu ne
le mérites pas. »
Le vendeur me regardait un peu éberlué dans
mon triste équipage, même si je tentais maladroitement de masquer mon
lamentable accoutrement par les toiles des parasols que je collais contre moi.
Mais c'était comme quand on me
déculottait, si tu masques le devant, c'est plus dur pour le derrière, même s’il
ne mettait pas permis de tenter de cacher quoi que ce soit dans cette
inconfortable position, puisque j'étais alors contraint de garder mes mains posées
sur ma tête.
Quand enfin, elles se décident à
repartir, je suis rouge de honte, quelques passants me regardaient en riant de
ma gêne, il y eut même quelques enfants pour s'exclamer :
« Regarde Maman, le monsieur il est
en culotte, il ne doit pas avoir assez d'argent pour se payer un maillot de
bain.
– Ou alors, il l'a oublié ! Allez viens,
on n'a pas que ça à faire. »
On voit le genre de propos que je dus
essuyer, mais le pire était à venir, en effet, alors qu'on parvenait à mon
grand soulagement, à une centaine de mètres de la villa de tante Maud et que je
me réjouissais d'avoir jusqu'à présent évité de me trouver en présence de
copains ou de copines, Lucie m’interpelle en riant.
« Fabien arrête-toi, nous avons
décidé d'un petit supplément à ta punition. »
Je craignais le pire, qu'est ce que ces
chipies allaient encore inventer pour ajouter à mes misères, je maudissais mon
imbécile rébellion de la plage.
« Ote tes tongs et donne-les-nous,
très bien, approche-toi plus près. »
La garce se saisit de la ceinture de mon
slip, que n'avais je mis un boxer, qui aurait pu davantage passer pour un
maillot de bain et commence à le descendre sur mes cuisses, tandis que Corinne
pouffe.
« Non, pas ça, pas dans la rue, il
n'en est pas question, je ne veux pas, tu n'as pas le droit.
– A ton aise, mais tu en paieras les
conséquences, tu as peut-être envie que je fasse goûter aux orties ? C'est bien
ce qui risque de t'arriver si tu persistes dans ton refus. »
J'étais horrifié, j'avais le choix entre
la peste et le choléra, me retrouver complètement nu dans la rue, certes pour
l'heure déserte, où subir la terrible fessée aux orties, cela ne m'était arrivé
qu'à deux reprises, mais j'en gardais un souvenir abominable, mes fesses m'avaient
cuites plus de deux jours et deux nuits durant et je ne tenais nullement à
renouveler l'expérience. Je suis au bord des larmes et je baisse la tête en
guise d'acquiescement.
Lucie ne se fait pas prier.
« Enfin, tu deviens raisonnable. »
Elle baisse mon slip jusqu'à mes chevilles
dévoilant toute mon intimité.
« Tu as trop de poils, il faudra
voir à y remédier pour que l'on puisse mieux voir ta bistouquette et tes
petites baloches. Allez lève les pieds. »
Je m'exécute en gémissant, c'est Corinne
qui s'empresse de récupérer ma culotte.
« Il s'en sort bien, on pourrait la
lui mettre sur la tête.
– Ce sera pour une autre fois, allez, tourne-toi
et avance, à moins que tu préfères rester un moment tout nu dans la rue et ne
t'avise pas de courir, tu marches à trois mètres devant nous, que l'on puisse
apprécier le spectacle. »
Ces cent mètres ont été les plus longs
de ma vie, je prenais beaucoup sur moi pour ne pas accélérer le pas, tâchant de
dissimuler au maximum ma nudité derrière les parasols que dans leur grande
magnanimité les filles ne m'avaient pas fait abandonner. Je les entendais
ricaner et rire derrière moi et la plante de mes pieds sur le goudron chaud me
brûlait ajoutant à mes souffrances.
On approchait de la fin de mon calvaire
et je songeais que tante Maud si elle apprenait que Lucie m'avait obligé à marcher
complètement nu dans la rue, ne serait peut-être pas d'accord et qu'elle
pourrait recevoir à son tour une bonne fessée, c'étais ma seule consolation.
J'aperçus soudain un petit groupe bruyant qui venait à notre rencontre. Je n'y
tins plus et c'est presque en courant que j'effectuais les derniers mètres qui
me séparaient du portillon de la maison.
« Ça tu vas me le payer mon cochon,
tu peux préparer tes fesses. »
Je restais planté hagard devant la porte
d'entrée que Lucie prenait un malin plaisir à ne pas ouvrir tout de suite,
préférant me morigéner et prolonger ma honte jusqu'à ce que la petite troupe
que j'avais voulu éviter me découvre les fesses et le reste à l’air...
C'est exactement ce qui s'est passé, ils
en ont fait des gorges chaudes, je me suis engouffré tel un diable dans le
hall, enfin soulagé d'échapper aux regards.
« Fabien, tu ne perds rien pour attendre,
allez ouste à la salle de bains, que l'on te rende tout propre avant de te donner
le martinet, ou la règle après tout, qu'est ce que tu en penses Corinne ?
– Je préfère la règle, c'est plus facile
pour marquer les cuisses ! »
Les deux garces m'ont mis sous la douche
pour enlever le sable qui restait sur mon corps malgré l'interminable essuyage
effectué sur la plage, ma nudité étalée aux yeux de tous et de toutes.
C'est bien entendu Lucie qui mène le bal
et comme les fois précédentes, elle insiste sur les parties les plus délicates,
m'obligeant à écarter au maximum mes fesses de mes mains, avant d'en venir à
mon sexe et à mes testicules qu'elle soupèse dans sa paume en se marrant.
« Regarde Corinne, toutes ces
histoires pour ces deux petits machins, ça pèse vraiment rien, touche.
– Tu crois que je peux ?
– Bien sûr, il sait qu'il est puni et il
n'a pas intérêt à aggraver son cas.
– Je vais le dire à ma tante, vous n'avez
pas le droit.
– Essaie ! A tes risques et périls,
je crains que tu n'aies pas très bien compris, tu es à ma merci jusqu'à la fin
de ton séjour, patience, il ne te reste plus que deux jours et on a bien l'intention
d'en profiter jusqu'au bout, n'est ce pas Corinne ? »
Et l'autre salope ne se fait plus prier
pour me soupeser les testicules.
« Tu as vu Lucie, il y en une qui
est plus grosse que l'autre, c'est ridicule.
– Absolument, quand on pense que les
mecs sont fiers de leurs soi-disant attributs, il n'y a vraiment pas de quoi.
C'est dommage qu'il y ait tous ces poils, il faudrait l'épiler, il
ressemblerait encore plus au petit garçon qu'il est. Bon ça suffit, tu es sec à
présent, descends, tu sais ce qui t'attend.
– Mais comme ça tout nu ?
– Mais oui, ce n’est pas la peine que je
perde mon temps à t'habiller pour te déculotter ensuite, allez dépêche-toi. »
Et elle m'encourage à descendre au salon
d'une grande claque sur mes fesses d'ores et déjà crispées par le châtiment promis,
j'étais cependant révolté par le traitement que ces deux garces me faisaient
subir et bien décidé à me plaindre à tante Maud.
En attendant, les deux filles ne m'ont
pas ménagé, Lucie s'est installée tranquillement sur une chaise au beau milieu
du salon et comme à son habitude m'a invité du regard, façon de parler à me
positionner sur ses cuisses dans la position classique et humiliante du
garçonnet qu'elle affectait de considérer que j'étais.
Je me suis avancé jusqu'à elle et dans un
geste de bête soumission, je me suis immédiatement reproché, nu et immobile,
les mains sur ma tête, rouge de confusion de lui présenter à nouveau mes
attributs. Mais ce qui pouvait à la
limite se concevoir dans la relative intimité d'une salle de bains, prenait un
tout autre sens, au beau milieu de la pièce à vivre, avec plantée juste à côté
de sa copine, une Corinne rigolarde.
Ma salope de cousine en a profité pour
me décalotter le gland.
« Tu ne trouves pas qu'il est
encore plus nu comme ça ?
– C'est vrai, mais regarde le, il en
profite pour bander alors qu'il devrait attendre humblement sa punition.
– Il ne va pas bander longtemps, crois-moi,
allez en piste Fabien. »
Elle me gratifie d'une chiquenaude sur
la verge qui ne me fait pas du bien et je me retrouve dans une position que je
commence hélas à bien maîtriser. Mon gland frotte contre son jean et ça
m'irrite, je le lui dis, ce qui la fait bien marrer.
« Pauvre chéri, si douillet, compte
sur moi, tu vas vite débander et ton petit machin ridicule ne te gênera plus. »
Et elle a enchaîné dans la foulée, frappant
mes fesses vigoureusement, elle avait acquis en quelques jours un métier
consommé, certes elle tapait moins fort que Madame Leblanc, mais question
régularité et surface couverte, elle n'avait rien à lui envier.
J'ai résisté autant que j'ai pu, compte
tenu des humiliations qu'elle m'avait fait subir précédemment, je ne voulais
pas lui donner le plaisir de me voir gémir, geindre, supplier et au final
sangloter, la litanie habituelle d'une fessée convenablement menée.
Petite nouveauté, peut être due à la
présence stimulante de son ami, elle accompagnait la correction de
commentaires.
« Ah, tu as voulu faire ton malin à
la plage, tu vois que tu le payes cher, non seulement, je t'ai mis les fesses à
l'air devant tout le monde, tu as fait le chemin du retour en slip et carrément
à poil sur la fin, mais en plus tu es en train de t'en ramasser une bonne, j'ai
décidé de te lever l'envie de te rebeller. Il faut que tu comprennes que tu es
sous ma responsabilité et que c'est moi qui décide pour toi. En plus, tu me
chantes que tu vas te plaindre à Maman, fais-le et tu le regretteras, je te le
promets. »
Son discours était haché et rythmé par
les solides claquées qu'elle m'assénait, au bout d'un moment, je n'y tins plus
et je commençais à chouiner et à me tordre de droite à gauche, même si à aucuns
moments je n'avais la volonté d'échapper à mon châtiment, je savais que cela me
coûterait trop cher.
Alors que mes fesses commençaient à être
rôties à point, Lucie a brusquement stoppé la fessée et m'a remis à genoux à ses
pieds, j'eus le réflexe de poser mes mains sur ma tête, j'étais surpris qu'elle
ne me pousse pas aux supplications et aux larmes.
Tu parles, c'était reculer pour mieux
sauter, c'est Corinne qui est venu s'installer à sa place, m’a repositionné sans
ménagement, de sorte que mon gland toujours décalotté et dans une semi-érection
est entré au contact de son pantalon de toile, m'occasionnant une douleur
supplémentaire qui a poursuivi l'infernale sarabande sur mon fessier dévasté.
Elle frappait en silence, elle s'était
bien perfectionnée la garce depuis la première fois où elle m'avait fessé chez
elle sous la férule de Lucie, elle y allait volontiers, la paume de la main bien
arrondie pour bien épouser la forme de la fesse, elle ne tardât pas à me tirer mes
premiers sanglots, non seulement elle me cuisait bien les fesses, mais
bêtement, je ressentais une honte supplémentaire d'être complètement nu, ce qui
ne m'étais encore jamais arrivé lors d'une correction, s'accentuait le
décalottage de mon gland qui frottait un peu plus à chaque claque sur la cuisse
de ma tourmenteuse, ce qui me faisait un mal de chien, mais en même temps me
faisait bander, malheur à moi si on venait à s'en apercevoir.
Ça n'a pas raté.
« Lucie, tu sais qu'il bande à
nouveau ce petit salopard, si ça continue il va jouir sur mon jean.
– Le martinet va le calmer, crois-moi.
– Non, s'il te plait pas le martinet, je
t'en supplie, ça fait trop mal et je vais encore être marqué plusieurs jours,
que je parviens à bafouiller entre deux sanglots. »
La morve commence à couler de mon nez et
je me sens plus pitoyable que jamais.
Pendant ces brefs échanges, Corinne
s'est arrêtée de me claquer le cul et elle promène désormais sa main sur
l'ensemble de mes fesses brûlantes, comme pour bien mesurer qu'elle a bien fait
le job et qu'aucune petite surface n'a échappé à sa mise en feu, elle s'attarde
même tout près de ma raie, écartant légèrement ma fesse gauche, ce qui me tire
un nouveau cri plus d'humiliation que de douleur véritable.
Elle arrive, avec Lucie qui a demandé à
son ami de me faire mettre à genoux à ses pieds, ma tête reposant sur les
cuisses de Corinne.
« Voilà, comme ça, il est
parfaitement placé pour que je puisse finaliser la correction sans risquer que
tu reçoives un résidu de lanière, fais le bien écarter les cuisses que je puisse
voir si le monsieur puni a le culot d'avoir une érection, si c'est le cas, je
te garanti que je vais y mettre rapidement bon ordre. »
Je m'exécute sous la pression de Corinne
et je frissonne d'humiliation quand elle saisit mes fesses à deux mains aux fins
de bien dévoiler mon anus et mes attributs comme le lui a demandé ma
tortionnaire en chef.
« Tu as raison, il n'est pas au
maximum de sa forme, mais il y a une esquisse, ça ne va pas durer longtemps. »
Et effectivement, après quelques coups
de martinet férocement envoyés, mon pauvre sexe se retrouve ramené à sa plus
simple expression, tandis que je mets à hurler, elle tape comme une sourde la
salope, sur mes fesses déjà meurtries par les deux fessées qu'on vient de m'administrer,
ça fait un mal de chien, je réussis pourtant à conserver la position.
« Ça y est tu peux vérifier ma
chérie, c'est terminé le gros kiki, quatre ou cinq coups de martinet et il n'y
a plus personne. »
Corinne obtempère et ne se gêne
nullement pour glisser sa main entre mes cuisses et vérifier en palpant mon sexe
désormais complètement recroquevillé.
« Tu as raison, on ne sent même
plus qu'il est décalotté. »
J'ai si mal que même l'espèce de caresse
qu'elle vient de m'administrer en touchant mes attributs ne me fait nul effet,
de plus, j'ai honte de ma position et d'être complètement nu, cela ne fait peut-être
pas une grosse différence avec le fait de se retrouver pantalon et culotte
baissée, mais il n'empêche, j'en suis encore plus humilié.
Lucie tient à terminer le job et elle
m'envoie encore une bonne dizaine de coups de martinet à peine moins forts que
les premiers.
Si j'ai réussi à ne pas trop remuer, le bras
de Corinne qui entoure ma taille, comme pour bien délimiter la partie de mon
corps à traiter, n'est que symbolique, je n'ai pu m'empêcher de supplier Lucie
de me faire grâce, même si je sais d'avance que mes prières seront vaines et
évidemment de sangloter.
Enfin l'infernal ballet des lanières sur
mon séant en feu cesse, je n'en peux plus, il y avait déjà plusieurs jours que
j'avais miraculeusement échappé aux rigueurs du martinet et la méchante s'est
bien rattrapée.
Je n'ose me relever et parcourir mes fesses
massacrées, sans parler de mes cuisses qu'elle n'a pas ménagées non plus,
j'imagine que c'est délibérément qu'elle les a marquées pour les exhiber au tout
venant, si comme je le crains, elle m'oblige de nouveau à aller à l'extérieur
avec mon short de sport ultra court.
Lucie m'a enfin autorisé à me relever et
sans surprise, elle m'a collé au coin, accompagnant les quelques mètres à
franchir par deux ou trois bonnes claques sur mes fesses enflammées, ce qui n'a
guère contribué à tarir mes larmes. Il a bien fallu pourtant que je les ravale
sous la menace de "leur donner un nouveau coup de peinture rouge si je ne
me calmais pas".
Je les entendais se marrer tandis que je
songeais que la tante Maud n'allait pas tarder à se pointer et
qu'inévitablement elle poserait quelques questions, notamment sur le fait que
je sois complètement nu, ce qui n'était pas dans les pratiques de la maison.
Est-ce que j'allais prendre le risque de
me plaindre des agissements de Lucie ? Le fait qu'elle m'ait obligé à effectuer
la fin du trajet de notre retour de plage complètement nu dans la rue et
qu'elle n'ait pas non plus hésiter à m'exposer dans le plus simple appareil
devant toute la plage, sans compter ses attouchements sur mon appareil génital
pendant qu'elle me douchait, c'était jouer à quitte ou double. Tante Maud
pouvait se gendarmer et en coller une bonne à sa fille, ce qui pouvait mettre
fin à sa domination sans partage sur moi, ou bien prendre son parti et dans le
pire des cas me donner une nouvelle fessée pour m'apprendre à rapporter.
Ce que je redoutais le plus, c'est
qu'elle m'envoie au fond du jardin culotte baissée récupérer des orties, ça
c'était vraiment le pire que j'avais subi, Madame Leblanc m'avait infligé à deux
reprises une fessée aux orties, j'en gardais un très mauvais souvenir, surtout
que cela suivait une solide fessée classique, mes fesses m'avaient brûlé
plusieurs jours de rang, il m'avait été impossible de dormir autrement que sur
le ventre et le moindre contact d'un tissu restait un calvaire, je mettais cent
ans à m'habiller.
Ça y est Tante Maud arrive avec Marie.
« Mais qu'est-ce qu'il fait là
celui-là, tout nu en plus, j'imagine qu'il a fait des bêtises et que tu as été
obligé de le corriger.
– C'est bien ça Maman, il s'est très mal
tenu à la plage, il ne voulait plus sortir de l'eau, je pense que c'était pour
nous mettre en retard et me faire punir puisque c'est moi qui suis responsable
du strict respect des horaires.
– Effectivement et alors j'espère que tu
l'as puni sévèrement.
– Je pense, je lui ai d'abord collé une
petite fessée déculottée sur la plage.
– Devant tout le monde ?
– Eh oui.
– Tu as bien fait ma chérie, il devait
avoir l’air malin !
– Ensuite, je l'ai obligé à regagner la
maison en tongs et en slip.
–Tu veux dire, avec son slip de ville ?
– C'est bien çà. »
C'est cuit pour moi, car j'entends la
tante qui pouffe, j'attends la suite, mais je pense que j'ai tout intérêt à
m'écraser, Lucie est très maligne et la garce a pris les devants.
« Tu me fais rire ma chérie, c'est comme
si j'y étais, qu'est ce qu'il devait avoir l'air bête, surtout que si je me
souviens bien, son slip ne ressemble nullement à un maillot.
– Attends, je ne t'ai pas encore tout
dit, arrivé à proximité de la maison, je l'ai obligé à ôter son slip, de sorte qu'il
s'est retrouvé tout nu pour effectuer les trente ou quarante derniers mètres. »
Il y a soudain un silence qui
s'installe, c'est le moment décisif, mon cœur se met à battre la chamade, mais
mes espérances vont vite anéanties par le rire de tante Maud qui résonne à
nouveau dans la pièce.
« Dommage que je n'y aie pas
assisté, il ne devait pas faire le fier notre Fabien, complètement nu dans la
rue, y a-t-il des personnes qui l'ont aperçu ?
– Quelques-unes, une mère et ses enfants
je crois qui ont ri, la dame a dit aux petits " le monsieur n'a pas dû
être sage et il est puni, faites attention à ce qu'il ne vous arrive pas la
même chose" et un couple il me semble, rien de spécial en somme.
– Il faudra le refaire, je trouve ça
très amusant et très humiliant, Fabien est décidément incorrigible, pourtant
j'ai constaté qu'entre toi et Corinne vous ne ménagez pas ses fesses, je crois
que tu as trouvé la bonne formule, comme on ne peut pas lui massacrer le
fessier outre mesure, il faut y ajouter l'humiliation, bravo ma fille, je
t'encourage à poursuivre dans cette voie pour les trois jours qui nous restent
à passer ici. »
Toujours le nez contre le mur et les
mains sur la tête, restant le plus immobile possible pour ne pas déclencher de
nouvelles sanctions, j'étais effondré, ma tante avait non seulement pris fait
et cause pour sa fille, mais elle en redemandait !
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