samedi 5 septembre 2020

Fabien, saison 2 - chapitre 20

 Retour sur le 19ième épisode de " Fabien une bonne fessée", on se souvient peut être et si ce n'est pas le cas, je recommande fortement la lecture des derniers épisodes de la saga de Fabien, voire de l'intégralité de cet excellent récit que je reprends avec l'accord de son auteur, que Fabien avait subi une épreuve douloureuse lors de cet après midi de baignade à la plage en compagnie de sa désormais "tutrice", sa jeune cousine Lucie, dix sept ans, alors qu'il va vers ses dix neuf et de sa meilleure amie Corinne.

En effet, à la suite d'un mouvement de bravade, Lucie n'avait pas hésité à le déculotter au milieu de la plage et à lui administrer une fessée, certes brève et légère au regard de celles qu'elle lui réservait par ailleurs, mais extrêmement mortifiante, car tous les présents avaient pu constater l'état de totale soumission à sa cousine dans lequel se trouvait le pauvre Fabien.

Elle l'avait ensuite séché et débarrassé du sable qu'il conservait sur le corps, debout et entièrement nu durant plusieurs interminables minutes, comme s'il s'était agi d'un bambin.

En partant, elle avait ajouté à voix suffisamment haute pour que les plus proches voisins en fassent leur profit que la petite fessée infligée n'était qu'un acompte et que dès le retour à la maison, il serait corrigé à l'aide du martinet.

Lucie avait ensuite contraint son cousin à regagner leur logement de vacances vêtu de son seul slip, c’est-à-dire en tongs et torse nu, le chargeant par ailleurs des deux parasols.

 

 

J'avais bien tenté de protester de mon ridicule, mon slip blanc n'ayant rien à voir avec un maillot de bain, j'étais véritablement à la limite de l'indécence.

« Tu ferais mieux de ne pas aggraver ton cas Fabien, si tu ne veux pas que j'informe ma mère de ta désobéissance, tu sais déjà ce qui t'attend ce soir, ce n'est peut-être pas la peine d'en rajouter pour tes fesses. »

Son regard noir confirmait qu'elle ne plaisantait pas.

Le trajet, presque un kilomètre à travers les rues de la station balnéaire heureusement peu fréquentées à cette heure où les retours massifs des plages n'étaient pas encore amorcés, me parut interminable, un véritable chemin de croix. 

J'essayais de me hâter pour abréger mon calvaire, mais je fus vite réprimandé par Lucie.

« Fabien, nous ne sommes pas au feu, je veux que tu marches dix pas devant nous, pas plus, pas moins, afin que nous puissions bien t'admirer. »

Pour ajouter à ma honte, elle m'oblige à les accompagner à la devanture d'un marchand de glaces, prenant bien son temps avec Corinne pour choisir les parfums qui leur convenaient.

« Tu n'en auras pas Fabien, tu ne le mérites pas. »

Le vendeur me regardait un peu éberlué dans mon triste équipage, même si je tentais maladroitement de masquer mon lamentable accoutrement par les toiles des parasols que je collais contre moi. 

Mais c'était comme quand on me déculottait, si tu masques le devant, c'est plus dur pour le derrière, même s’il ne mettait pas permis de tenter de cacher quoi que ce soit dans cette inconfortable position, puisque j'étais alors contraint de garder mes mains posées sur ma tête.  

Quand enfin, elles se décident à repartir, je suis rouge de honte, quelques passants me regardaient en riant de ma gêne, il y eut même quelques enfants pour s'exclamer :

« Regarde Maman, le monsieur il est en culotte, il ne doit pas avoir assez d'argent pour se payer un maillot de bain.

– Ou alors, il l'a oublié ! Allez viens, on n'a pas que ça à faire. »

On voit le genre de propos que je dus essuyer, mais le pire était à venir, en effet, alors qu'on parvenait à mon grand soulagement, à une centaine de mètres de la villa de tante Maud et que je me réjouissais d'avoir jusqu'à présent évité de me trouver en présence de copains ou de copines, Lucie m’interpelle en riant.

« Fabien arrête-toi, nous avons décidé d'un petit supplément à ta punition. »

Je craignais le pire, qu'est ce que ces chipies allaient encore inventer pour ajouter à mes misères, je maudissais mon imbécile rébellion de la plage.

« Ote tes tongs et donne-les-nous, très bien, approche-toi plus près. »

La garce se saisit de la ceinture de mon slip, que n'avais je mis un boxer, qui aurait pu davantage passer pour un maillot de bain et commence à le descendre sur mes cuisses, tandis que Corinne pouffe.

« Non, pas ça, pas dans la rue, il n'en est pas question, je ne veux pas, tu n'as pas le droit.

– A ton aise, mais tu en paieras les conséquences, tu as peut-être envie que je fasse goûter aux orties ? C'est bien ce qui risque de t'arriver si tu persistes dans ton refus. »

J'étais horrifié, j'avais le choix entre la peste et le choléra, me retrouver complètement nu dans la rue, certes pour l'heure déserte, où subir la terrible fessée aux orties, cela ne m'était arrivé qu'à deux reprises, mais j'en gardais un souvenir abominable, mes fesses m'avaient cuites plus de deux jours et deux nuits durant et je ne tenais nullement à renouveler l'expérience. Je suis au bord des larmes et je baisse la tête en guise d'acquiescement.

Lucie ne se fait pas prier.

« Enfin, tu deviens raisonnable. »

Elle baisse mon slip jusqu'à mes chevilles dévoilant toute mon intimité.

« Tu as trop de poils, il faudra voir à y remédier pour que l'on puisse mieux voir ta bistouquette et tes petites baloches. Allez lève les pieds. »

Je m'exécute en gémissant, c'est Corinne qui s'empresse de récupérer ma culotte.

« Il s'en sort bien, on pourrait la lui mettre sur la tête.

– Ce sera pour une autre fois, allez, tourne-toi et avance, à moins que tu préfères rester un moment tout nu dans la rue et ne t'avise pas de courir, tu marches à trois mètres devant nous, que l'on puisse apprécier le spectacle. »

 

Ces cent mètres ont été les plus longs de ma vie, je prenais beaucoup sur moi pour ne pas accélérer le pas, tâchant de dissimuler au maximum ma nudité derrière les parasols que dans leur grande magnanimité les filles ne m'avaient pas fait abandonner. Je les entendais ricaner et rire derrière moi et la plante de mes pieds sur le goudron chaud me brûlait ajoutant à mes souffrances.

On approchait de la fin de mon calvaire et je songeais que tante Maud si elle apprenait que Lucie m'avait obligé à marcher complètement nu dans la rue, ne serait peut-être pas d'accord et qu'elle pourrait recevoir à son tour une bonne fessée, c'étais ma seule consolation. J'aperçus soudain un petit groupe bruyant qui venait à notre rencontre. Je n'y tins plus et c'est presque en courant que j'effectuais les derniers mètres qui me séparaient du portillon de la maison.

« Ça tu vas me le payer mon cochon, tu peux préparer tes fesses. »

Je restais planté hagard devant la porte d'entrée que Lucie prenait un malin plaisir à ne pas ouvrir tout de suite, préférant me morigéner et prolonger ma honte jusqu'à ce que la petite troupe que j'avais voulu éviter me découvre les fesses et le reste à l’air...

C'est exactement ce qui s'est passé, ils en ont fait des gorges chaudes, je me suis engouffré tel un diable dans le hall, enfin soulagé d'échapper aux regards.

« Fabien, tu ne perds rien pour attendre, allez ouste à la salle de bains, que l'on te rende tout propre avant de te donner le martinet, ou la règle après tout, qu'est ce que tu en penses Corinne ?

– Je préfère la règle, c'est plus facile pour marquer les cuisses ! »

Les deux garces m'ont mis sous la douche pour enlever le sable qui restait sur mon corps malgré l'interminable essuyage effectué sur la plage, ma nudité étalée aux yeux de tous et de toutes.

C'est bien entendu Lucie qui mène le bal et comme les fois précédentes, elle insiste sur les parties les plus délicates, m'obligeant à écarter au maximum mes fesses de mes mains, avant d'en venir à mon sexe et à mes testicules qu'elle soupèse dans sa paume en se marrant.

« Regarde Corinne, toutes ces histoires pour ces deux petits machins, ça pèse vraiment rien, touche.

– Tu crois que je peux ?

– Bien sûr, il sait qu'il est puni et il n'a pas intérêt à aggraver son cas.

– Je vais le dire à ma tante, vous n'avez pas le droit.

– Essaie ! A tes risques et périls, je crains que tu n'aies pas très bien compris, tu es à ma merci jusqu'à la fin de ton séjour, patience, il ne te reste plus que deux jours et on a bien l'intention d'en profiter jusqu'au bout, n'est ce pas Corinne ? »

Et l'autre salope ne se fait plus prier pour me soupeser les testicules.

« Tu as vu Lucie, il y en une qui est plus grosse que l'autre, c'est ridicule.

– Absolument, quand on pense que les mecs sont fiers de leurs soi-disant attributs, il n'y a vraiment pas de quoi. C'est dommage qu'il y ait tous ces poils, il faudrait l'épiler, il ressemblerait encore plus au petit garçon qu'il est. Bon ça suffit, tu es sec à présent, descends, tu sais ce qui t'attend.

– Mais comme ça tout nu ?

– Mais oui, ce n’est pas la peine que je perde mon temps à t'habiller pour te déculotter ensuite, allez dépêche-toi. »

Et elle m'encourage à descendre au salon d'une grande claque sur mes fesses d'ores et déjà crispées par le châtiment promis, j'étais cependant révolté par le traitement que ces deux garces me faisaient subir et bien décidé à me plaindre à tante Maud.

En attendant, les deux filles ne m'ont pas ménagé, Lucie s'est installée tranquillement sur une chaise au beau milieu du salon et comme à son habitude m'a invité du regard, façon de parler à me positionner sur ses cuisses dans la position classique et humiliante du garçonnet qu'elle affectait de considérer que j'étais.

Je me suis avancé jusqu'à elle et dans un geste de bête soumission, je me suis immédiatement reproché, nu et immobile, les mains sur ma tête, rouge de confusion de lui présenter à nouveau mes attributs.  Mais ce qui pouvait à la limite se concevoir dans la relative intimité d'une salle de bains, prenait un tout autre sens, au beau milieu de la pièce à vivre, avec plantée juste à côté de sa copine, une Corinne rigolarde.

Ma salope de cousine en a profité pour me décalotter le gland.

« Tu ne trouves pas qu'il est encore plus nu comme ça ?

– C'est vrai, mais regarde le, il en profite pour bander alors qu'il devrait attendre humblement sa punition.

– Il ne va pas bander longtemps, crois-moi, allez en piste Fabien. »

Elle me gratifie d'une chiquenaude sur la verge qui ne me fait pas du bien et je me retrouve dans une position que je commence hélas à bien maîtriser. Mon gland frotte contre son jean et ça m'irrite, je le lui dis, ce qui la fait bien marrer.

« Pauvre chéri, si douillet, compte sur moi, tu vas vite débander et ton petit machin ridicule ne te gênera plus. »

Et elle a enchaîné dans la foulée, frappant mes fesses vigoureusement, elle avait acquis en quelques jours un métier consommé, certes elle tapait moins fort que Madame Leblanc, mais question régularité et surface couverte, elle n'avait rien à lui envier.

J'ai résisté autant que j'ai pu, compte tenu des humiliations qu'elle m'avait fait subir précédemment, je ne voulais pas lui donner le plaisir de me voir gémir, geindre, supplier et au final sangloter, la litanie habituelle d'une fessée convenablement menée.

Petite nouveauté, peut être due à la présence stimulante de son ami, elle accompagnait la correction de commentaires.

« Ah, tu as voulu faire ton malin à la plage, tu vois que tu le payes cher, non seulement, je t'ai mis les fesses à l'air devant tout le monde, tu as fait le chemin du retour en slip et carrément à poil sur la fin, mais en plus tu es en train de t'en ramasser une bonne, j'ai décidé de te lever l'envie de te rebeller. Il faut que tu comprennes que tu es sous ma responsabilité et que c'est moi qui décide pour toi. En plus, tu me chantes que tu vas te plaindre à Maman, fais-le et tu le regretteras, je te le promets. »

Son discours était haché et rythmé par les solides claquées qu'elle m'assénait, au bout d'un moment, je n'y tins plus et je commençais à chouiner et à me tordre de droite à gauche, même si à aucuns moments je n'avais la volonté d'échapper à mon châtiment, je savais que cela me coûterait trop cher.

Alors que mes fesses commençaient à être rôties à point, Lucie a brusquement stoppé la fessée et m'a remis à genoux à ses pieds, j'eus le réflexe de poser mes mains sur ma tête, j'étais surpris qu'elle ne me pousse pas aux supplications et aux larmes.

Tu parles, c'était reculer pour mieux sauter, c'est Corinne qui est venu s'installer à sa place, m’a repositionné sans ménagement, de sorte que mon gland toujours décalotté et dans une semi-érection est entré au contact de son pantalon de toile, m'occasionnant une douleur supplémentaire qui a poursuivi l'infernale sarabande sur mon fessier dévasté.

Elle frappait en silence, elle s'était bien perfectionnée la garce depuis la première fois où elle m'avait fessé chez elle sous la férule de Lucie, elle y allait volontiers, la paume de la main bien arrondie pour bien épouser la forme de la fesse, elle ne tardât pas à me tirer mes premiers sanglots, non seulement elle me cuisait bien les fesses, mais bêtement, je ressentais une honte supplémentaire d'être complètement nu, ce qui ne m'étais encore jamais arrivé lors d'une correction, s'accentuait le décalottage de mon gland qui frottait un peu plus à chaque claque sur la cuisse de ma tourmenteuse, ce qui me faisait un mal de chien, mais en même temps me faisait bander, malheur à moi si on venait à s'en apercevoir.

Ça n'a pas raté.

« Lucie, tu sais qu'il bande à nouveau ce petit salopard, si ça continue il va jouir sur mon jean.

– Le martinet va le calmer, crois-moi.

– Non, s'il te plait pas le martinet, je t'en supplie, ça fait trop mal et je vais encore être marqué plusieurs jours, que je parviens à bafouiller entre deux sanglots. »

La morve commence à couler de mon nez et je me sens plus pitoyable que jamais.

Pendant ces brefs échanges, Corinne s'est arrêtée de me claquer le cul et elle promène désormais sa main sur l'ensemble de mes fesses brûlantes, comme pour bien mesurer qu'elle a bien fait le job et qu'aucune petite surface n'a échappé à sa mise en feu, elle s'attarde même tout près de ma raie, écartant légèrement ma fesse gauche, ce qui me tire un nouveau cri plus d'humiliation que de douleur véritable.

Elle arrive, avec Lucie qui a demandé à son ami de me faire mettre à genoux à ses pieds, ma tête reposant sur les cuisses de Corinne.

« Voilà, comme ça, il est parfaitement placé pour que je puisse finaliser la correction sans risquer que tu reçoives un résidu de lanière, fais le bien écarter les cuisses que je puisse voir si le monsieur puni a le culot d'avoir une érection, si c'est le cas, je te garanti que je vais y mettre rapidement bon ordre. »

Je m'exécute sous la pression de Corinne et je frissonne d'humiliation quand elle saisit mes fesses à deux mains aux fins de bien dévoiler mon anus et mes attributs comme le lui a demandé ma tortionnaire en chef.

« Tu as raison, il n'est pas au maximum de sa forme, mais il y a une esquisse, ça ne va pas durer longtemps. »

Et effectivement, après quelques coups de martinet férocement envoyés, mon pauvre sexe se retrouve ramené à sa plus simple expression, tandis que je mets à hurler, elle tape comme une sourde la salope, sur mes fesses déjà meurtries par les deux fessées qu'on vient de m'administrer, ça fait un mal de chien, je réussis pourtant à conserver la position.

« Ça y est tu peux vérifier ma chérie, c'est terminé le gros kiki, quatre ou cinq coups de martinet et il n'y a plus personne. »

Corinne obtempère et ne se gêne nullement pour glisser sa main entre mes cuisses et vérifier en palpant mon sexe désormais complètement recroquevillé.

« Tu as raison, on ne sent même plus qu'il est décalotté. »

J'ai si mal que même l'espèce de caresse qu'elle vient de m'administrer en touchant mes attributs ne me fait nul effet, de plus, j'ai honte de ma position et d'être complètement nu, cela ne fait peut-être pas une grosse différence avec le fait de se retrouver pantalon et culotte baissée, mais il n'empêche, j'en suis encore plus humilié.

Lucie tient à terminer le job et elle m'envoie encore une bonne dizaine de coups de martinet à peine moins forts que les premiers.

Si j'ai réussi à ne pas trop remuer, le bras de Corinne qui entoure ma taille, comme pour bien délimiter la partie de mon corps à traiter, n'est que symbolique, je n'ai pu m'empêcher de supplier Lucie de me faire grâce, même si je sais d'avance que mes prières seront vaines et évidemment de sangloter.

 

Enfin l'infernal ballet des lanières sur mon séant en feu cesse, je n'en peux plus, il y avait déjà plusieurs jours que j'avais miraculeusement échappé aux rigueurs du martinet et la méchante s'est bien rattrapée.

Je n'ose me relever et parcourir mes fesses massacrées, sans parler de mes cuisses qu'elle n'a pas ménagées non plus, j'imagine que c'est délibérément qu'elle les a marquées pour les exhiber au tout venant, si comme je le crains, elle m'oblige de nouveau à aller à l'extérieur avec mon short de sport ultra court.

 

Lucie m'a enfin autorisé à me relever et sans surprise, elle m'a collé au coin, accompagnant les quelques mètres à franchir par deux ou trois bonnes claques sur mes fesses enflammées, ce qui n'a guère contribué à tarir mes larmes. Il a bien fallu pourtant que je les ravale sous la menace de "leur donner un nouveau coup de peinture rouge si je ne me calmais pas".

Je les entendais se marrer tandis que je songeais que la tante Maud n'allait pas tarder à se pointer et qu'inévitablement elle poserait quelques questions, notamment sur le fait que je sois complètement nu, ce qui n'était pas dans les pratiques de la maison.

Est-ce que j'allais prendre le risque de me plaindre des agissements de Lucie ? Le fait qu'elle m'ait obligé à effectuer la fin du trajet de notre retour de plage complètement nu dans la rue et qu'elle n'ait pas non plus hésiter à m'exposer dans le plus simple appareil devant toute la plage, sans compter ses attouchements sur mon appareil génital pendant qu'elle me douchait, c'était jouer à quitte ou double. Tante Maud pouvait se gendarmer et en coller une bonne à sa fille, ce qui pouvait mettre fin à sa domination sans partage sur moi, ou bien prendre son parti et dans le pire des cas me donner une nouvelle fessée pour m'apprendre à rapporter.

Ce que je redoutais le plus, c'est qu'elle m'envoie au fond du jardin culotte baissée récupérer des orties, ça c'était vraiment le pire que j'avais subi, Madame Leblanc m'avait infligé à deux reprises une fessée aux orties, j'en gardais un très mauvais souvenir, surtout que cela suivait une solide fessée classique, mes fesses m'avaient brûlé plusieurs jours de rang, il m'avait été impossible de dormir autrement que sur le ventre et le moindre contact d'un tissu restait un calvaire, je mettais cent ans à m'habiller.

 

Ça y est Tante Maud arrive avec Marie.

« Mais qu'est-ce qu'il fait là celui-là, tout nu en plus, j'imagine qu'il a fait des bêtises et que tu as été obligé de le corriger.

– C'est bien ça Maman, il s'est très mal tenu à la plage, il ne voulait plus sortir de l'eau, je pense que c'était pour nous mettre en retard et me faire punir puisque c'est moi qui suis responsable du strict respect des horaires.

– Effectivement et alors j'espère que tu l'as puni sévèrement.

– Je pense, je lui ai d'abord collé une petite fessée déculottée sur la plage.

– Devant tout le monde ?

– Eh oui.

– Tu as bien fait ma chérie, il devait avoir l’air malin !

– Ensuite, je l'ai obligé à regagner la maison en tongs et en slip.

–Tu veux dire, avec son slip de ville ?

– C'est bien çà. »

C'est cuit pour moi, car j'entends la tante qui pouffe, j'attends la suite, mais je pense que j'ai tout intérêt à m'écraser, Lucie est très maligne et la garce a pris les devants.

« Tu me fais rire ma chérie, c'est comme si j'y étais, qu'est ce qu'il devait avoir l'air bête, surtout que si je me souviens bien, son slip ne ressemble nullement à un maillot.

– Attends, je ne t'ai pas encore tout dit, arrivé à proximité de la maison, je l'ai obligé à ôter son slip, de sorte qu'il s'est retrouvé tout nu pour effectuer les trente ou quarante derniers mètres. »

Il y a soudain un silence qui s'installe, c'est le moment décisif, mon cœur se met à battre la chamade, mais mes espérances vont vite anéanties par le rire de tante Maud qui résonne à nouveau dans la pièce.

« Dommage que je n'y aie pas assisté, il ne devait pas faire le fier notre Fabien, complètement nu dans la rue, y a-t-il des personnes qui l'ont aperçu ?

– Quelques-unes, une mère et ses enfants je crois qui ont ri, la dame a dit aux petits " le monsieur n'a pas dû être sage et il est puni, faites attention à ce qu'il ne vous arrive pas la même chose" et un couple il me semble, rien de spécial en somme.

– Il faudra le refaire, je trouve ça très amusant et très humiliant, Fabien est décidément incorrigible, pourtant j'ai constaté qu'entre toi et Corinne vous ne ménagez pas ses fesses, je crois que tu as trouvé la bonne formule, comme on ne peut pas lui massacrer le fessier outre mesure, il faut y ajouter l'humiliation, bravo ma fille, je t'encourage à poursuivre dans cette voie pour les trois jours qui nous restent à passer ici. »

Toujours le nez contre le mur et les mains sur la tête, restant le plus immobile possible pour ne pas déclencher de nouvelles sanctions, j'étais effondré, ma tante avait non seulement pris fait et cause pour sa fille, mais elle en redemandait !



Les aventures de Fabien...

Elles remontent, plus exactement leurs publication sur ce blog, à août 2016 quand paraissait le 1er épisode, et nous l'avions laissé remontant de la plage lors de l'épisode 19, dans une tenue... Relisez l'épisode, vous verrez bien !

Elles continuent...

Serge reprend le flambeau et nous propose un vingtième chapitre qui ne sera pas le dernier. Rdv la semaine prochaine !

Et les commentaires ?

Oui, c'est vrai, et les commentaires ? Serge se fera un plaisir de répondre à ceux que vous lui adressez. Si vous voulez le joindre directement, passez par moi : legall.josip35@laposte.net, je transmettrai

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