Et effectivement la fin de mon séjour balnéaire fut très difficile.
J'avais fini ma journée de plage nu au
piquet, les mains sur la tête, le plus immobile possible pour ne pas risquer
une nouvelle fessée. J'avais été autorisé à me mettre en pyjama pour prendre
mon repas et envoyé directement au lit celui-ci achevé, non sans que Lucie, me
fasse approcher et me baisse mon pantalon, passant la main sur mon fessier où
subsistaient, en longues rigoles douloureuses, les traces du martinet.
– Maman, crois-tu que je doive lui passer une crème apaisante ?
La tante Maud vient à son tour examiner
mon fessier, je ne parviens pas m'habituer à voir mon intimité exhibée au
moindre prétexte et encore là nous sommes dans une relative familiarité, mais
je gage qu'il n'en irait pas différemment en présence d'étrangers à la
maison.
– Non, ça devrait aller, son cuir
commence à être un peu tanné à force de le lui passer au rouge.
Elle en profite pour ricaner et
m'envoyer deux bonnes claques sur les fesses qui me font gémir.
– Allons au lit mauvaise graine et sois
bien sage, tu sais ce que je veux dire !
Je suis tout de même gratifié d'un
baiser sur le front ainsi que par Lucie qui préfère pour ce soir poursuivre la
vision de son programme de télé plutôt que de venir me border comme un petit
enfant, je ne m'en plaindrais pas.
Le lendemain, je n'y tins plus,
l'allusion de la tante Maud la veille avait été limpide, pas question de me
livrer au plaisir solitaire une fois enfoui au fond de mes bras, on a vu que je
l'avais douloureusement vécu dans ma chair lorsqu'elle m'avait surpris en
pleine action.
Je profite de mon passage dans les
toilettes pour me masturber, mais il y du remue-ménage et que je ne parviens
pas à me satisfaire tout de suite, tant et si bien que je suis dérangé successivement
par les plaintes de Marie et de sa sœur venue en renfort.
– Mais qu'est-ce que tu fous là-dedans,
c'est pas possible, tu nous fais un malaise ?
– Désolé, je suis constipé, vous n'avez qu'à
utiliser les toilettes du bas.
– Ce sont des chiottes à la turque, très
peu pour nous, mais je vais voir avec Maman, ce qu'elle en pense. »
J'aurais dû m'empresser de sortir, Dieu
sait ce qui allait encore me tomber sur la tête ou plus vraisemblablement sur
les fesses, mais j'étais presque sur le point de terminer mon affaire et je ne
me sentais pas d'échouer si près du but.
J'entendais vaguement les échanges
verbaux entre Lucie et sa mère, mais je ne m'en préoccupais guère, je fini par
parvenir à jouir et je m'efforçais de masquer tout ce qui aurait pu me
dénoncer.
Lorsque je me décide à ouvrir la porte
des toilettes, je suis attendu par Tante Maud et ma tourmenteuse qui a un petit
sourire aux lèvres.
« Fabien, il parait que tu es constipé.
–Oui, c'est vrai, je ne suis pas arrivé
à me soulager ce matin.
– Qu'à cela ne tienne, on va te donner
un bon lavement, ça va te faire grand bien.
– Mais non tante Maud, ce n'est pas la
peine, j'y retournerai plus tard.
– Non, mon garçon, il ne faut pas jouer
avec sa santé et comme c'est moi qui en suis responsable pour l'heure, tu vas
faire ce qu'on te dit si tu ne veux pas qu'on te cuise à nouveau les fesses,
allez descends. »
Qu'est ce que je n'ai pas fait, un lavement,
on ne m'en a pas donné depuis ma plus tendre enfance, je ne savais même pas que
ça existait encore, mais je me dis que même si c'est un moment désagréable à
passer, ce n'est rien à côté de que j'aurais écopé si tante Maud m'avait à
nouveau surpris en train de m'abîmer dans l'onanisme. A moins qu'elle ne s'en
doute et que faute de preuve, elle veuille néanmoins me guérir de ce qu'elle
appelle "ce vice" par le biais du lavement.
Je comprends vite qu'on se trouve
vraisemblablement dans le second cas.
– Enlève ton bas de pyjama et mets-toi à
quatre pattes, les fesses bien relevées.
Je m'exécute évidemment et je n'ai guère
le temps de songer au parfait ridicule de ma position, les fesses bien tendues
et mes balloches bien exposées qui se balancent sous les regards des trois
femmes, car Marie attiré par le bruit des discussions s'est conviée à la fête.
– Regarde bien Lucie, car la prochaine
fois, c'est toi qui t'en chargeras avec l'aide de ta sœur, j’ai empli le broc d'environ
deux litres d'eau savonneuse tiède, c'est la bonne dose, mais tu peux aller
jusqu'à trois. Tu vois ce qu'il y a au bout du tuyau ?
– Le truc pointu ?
– Oui, cela s'appelle un clystère, celui-ci
est un peu ancien, je le tiens de ma Maman, il en existe de bien plus modernes,
mais celui-ci doit encore faire l'affaire, tu vas bien écarter les fesses de
ton cousin et je vais le lui introduire dans l'anus, ensuite, c'est la loi de
la pesanteur, l'eau va s'écouler dans les intestins. Quand il sera vide, tu
demanderas à Fabien de bien serrer les fesses pour qu'il ne s'échappe pas une seule
goutte, si ce n'est pas le cas, il aura droit à une bonne fessée. Tu as bien
compris.
– Oui, c'est simple.
– A la fin, tu le laisses patienter une
dizaine de minutes dans la même position, le temps que le liquide pénètre bien
son ventre, c'est parfois assez pénible, mais ne te laisse pas fléchir, je
compte sur toi.
– Tu peux.
– Ensuite, tu le laisseras aller se vider.
Je pense que le mieux est que tu lui donnes un autre lavement demain matin, à
titre préventif, tu verras qu'ensuite il ne s'attardera plus dans les toilettes. »
Je les entends qui ricanent, tu parles
que la tante Maud a bien compris ce que je j'y faisais et je suis puni en
conséquence, mais faute de m'avoir pris sur le fait, elle use d'un moyen
détourné.
Mais je n'ai pas le temps de m'appesantir
sur sa manœuvre, je sens les mains de Lucie qui pèsent sur chacune de mes
fesses, au bord de mon anus.
« Ne bouge pas où tu vas te
ramasser une trempe.
Je m'efforce à l'immobilité en dépit de
la honte qui m'habite en constatant que ma jeune cousine a véritablement tous
les pouvoirs sur moi, y compris celui de me décalotter et dès demain de me
sodomiser avec le clystère.
– Aie !
– Tiens toi tranquille, ça y est, il est
entièrement rentré, tu vois, il y a un petit robinet, tu l'ouvres et le liquide
va se répandre dans Fabien. »
Elle aurait pu graisser un peu son truc
antédiluvien, c'est gros et long d'une dizaine de centimètres et très froid de
surcroît, ça m'a fait un mal de chien de me faire pénétrer au plus intime et à
présent, j'ai une étrange sensation en sentant l'eau se répandre dans mes
entrailles, ça n'est pas désagréable mais comme le supplice du pal auquel il
s'apparente bricole, ça commence très bien et ça fini très mal.
Au bout de quelques minutes, ça commence
à gargouiller dans mon bide, c'est supportable, mais cela ne dure guère.
Entre temps, la tante a retiré la canule
de mon sphincter et je suis invité à le resserrer au maximum.
« Fabien, je ne veux pas voir une
goutte d'eau s'échapper, sinon, tu sais ce qui t'attend. »
Je me crispe donc tant que je peux,
conscient du ridicule du spectacle que je donne à mes trois spectatrices, mais
c'est de plus en plus difficile tant mon ventre gonflé me fait mal, je sens que
ça remue grave à l'intérieur, j'ai les tripes à l'envers et un urgent besoin de
déféquer, mais il n'en est nullement question tant que les dix minutes
règlementaires ne se seront pas écoulées.
Au fil du temps, cela devient une sorte
de calvaire, je transpire et je m'efforce de conserver l'eau qui a envahit mes
intestins, j'ai l'horrible impression que plein de mini geysers ont envahi mon
intérieur, j'écarte un maximum mes cuisses et je pose mon front au sol, ce qui
me donne l'illusion d'un vague soulagement de mes maux. Je ne pense pas
évidemment plus à l'indécence de ma position.
– Allez, plus que trois minutes et on y est.
Tu as bien compris le déroulement d'un bon lavement ma chérie, demain tu le feras
seule.
– Je pourrais peut-être demander à
Corinne de venir m'aider.
– Si tu veux, allez on y est presque,
Fabien serre bien les fesses, tu sais ce que tu seras fessé si la moindre gouttelette
sort de ton anus.
– Regarde il est tout froncé ! »
Ça c'est la voix de Marie qui ajoute à
mon humiliation, misère, demain, ça va recommencer avec l'autre morue de Corinne,
dans quelle galère, je me suis mis !
Sûr que je serre mes fesses et mes dents
aussi, Dieu que c'est dur et que ça me fait mal au ventre, j'ai véritablement l'impression
qu'il va éclater, j'en ai les larmes aux yeux.
« Allez Fabien, je vais te faire
grâce de cette dernière minute, tu peux aller te soulager, Lucie, aide-le à se
relever. »
C'est ce qu'elle a fait et ce n'était
pas de trop, j'avais de la peine à marcher, dans mes entrailles, c'était
complètement rock 'n roll, d'une main je pressais l'intérieur de mes fesses
complètement crispées de peur que la goutte fatidique s'échappe et de l'autre,
je tenais mon ventre gonflé comme une outre, tu parles d'une allure, je me
déplaçais comme un vieillard.
Enfin, j'ai pu libérer mes intestins,
dans sa grande magnanimité, Lucie a accepté que je ferme la porte des W.C.
C'est un véritable torrent qui s'est déversé dans la cuvette des chiottes, je
vous passe les détails, mais ça s'est fait par étapes et qu'entre temps, mes
coliques toujours aussi douloureuses persistaient, je n'en voyais plus le bout.
J'entendais Lucie qui s'impatientait et
tapait à la porte.
– Alors ça vient, tu ne vas pas
recommencer, tu crois qu'on ne se doute pas de ce que tu faisais tout à
l'heure.
– Mais rien du tout.
– A d'autres, cela te vaudra une bonne
fessée dans quelques minutes, mais en attendant, tu sors, il faut que je
m'occupe de ta toilette et je n'ai pas que ça à faire. »
C'est vrai qu'il y avait encore cette
épreuve à subir, cela faisait plusieurs fois que Lucie me passait à la douche
comme elle disait et je n’y habituais pas, surtout quand elle s'en prenait à
mes fesses et à mes organes génitaux, n'oubliant pas de me décalotter et recalotter
le gland comme à plaisir, se moquant des érections qu'elle déclenchait
immanquablement et qu'elle calmait illico à grands coups de claques sur les fesses
ou carrément sur ma verge.
C'est exactement ce qui s'est passé
quelques minutes plus tard, alors que contraint et forcé, j'avais consenti à
m'extraire des toilettes, nonobstant mes coliques qui persistaient.
– Demain tu y auras droit de nouveau, constipé
ou pas, tu as entendu, ce sont les instructions de Maman, ça te fera passer le
goût de te masturber.
– Mais, je ne me suis pas branlé.
– N'emploie plus ce mot, tu veux que je
le rapporte à Maman pour qu'elle te fasse manger du savon.
– Non Lucie, pardon.
– Je sens qu'on va bien s'amuser avec
Corinne, elle n'a jamais dû donner un lavement à un grand garçon. »
J'en frémis d'avance, aucune humiliation
ne m'aura été épargnée, mais je ne suis pas au bout de mes misères.
« Mais qu'est-ce que c'est que ses
rougeurs sur ton pubis, on dirait des petits boutons ou des morsures de
bestioles.
– Rien du tout, je me suis un peu trop gratté,
c'est tout.
– Oh, je me demande si ce n'est pas des
traces de morpions ou de poux, je pense que le mieux pour en avoir le cœur net
serait de te débarrasser de tous ces poils superflus, je vais demander à Maman
ce qu'elle en pense.
– Mais puisque je te dis que ce n'est
rien, tu fais chier Lucie.
– Très bien, je fais chier, alors que je
prends bêtement soin de ta santé. Cette insolence va te valoir une nouvelle
fessée pas plus tard que maintenant.
– Oh, non Lucie ! Pardon, ça m'a
échappé, tu m'as déjà donné la fessée hier.
– Et alors, il semble bien qu'une fessée
quotidienne soit ta dose minimale, la preuve, tu ne t'améliores guère, ni dans
ton obéissance, ni dans ton langage. Allez zou va m'attendre dans ma chambre
pendant que je vais chercher le martinet.
– Oh non, s'il te plait, pas le
martinet, ça fait trop mal et ça laisse des marques.
– Justement, c'est ce qui me convient,
mais monsieur préfère peut-être la règle, la ceinture, la baguette, il sera
fait comme vous l'entendrez cher ami.
– Non, pardonne-moi, pour une fois, laisse
passer.
– Il n'en est pas question une seconde,
tu vas te mettre au piquet dans ma chambre et ne t'avise plus de discutailler. »
Quand elle revient quelques minutes plus
tard, armée du terrible martinet, elle s'assoit sur son lit et m'invite à venir
prendre la position disciplinaire qui m'est désormais habituelle.
Comme il est de coutume, elle commence à
me claquer les fesses à la main, avant d'y envoyer les terribles lanières quand
elle estime qu'il a pris la belle couleur incarna qui lui sied.
Le martinet ça fait un mal de chien,
encore heureux que dans cette position, elle n'ait pas trop la possibilité de
prendre de l'élan.
« Ah, tu as voulu faire le malin,
te masturber en douce et bien je vais t'en faire passer l'envie crois-moi. »
Je me garde bien de protester, les
larmes, puis les sanglots m'envahissent, je voudrais résister, jouer à l'homme,
au mec courageux qui ne laisse rien paraître, mais ça fait vraiment trop mal,
surtout qu’elle s'acharne sur mes cuisses, là où la peau est la plus mince et
où ça fait le plus mal, je me doute bien pourquoi, elle va encore m'exhiber
dans la rue avec mon mini short qui laissera mes cuisses nues et démontrera à
tous que je viens de me prendre une nouvelle raclée.
Enfin, elle cesse et se met à parcourir
de ses mains mes fesses et mes cuisses meurtries, en profitant même pour longer
ma raie culière de son majeur.
« Je me demande si tu n'as pas de fièvre.
– Mais non pas du tout que je crie
presque entre deux hoquets de pleurs.
– Je n'en suis pas si sûre, après ton indisposition
de ce matin, je ne voudrais pas que tu me couves quelque chose, mets-toi à
genoux et attends-moi. »
La morue, il ne manquait plus que ça,
elle ne sait plus qu'inventer pour me tourmenter, la dernière fois qu'on m'a
pris la température, c'était avec Madame Leblanc et j'étais effectivement
souffrant, il n'empêche, elle avait fait ça devant les autres pensionnaires et
ma pudeur avait été une nouvelle fois mise à mal.
« Allez, ouvre tes fesses, si tu ne
veux pas que je te blesse. »
Je fais ce que je peux pour détendre mon
sphincter, mais ce n'est guère facile tant mon arrière-train a été transformé
en brasier.
Comme tout à l'heure tante Maud, elle écarte
mes fesses à deux mains, glisse un doigt dans mon anus et introduit le
thermomètre. Ce n'est déjà pas très agréable, mais Lucie pousse le vice plus
loin en l'engageant au-delà du nécessaire.
Je sens le tube qui pénètre loin dans
mon rectum.
« Aie, pas si loin, ça fait mal.
– Tu crois, je ne sais pas trop, c'est
une première pour moi, mais je ne veux pas faire les choses à moitié. »
Je me remets à pleurer plus de honte que
de souffrance véritable, même si ces mains qui pèsent sur mon fessier ravivent
leur cuisson.
Et ça dure ! Cela fait déjà au moins
cinq minutes que je suis dans cette fâcheuse position, complètement nu à quatre
pattes, cul et cuisses peintes au rouge avec le thermomètre enfoncé jusqu'à la
garde, encore heureux que personne ne soit le spectateur de mon humiliation, j'entends
Marie qui marche et dans le couloir et je frémis à l'idée qu'elle se pointe et
se moque une nouvelle fois de son cousin transformé en petit garçon puni dont
on prend soi-disant soin de la santé.
« Non, finalement, tu n'as que
trente sept six, mais je te la reprendrai ce soir. »
Elle a retiré le thermomètre de ma
pastille d'un coup sec et cela a déclenché une sorte de pet. Il est vrai que
mon lavement a bouleversé mes intestins et que je sens qu'un retour sur le
trône s'impose.
« Saligaud, voilà à présent que tu
me pètes à la figure, tu mériterais que je te flanque une nouvelle fessée pour
t'apprendre à mieux me récompenser des soins que je te donne.
– Pardon Lucie, je ne l'ai pas fait
exprès, je t'en supplie, fais moi grâce pour une fois.
–Bon, je veux bien être clémente, mais
que cela ne se renouvelle pas, faute de quoi, tu pourras préparer ton cul.
– Est-ce que tu m'autorises au moins à
retourner aux toilettes avant, j'ai des coliques ?
– Ce doit être l'eau savonneuse, on a dû
forcer un peu trop la dose, qu'elle rigole. D'accord, je n'ai pas envie que tu
te laisses aller sur le parquet dans ces conditions. »
Je suis donc allé à nouveau faire un
tour aux toilettes, je ne sais ce que ces diablesses avaient mis dans l’eau du vase,
mais mes boyaux étaient très douloureux, ça me brûlait de l'intérieur et
j'appréhendais la seconde séance de lavement qui m'était promise pour le
lendemain.
J'ai donc passé le reste de la matinée,
c’est-à-dire près de deux heures, au piquet, complètement nu, les mains sur la
tête, en me forçant à rester le plus immobile possible pour ne pas déclencher
le courroux de ma cousine qui pendant ce temps vaquait à ses occupations, comme
si je n'existais pas.
Je n'en voyais plus le bout, au-delà de
la position, les bras levés qui devient vite pénible, même si je m'efforçais de
les remuer un peu le plus discrètement possible quand Lucie s'éloignait un peu,
prenant le risque de me ramasser une nouvelle raclée si elle me surprenait, ce
qui était infiniment humiliant, c'était d'être véritablement traité comme un
objet, je n'existais pas plus qu’un meuble.
Le spectacle de mes fesses encore très marquées
et qui me démangeaient atrocement ne semblait pas l'intéresser, non plus que le
reste de mon corps entièrement nu, comme si c'était une chose habituelle, qui
d'ailleurs ne manquerait pas de se reproduire sous peu.
Encore une fois, elle se changeait de
fringues, comme à plaisir, essayant diverses combinaisons, circulant dans le plus
simple appareil dans sa chambre pour le peu que je puisse en deviner en tournant
légèrement la tête.
De plus, mon ventre continuait de me
tourmenter et je serrais un maximum les fesses ne voulant pas lâcher un vent
malencontreux qui me vaudrait immanquablement de nouvelles sanctions.
Enfin, elle voulut bien mettre fin à mon
supplice, l'heure du déjeuner approchait.
« Allez, c'est fini pour cette
fois, tourne-toi, je t'ai apporté tes affaires, tu ne vas pas aller manger tout
nu, encore que cela pourrait être amusant, surtout s'il y a des invités, il
faudra que j'en parle à Maman. »
Lucie m'a quasiment habillé comme si
j'étais encore un enfant, me tendant mon slip que j'enfilais une jambe après
l'autre, m'aidant à enfiler mon tee-shirt et surtout me passant le fameux short
de sport trop court qu'elle m'avait déjà fait revêtir la funeste fois où on était
allé passer l'après midi chez Corinne. On se souvient qu'après leurs menaces de
mettre sur la toile leur reportage vidéo de mes différentes fessées, j'avais été
obligé de me soumettre et de passer complètement sous leurs fourches caudines.
« Il est trop court, il me serre et
on voit les traces du martinet sur mes cuisses, je ne le mettrais pas.
–Tiens, monsieur nous fait une petite
crise de rébellion, il y avait longtemps. Sache que c'est justement pour ça que
je t'ai passé les fesses au martinet et si tu t'obstines à faire ta mauvaise
tête, je vais te corriger à nouveau, je suis déjà bien bonne de ne pas l'avoir
encore fait. Tu vas passer le short et me demander pardon à genoux, sinon tu y
as droit. »
Je n'ai pu que m'incliner devant des arguments
aussi frappants et j'ai pris beaucoup sur moi pour m'agenouiller devant ma jeune
cousine, les mains croisées dans le dos et les yeux baissés.
« Lucie, je te demande humblement
pardon pour avoir tenté de te désobéir, cela ne m'arrivera plus.
– Bien, va pour cette fois, mais tu sais
qu'une raclée te pend aux fesses. Allons déjeuner sans plus tarder, je ne tiens
pas à indisposer Maman.
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