mercredi 2 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 13

 Philippe s’était bien gardé d’aller voir ce qui se passait. Il avait entendu le bruit des claques sur la peau nue et les cris d’Aurélie. Il était partagé entre l’incrédibilité face à une situation qui lui semblait irréaliste et l’angoisse de voir se concrétiser sous ses yeux la pire des réalités qu’il aurait pu imaginer.

Il ne lui avait pas été facile de se faire déculotter et fesser par sa belle-mère ou par Madame Bernadette. Mais, cela était arrivé de façon si naturelle qu’il ne trouvait toujours pas matière à s’en indigner quand il était placé face à une correction imminente. Il avait accepté cette tutelle assez facilement, ce qui, en prenant un peu de recul, ne cessait de l’étonner. L’une comme l’autre représentait une autorité maternelle incontestable qui exerçait, pour son bien, leur droit de punition en réaction à son comportement. Il avait dû convenir qu’il y avait, de ce côté-là, matière à faire.

C’était une tout autre affaire, à trente ans passées, que d’être placé sous la férule d’une baby-sitter qui avait plus de dix ans de moins que lui et qui avait tout autant le droit de la corriger comme le faisait ses aînées, et entendait exercer cette prérogative sans hésiter. Ce qu’il avait déduit des bruits entendus ne laissaient aucun doute sur le sujet.

Il aurait préféré qu’Aurélie se soit essayée à contester cette nouvelle autorité. Cela aurait pu placer les rapports avec cette baby-sitter imposée, plus sur un niveau de relation entre adultes. La fessée qu’Aurélie venait de prendre avait clos le sujet… du moins pour elle, espéra Philippe. Devait-il être bien sage et obéissant afin de ne pas fournir de motif à punition comme l’avait fait, si inconsidérément, Aurélie ? Devait-il, au contraire, protester contre la prétention d’Annette à exercer une quelconque autorité ? Oui, peut-être, mais de façon suffisamment adroite pour que Maman Marianne ne fût pas obligée de prendre le relais. C’était un équilibre délicat à maintenir.

 

« Tu files te mettre au coin ! »

Le retour d’une Aurélie n’avait rien de glorieux. Elle était tenue par le bras par Annette, visiblement encore furieuse du comportement de la jeune femme qu’elle poussait devant elle. Elle l’accompagna jusqu’à l’angle de la pièce où Aurélie avait ses habitudes. Cette dernière mit son nez aussi près de la jonctions des deux murs qu’elle le put et elle croisa ses bras dans son dos.

Annette souleva l’arrière de la robe et asséna une claque sur les fesses ainsi dévoilées.

« Où doit être le bas de la robe quand on est au coin ? »

Deux autres claques vinrent sanctionner cet oubli sans se préoccuper de savoir s’il avait été volontaire ou non. Aurélie s’empressa de relever l’arrière de sa robe, laissant voir ses fesses encore colorées par la sévérité de la fessée qu’elle avait reçue. Annette n’avait pas jugé nécessaire de lui remettre une culotte propre.

« J’espère que je ne vais pas avoir d’autre remarque à te faire sur la façon dont on se tient quand on est au coin. La prochaine fois, tu ne te contenteras pas d’une petite claque sur les fesses ! »

Aurélie ne moufta pas. il n’y avait plus une once de résistance à l’autorité de la baby-sitter. Un quart d’heure et quelques bonnes claques sur les fesses nues avaient suffi. Cela ne rassura pas Philippe. Annette se détourna et fixa Philippe qui détourna les yeux. Pas question de défier l’autorité dont la jeune femme avait fait preuve ! Ce n’était pas le bon moment pour le faire. Il prit une revue qui traînait sur la table basse, à portée de main. Il l’ouvrit au hasard et se plongea dans la lecture. Il n’y aurait pas fallu qu’on l’interrogeât sur ce qu’il lisait, il ne savait même pas qu’elle était le sujet de l’article qu’il s’efforçait de lire.

 

« Vingt-et-une heure, c’est le moment de vous mettre au lit ! »

Aurélie était toujours au coin et elle n’avait pas bougé d’un pouce. La promesse d’Annette de lui donner une nouvelle fessée avait suffi pour obtenir son obéissance malgré l’inconfort de la position et la honte que ressentait la jeune femme à exposer ses fesses nues. Cela faisait partie de la punition, elle le comprenait et en admettait la pertinence.

Passer un long moment au coin après avoir reçu une fessée était dans l’ordre des choses. Il n’y avait rien d’étonnant à ce qui sa baby-sitter ait eu recours à cette punition qui avait idéalement prolongé la correction. Aurélie espérait que sa stricte obéissance solderait tous les comptes, le comportement insolent qu’elle avait eu et le pipi à la culotte.

Aurélie fit face à sa baby-sitter, incertaine de l’attitude qu’elle devait adopter.

« Viens-ici, vilaine fille ! »

Le cœur d’Aurélie bondit dans sa poitrine. Sans doute la punition n’était-elle pas finie ? Son hésitation fut marquée.

« Est-ce une nouvelle désobéissance, Aurélie ?

– Non, non, je viens ! »

Les petits pas précipités d’Aurélie pour se rendre là où l’attendait sa baby-sitter, montraient combien l’autorité de cette dernière n’était plus contestée. Annette la saisit par le poignet et elle l’installa à plat ventre sur sa cuisse gauche. Aurélie avait le nez dans les coussins du canapé et elle émit un petit gémissement. Était-ce une nouvelle fessée en préparation ?

Son inquiétude grandit quand elle sentit que le bas de sa robe était remonté sur ses reins. Ses fesses nues étaient idéalement placées pour subir une nouvelle correction. La main qui s’abattit une fois sur chaque globe fessier ne fit qu’augmenter l’appréhension de la jeune femme.

« Quand je te dis de faire quelque chose, c’est tout de suite ! »

La main claqua une nouvelle fois de chaque côté.

« Sans hésitation ! »

Une troisième fois, cela commençait à cuire sur les fesses.

« Ni gémissement ! »

Annette administra encore un coup sur chaque fesse.

« Est-ce bien compris ? »

Aurélie ne put retenir un petit cri à la cinquième claque qu’elle prenait sur chaque fesse. Elle s’empressa d’acquiescer.

« Oui, Annette ! »

La main qui se posa sur les fesses d’Aurélie ne punissait plus. Elle caressait le postérieur qui avait pris une couleur rose soutenu.

« Non, tu ne peux plus m’appeler simplement « Annette ». Cela ne marque pas assez le respect et l’obéissance que tu me dois maintenant. C’est trop familier. Je ne suis pas ta copine, mais ta baby-sitter ! »

La main s’emparait toute la surface des fesses d’Aurélie qui la cuisait.

« Voyons, Madame, cela n’irait pas, cela fait trop vieux… Réfléchissons… Que pourrait-on bien… Mademoiselle, ce serait bien ! Dorénavant, tu m’appelleras Mademoiselle Annette. Ce sera parfait. Tu indiqueras ainsi que tu es une grande fille bien polie qui sait montrer le respect qu’elle doit aux personnes qui ont autorité sur elle. Tu n’oublieras pas, j’espère ! Sinon… »

Ce n’était pas une véritable claque sur les fesses que reçut Aurélie, mais elle en comprit cependant le sérieux. C’était une promesse et elle ne doutait pas qu’Aurélie n’hésiterait pas à la tenir.

« Et toi non plus, Philippe ! »

Il n’en croyait pas ses oreilles. Cette gamine se prenait décidément très au sérieux.

« Voilà qu’elle se donne des airs de gouvernante, maintenant, pensa-t-il ! »

Philippe fit celui qui n’avait pas entendu.

« Dis donc, Philippe, je n’ai pas entendu ?

– Oui, j’ai compris !

– Oui qui ?

– Oui Annette… enfin Mademoiselle Annette ! »

Il s’était empressé de rectifier sa formulation quand les yeux de la jeune femme s’étaient assombris.

« Attention ! La prochaine fois… »

La main d’Annette fit un geste de menace qui annonçait une prochaine fessée. Philippe n’était pas mécontent de cette petite contestation de l’autorité de sa baby-sitter. Il ne se laisserait pas faire aussi facilement qu’Aurélie.

« Il y a du chemin à faire entre la menace et le passage aux actes, se dit-il ! »

Philippe, interloqué, contemplait sa compagne. Quel changement en trois jours. Elle avait pris une respiration lente et régulière et ses yeux étaient fermés. Elle était parfaitement détendue, courbée sur le genou d’Annette. Elle ne réagissait plus à la main qui la caressait. Philippe avait appris combien il était important de savoir que la main qui administrait de cuisantes fessées savait aussi caresser. C’était rassurant, gage de sécurité. Cela montrait toute l’attention d’une fesseuse envers son pupille, mais également de son sens de la justice. Fessée ou câlin, selon ce qui était mérité.

Il se surprit à être un peu jaloux de l’attention qu’Annette portait à Aurélie, mais il rejeta cette idée avec force. Pas question qu’il se retrouve dans la même situation que sa compagne, ce serait trop humiliant. Un câlin donné par une gamine ! Comment Aurélie pouvait-elle accepter cela ?

 

« Allez, on monte dans la chambre. Je vais vous préparer pour aller au lit ! »

Trois ou quatre tapotements sur les fesses d’Aurélie et celle-ci se releva, à regret, mais elle se releva. Le câlin n’avait pas duré bien longtemps.

« Allez, ouste ! On y va ! »

Philippe accéléra le pas quand Annette lui donna une petite claque sur les fesses. même à travers le pantalon, c’était bien trop intime pour qu’il l’acceptât. Il passa devant Aurélie afin de se sentir hors de portée de la main d’Annette.

« Elle devrait se rendre compte qu’on ne fait pas cela à un adulte de mon âge ! Il va falloir que je mette les choses au point ! La prochaine fois ! »

Annette suivi ses deux pupilles dans leur chambre. Philippe passa de l’autre côté du lit. Il avait encore en tête les deux soirs précédents quand sa belle-mère les avait déshabillés tous les deux, Aurélie et lui. Son ventre se noua quand il vit Annette descendre la fermeture éclair dans le dos de la robe d’Aurélie, puis la lui passer par-dessus la tête. Aurélie croisa ses bras sur sa poitrine et tourna le dos à sa baby-sitter.

« Allons ! Cesse cette comédie ! Tourne-toi vers moi que je puisse voir si tout va bien. »

Une claque sur les fesses sanctionna la réaction trop lente d’Aurélie.

« Enlève tes bras que je puisse vérifier si tu n’as pas de petits boutons dont il faudrait s’occuper. »

Aurélie n’était très heureuse de la demande d’Annette, mais elle s’efforçait de le dissimuler. Elle avait bien plus peur de ses fessées que de montrer son intimité. Elle enleva ses bras. Annette examina avec attention le cou, le buste, le dos, puis l’entre-jambe d’Aurélie et la faisant pivoter à sa convenance. Sa main se glissa entre les cuisses de la jeune femme.

« Ecarte un peu mieux les jambes que je puisse voir ! »

Aurélie se laissa faire. Annette accorda une grande attention à la zone pubienne. Philippe regardait tout cela avec horreur. Jamais il ne pourrait accepter une inspection aussi intime de la part de la jeune femme. Il voyait son tour venir avec épouvante. Annette fit une moue. Elle n’approuvait pas ce qu’elle voyait.

« Je vais bien laver tout cela, conclut Annette. Tu m’attends ici pendant que je prépare Philippe ! »

Ce dernier fit un pas en arrière quand Annette contourna le lit, mais il n’y avait nulle part où aller. Il se cogna contre la table de nuit, pas moyen de reculer plus.

« Philippe, cesse de faire l’enfant. Je te donne une fessée si tu me fais un caprice ! »

Mais dans la tête de Philippe, il n’y avait que des mauvaises façons de se sortir de cette situation. Il ne résista cependant pas trop quand Annette en le prenant par le bras le ramena devant elle. Mais quand elle voulut lui enlever son pull, il refusa de lever les bras.

« Philippe, ça suffit ! Dernier avertissement ! »

La nouvelle tentative fut tout aussi infructueuse.

« Je crois que j’ai été patiente avec toi, mais tu t’obstines. C’est sans doute qu’il te faut une bonne fessée ! »

Annette s’assit sur le lit et elle se saisit de la taille du pantalon de survêtement. Philippe enferma les mains d’Annette dans les siennes, l’empêchant d’aller au bout de son geste.

« Philippe, c’est trop tard ! Tu as mérité une bonne fessée. Je dois donc te baisser la culotte !

– Non, non !

– Oh que si, c’est absolument nécessaire si je veux que tu apprennes à m’obéir. Je sais que c’est la première fois que je te corrige et que ce n’est pas simple, pour toi, d’être corrigé par moi, mais tu en as besoin. Je suis ta baby-sitter, c’est donc mon devoir de te punir quand tu l’as mérité. Il n’est pas question que tu cherches à m’empêcher de te baisser la culotte. C’est ce qui arrive aux garçons désobéissants que j’ai en garde. Tu ne feras pas exception ! Laisse-moi faire ou sinon…

– Non, non ! »

Philippe ne savait plus rien dire d’autre. Il ne voyait pas d’autre issue que de recevoir la fessée que lui avait promise Annette, et ça, c’était impossible.

« Que crois-tu que dira ta belle-mère quand elle va apprendre que tu m’as gravement désobéi ? Faudra-t-il que je lui en parle demain matin ?

– Non, s'il vous plait, pardon ! Non, ne lui en parlez pas, s'il vous plait ! »

Philippe sentait que maintenant qu’Annette s’était engagée sur cette voie, elle ne reculerait pas. Il aurait pu se dégager assez facilement. Ce n’étaient pas les deux genoux d’Annette qui enserraient les siens qui constituaient un obstacle majeur. Mais pour cela, il aurait fallu franchir un nouveau pas dans la désobéissance. La réaction de sa belle-mère, quand elle l’apprendrait, serait terrible. Il ne pouvait aller dans cette direction.

Annette donna une forte tape sur ses mains qui retenaient la taille du survêtement qu’il ne tenait plus que mollement. Ses mains s’écartèrent et Annette en profita pour baisser le pantalon. Philippe se baissa aussitôt avec l’évidente intention de le remonter. Une forte claque sur la cuisse nue l’arrêta. Il ne put retenir un cri et il suspendit son geste. Cela fut suffisant pour qu’Annette lui baisse la culotte.

Philippe mit ses mains devant son sexe qui était maintenant à la vue de la jeune fille assise sur le lit. Annette tira son bras et, déséquilibré, il ne put que tomber à plat ventre sur sa cuisse. Annette ne perdit pas de temps. Une première claque imprima sa marque sur la fesse gauche de Philippe, puis une deuxième de l’autre côté.

Philippe s’était imaginé, puisque c’était une jeune fille qui le fessait, que la douleur que provoquerait la correction serait moins vive que lorsque c’était sa belle-mère ou Madame Bernadette qui le punissaient. Il ne mit pas lus de quelques secondes à revenir sur cette idée préconçue.

Quand il songea à dégager son bras pour protéger ses fesses, la cuisson était si aiguë qu’il était déjà au bord des larmes. Ses gesticulations involontaires à chaque fois que la main accentuait la brûlure sur son postérieur, ramenèrent son bras droit à son côté. Il était sur le point de couvrir ses fesses quand il se rappela que c’était strictement interdit durant une fessée. Les réflexes d’obéissance, appris depuis trois jours, furent les plus forts.

Il n’avait plus vraiment conscience de l’identité de la personne qui le corrigeait et encore moins de son âge. Il savait qu’il recevait une sérieuse fessée déculottée en punition de ses désobéissance, ce qui était la règle chez sa belle-mère. Il n’y avait donc rien d’anormal à cette situation, quelle que soit la personne qui le punissait.

Il avait perdu le contrôle de ses gestes et de ses cris depuis un bon moment quand l’avalanche de claques cessa.

« Ça fait du bien, une bonne fessée, quand on a été un vilain garçon, n’est-ce pas ? »

Il reprit alors pied avec la réalité. C’est le mot « gamine » qui lui vint à l’esprit et l’humiliation qu’il y avait à se faire fesser par elle. Il tenta une ruade, mais Annette le tenait suffisamment pour qu’elle échoua à faire changer la position dans laquelle elle le tenait. Quelques sérieuses claques sur les fesses le ramenèrent à plus d’obéissance.

« Non, tu restes là ! Je n’en ai pas fini avec toi. Loin de là. Pour le moment, je t’ai posé une question : la fessée te fait du bien, n’est-ce pas ? Elle t’apprend quelle doit être ta place quand c’est moi qui te garde. As-tu bien compris ? »

Une volée de claque accompagna cette question. Il était urgent de répondre.

« Oui, oui !

– Oui, qui ?

– Oui, Annette !

– Comment m’as-tu appelée ? »

Une avalanche de fessée suivit la remontrance.

« Mademoiselle Annette, Mademoiselle Annette ! Pardon, je n’ai pas fait exprès !

– J’espère bien que tu n’as pas fait exprès ! Il ne manquerait plus que ça ! »

Philippe sut alors qu’il devait renoncer à toute prétention. Il n’y avait plus de doute que Mademoiselle Annette avait toute légitimité pour le punir quand elle le jugeait nécessaire et qu’à chaque fois ce serait une correction qui compterait dans sa récente vie d’adulte qu’on punissait quand il en avait besoin… c'est-à-dire très souvent.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 12


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... oui, ça doit être le chapitre 14

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

8 commentaires:

  1. Être fessé par une très jeune femme, quoi de plus humiliant pour nos deux jeunes mariés. Mais quoi de plus efficace, la fessée doit être cuisante mais également humiliante. Je pense qu'ils vont s'en souvenir
    Sylvie

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  2. Sylvie,
    C'est très humiliant pour eux de constater qu'Annette est considérée suffisamment mature pour qu'ils lui soient confié, alors qu'ils sont jugés trop irresponsables pour passer une soirée sans la supervision d'un adulte.
    Etant sous l'autorité d'une baby-sitter, la fessée s'impose.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.
    PS : avez-vous lu le commentaire à votre dernier récit qui en réclame la suite ?

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  3. Sylvie,
    En effet ! Ce qui est très humiliant, c'est de ne pas être considérés comme suffisamment responsables pour passer une soirée sans la supervision d'un adulte responsable d'eux... et que cette personne, malgré son jeune âge soit considérée comme assez mature pour le faire... et disposer de l'autorité légitime pour recourir à la fessée déculottée quand elle le juge bon.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.
    PS : avez-vous lu le commentaire à votre dernier récit qui en réclame la suite ?

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  4. Bonjour, je vous félicite pour la qualité de cette chronique. Ne manque-t-il pas quelques lignes à la fin du chapitre 12 ? On comprend qu'Aurélie a fait pipi dans sa culotte mais sauf erreur ce n'est pas explicite. Par ailleurs, je souhaiterais vous adresser ma proposition de suite à la série Fabien, l'adresse que j'ai (la poste) ne fonctionne pas, non plus que celle du blog merci de m'en indiquer une nouvelle.

    Cordialement .

    Serge

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    1. Serge,
      Effectivement, vous avez raison, il manquait une page et demi. Une erreur de copier coller. C'est rectifié.
      Merci pour votre lecture attentive.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Serge,
      La question de l'adresse à laquelle renvoie le champ "pour me contacter", devrait être résolue.
      Au cas où : legall.josip35@laposte.net
      Au plaisir de vous lire et de recevoir votre récit.
      JLG.

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  5. Bjr JLG,
    les mésaventures des 2 travailleurs en télétravail continuent , leurs employeurs vont ils être au courant de leurs infortunes ?
    Au plaisir de vous lire

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    1. Vous le saurez en lisant la suite des aventures d'Aurélie et Philippe dans notre feuilleton hebdomadaire "Chronique de confinement"
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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