La SFID, vous vous rappelez ? Sans doute avez-vous cru que les aventures de Georges et d'Aurélie étaient arrivées à leur fin, au moins pour ce qu'on nous en racontait ? Eh bien non ! Georges nous a concocté quelques nouveaux épisodes dont voici le premier, dix-huitième de la série. JLG
La formation d’Aurélie
La formation d’Aurélie se
poursuivait et celle-ci prenait de plus en plus d’autonomie. Elle prenait
maintenant en charge la maintenance du site c’est-à-dire toutes les mises à
jour quotidienne qui touchaient les produits, les prix, les informations etc…
et les questions des visiteurs.
Un matin Madame Leroy déboula dans mon bureau un papier à la main visiblement furieuse.
« Georges, je reçois ce
matin ce Mail de Monsieur Dubois Directeur de la pension de la Chauderaie qui a
posé une question sur le site il y a 8 jours et qui n’a toujours pas de
réponse ! Trouvez-vous cela normal ? En désespoir de cause il
s’adresse à moi Présidente de la SFID pour savoir pourquoi on ne prend pas en
considération sa demande. C’est inadmissible, pouvez-vous me donner des
explications ?
La foudre me tombait sur la
tête et je regardais dans la direction d’Aurélie qui derrière sa vitre se
demandait ce qui se passait. Je lui fis un signe de venir et elle arriva
prestement dans mon bureau, salua respectueusement Madame Leroy et attendit.
Après lui avoir expliqué de
quoi il retournait je sentis Aurélie troublée et mal à l’aise. Car c’était de
sa responsabilité dont il était question. Elle retourna prestement devant son
écran et après avoir examiné rapidement des fichiers revint penaude et toute
rouge dans mon bureau.
« Effectivement j’ai
zappé cette question qui m’est bien arrivé mais que j’ai malheureusement oublié
de traiter. Je m’en excuse et je vais bien entendu immédiatement y répondre. Je
vous prie de bien vouloir m’excuser Madame Leroy de cette erreur involontaire.
« Ma petite à la SFID
toute erreur se paie comptant. Votre chef va donc vous corriger en conséquence.
Je joindrai la photo de vos fesses corrigées à notre client afin qu’il voie que
si vous ne vous êtes pas occupée de lui, la présidente a pris les mesures
nécessaires pour que cela ne se reproduise pas. Quand à vous Georges ne croyez
pas vous en tirer à si bon compte. Aurélie est encore en formation, par
conséquent c’est sous votre entière responsabilité
si elle a fait ce grave oubli. C’est
parce qu’elle a eu probablement des carences dans sa formation et que vous lui
avez mal expliqué l’importance des réponses à faire à nos clients. Par
conséquent vous serez également corrigé pour cela. Passez à mon bureau demain
pour y recevoir votre fessée car j’ai
déjà un planning chargé aujourd’hui. En attendant je vous laisse punir Aurélie
comme il se doit et dire à Delphine qu’elle m’envoie prestement une belle photo
des fesses d’Aurélie après sa fessée que je puisse la transmettre à notre
client.
Ce faisant, les sentences
étant prononcées, Madame Leroy impériale quitta mon bureau alors que nous
baissions tous les deux la tête, honteux de notre faute.
Je devais donc et sans attendre
corriger Aurélie pour son oubli. Mais n’ayant encore jamais eu à corriger
quelqu’un à la SFID je ne savais pas ce que je devais appliquer. Dans le doute
et la crainte de mal faire j’appelais Céline pour lui expliquer la situation.
Celle-ci pragmatique comme d’habitude me rappela les clauses du contrat.
« Georges visiblement
dans ce cas de figure on est dans la faute grave :
Faute
grave
Retards répétés, erreur pouvant avoir des
conséquences graves, insolence envers son supérieur ou les autres salariés,
négligence grave.
10 à 30 coups de paddle, 10 à 20 coups de
martinets medium ou sévère, 6 coups de canne anglaise.
C’est à toi de déterminer le
nombre de coups à appliquer. Mais comme Madame Leroy t’a demandé la photo des
fesses d’Aurélie pour l’envoyez comme preuve de punition à son client, je te
conseille de faire le maximum de coup et de fesser avec le maximum de sévérité
afin que le résultat se voit. Sinon c’est toi qui vas essuyer sa colère demain. »
Une fois de plus le
raisonnement de Céline était juste et intelligent. Il allait falloir que je
corrige Aurélie et sévèrement si je ne voulais pas énerver un peu plus Madame
Leroy.
J’emmenais donc Aurélie en
salle de correction et lui demandait de se déshabiller. Ce qu’elle fit non sans
gêne. Elle pleurait déjà probablement plus de honte et de dépit d’avoir été
pris en faute que du fait d’apparaître nue à mes yeux. D’ailleurs elle avait
déjà eu l’occasion de se déshabiller devant moi lors du fameux test d’embauche.
Elle s’allongea d’elle-même sur le banc de correction et je n’eus plus qu’à la
sangler afin qu’elle ne puisse pas bouger durant la fessée. Ses petites fesses
bien blanches se crispaient déjà de peur.
J’attrapais le premier paddle
qui me tombait sous la main et commençait la fessée en comptant jusqu’à 30. Je
n’osais pas trop appuyer mes premiers coups mais me rappelant les conseils de
Céline je claquais de plus en plus
durement les fesses d’Aurélie. Ses cris de plus en plus forts me
confirmèrent que j’allais dans la bonne direction.
Puis je pris le martinet, le
même que celui utilisé par Aurélie il y a quelques jours sur mes propres fesses
à la maison. Et là je me souvins qu’Aurélie n’y était pas allée de main morte.
J’avais l’occasion à mon tour de lui faire sentir que moi aussi je savais
donner le fouet et je n’allais pas me gêner. A la fin des 20 coups de martinets,
les fesses d’Aurélie étaient striées du haut en bas. Même la naissance des
cuisses avait été cinglée par les lanières ? Cela allait faire une belle
photo. Aurélie pleurait maintenant de douleur à chaude larme. Et dire qu’elle
avait encore la cane anglaise à recevoir.
Justement j’attrapais la cane
du diamètre le plus fin car je ne voulais pas abimer Aurélie lors de cette
première punition disciplinaire à la SFID. Je me positionnais sur le côté et
armai mon bras. Le premier coup atterrissait sur le séant d’Aurélie avec un
sifflement caractéristique. Un hurlement s’ensuivit et j’enchainais les 5 coups
suivants en essayant de ne pas atterrir au même endroit que le précédent. Les
hurlements s’enchainaient aussi au rythme des coups. Six belles lignes rouges surlignées de
blanc embellissaient les petites fesses
martyrisées d’Aurélie. Je n’étais, ma foi, pas mécontent du résultat pour une
première punition donnée.
Aurélie non plus ne fut pas
déçue quand elle vit ses fesses, une fois détaché dans le miroir de la salle de
correction. Et Madame Leroy pu envoyer à son client une belle preuve que sa
réclamation avait été prise en compte, que la responsable avait été châtiée
comme il se devait, et que les instruments de la SFID étaient décidemment
diablement efficaces.
Céline avait vu aussi la
fameuse photo des fesses d’Aurélie corrigée par mes soins puisque elle l’avait
archivée dans le dossier d’Aurélie.
« Tu l’a bien corrigé
comme il se devait me dit ’elle. Madame Leroy a dû apprécier, plus qu’Aurélie
je pense qui a du bien crier me dit-elle avec un ton d’énervement.
Cette affirmation était en
fait plus une réflexion désobligeante à mon égard de la part de Céline. Car
Céline était tourmenté par sa jalousie latente et le fait que j’ai pu corriger
Aurélie en tête à tête ou plutôt en main à fesse la perturbait et l’énervait.
Je l’avais bien sentie comme cela et la confirmation arriva le soir même.
A peine rentré à la maison, Céline
avait saisi le premier prétexte venu pour ajouter des lignes au registre de
punition. Au motif il était inscrit : n’a pas nettoyé la lunette des
toilettes après son passage.
« Vous serez corrigé au
fouet à chien puisque vous en êtes un, à uriner à côté de la cuvette, me dit
‘elle aussitôt. Et c’est moi qui vous punirai en tant que maîtresse de cette
maison. Rendez-vous dans 30 minutes au grenier en tenue. »
Aurélie dont la porte de la
chambre n’était pas close avait naturellement tout entendu. Et passa une tête
pour demander malicieusement si elle pouvait assister à la punition.
« Mais naturellement lui
dit Céline. Vous verrez l’effet du fouet à chien. C’est radical pour ce genre
de bêtise. Il ne recommencera pas de sitôt, croyez moi.
Je n’avais pas encore gouté de
cet instrument mais je ne doutais pas de son efficacité disciplinaire. A
l’origine conçu pour dresser les chiens de chasse et conduire une meute, ce
fouet court à manche en bois était doté d’une seule lanière d’un mètre environ
mais en cuir tressé. Et sur des fesses humaines l’effet était garanti. J’allais
crier c’est sûr. Et cette petite peste d’Aurélie qui avait certainement encore
mal aux fesses de sa fessée du matin allait avoir une certaine forme de
revanche par procuration. D’autant que le motif invoqué par Céline n’était que prétexte
à mon avis pour passer sur mes fesses sa jalousie. Car compte tenu du règlement
de discipline domestique régnant dans la maison de Céline, je regardais plutôt
deux fois qu’une l’état des toilettes quand je les quittais. Et j’allais sentir passer sur mes fesses l’intensité de la
jalousie inavouée ou inconsciente de Céline.
Une demi-heure après et
déculotté par une Céline ravie de me baisser une fois de plus mon caleçon, j’eus
droit à une sacrée correction au fouet à chien. Céline l’avait fait claquer
plusieurs fois dans l’air avant de
démarrer ma correction.
Le bruit était terrifiant car
le claquement très impressionnant et propre à effrayer et retenir une meute de
beagle avant la curée. Alors moi attaché à la croix de saint André vous
imaginez !
Après les claquements dans
l’air c’est sur ma peau que le cuir tressé claqua. Plus de 100 coups qui me
zébrèrent les fesses et les cuisses sans toutefois aller au sang.
Nous n’étions pas dans la
marine Anglaise et le fouet à chien n’est pas le chat à neuf queues que l’on
voit en action dans les révoltés du Bounty par exemple. L’effet de ce terrible
instrument de torture était précisément de provoquer des douleurs terribles et
des dégâts immédiatement visibles par les spectateurs. Ce fouet était composé
de neuf brins de cordes ou de cuir tressés avec des nœuds et parfois des billes de plomb insérées dans
les nœuds pour lester les lanières et leurs donner plus de force. Au bout de
quelques coups le puni hurlait et le sang apparaissait sur son dos.
Le but était d’impressionner
suffisamment l’équipage pour que celui-ci ne se risque pas à enfreindre le
règlement du bord ou à se mutiner. Le dos ainsi flagellé gardait des cicatrices
indélébiles et les durs à cuire et autres délinquants pouvaient prouver leur
courage en exhibant leurs dos marqués à vie par le fouet. On appelait cela la
chemise à carreaux lorsque les cicatrices étaient telles qu’elle
s’entrecroisait comme un motif sur le dos du marin.
Les instruments de la SFID n’entraient
pas dans ce registre. C’était des instruments de discipline, certes mais de
discipline moderne, destinés à la discipline conjugale, scolaire ou
professionnelle comme à la SFID, destiné à corriger le puni pour lui faire
prendre conscience de ses fautes. Le but n’était pas de provoquer des blessures
mais bien de faire suffisamment mal afin que la correction porte ses fruits.
Les marques ne duraient pas plus que quelques jours et les fessées pouvaient
donc se reproduire aussi souvent que nécessaire en fonction de l’indiscipline
du puni.
Et la correction que je
recevais de Céline allait porter ses fruits. J’allais dorénavant inspecter minutieusement
les toilettes avant d’en sortir et de ne pas risquer une nouvelle correction au
fouet à chien.
Aurélie assistait à la
punition pas fâché de me voir souffrir et crier à mon tour tandis que Céline
faisait claquer le fouet sur mes fesses. Celles-ci étaient maintenant striées
du passage de la lanière tressée et commençaient à enfler par endroit ou le
cuir avait insisté.
La punition se poursuivit
jusqu’à la centaine de coups car Céline était énervée.
A la fin de la punition et
consciente qu’elle m’avait très sévèrement fouetté pour une faute malgré tout
bénigne, Céline vint me caresser les fesses pour se faire pardonner sa sévérité
jalouse. Même si ma peau était très sensible de par la fouettée reçue, et peut
être aussi à cause de cela, cette main amoureuse me fit l’effet d’un nouveau coup
de fouet, mais érotique celui-là, et une érection violente et incontrôlée me
surprit.
« Allons mon chéri, qui
aime bien châtie bien. Soyez plus propre à l’avenir et tout ira bien me dit
’elle en lorgnant mes attributs au garde à vous. »
Avec cette fouettée, ce geste
de tendresse et ses mots, Céline me prouvait son amour pour moi. Avec cette
érection je lui prouvais mon attachement à sa personne et a sa méthode
d’éducation. Elle me récompensa en caressant voluptueusement ma hampe en
érection, ce qui eut pour effet de renforcer ma virilité presque
douloureusement. Entre l’effet du fouet qui
m’avait échauffé sérieusement toute la région du bassin et cette main qui caressait mon sexe dressé je risquais
l’explosion de manière imminente.
Ayant aussi prouvé à Aurélie qui avait assisté non sans
intérêt à la scène que c’était elle la patronne et la Maîtresse, elle me
détacha satisfaite et me renvoya dans notre chambre ou elle ne tarda pas à me
rejoindre pour me faire crier d’une autre façon. Elle-même se fit plaisir et
s’arrangea pour qu’Aurélie l’entende bien exprimer sa jouissance.
Mais je n’en avais pas encore
fini car j’avais encore rendez-vous avec Madame Leroy le lendemain. Et elle
allait fatalement voir les traces du fouet à chien et me demander des
explications.
J’avais bien senti dès
l’embauche d’Aurélie que tout cela allait entraîner des complications et des
ennuis. J’en avais maintenant la confirmation avec cette suite de fessée qui ne
s’arrêtait plus.
Je me réjouis du retour des aventures de Georges, Aurélie et n'oublions pas la terrible Céline, très belle série, bien écrite et très excitante.
RépondreSupprimerBravo .
Cordialement.
Serge
Je me trompe où le chapitre 18, saison 3, est la reprise du chapitre 16 de la saison 2 ? A quand une photo des fesses châtiées de l'auteur du récit et du responsable du site ?
RépondreSupprimerCordialement,
Doumik