mercredi 16 septembre 2020

Chroniques de confinement - chapitre 15

Mademoiselle Annette s’était assise sur le lit où elle attendait Philippe. Il n’y avait pas un long chemin à parcourir, mais il lui sembla trop court. Philippe avait les yeux fixés sur la règle que sa baby-sitter avait posée à côté d’elle. si elle était là, c’était pour servir, Philippe en était bien conscient et cela renforçait considérablement la sévérité des quelques minutes à venir.

« Allons, dépêche-toi ! Tu sais bien que tu l’as méritée ! »

Philippe ne savait plus. si Mademoiselle Annette le disait, c’était certainement vrai. Il se mit en marche mécaniquement vers elle. il ne voyait comment échapper à la correction qui l’attendait, pire, il ne pensait même pas à s’y soustraire. La fessée était inéluctable, puisque sa baby-sitter en avait décidé ainsi.

« A chaque fois que tu tenteras de m’empêcher de te punir, tu auras une fessée supplémentaire. Je vais me débrouiller pour que tu te souviennes de celle-là. »

Philippe était à plat ventre sur la cuisse gauche de Mademoiselle Annette qui avait refermé ses genoux sur ses jambes. Elle avait passé un bras qui encerclait sa taille et qui appuyait sur le milieu de son dos. Il se sentait tenu, immobilisé, bien qu’il sût qu’il aurait pu se libérer s’il l’avait voulu.

C’était hors de question. Une explication avec sa belle-mère était déjà prévue. Il en connaissait le prix pour ses fesses. Il ne fallait surtout pas en rajouter. Bien qu’il craignît la correction qu’il allait recevoir, il ne ressentait aucun sentiment d’injustice. Il en reconnaissait la pertinence et savait qu’il fallait en passer par là pour rentrer dans les bonne grâces de Mademoiselle Annette, ce qui était indispensable s’il voulait continuer à demeurer chez sa belle-mère et obtenir un câlin de Mademoiselle Annette.

« Demeurer ici ? Un câlin de Mademoiselle Annette ? Mais à quoi suis-en en train de penser ? Comment puis-je y songer ? »

Le premier coup de règle interrompit son introspection. La brûlure, là où Mademoiselle Annette venait d’appliquer la règle, fut fulgurante. Il poussa un cri désespéré qui s’étrangla dans sa gorge quand la règle s’abattit de l’autre côté. Il en resta sans voix, la respiration coupée. Cela ne dura pas. Quand il reprit son souffle, ce fut pour hoqueter péniblement, puis pour émettre un long cri de désespoir.

« Ah, je vois qu’on commence à regretter sa désobéissance ! Hélas, mon garçon, nous ne sommes pas au bout de la punition ! »

La règle n’avait cessé son office qu’une poignée de secondes et cela avait semblé une bouffée d’air pur à Philippe. Malheureusement, la fessée reprit, tout aussi sévère qu’avant. Il en comprenait la nécessité. Il avait défié l’autorité de sa baby-sitter, uniquement parce qu’elle était plus jeune que lui, alors que ses exigences étaient très raisonnables. Il en était puni selon les normes mises en place par sa belle-mère, ce qui faisait partie de sa vie maintenant, tant qu’il habiterait chez elle.

Il trouvait une sérénité qui avait perdue depuis longtemps quand on s’occupait de lui et il voulait que cela continuât. Il pouvait se laisser aller entre les mains expérimentées de Maman Marianne ou de Madame Bernadette qui le guidaient et décidaient ce qui était bien pour lui. Avoir une baby-sitter, ce n’était que rajouter une personne dans ce lot et il devait reconnaître que Mademoiselle Annette s’y était plutôt bien prise avec eux deux. Au fond de lui-même, il voulait que cela continuât. L’obéissance à leur autorité, les toilettes, y compris des parties les plus intimes, les séjours au coin et les fessées quand elles le jugeaient nécessaire, tout cela faisait partie du lot, c’était indissociable des câlins sur les genoux.

Comme Aurélie, il voulait avoir accès à tout cela de la part de Mademoiselle Annette. Mais il fallait qu’il soit clair qu’il serait maintenant obéissant, mais il y avait du chemin à faire. La fessée à la règle qu’il recevait était l’une des épreuves qu’il avait à passer et elle serait difficile.

Il relégua à l’arrière-plan sa pudeur bien naturelle à exposer ses fesses et ses attribut sexuels, ainsi que la honte qu’il avait de recevoir la fessée déculottée. Tout cela était bien présent, mais ce n’était pas le plus important à ce moment-là. Comme Mademoiselle Annette le désirait, il devait montrer qu’il regrettait ses désobéissances et, la règle aidant, il n’avait pas besoin de se contraindre pour le faire.

« Aïe, Mademoiselle Annette, aïe, pardon ! »

Ses pieds battaient dans l’air en un mouvement compulsif à chaque fois que la règle cuisait un peu plus ses fesses.

« Aïe, je ne le ferai, aïe, ferai plus, aïe, je le promets, aïe ! »

Mademoiselle Annette ne répondait pas, attentive à ce que la leçon qu’elle donnait à Philippe soit durablement inscrite dans son cerveau. Il fallait, pour cela, que la fessée soit mémorable. Elle s’y employait avec le sérieux qu’elle mettait dans tout ce qu’elle entreprenait, l’éducation de ses deux pupilles ne faisait pas exception à la règle.

Cela faisait un bon moment que Philippe pleurait. Il ne suppliait plus, mais il ne cessait de gigoter, presque de se débattre, sans chercher pourtant à fuir les genoux de sa baby-sitter. Mademoiselle Annette l’avait, à plusieurs reprises, grondé pour être aussi peu sage pendant l’administration de sa fessée. Cela n’avait rien donné. Philippe ne cessait de se tordre dans tous les sens, malgré les remontrances qui lui étaient adressées.

Mademoiselle Annette avait dû immobiliser son bras en le tordant dans le dos de son pupille et elle appuyait de toutes ses forces sur le buste de Philippe, le maintenant difficilement en place.

« Philippe, si ne te tiens pas plus tranquille, nous en rediscuterons demain avec Madame Marianne ! »

Même cette menace était restée sans effet. Philippe aurait bien voulu rester plus stoïque durant sa fessée, mais il ne le pouvait pas. La brûlure que causait la règle était insupportable et c’était bien involontairement qu’il se trémoussait, cherchant à éviter la règle, mais Mademoiselle Annette trouvait toujours un terrain qu’elle n’avait pas encore visité.

Cela donnait l’impression à Annette que son pupille voulait mettre fin prématurément à la fessée, ce qui la mettait dans une colère de plus en plus noire.

« Mais quand se rendra-t-il compte que si je le fesse, c’est parce qu’il l’a mérité et qu’il en a besoin ? Je ne céderai pas la première ! »

C’est l’attitude de Philippe qui changea progressivement. Certes, l’application de la règle était toujours aussi douloureuse, mais c’était comme si l’accumulation de fessées avait anesthésié son épiderme. Ses mouvements se firent moins brusques, bien que ses sanglots ne se calmèrent pas. Bientôt il n’y eut plus que ses pieds qui remuaient encore de temps en temps, mais bien plus faiblement qu’au début.

Mademoiselle Annette estima qu’elle était arrivée au résultat escompté et que Philippe n’était pas près d’oublier cette fessée. Elle se promettait, cependant, d’avoir, le lendemain une sérieuse explication avec lui sur la nécessité de respecter son autorité sans tergiverser. Elle était insatisfaite de ne pas y être arrivée dès le premier soir, amis elle se promettait de ne pas en rester là. Pour le moment, elle se dit qu’elle avait fait le maximum de ce qu’elle pouvait.

« Va au coin, et vite ! »

Philippe ne se le fit pas dire deux fois, trop heureux d’être enfin arrivé à la fin de la fessée. il se précipita vers le coin, y fourra son nez le plus près possible du mur, il croisa ses mains dans son dos et releva sa veste de pyjama au-dessus de ses reins. Puis il s’immobilisa, bien décidé à rester là tant que Mademoiselle Annette ne l’autoriserait pas à bouger.

 

Dans son empressement à se rendre au coin, il ne l’avait pas entendu sortir de la chambre, mais il discerna sans difficulté quand elle y revint. Sans doute avait-elle jeté un œil sur son puni qui se tenait au coin, mais elle ne fit aucune remarque. Philippe se sentit ignoré.

« Tourne tes fesses vers ici, ma chérie, que je vois si mes fessées ont laissé des traces ! »

Mademoiselle Annette releva la chemise de nuit d’Aurélie. Elle passa sa main sur la peau nue. Aurélie était partagée. Il était évident que la caresse était agréable, bien plus qu’une fessée. Mais elle n’avait pas l’habitude de sentir une main étrangère sur cette partie de son anatomie.

C’était gênant de ne plus avoir aucune intimité, ce qui était le cas depuis son retour dans la maison familiale et Mademoiselle Annette avait pris naturellement les habitudes de sa mère. Exposer les fesses nues d’Aurélie ne semblait plus poser problème à personne, excepté à Aurélie elle-même, ce qui était un détail négligeable pour les personnes de son entourage. Tout autant que quand on lui baissait la culotte ou quand on la fessait, c’était à ce genre de comportement qu’Aurélie se rendait compte combien elle était maintenant considérée comme une personne mineure.

La main s’attarda là où les cuisses s’élargissaient pour former les fesses. Aurélie fit une très légère grimace. Ce n’était plus vraiment douloureux, mais la peau était encore sensible.

« Eh oui, plus de traces, mais les effets ne sont pas encore dissipés. C’est normal après la grosse fessée que je t’ai donnée. Mais tu l’avais méritée. Je suis certaine qu’elle t’a fait beaucoup de bien, n’est-ce pas ? »

Aurélie était étonnée par l’insistance des adultes à vouloir que leur puni confirmât la pertinence et l’utilité de la fessée qu’ils avaient reçue. Non, une fessée ne faisait pas de bien. Tout au plus apprenait-elle l’urgence d’obéir… sous peine d’une nouvelle correction, mais c’était probablement ce que recherchaient ses fesseuses et là, Aurélie en reconnaissait l’efficacité.

Elle n’avait plus aucune envie que Mademoiselle Annette lui rougisse de nouveau les fesses. Surtout après la démonstration à laquelle elle venait de se livrer avec Philippe. Aurélie avait compris que celle qu’elle avait reçue, qu’elle prenait pour une énorme fessée, n’était, après tout, qu’une banale correction et que si nécessaire sa baby-sitter pouvait faire beaucoup mieux. Il était donc préférable d’abonder dans son sens.

« Oh oui, Mademoiselle Annette !

– Bien, ne bouge pas de là, je vais voir si ta Maman n’aurait pas quelque pommade à mettre sur ces fesses. Laisse la chemise de nuit là où elle est. Je reviens dans quelques minutes. »

Aurélie était restée là, les fesses nues exposées et bien qu’il n’y eût personne pour les voir, cela l’indisposait. Elle regarda ce que faisait Philippe. Celui-ci se tenait bien sagement dans son coin et ses yeux ne devaient pas voir plus de quelques centimètres carrés du papier qui recouvrait l’angle du mur. Pas de risque de ce côté-là d’être aperçue en une aussi peu flatteuse situation.

« Quand même, c’est assez gênant ! »

Elle fit un peu retomber sa chemise de nuit qui recouvra un peu le haut de ses fesses.

« Encore un peu plus, se dit-elle. »

Elle tira sur le vêtement qui se déroula soudainement et retomba sur le haut de ses cuisses.

« Mademoiselle Annette va s’en apercevoir ! »

Elle remonta le vêtement, mais ce n’était pas facile à faire tout en étant allongée et en essayant de bouger le moins possible. Elle n’avait réussi qu’à le remonter un petit peu quand Mademoiselle Annette revint.

« Mais qu’est-ce que c’est que ça ? »

La main atterrit sur le haut de la cuisse. Deux fois, trois, quatre fois.

« Tu ne pouvais pas attendre sagement comme je te l’avais demandé ? »

Mademoiselle Annette releva la chemise de nuit et elle claqua les fesses, trois fois de chaque côté, puis elle roula de nouveau le vêtement sur les reins d’Aurélie. Ce fut alors une vraie fessée. Une main tenant fermement le bas du dos et l’autre claquant fortement les rondeurs de la jeune femme. Aurélie poursuivit la correction bien après que les cris et les gémissements d’Aurélie eurent montré que la punition portait ses fruits.

« Tu mériterais que je te mette au coin, comme Philippe ! Tu as de la chance qu’il soit presque l’heure de dormir ! »

Aurélie n’avait pas cherché à se soustraire à cette punition. Elle savait que toute protestation, tout geste de révolte ou simplement toute tentative pour protéger ses fesses aggraverait automatiquement la sanction. Finalement, en acceptant la punition, elle n’avait eu qu’une petite fessée. Sèche, mais pas bien longue. Elle estima qu’elle s’en était tirée à bon compte.

Elle en eut la confirmation quand elle sentit la fraîcheur de la pommade couler sur ses fesses, puis la main de sa baby-sitter l’étaler en petits cercles sur toute la surface de son épiderme fessier. Cela faisait du bien. Elle se détendit. Mademoiselle Annette savait s’y prendre, aussi bien pour donner la fessée que pour en atténuer les effets.

Cela rappelait, à Aurélie, une situation similaire qu’elle avait vécue quand elle avait six ou sept ans. C’était une jeune fille qui la gardait, un soir. Au moment du coucher, comme Aurélie s’était plainte d’une irritation cutanée, la baby-sitter avait relevé sa chemise de nuit pour examiner la peau. Comme ce soir, à plat ventre dans son lit, Aurélie avait senti la douceur de la crème apaisante sur son postérieur, doucement étalée par la main de la jeune fille. Elle s’était endormie sous la caresse/

Aurélie chassa toutes les pensées désagréable de sa tête. Elle voulait, comme quand elle était petite, profiter de la douceur de la main sur ses fesses. Elle sombrait dans les premières phases du sommeil quand elle sentit un bisou tendrement déposé sur sa joue, puis qu’on rabattait la chemise de nuit pour lui couvrir les fesses et la voix de Mademoiselle Annette qui disait :

« Bonne nuit, ma chérie ! »

A travers ses paupières closes, elle perçut qu’on éteignait la lumière.

« Mais… et Philippe ? »

Ce fut une brève pensée avant de sombrer dans le sommeil.

 

« Et moi, se dit Philippe ? Elle ne va pas me laisser là toute la nuit ? »

Il n’y avait plus de lumière dans la chambre. La pénombre était éclairée par une lueur qui venait du couloir. Philippe sentit un tapotement sur ses fesses. Il en fut rassuré. Mademoiselle Annette ne l’avait pas oublié. Elle lui prit la main sans dire un seul mot et elle l’entraîna derrière elle vers le lit sur lequel elle s’assit.

Elle tira Philippe à elle et elle l’installa, entre ses jambes, à plat ventre sur sa cuisse. C’était une position qu’elle avait adoptée pour donner la fessée. Philippe eut une pointe d’inquiétude jusqu’à ce qu’il sentît la crème couler sur ses fesses. Cela faisait du bien. Il rapprocha sa tête du flanc de sa baby-sitter et il posa sa joue contre sa robe.

Le massage se poursuivait. Mademoiselle Annette rajouta un peu de crème qu’elle fit glisser sur le haut des cuisses. La min s’insinuait entre ses jambes et effleurait ses bourses, mais cela n’avait plus d’importance.

Oublié l’âge de la femme sur le genoux de laquelle il reposait, oubliés ses fesses nues à sa vue, oubliée la main qui avait accès aux zones les plus intimes de sa peau. Il se laissa aller et il se serait endormi si Mademoiselle Annette ne l’avait pas arrêté.

« Tu ne t’endors pas là, mais dans ton lit. »

Elle lui tapotait les fesses. Philippe grogna de déplaisir : pourquoi arrêtait-elle ? Une claque sur les fesses lui rappela l’obéissance qu’on attendait de lui.

« Au lit, en vitesse ! »

Ne doutant pas qu’une deuxième désobéissance serait sanctionnée bien plus sévèrement, Philippe se glissa sous la couette que Mademoiselle Annette tenait ouverte. Il ponctua d’un petit cri une première tentative de s’allonger sur le dos.

« Mets-toi sur le ventre, gros nigaud ! Tes fesses ne supporteront pas ton poids cette nuit. »

Quand il fut sur le ventre, il sentit la main de sa baby-sitter se glisser sous son pantalon de pyjama et masser ses fesses.

« As-tu encore mal, lui chuchota-t-elle à l’oreille ? »

Il hocha la tête.

« Alors, c’est que tout va bien, après la fessée que j’ai dû te donner, c’est tout à fait normal. Je vais rester près de toi pendant que tu t’endors, mais n’oublie pas, demain, nous reparlerons de ton comportement de ce soir. »

Il eut un petit coup au cœur. Oui, ce qui s’était passé ce soir n’était pas clos. Cela n’annonçait pas un début de journée enviable. Mademoiselle Annette lui avait baissé le pantalon de pyjama jusqu’au milieu des cuisses. Elle fit couler de la crème et le lent massage reprit.

« Finalement, j’aime bien Mademoiselle Annette. J’espère qu’elle nous gardera d’autres jours. Même s’il y a des fessées ! »

Il était endormi quand Mademoiselle Annette lui remonta le pyjama.

« Je pense que je vais m’attacher à ces deux-là. Il y a beaucoup de travail à faire pour qu’ils deviennent des jeunes gens bien sages, mais ils sont si mignons ! »

Elle quitta la chambre en soupirant.



Quoi ? Il y en a encore qui n'ont pas lu les chapitres précédents !

Ah, là, là, là, là, là, là ! Bon,  voici début : le chapitre 1
Et le précédent : le chapitre 14


Oui, mais est-ce qu'il y a une suite ?

Eh ben... tu verras bien la semaine prochaine !

Allez, un commentaire !

Alors ? Qu'en dites-vous ? Abondance de commentaire ne nuit point.

5 commentaires:

  1. Quelle autorité cette demoiselle !
    J'avoue que recevoir une fessée déculottée par une personne plus jeune doit être très humiliant pour ces deux jeunes gens,, mais ces fessées sont bien méritées. Encore encore, on en redemande mademoiselle annette.
    Sylvie

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci Sylvie,
      Bien que plus jeune, Mademoiselle Annette exerce une autorité attentive. La situation pour Philippe et Aurélie est donc paradoxale entre la légitimité à punir qui lui est confiée confirmée par sa maturité, et sa jeunesse.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  2. Bonjour Sylvie,
    Les aventures de Mlle Annette et Maman Marianne sont passionnante. Il y a toujours des fesses qui rougissent au son des bonnes claques. Peu t-on espérer une suite ?

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour, Je suis une fervente passionnée de vos claquantes histoires. Avez-vous besoin d'un peu de motivation pour continuer votre récit ?
    Au plaisir de vous lire

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour Cathy,
      Motivation ? De quoi voulez-vous parler ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.