mardi 22 septembre 2020

La SFID - saison 3 - chapitre 19

 Fin de période d’essai

Le séminaire fini, les commerciaux repartis sur leur secteur, le siège de la SFID reprenait sa routine habituelle.

Le barnum abritant les réunions avait été démonté, j’avais retrouvé mon bureau et Aurélie en ligne de mire dans son cagibi vitré. Sa formation allait bientôt se terminer et j’allai pouvoir relâcher la pression que je mettais sur elle, pression que m’avait mise Madame Leroy à l’arrivée d’Aurélie.

Mais avant de la déclarer apte à son poste j’avais décidé de frapper un grand coup et de lui faire payer une bonne fois pour toute, les corrections que par sa faute j’avais reçu de Madame Leroy et de Céline. J’en gardais encore le souvenir cuisant et humiliant.

Aurélie était certes compétente et parfaitement adapté au poste pour lequel elle avait été embauchée.

Mais c’était aussi une petite garce et paresseuse par-dessus le marché, j’avais eu le temps de m’en apercevoir et Céline aussi d’ailleurs.

La connaissant maintenant mieux, j’étais sûr de la prendre en faute si je rentrais dans le détail de son travail.

Quelques jours avant la date de la fin de sa période d’essai j’entrai dans son bureau un matin alors qu’elle était debout en train de boire un café. Sans lui demander quoi que ce soit je m’asseyais à son poste de travail devant son écran.

Interloqué par ma présence je sentis tout de suite que j’avais touché juste car Aurélie d’ordinaire plutôt sûre d’elle semblait soudain mal à l’aise. D’autant qu’elle revivait presque à l’identique un épisode qui lui avait déjà valu une solide fessée.

« Aurélie, en tant que responsable hiérarchique je me dois de contrôler votre travail et entre autres ce que vous visitez comme site pendant vos heures de travail. »

Ce faisant j’allais derechef sur son historique. Et là, je ne fus pas déçu. Outre des sites de ventes de fringues à prix cassés je tombai aussi sur des sites de vidéos porno. Lorsque j’allais plus loin, je vis qu’Aurélie avait une préférence pour des garçons bien membrés et pour une position ou la femme présentent ses fesses à l’homme derrière elle.

Je tenais là un motif de punition magistrale dont elle allait se souvenir.

Je commentais devant elle ce que je voyais dans son historique et au fur et à mesure Aurélie devenait cramoisie. Elle aurait pu percer le plancher pour descendre deux étages plus bas qu’elle l’aurait fait immédiatement. »Outre le fait que vous continuez à surfer sur des sites d’achat en ligne pendant vos heures de travail, vous allez en plus vous distraire sur des sites pornographiques. Vos fantasmes vont beaucoup intéresser Madame Leroy qui vous embauché ».

A ces mots Aurélie tomba presque à genoux devant moi, le visage défait.

« Oh non s’il vous plait Georges, n’en parlez pas à Madame Leroy. Elle ne voudra pas me garder et je perdrai tout. J’aime mon travail, j’aime travailler avec vous. J’adore Céline avec qui je m’entends bien même si elle me fouette de temps en temps car je l’ai mérité. Mais par pitié n’en parlez pas à Madame Leroy ! J’ai effectivement été sur certain site pendant mes heures de travail. Mais c’était à titre de récréation. Je n’ai jamais compté mes heures et vous ne pouvez pas me reprocher mon incompétence. Je sais que je mérite une correction magistrale. Je m’y soumettrai car c’est moi qui me suis mis dans cette situation. Mais par pitié n’en parlez pas à Madame Leroy. Punissez-moi, aussi sévèrement que vous le jugerez bon, mais n’en parlez pas à madame Leroy. »

Devant un tel plaidoyer et une telle sincérité je ne pouvais que m’incliner.

« Soit Aurélie, je veux bien entendre vos arguments. Il n’en demeure pas moins que vous encourez une solide correction que j’aurai le devoir de vous administrer. Compte tenu de vos fautes, cela ne peut être que la canne anglaise qui réglera cette sanction. Soixante coups me paraissent un minimum. Cela dépendra de votre attitude pendant la correction. Je vous laisse 24 heures pour vous y préparer. »

Rendez-vous demain même heure en salle de correction.

Le soir même et alors qu’Aurélie était déjà allé se coucher dans sa chambre, fatigué et ébranlé par mon contrôle inopiné sur son travail et des conséquences induites, j’en parlai à Céline à la fin de notre dîner.

« Cette fille est décidemment incorrigible me dit Céline. Je l’ai pourtant fouetté plus d’une fois ici pour son manque de rigueur dans la tenue de sa chambre et de la maison. Mais là elle dépasse les bornes. Allez consulter des vidéos porno pendant son travail, cela dépasse l’entendement. C’est sûr et certain que si Madame Leroy l’apprend, elle est virée sur le champ après qu’elle lui eut déchiré les fesses au chat à neuf queues. Avec tes 60 coups de canne, tu es un enfant de chœur. Que tu ne racontes pas à Madame Leroy le détail de ce que tu as découvert dans l’ordinateur d’Aurélie, je peux le comprendre car tu la condamnes à l’exclusion sans appel assortie d’un châtiment corporel sans égal. Je me suis pris d’affection pour Aurélie et cela m’ennuierait qu’elle se fasse virer pour avoir visionné de belles bites et de belle levrette.  C’est vrai qu’elle ne connaît encore personne ici à part nous et qu’elle doit être en manque mais fait lui payer au juste prix ses turpitudes. C’est un minimum de 100 coups qu’il lui faut et avec une cane épaisse pour bien qu’elle les sente. »

Céline avait raison. Cette fille avait besoin d’une bonne leçon qui lui mettrait du plomb dans la tête. Ou plutôt de la réflexion dans la peau de ses fesses.

Le lendemain matin j’allais au showroom pour choisir l’outil approprié. J’ouvrai le tiroir des cannes anglaises qui en contenait une bonne vingtaine. Je choisis un rotin d’une bonne longueur et surtout d’une épaisseur de 8mm propre à marquer l’esprit et les fesses d’Aurélie. Cette épaisseur était habituellement réservée aux jeunes adultes de sexe masculin.

Afin d’avoir toute la souplesse nécessaire j’allais le faire tremper dans le broc à eau prévu pour cette usage en attendant l’heure de la correction. Comme pour les verges fraiches, le rotin nécessitait un passage dans l’eau afin qu’il s’humidifie suffisamment pour garder sa souplesse.

Quant à Aurélie elle avait rejoint son bureau où elle travaillait comme jamais en attendant et en pensant à la correction magistrale qui l’attendait quelques heures plus tard.

A l’heure dite nous nous retrouvâmes donc en salle de correction. Aurélie se déshabilla sans tarder et je décidais de la sangler sur le ban de fessée pour être certain qu’elle ne bouge pas.

Ses petites fesses toute blanche gardait encore quelques traces de la cravache que lui avait appliquée Céline à la maison.

Lorsqu’elle vit la cane en rotin dans mes mains, Aurélie pâlit car l’instrument inspirait la peur à ceux à qui il était destiné.

Je décidai compte tenu du nombre de coup à appliquer d’y aller doucement au début afin de chauffer les fesses et de renforcer les impacts en deuxième partie de punition.

Aurélie qui avait sa fierté serra les dents et parvint à se contenir jusqu’au dixième coup.

Mais la cane est un instrument extrêmement cuisant et qui ne laisse personne indifférent.

Des plaintes sourdes commencèrent à poindre au fur et à mesure que les lignes rouges se faisaient plus nombreuses sur les fesses. Afin d’équilibrer la fessée je changeai de côté tous les 20 coups pour que les fesses ne soient pas plus abimées d’un côté que de l’autre. A partir du cinquantième coup Aurélie ne pouvait plus se contrôler et me suppliait d’arrêter en pleurant et criant. Heureusement la salle de correction était parfaitement insonorisée et seul les murs et moi-même pouvions entendre les plaintes d’Aurélie.

Céline qui savait que je corrigeais Aurélie passa surement pas par hasard dans le couloir et me sourit malicieusement en dessinant le chiffre 1 suivi de deux 0 pour me rappeler son conseil éclairer d’aller jusqu’à 100 coups. Puis elle disparut appelé par d’autre tâche.

Les fesses d’Aurélie commençaient à ressembler à 2 belles tomates sortant du four quand je décidais d’arrêter. Nous en étions quand même à 80 coups et j’estimais que la punition était suffisante vu la sévérité de la fessée à la canne. Je sermonnais Aurélie une dernière fois en lui disant que dans ma grande bonté je n’irai pas jusqu’à 100 bien qu’elle l’a mérité. J’enlevais les sangles de cuir et la laissant se relever grimaçantes de douleur. Elle allait devoir dormir sur le ventre quelques jours.

Le soir même dans la cuisine Céline me demande comment c’était passé la correction d’Aurélie et si je lui avais bien appliqué les 100 coups comme elle me l’avait préconisé. Ne voulant pas la décevoir et jugeant ma réponse sans grande importance je lui dis que oui bien sûr et que vu l’état des fesses d’Aurélie elle aurait du mal à s’assoir quelques jours. Satisfaite elle me répondit qu’un chef n’avait pas de pitié à avoir pour ses subordonnés et qu’Aurélie avait largement mérité ses 100 coups. Que si Madame Leroy avait officié cela aurait été pire.

Quelques minutes plus tard Aurélie rentre à son tour dans la cuisine pour boire un verre. Elle a une mauvaise tête et les yeux encore rougis de sa correction. Elle marche difficilement.

Céline un brin moqueur lui demande alors : 100 coups de canne épaisse, tu dois avoir les fesses douloureuses ?

Aurélie répondit de mauvaise humeur : d’abord c’est pas 100 coups mais 80 et ensuite qu’est-ce que cela peut te faire !

Céline devint blême, se planta devant moi et hurla hystérique : Georges c’est pas vrai,  tu m’as menti, tu m’as menti !

Tu vas me le payer et tout de suite. Monte au grenier, j’arrive et moi je vais te les donner les 100 coups, tu vas voir et tu vas les sentir. Tu vas le regretter sale menteur.

Abasourdi par ce qui venait de me tomber dessus et terrorisé par une Céline en furie je montais précipitamment dans notre salle de correction. A peine avais-je eu le temps de me déshabiller qu’elle entra, attrapa une des plus grosses canes à disposition et sans même m’attacher commença à me cingler les fesses sans retenue. Elle passa sa rage sur moi durant un bon quart d’heure jusqu’à ce qu’elle éructât le chiffre de 100. Le sang commençait à perler sur les boursouflures de mes fesses et je regrettais amèrement de ne pas être allé jusqu’au bout de la punition d’Aurélie. Une fois de plus j’en payai cash les conséquences.

Ne me mens plus jamais Georges, tu as vu les conséquences aujourd’hui mais si tu recommençais ce sera encore pire.

Me le tenant pour dit j’allais me mettre au coin main sur la tête laissant mes fesses refroidir pendant une bonne demi-heure.

Je me rhabillai et descendais dans la cuisine rejoindre Céline pour le dîner. Sa rage passée, le châtiment donné, Céline tournait la page considérant que la correction avait absous la faute.

Nous devisâmes donc tranquillement elle assise moi debout ne pouvant poser mon séant tellement il me cuisait.

A la fin du repas et prise d’un soudain remord Céline me dit doucement

« Ecoute Georges j’y suis allé peut-être un peu fort ce soir, mais il faut me comprendre je ne supporte pas que tu puisses me mentir. Je t’ai bien abimé le fesses aussi je vais te faire un massage avec de la crème à l’arnica. Va te mettre sur le lit et j’arrive.

Etonné et ravie de ce brusque revirement, je filais me mettre nue et m’allonger sur le ventre.

Le fait de mettre mes fesses encore chaudes à l’air me procura déjà une sensation de fraicheur.

Céline arriva avec la pommade dont elle prit une noix qu’elle déposa sur délicatement sur chaque fesse. Puis doucement, avec le bout de ses doigts, par rotation circulaire elle commença un massage sensuel qui après la dureté de la cane rempli mon cerveau d’une nébuleuse de douceur.

Au bout de quelques minutes de ce traitement je sentis ma virilité se réveiller et mon sexe se mit à bander durement. Je bougeais un peu pour le libérer sous moi. Céline s’en aperçut et compris très vite pourquoi j’avais bougé. Elle n’en continua pas moins à caresser mes fesses pendant quelques minutes. Puis elle me susurra à l’oreille :  « maintenant retourne toi Georges, je vais te faire une happy end. »

 Emporté par mon excitation je me retournai immédiatement dévoilant un sexe turgescent et ne demandant que cela.

Céline repris de la crème dans ses paumes et attrapant ma verge commença à l’enduire puis à la masser sensuellement. Elle montait et descendais sa paume et s’arrêtait juste à la base du gland me procurant de langoureuses sensations. Quand elle commença à masser le gland en l’entourant dans un conduit formé par son pouce et son index je sentis la pression monter. Au bout de quelques minutes de ce traitement, ne pouvant plus résister, j’éjaculais dans sa main en émettant des râles de jouissance. Céline me déposa un baiser sur ma bouche. J’étais apaisé et heureux.

 Un moment comme celui-ci valait bien 100 coups de canne.



Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 18 b
La suite au prochain chapitre... la semaine prochaine

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