Que croyais-tu, mon garçon ? Que tu allais suivre des cours de rattrapage en dilettante ? Que les devoirs que je te donne à faire et les leçons à apprendre sont facultatifs ? Je t'avais prévenu que je serai très exigeante sur le travail que tu aurais à faire et que je ne laisserai rien passer. Tu devrais pourtant te souvenir comment j'exigeais que tous les élèves travaillent quand tu étais dans ma classe, il y a quelques années maintenant, et que je n'aimais pas les petits paresseux.
Je t'ai promis que tu allais faire de rapide progrès en orthographe avec ces leçons particulières, qu'à vingt-trois ans, tu allais apprendre tout ce que je n'ai pas réussi à t'inculquer quand j'étais ta professeure en terminale. Je ne pouvais recourir aux bonnes méthodes bien que j'aie eu affaire à un jeune homme qui refusait de faire les efforts nécessaires.
Crois-tu que je vais te laisser recommencer les mêmes erreurs ? Comment oses-tu venir chez moi pour ton cours particulier, sans avoir fait les devoirs que je t'ai donnés à faire la semaine dernière ? Tu n'as même pas amené ton cahier ! Sans compter les règles de grammaire que tu devais apprendre et que tu es tout juste capable d’ânonner en bafouillant et en faisant tant d'erreurs et d'approximations que je ne sais plus les compter !
C'est la dernière fois que tu arrives en retard, avec ton petit sourire en coin, celui du mauvais élève qui sait qu'il n'a pas travaillé comme il aurait dû, et qui fait semblant que cela lui est égal. J'ai l'impression que tu ne prends pas plus au sérieux mes leçons particulières, que tu le faisais quand tu étais en cours l'année où tu aurais dû passer ton bac. Crois-moi, je vais te faire comprendre combien tu dois être plus concerné par ce que tu fais avec moi.
Avec toi, les réprimandes, les heures de colle, les devoirs supplémentaires, les convocations de tes parents, rien ne marchait ! Je savais de quoi tu avais besoin, mais je ne pouvais pas utiliser les méthodes qui fonctionnent si bien. Tant que tu étais mon élève, je n'en avais pas le droit. C'est regrettable, mais c'est comme ça !
Maintenant, c'est très différent ! Nous ne sommes plus au lycée. Je ne suis plus tenue par les règlements, ou plus exactement, c'est moi qui les élabore. La palette des sanctions pour les élèves paresseux a changé. Ce sera une bonne fessée déculottée à chaque fois !
Désormais, je te baisserai la culotte et je te fesserai à chaque fois que je ne serai pas satisfaite de ton travail ou de ton comportement. Bien évidemment, un devoir oublié ou bâclé, ce sera la fessée, une leçon sue approximativement et tu viendras faire un tour à plat ventre en travers de mes genoux.
Ce sera pareil la prochaine fois où tu te pointeras en retard, pas rasé, à peine éveillé ou quand je constaterai des tâches sur tes vêtements comme aujourd'hui. Et je ne parle pas de ta culotte que, à l'évidence, tu n'as pas changé depuis plusieurs jours. De quand date ta dernière douche ? A voir l'état de propreté de tes fesses, cela doit faire un sacré moment !
Il est temps que je te reprenne en mains ! Je ne vais pas pouvoir m'occuper de tout cela dès maintenant. Dans un quart d'heure, j'attends une jeune femme pour sa leçon particulière. Je crois que tu la connais, elle était dans la même classe que toi en terminale. Tu va donc aller te mettre au coin.
Tu y resteras toute l'heure que dureras son cours. Ce sera dans cette pièce, comme ça je t'aurai sous les yeux en permanence. Comme je vais commencer laver ta culotte, j'ai bien peur que tu doives y rester les fesses nues. Cela lui servira d'avertissement à elle aussi. Elle saura ce qu'elle risque si je ne suis pas contente de son travail ou si elle arrive avec une tenue négligée.
D'abord, je commencerai par te doucher. Je vais te montrer comment il faut s'y prendre pour être bien propre. Je te promets que tes fesses seront d'une propreté impeccable. Je dois pouvoir trouver une chemise et un pantalon à ta taille. Il est hors de question que tu me remettes les tiens qui sont tout tâchés et déchirés.
Ensuite, tu feras les devoirs que je t'avais donnés. Puis tu apprendras tes leçons et tu me les réciteras. Gare à tes fesses si tout cela n'est pas fait parfaitement. J'ai une règle plate sur mon bureau, elle est prête à servir si ma main ne suffit pas à t'apprendre le sérieux que tu dois mettre dans ton travail.
Quand tout cela sera achevé, je te remettrai au coin, pour y attendre que ta culotte ait fini de sécher. Nous attendrons le temps qu'il faut. Cela te laissera le temps de penser à ce que tu dois changer d'ici ta prochaine leçon, dans une semaine. De toute façon, tu dois t'attendre à ce que je te déculotte et que je te fesse dès que tu l'auras mérité. Ce sera ainsi, désormais !
Il était vraiment temps que cela cesse, beau récit merci
RépondreSupprimerBonjour JLG,
RépondreSupprimerEncore une fois, Oncle Peter vous apporte ses lumières... (rires).
L'auteur de ce dessin est Franco, dans sa période NetB. Je préfère la série en couleur des "vieilles fesseuses" d'âge mûr. Au choix. Amicalement. Peter.
Merci Peter Pan !
SupprimerEncore un mystère résolu par Uncle Peter ! Mieux que l'inspecteur vinaigrette !
Rendons à Franco ce qui lui appartient, à commencer par ce dessin et remercions-le de nous avoir involontairement permis de l'utiliser.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Excellent récit bien rythmé mais sans dialogue. Ce "pauvre garçon" qui n'a sans doute pas son Bac doit, à 23 ans, reprendre des cours avec son ex-professeur de français. Dans quel but au fait ? En tout cas, il n'a pas l'air de prendre ces cours particuliers au sérieux. Il a tort ! En effet, n'étant plus obligée de respecter le carcan scolaire, l'enseignante peut enfin appliquer une méthode énergique mais qui a fait ses preuves sur des générations d'adolescents. J'ai connu cela il y a bien longtemps à un âge un peu plus jeune que ce garçon. J'espère qu'il y aura une suite à ce récit.
RépondreSupprimerOliver Twist
Cher Oliver Twist,
SupprimerCes petites histoires autour d'un dessin sont toutes écrites sur le même principe : Un texte court, collant parfaitement au dessin, c'est la personne qui donne la fessée qui parle... et il n'y a pas de suite.
Désolé, mais vous pouvez vous-même prendre la plume (ou le clavier) et en écrire la suite. N'oubliez pas que ce site est collaboratif et pour peu qu'on respecte la ligne éditoriale, toute publication est la bienvenue.
Au plaisir de vous lire,
JLG.