vendredi 11 septembre 2020

Quand le comportement à l'école laisse à désirer

 Mademoiselle, je vous ai acceptée dans ma classe sous l'aimable pression de Madame votre mère que j'ai le plaisir de connaitre depuis bien longtemps, bien que vous soyez bien plus âgée que mes autres élèves. A vingt-six ans, vous dénotez parmi vos camarades qui ont toutes autour de vingt ans !

Deux mois que vous êtes parmi nous, non seulement je ne peux pas dire que vous faites partie de la tête de la classe, vous rivalisez plutôt avec deux ou trois autres élèves pour occuper la dernière place, mais en plus vous vous permettez de perturber le bon déroulement du cours par vos singeries et vos ricanements.

Je comprends l'insistance de votre mère à ce que vous repreniez vos études après six ans d'interruption, suite à ce que j'appelle un caprice. Vous vouliez voir le monde, disiez-vous. Cela n'a pas été très probant et votre mère n'a accepté de vous reprendre chez elle, uniquement si vous acceptiez de vous conformer aux règles qu'elle vous imposait à la maison et que moi je dictais à l'école.

Si vous avez accepté, de mauvaise grâce, de ne plus vous maquiller, de vous habiller convenablement et de nouer vos cheveux, vous n'avez toujours pas compris qu'il est aussi nécessaire de faire ses devoirs et d'apprendre ses leçons tous les jours. Je suis persuadée que si vous le faisiez, votre niveau scolaire remonterait rapidement. Vous êtes intelligente et je ne vois que votre paresse congénitale pour expliquer votre si bas niveau.

Vous avez sans doute cru, qu'en tant que la grande de la classe, vous pouviez défier mon autorité et avoir un comportement en tous points inadmissible ? Comment avez-vous pu penser que je ne réagirai pas suite à vos pitreries et vos insolences ? Comment avez-vous cru que j'accepterai les incessants bavardages en classe ou vos retards répétitifs ? Et maintenant, vous refusez d'aller au coin comme je vous l'ai ordonné !

Soit ! Il semble que les punitions traditionnelles ne fonctionnent pas avec vous. Les convocations de votre mère restent sans effet, vous faites les devoirs supplémentaires que je vous donne, mais ils sont truffés de faute et les remontrances que je vous fais entrent par une oreille et sortent par l'autre aussitôt.

Il se trouve jeune fille que je sais comment traiter ce genre de comportement et que vous n'êtes pas trop grande pour subir la punition que j'ai décidé de vous administrer. Je ne vois rien d'autre qui vous convienne, qu'une bonne fessée déculottée !


Fessée dééculottée à l'école

Vous allez voir que c'est un remède souverain pour punir les petites filles dans votre genre, même quand elles ont plus de vingt ans. Vous n'êtes pas la première à passer sur mes genoux et il y en aura d'autres après vous. Il m'arrive assez souvent de devoir rougir le postérieur de certaines élèves récalcitrantes à la discipline ou au travail nécessaire à l'école. Dans cette institution les professeures ont la bénédiction des parents pour déculotter et fesser leur progéniture, c'est même une condition d'admission. Avez-vous pensé que vous passeriez au travers ?

Nous nous sommes fait une spécialité de remettre dans le droit chemin les jeunes filles qui ont dépassé leur majorité sans avoir suivi un cursus scolaire qui corresponde à leur âge. Etant donné que vous êtes toutes majeures, l'interdiction de la fessée ne vous concerne pas. C'est d'ailleurs pourquoi, comme les autres, vous avez signé un papier autorisant les encadrants à recourir aux châtiments corporels. Ici, ça veut dire une bonne fessée.

Si vous n'avez jamais assisté à la punition d'une de vos condisciples, c'est que cela se passe en privé, loin du regard des autres élèves. En avez-vous déduit que ce n'était une menace en l'air ? Mais tout le monde sait en quoi consiste une retenue dans la classe pendant la récréation. Surtout que vos camarades qui sont passées avant vous en sont sorties avec des larmes dans les yeux. Vous ne ferez pas exception à la règle. Ma brosse va vous montrer ce qu'être corrigée veut dire !


Désormais, vous serez fessée au moindre écart, que ce soit pour la qualité de votre travail ou pour votre conduite en classe. Comme j'ai dû m'employer pour vous coucher à plat ventre sur mes genoux et vous baisser la culotte, j'ai l'impression que vous n'avez pas encore accepté cette punition comme un moment salutaire dans votre parcours scolaire, alors que, vous verrez, elle le sera. Je pense que vous n'avez pas encore admis que l'obéissance et le travail assidu sont les seules attitudes admises dans cet établissement. Vous apprendrez, comme les autres, à subir vos fessées comme des punitions méritées qui vous sont administrées pour votre bien. Il n'est donc plus question que vous tentiez d'y échapper comme vous l'avez fait aujourd'hui en vous débattant pendant que je vous préparais.

Afin que tout cela soit bien clair, pour vous, je dérogerai aux habitudes en cours dans notre institution : je n'attendrai pas la récréation pour la prochaine fessée que j'aurai à vous donner. Ce sera devant toute la classe. Et bien entendu, cela ne m'empêchera pas de vous déculotter.

Je veux que vos camarades puissent constater que la forte tête de la classe a renoncé à défier l'autorité des professeures et qu'elle est soumise au traitement commun de toutes les petites filles qui se comportent mal.

Pour commencer, vous allez attendre, au coin, le retour  vos camarades. Je veux vous voir les bras croisés dans le dos, maintenant votre jupe bien haut au-dessus de vos reins et la culotte à hauteur de vos genoux. Je leur laisserai le temps de contempler les marques que ma brosse va laisser sur votre postérieur.



Merci à ...

... eh bien, je ne sais pas à qui, mais grand merci tout de même.  Si vous savez identifier ce dessinateur ou cette dessinatrice, faites-le-moi savoir !

Plus de fessées à l'école ? Voire !

  Fessée déculottée à l'école avec la règle          une fessée déculottée sur les genoux de la directrice


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5 commentaires:

  1. Il faut dire qu'elle l'a bien cherché. J'espère qu'elle sera plus sage la prochaine fois pour éviter la fessée déculottée publique.

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    1. Vous avez raison Caroline, rien de mieux que la fessée déculottée en public pour remettre en place les jeunes femmes désobéissante
      Sylvie

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    2. Bonjour Caroline, bonjour Sylvie,
      Effectivement, une bonne fessée déculottée remet les choses en place. Malheureusement, il est rare qu'une seule suffise. Les jeunes gens croient souvent qu'ils son bien trop malins pour se faire prendre. Il est plus que probable que cette demoiselle n'échappe pas à la règle et que sa professeure doive sévir à plusieurs reprises... y compris en public.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour JLG,

    Encore une nouvelle très à-propos. La rentrée, les étudiantes, la remise à niveau... "La maitresse, elle est méchante !" (rires)
    J'ai essayé de retrouver le nom de l'auteur/e de cette fessée mais, là, je pêche...
    J'ai pensé à ceux qui illustrent les couvertures des revues pour Scarlett Hill. Ou ceux de Nu-West Leda. Cependant, ce dessin (non signé ?) ne m'est inconnu pourtant. Stand-by ! Je passe le relais.
    (Grrrrr ! Ca m'énerrrrrve !)
    Amicalement. Peter.

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    1. Peter Pan,
      On ne peut pas gagner à tous les coups ! Je ne sais plus, pour ma part, où j'ai été pêcher ce dessin dont j'aime bien le style : noir et blanc, trait épuré... assez évocateur.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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