Tante Maud a ricané quand elle m'a vu arriver avec mon short à ras des fesses.
– Approche toi Fabien, il me semble que
tes cuisses ont pris des couleurs ou plutôt du relief.
Je me suis mis à sa portée et j'ai tourné
mes fesses vers elle en me penchant un peu, elle a passé la main doucement sur
mes cuisses meurtries.
– Ça ce sont des coups de martinet où je ne m'y connais pas, tu vas encore te faire remarquer si Lucie t'emmène en promenade, ça t'apprendra à t'attarder dans les toilettes mon chéri.
Décidemment, ma ruse a bel et bien été
éventé, même si ne mettant pas fait prendre en flagrant délit, la tante ne fait
pas état "officiellement" de ma masturbation supposée, les regrets
hélas sont vains et je pense avec horreur à la séance de lavement que vais
devoir subir le lendemain, alors que mon ventre cesse à peine de me faire des
misères.
Vers les quinze heures alors que ma
"tutrice" m'avait autorisé à lire dans ma chambre, Corinne est arrivée
et j'ai été "invité" à les accompagner faire des courses.
« Je vois que tu lui as encore
passé les fesses au martinet, qu'elle s'amuse en passant ses mains sur les
petites griffures et rigoles que m'ont laissé ses lanières.
– Oui et ce n'est peut-être pas fini, il
a intérêt à se tenir à carreau cet après-midi car ce matin il nous a fait
quelques bêtises, je te raconterai. »
Notre sortie a été très difficile pour
moi, j'avais déjà expérimenté les regards et commentaires que déclenchaient ma
tenue et surtout les incontestables traces sur mes cuisses d'une correction
récente que nul ne pouvait ignorer.
En plus, Lucie, comme la fois
précédente, démontrait par son attitude à mon égard qu'elle possédait toute
autorité sur ma personne, en me tenant presque tout le temps par le bras et en
joignant souvent le geste à la parole en me gratifiant de quelques claques sur
mon derrière quand elle estimait que je ne réagissais pas assez vite à ses demandes
qui étaient plutôt des ordres d'ailleurs.
C'est ensuite Corinne qui a pris le
relais et cela n'a pas modifié les choses. Les filles m'ont entraîné dans
diverses boutiques de fringues, je devais me contenter de les attendre,
sagement planté dans un coin, pendant qu'elles procédaient à des essayages, non
sans qu'elles me menacent ouvertement de temps à autre de me mettre une fessée,
genre "tiens-toi tranquille Fabien si tu ne veux pas avoir encore droit au
pan-pan cul-cul".
Je rougissais à chaque fois et
j'essayais de me faire oublier alors que le commerçant ou ses vendeuses me
jetaient des regards plus rigolards et grivois, qu'apitoyés.
A la troisième boutique, elles se sont mises
en tête de m'acheter un nouveau short, pour compléter ma garde-robe de punition,
qu'elles ressassaient en se marrant. Elles m'ont fait essayer des trucs de fille,
des genres de culottes spécial gymn très ajustées dans lesquelles, je me
sentais parfaitement ridicule.
On avait récupéré une cabine, dont elles
n'avaient évidemment pas tiré le rideau, se moquant ouvertement de ma gêne à me
mettre en slip, ce qui dévoilait encore plus les stigmates de ma dernière
raclée.
Demandant à la vendeuse qui était entré
dans le jeu, son point de vue.
« Ça lui va plutôt bien, mais cela
ne fait pas très viril, qu'elle pouffait. »
Pour finir, elles ont opté pour un truc
intermédiaire entre le slip et le short, une sorte de boxer qui ressemblait à
un collant de danse qu'on aurait raccourci aux débuts des cuisses qui me
moulait horriblement et notamment mes attributs, encore heureux, elles en ont choisi
un noir qui était vraiment à la limite de l'indécence pour s'exhiber en ville.
J'ai dû boire le calice jusqu'à la lie
et le porter immédiatement en lieu et place de mon mini short. Je serais rentré
sous terre !
Sur le chemin du retour de mon calvaire,
les deux filles sont entrées dans une pharmacie et elles m'ont laissé patienter
devant la porte avec une ferme interdiction de bouger, elles m'ont parlé comme
à petit chien qui n'a pas le droit d'entrer dans un magasin, non sans rajouter
à haute et intelligible voie " sinon gare à tes fesses".
Mon attente n'a pas duré plus de sept à
huit minutes, mais cela m'a paru bien plus long, tous les passants
m'observaient et ne savaient trop que penser de ma situation de planton et de mon
étrange accoutrement.
Encore heureux que parvenus à l'orée de
la maison, elle ne m'ait pas fait mettre nu comme la veille.
« Bien, Fabien tu vas prendre une
douche et nous allons nous occuper de toi.
– Mais j'en ai déjà pris une ce matin.
– Et alors, tu as transpiré et je ne
tiens pas t'épiler le pubis tout puant.
– Il n'en est pas question.
– Oh que si, j'ai raconté à Corinne ta
petite comédie de ce matin et la séance de lavement qui en a suivi, que tu saches
en passant qu'elle viendra m'assister demain matin pour procéder à cette délicate
opération. Je sens qu'on va bien s'amuser. »
Et les deux filles de s'esclaffer.
« Je te signale au passage que Maman
est d'accord pour qu'on fasse place nette, il n'est pas question que tu
contamines toute la famille avec tes poux.
–Mais je n'ai pas de poux, ce sont juste
quelques petits boutons.
– Tais-toi et va te doucher, je te
préviens que si tu résistes, cela va te valoir une bonne tannée, mais si tu
veux attendre le retour de Maman, libre à toi, je ne doute pas qu'elle m'incite
à la plus grande sévérité à l'égard de tes fesses, avec pourquoi pas un petit tour
dans le jardin. Si tu veux dormir plusieurs nuits sur le ventre, libre à toi. »
Je savais trop bien ce que signifiait le
tour dans le jardin, c'était de la branche de noisetier et des orties qu'il
s'agissait. J'avais trop souffert de leur dernière application, les morsures
avaient perduré trois jours durant, quant à la branche, c'est ma mère qui
l'avait inaugurée, on s'en souvient peut-être, succédant de peu à une fessée à
l'aide de la règle en bois, cela avait été une des plus douloureuses fessées de
ma vie. Je n'avais donc pas le choix si je voulais échapper à ces quasis-tortures.
« Et tu restes tout nu après ta
douche ! »
Je me suis donc pointé quelques minutes
plus tard dans la chambre de Lucie où les filles m'attendaient, plus rigolardes
que jamais. Elles m'ont laissé patienter nu comme un ver sur le seuil de la
chambre, je ne me serais pas hasardé à y pénétrer sans y avoir été invité, pérorant
comme si je n'existais pas.
Enfin, elles se sont décidées, ont étalé
un drap de bain sur le lit et Lucie m'a fait m'y allonger sur le dos avant d'étaler
sur mon pubis une crème que je supposais dépilatoire, c'était certainement ce
qu'elles avaient été achetée à la pharmacie.
Lucie a alors demandé à son amie de me
relever les jambes sur mon torse, c'était tout à fait gênant comme position,
j'avais véritablement l'impression d'être un nourrisson qu'on langeait.
Un froncement de sourcil de ma cousine
m'a incité à ne pas protester et je me suis laissé faire toute honte bue,
essayant de ne pas songer à la vision que je donnais de mon anus et du reste,
certes Lucie en avait vu bien d'autres, ce matin par exemple, il n'empêche,
c'était horriblement gênant.
Le pire est que à force d'aventurer
leurs mains près de mes testicules et de mon sexe, je commençais à avoir une
érection significative.
« Regarde le petit salopiaud en
profite pour bander, je crains que cela justifie une bonne correction quand on
aura terminé.
– Pitié Lucie, je n'y suis pour rien et
pour l'épilation on avait dit le pubis, pas les fesses. »
C'est Corinne qui s'est emparé de mon
sexe à pleine main et me l'a tordu en deux, ça ne m'a pas fait trop mal, mais,
mon engin a vite retrouvé sa taille première.
« Tu vois comme il ne faut le traiter,
nul besoin d'une fessée qui aurait parfois tendance à le faire grossir. En
revanche, je préfère quand son truc est décalotté, pas toi ?
– Si, ainsi, il est complètement mis à
nu, vas y.
– Regarde c'est chose faite ma chérie.
– Bien, on l'a bien tartiné de partout,
il n'y a plus qu'à attendre quelques minutes que le produit fasse effet.
– Et pour le corps du délit, si j'ose
dire, on lui laisse ses poils follets ?
– Bien sûr que non, mais je préfère me
servir du rasoir, Corinne, tu veux bien aller récupérer celui de Fabien dans la
salle de bain, avec sa bombe à raser.
– Tu t'en sors bien Fabien, tu échappes
à la cire liquide que nous autres filles devons appliquer sur nos jolies
gambettes et pour certaines ailleurs, je te garantis que c'est douloureux. »
Je me sentais néanmoins complètement
ridicule, tout nu, les jambes relevées sur mon buste, tartiné de crème,
exhibant mon sexe et mon oeillet aux deux filles, il n'aurait plus manqué que
Marie ou la tante Maud se pointent.
J'y ai heureusement échappé, les filles
ont ôté la crème avec une petite spatule, entraînant l'ensemble de mes poils pubiens,
çà a été un peu plus délicat pour mes fesses, elles m'ont obligé à me mettre à
quatre pattes, le cul en l'air " dans la position du coureur cycliste"
qu'elles ricanaient, pour " bien me finir" au rasoir et chasser les
poils récalcitrants.
J'étais passablement terrorisé de les
voir utiliser mon rasoir juste à proximité de mes testicules, mais j'ai été bien
obligé de m'exécuter et de prendre cette position honteuse, celle des bêtes
soumises.
Je dois dire qu'elles ont été plutôt
délicates, prenant à tour de rôle et sans vergogne ma queue ou mes bourses assez
longuement dans leurs mains fines aux fins de bien dégager la surface à raser,
ce qui évidemment provoquait un début d'érection qu'elle calmait aussi sec par une
forte claque sur mes fesses dûment exposées ou carrément sur l'objet du délit.
Le pire a été quand elle m'ont largement
écarté les fesses à deux mains pour éradiquer les derniers poils qui entouraient
mon anus, j'essayais bien de me persuader que c'était en quelque sorte un acte de
soins, presque médical, que les filles subissaient sans doute la même chose,
pour celles de plus en plus nombreuses qui se faisaient épiler intégralement,
ce qui n'était pas encore le cas de
Lucie pour ce que j'avais pu constater lors de la dernière fessée qu'elle avait
ramassée devant moi et qui remontait tout de même à plus d'une quinzaine.
Les deux coquines riaient beaucoup à mes
dépens, traitant ma verge comme une sorte de jouet en caoutchouc qu'elles se
renvoyaient l'une à l'autre, ce qui était infiniment mortifiant, je n'étais
plus un garçon de dix huit ans, mais un bambin qu'on pouvait laver, soigner,
épiler donc et traiter à sa convenance, sans qu'il ait le moindre mot à dire.
Enfin, ça s'est terminé, après un
dernier passage au rasoir et à la pince à épiler pour éliminer tout poil
survivant sur mes roubignolles.
J'était parait-il parfait, un vrai
nourrisson, dans leur grande bonté, elles avaient bien voulu laisser subsister
les quelques poils follets qui commençaient à envahir mon poitrail.
« Allez, viens, je crois que Maman
est arrivé, viens te faire admirer.
– Pas comme ça, tout nu, je n'ai rien
fait de mal.
– Pour l'instant, mais tu sais que tu as
une correction en sursis et si tu veux que je te la donne pour justifier ta
nudité, tu n'as qu'à rouspéter encore un peu.
– Non, non, pardon Lucie, j'y vais. »
C'est ainsi que j'ai dû mettre une
nouvelle fois ma pudeur entre parenthèses et aller m'exhiber, épilé de frais et
dans le plus simple appareil devant Marie et la tante Maud qui ont applaudi à
ma transformation et ont félicité les deux filles.
« Il est parfait comme ça, il
ressemble vraiment à un petit garçon, fais voir tes fesses, j'imagine que vous
n'avez pas fait les choses à moitié, mes chéries. »
J'ai dû tendre mes fesses et les écarter
des deux mains, humilié comme jamais, tandis que la tante, sans nulle vergogne
empaumait mes burnes pour vérifier qu'elles étaient désormais exemptes de tout
follicule pileux, ensuite ça a été le tour de ma verge qu'elle a pris à pleine
main. J'avais véritablement l'expression d'avoir été transformé en animal de
cirque !
Lucie m'a même décalotté, afin de
vérifier que j'étais bien net là aussi, j'étais tellement mortifié que cela ne
m'a même pas donné l'esquisse d'une érection !
Marie a même demandé à toucher elle
aussi pour voir si c'était bien doux.
« Je ne suis pas sûr que cela soit
convenable ma fille, mais vas y, vite fait.
– Alors ?
– Ça fait tout drôle, on dirait des petits
œufs.
– C'est bien ça, allez ça suffit. »
L'inspection terminée et les filles
félicitées pour la qualité de leur travail, j'ai enfin eu l'autorisation
d'aller me mettre en pyjama.
Lucie a raccompagné son amie et n'est
rentrée que pour le dîner, je faisais le maximum pour me faire oublier, adoptant
le profil le plus bas possible, pour échapper à la fessée plus ou moins promise
par ma cousine.
Faisant bien attention à respecter
toutes ses consignes, mais elle avait la tête ailleurs et elle ne m'a guère
jeté de regards comminatoires, j'ai profité de cette mansuétude provisoire pour
lui demander la permission d'aller lire dans ma chambre.
« C'est d'accord, je passerai te
border tout à l'heure ! »
Me border, putain, on aurait vraiment dit
que j'avais six ans ! Elle n'a pas manqué à son engagement et alors que j'étais
près de m’endormir, elle s'est pointée, a glissé une main furtive sous mon bas
de pyjama, caressant mon pubis désormais glabre, comme pour vérifier une
nouvelle fois la qualité de son travail, ne s'attardant cependant pas plus que nécessaire
sur mon service trois pièces, provoquant néanmoins une bandaison immédiate.
« Dors bien Fabien et ne t'avise
pas de te branler, déjà que demain matin, tu vas avoir droit à la suite de ta
punition, ce serait ennuyeux pour tes fesses que tu aggraves les choses, dans
compter que j'ai bien l'intention de les mettre à contribution, ne compte pas
que je poursuive dans mon attitude clémente d'aujourd'hui. »
Elle m'a quitté en me gratifiant d'un
baiser sur le front, le rappel de ses fâcheuses perspectives ne m'ont guère
aidé à m'endormir facilement.
Et je n'ai pas été déçu, mon petit déjeuner
à peine avalé, ma cousine m'a demandé :
« Le bébé a-t-il fait son caca ?
– Non Lucie, mais je vais y aller.
– Que nenni mon cher, tu sais que l'on
t'a promis un lavement, Corinne ne va pas tarder à arriver, elle tient
absolument à assister à l'opération.
– Mais puisque je te dis que ce n'est
pas la peine, je ne me sens pas constipé.
– De toutes façons, la question n'est pas
là, ce qui est dit est dit, tu ne voudrais pas commencer ta journée par une
bonne vieille fessée, sache que c'est qui va t'arriver si tu discutailles
encore. Allez, vas prendre ta douche, je veux m'occuper de fesses propres, de
toutes façons, tu en prendras une autre, une fois que l'on aura nettoyé les entrailles
et pour celle-là, je veillerai au grain. »
Quand je suis redescendu une dizaine de
minutes plus tard, toujours en pyjama puisque je n'avais pas reçu
l'autorisation de m'habiller, Corinne et Lucie prenaient tranquillement une
tasse de café en compagnie de la tante Maud.
J'aperçois sur le buffet de la cuisine,
le broc ainsi que le caoutchouc rouge et sa grosse canule, ce qui ne contribue
pas à améliorer mon moral déjà déliquescent.
Toutes les trois me jetèrent un regard
rigolard.
« Alors Fabien, tu es prêt pour le
ramonage, il me semble que tu es resté moins longtemps aux toilettes qu'hier.
– Je n'y suis pas encore allé.
– Tu as bien fait, les filles vont s'en
occuper à ta place, allez, mets toi en piste, on n'a pas que ça à faire,
surtout moi qui dois sortir, je te laisse en bonnes mains Fabien, sois sage,
sinon gare à tes fesses, c'est le dernier jour que tu passes avec nous et je ne
voudrais pas avoir à rendre à ma sœur un fils qui ait du mal à s'asseoir, sans
compter que la connaissant, tu aurais certainement droit à la double peine, une
fessée dehors, une fessée à la maison, tu sais que c’est sa règle. »
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