lundi 22 août 2016

Fabien - chapitre 1

Chapitre 1
A peine le bruit de la sonnette avait-il laissé place au silence de ce quartier résidentiel, que la porte s'ouvrit.
-"Bonjour Madame, dit ma mère, nous avons rendez-vous, à propos de la chambre à louer, c'est pour mon fils."
La poursuite de mes études m'obligeait, en effet, à émigrer vers la grande ville, là où se trouvait l'université qui allait m'accueillir après mon baccalauréat. A 17 ans, presque 18, ce n'était pas la première fois que je quittais le cocon familial, mais c'était ma première expérience de vie en autonomie pour aussi longtemps et aussi loin de mes proches.

Comme c'est souvent le cas, il s'était révélé très difficile, voire impossible, de trouver un lieu d'hébergement, de nombreux étudiants cherchant à se loger de la même façon que moi. L'annonce que nous avions trouvée, la veille, dans le journal local nous avait surpris : une chambre, dans une maison individuelle dans un quartier ayant un accès relativement aisé au pôle universitaire, pour un prix raisonnable, possibilité de prendre ses repas le soir, ... autant d'éléments qui semblaient alléchants et ... étonnants à quelques jours de la rentrée universitaire.

-"Entrez, je vous en prie, c'est bien ici. Je suis Madame Leblanc, je vous attendais."
La femme qui nous accueillait devait avoir une quarantaine d'années. Elle était grande, vêtue simplement et élégamment. Elle paraissait sportive tant ses mouvements étaient souples, presque félins.
-"Voulez-vous visiter ?"
Elle nous conduisit tout d'abord au premier étage où se situaient les chambres. C'était une grande maison, contrairement à ce qu'il nous avait paru au vu de la façade. Cinq chambres étaient occupées, chaque année, par des étudiants, la propriétaire se réservait celle qui était située immédiatement en haut des escaliers.
-"Voilà, nous dit-elle, je peux mettre cette chambre à votre disposition."
C'était une chambre d'étudiant comme il en existe probablement beaucoup, ni trop grande, ni trop petite, sans doute un peu impersonnelle. Le lit semblait de bonne qualité, la salle de bain était attenante la propreté irréprochable. Exactement ce qu'il fallait, avec un petit caractère suranné qui faisait "veille France".
-"Il n'y a pas d'espace pour travailler, pas de bureau ?"
-"Si bien sûr, mais le travail scolaire se passe dans une salle aménagée à cet effet, au rez-de-chaussée. Suivez-moi, je vais vous montrer ?"

Elle nous fit découvrir une pièce où s'alignaient 5 espaces de travail comprenant chacun un bureau et une étagère.
-"Et là, il y a deux ordinateurs qui sont à la disposition de mes pensionnaires."
Effectivement, dans le fond de la salle, deux postes informatiques récents n'attendaient plus que leurs utilisateurs.
-"Ne serait-il pas préférable que chacun puisse travailler dans sa chambre, c'est certainement plus calme ?" objecta ma mère.
-"De ce coté là, ne vous inquiétez pas. Je me charge de maintenir le calme dans la salle de travail. Voyez-vous, je ne souhaite pas seulement accueillir des jeunes gens et des jeunes filles, je pense qu'il est de mon rôle de les aider à faire leurs premiers pas dans le monde universitaire. Je suis moi même enseignante, quoique pour des élèves plus jeunes. Je ne travaille qu'à temps partiel, je suis donc disponible pour surveiller la façon dont chacun travaille et au besoin, aider ... fermement ceux qui rencontreraient des difficultés.
Vous savez, être éloigné de sa famille, entrer à l'université, cela représente beaucoup de changement. Une grande partie des étudiants échouent dès les premiers mois car ils ne savent pas gérer cette liberté toute nouvelle. Certains ne savent pas s'organiser, d'autres profitent des sollicitations de la grande ville, et oublient de travailler. Quand on a une vingtaine d'années, on a encore besoin d'autorité. Je sais assumer ce rôle.
Mais entrez dans mon bureau, nous allons pouvoir poursuivre cette conversation."

Ma mère, tout en suivant notre hôte, avait un air pensif. Ce qui venait d'être dit réveillait des craintes qu'elle m'avait déjà exprimées. J'étais un élève moyen qui ne brillait pas par son acharnement au travail. Le minimum était bien suffisant, il m'avait permis de suivre, sans éclat, un parcours scolaire sans accroc. Les encouragements qui avaient accompagné mes années de lycée, parfois renforcés par des sermons maternels ou professoraux, m'avaient été indispensables pour franchir les étapes du parcours scolaires. A l'université, cet encadrement de proximité me ferait certainement défaut. C'était l'opinion de ma mère, je ne partageais pas son point de vue.
Madame Leblanc nous présenta deux fauteuils qui faisaient face à son bureau qu'elle contourna pour prendre place à son tour.
-"Vous disiez que vous aidiez vos étudiants dans leurs débuts à l'université, reprit ma mère, c'est une chose dont Fabien aura certainement besoin. Concrètement, cela consiste en quoi ?"
-"Et bien, voyez-vous, je vérifie leur présence effective en cours, je surveille leurs horaires de sortie, je contrôle que les devoirs soient faits et les leçons bien apprises. Je m'assure également que leur tenue est convenable et leur hygiène suffisante."
J'écoutais cette énumération avec consternation. La plus grande confusion régnait dans mon esprit. Le programme qui venait d'être énoncé me ramenait dix ans en arrière. J'avais l'impression que les deux femmes qui se tenaient à mes cotés parlaient d'un enfant qui ne devait pas avoir plus de 8 ans. Une rougeur commençait à colorer mes pommettes.
-"N'avez-vous pas peur que cela fasse fuir vos pensionnaires ?"
-"Au contraire, passé les premiers jours où il est nécessaire qu'ils s'habituent, ils trouvent des avantages à cette situation. Parmi ceux qui logeront ici cette année, 3 jeunes filles sont des anciennes. Elles reviennent d'une année sur l'autre. C'est que le régime doit leur convenir. Il règne ici une ambiance de travail ce qui, pour des adolescents qui n'ont pas une prédilection pour le travail, augmente grandement les chances de réussite. J'ai cru comprendre que c'était l'une de vos inquiétudes."
-"Oui, Fabien, par certains cotés, n'est pas un garçon très mature. Il est capable de se laisser entraîner par tout autre chose que son travail."
-"Alors, il sera très bien ici. Je vous assure qu'il passera une année studieuse."
-"N'avez-vous jamais de jeunes gens qui refusent ce régime assez," ma mère marqua une hésitation,"... strict ?"
-"Oh, il y en a qui essaient, mais je sévis aussitôt."
-"Vous sévissez, ... c'est à dire ?"
-"C'est très simple, à la moindre désobéissance ou insolence, quand le travail fourni est insuffisant ou les résultats scolaires médiocres, j'administre une fessée au contrevenant."
-"Une fessée ! Et il se laisse faire ?"
-"La première fois, il cherche bien à l'éviter, mais je suis encore capable d'allonger n'importe lequel d'entre eux sur mes genoux, de lui baisser la culotte et de lui administrer la correction qu'il a méritée. Croyez-moi, quand Fabien aura été puni de la sorte une ou deux fois, quand il aura passé quelques soirées au piquet le nez contre le mur et les mains sur la tête, il comprendra qu'il est préférable de subir sa punition plutôt que d'en risquer une plus sévère. Quand c'est nécessaire, je donne la fessée avec la règle ou le martinet. Et cela arrive assez fréquemment."
Elle accompagna ses paroles d'un geste du bras et pointa le mur à coté de la porte. Les instruments dont elle venait de parler étaient alignés, suspendus à un crochet, prêts à l'emploi.
-"Il m'est parfois arrivé, bien qu'assez rarement, poursuivit-elle, d'aller cueillir quelques pieds d'orties et d'en frotter les fesses du coupable, en cas de faute vraiment grave."

Mon embarras était total. M'entendre menacer de la fessée, à 18 ans, par une femme que je ne connaissais pas il y a à peine 20 minutes dépassait mon entendement. Les châtiments corporels s'étaient limités, à la maison, à quelques claques appliquées sur le fond du pantalon ou sur les cuisses quand j'étais petit. D'imaginer recevoir la fessée, qui plus est, déculottée, me laissait sans voix. Mais je savais que les chances de trouver une autre chambre à louer dans cette ville universitaire, à une date si proche de la rentrée universitaire, étaient minces. Avais-je vraiment le choix ? Je ne voyais pas comment sortir de cette situation.
-"Avez-vous encore l'habitude de lui donner une fessée comme punition ?"
-"Oh non, cela fait bien longtemps que je ne lui ai plus donné la moindre claque sur les fesses. J'avoue que parfois, y compris ces derniers mois, l'envie ne m'a pas manqué. Il a parfois des comportements si enfantins que j'ai dû me retenir, à plusieurs reprises de le punir avec une bonne fessée."
Cet aveu de ma mère me laissa abasourdi. Jamais je n'avais pu supposer qu'elle pensait à avoir recours aux châtiments corporels, encore moins ces dernières années. Que de plus, elle puisse en parler aussi ouvertement à une quasi inconnue me mortifia.
-"Ici, il faudra que tu t'y habitues, Fabien !" me dit la maîtresse de maison.
La réaction de ma mère me sidérait. Elle semblait s'être faite sans hésitation à l'idée que je puisse être fessé par une étrangère. Je savais qu'elle se faisait du souci à l'idée de me laisser seul, loin de son regard. Sa confiance dans mon sens des responsabilités, n'était pas absolue, loin de là. Mais accepter que je puisse être soumis à l'autorité de la femme qui se tenait devant nous, jusqu'à devoir me soumettre à la fessée, revenait, à mon sens, à franchir un fossé ce qui ne parût pas un obstacle à ma génitrice.
Lorsque je repris contact avec la réalité, je me rendis compte que les choses étaient décidées. La négociation des conditions financières ne pris pas beaucoup de temps. Madame Leblanc présenta à ma mère un contrat qui comprenait l'hébergement, le repas du soir ainsi que l'entretien de mes vêtements. Le service était complet.
-"Ah, une dernière formalité, rajouta Madame Leblanc, je souhaite que vous me signez une autorisation de recourir aux châtiments corporels autant que de besoin."
Mon avis ne fût pas sollicité.
Ma mère parapha le papier qui lui était tendu, scellant ainsi mon sort.

4 commentaires:

  1. Réponses
    1. Bonjour JLG . Il a de la chance Fabien d’avoir enfin trouvé une maman qui va l’éduquer et lui permettre de réussir. Il est encore irresponsable et doit être vraiment repris en main. Chaque bêtise sera sanctionnée d’une fessée déculottée immédiate. Il n’est pas seul à être fessé à son âge. Et il n’y a pas d’âge pour recevoir une bonne fessée punitive. Je peux dire que ça remet beaucoup de choses en place. Je peux en témoigner. Les fesses bien rouges et s’il y a des témoins ça accroît l’efficacité de la fessée.

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  2. Homme de 51 ans. En Vendée je suis très intéressé pour un dressage sévère
    Voici mon numéro : 0698172166
    Je vous remercie
    Jean Michel

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  3. Femme de 32 ans. En Rhône Alpes, je suis intéressée par un fesseur stephanois.
    Mon whatsapp : 0768722842
    Par avance merci

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