Convention de délégation d'autorité d'éducation à une gouvernante :
Je soussigné JLG prie Madame XXXXXXX d'assumer désormais le rôle et les prérogatives de gouvernante à mon égard.
Je lui reconnais la responsabilité de prendre, dès maintenant, toutes les décisions qu'elle jugera pertinentes concernant mon éducation. Dans tous les instants et en toutes circonstances, je lui devrai respect et obéissance. Je serai soumis, en tous lieux et tous instants, à toutes les règles qu'elle décidera de m'appliquer.
A ce titre, elle aura pour fonction de surveiller et contrôler le plus exhaustivement possible mes attitudes et comportements ; mon hygiène et ma propreté ; mon rythme de vie et mes fréquentations ; la quantité et la qualité de mon travail ; le rangement de mes affaires et la bienséance de ma tenue et de mon habillement, ... et tous les autres aspects qui lui sembleront nécessaires. Elle sera sanctionnera toute négligence, irresponsabilité, imprudence, impertinence, insolence, mensonge, indiscipline, caprice, colère ou désobéissance. Elle choisira les méthodes adaptées afin que j'accède au plus vite à l'excellence à tous les instants en corrigeant, sans faiblesse et sans délai, tous les écarts que je commettrai. Elle sera seule juge de l'importance à y accorder.
Elle aura alors toute légitimité pour me punir quand elle le jugera nécessaire afin que j'apprenne suite aux erreurs que j'aurai commises et que je puisse devenir plus responsable et plus mature. Elle décidera, en toute conscience, de la nature et de la sévérité de la punition adaptée à la situation qui l'a justifiée. Etant donné qu'il s'agit de corriger mes comportements puérils et irresponsables, les punitions qui me seront administrées, seront de la même nature de celles que l'on utilise traditionnellement pour punir les enfants.
La fessée sera donc le châtiment privilégié. Elle sera, sauf exception, infligée la culotte baissée, sans que la pudeur qui est habituellement l'apanage des adultes, doive être prise en compte. Sa sévérité pourra être renforcée, quand ma gouvernante le jugera pertinent, par l'utilisation d'un instrument punitif : martinet, règle plate, ceinture, baguette, palette à fesser, orties, ... ou tout autre accessoire adapté pour punir les enfants.
Ma gouvernante décidera de la durée et de la sévérité de la correction qui sera proportionnée en fonction de la faute commise. La fessée devra embraser et rougir les fesses aussi intensément que nécessaire pour que je prenne conscience de ce qui l'a motivée et que je regrette sincèrement le comportement qui l'a provoquée. Elle pourra laisser un échauffement ou des marques durables sur les fesses quand il sera indispensable que je garde un souvenir persistant de la punition afin de ne pas retomber dans les errements coupables qui l'ont provoquée. Les pleurs, cris et supplications seront considérés comme des indicateurs de la sévérité et de l'effectivité de la punition. Ils seront donc recherchés aussi souvent que nécessaire.
Je reconnais également à ma gouvernante le droit et le devoir de me mettre en pénitence afin de me donner le temps de réfléchir à la bêtise perpétrée et à la punition qu'elle a nécessité. La fessé sera donc, le plus souvent, suivie d'une mise au coin ou au piquet, la culotte généralement baissée comme lors de la fessée, afin de présenter publiquement les effets de la punition et les signes de mon repentir. Elle m'y laissera aussi longtemps qu'elle le décidera et quel que soit ce qui pourrait se passer, pendant ce temps, dans l'espace où je serai ainsi exposé.
En complément, tout autre punition enfantine pourra m'être imposée : lignes à recopier, travail supplémentaire à effectuer, privation de sortie, leçon de morale, remontrance ...
Ma gouvernante aura autorité pour choisir le lieu et le moment où la punition me sera donnée. Elle pourra donc se dérouler dans un lieu domestique ou public, en privé ou devant témoins. Ni la honte et l'humiliation qui pourraient alors en résulter, ni la prise en compte de l'impudeur ou de l'indécence de ma tenue en public, ne sauraient être des facteurs décisifs pour atténuer ou différer la correction que j'aurai méritée.
Elle pourra également, autant que de besoin, déléguer son droit et devoir de punition à mon encontre, de façon temporaire ou permanente, à une tierce personne qui aura, alors, toutes les prérogatives décrites ci-dessus. Elle pourra également transmettre ce rôle à une personne de son choix sous l'autorité de laquelle je serai alors automatiquement placé.
L'exercice du rôle de gouvernante ne cessera que lorsque Madame XXXXXX jugera qu'il n'est plus nécessaire de me punir ou lorsqu'elle transférera son l'autorité de gouvernante à une tierce personne. Il lui reviendra alors de m'en informer.
Fait à le
Signatures :
Bon pour acceptation d'autorité exercée par ma gouvernante tel que décrit ci-dessus :
JLG
Bon pour acceptation de l'autorité de gouvernante tel que décrit ci-dessus :
La gouvernante, Madame XXXXXX
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