Le lendemain matin à 9 heures je frappais à la porte de
Madame Leroy qui me fit aussitôt entrer et asseoir face à elle dans son bureau.
En m’asseyant les marques du fouet à chien se rappelèrent à moi et je
dissimulais une grimace de douleur.
Madame Leroy semblait calme et de bonne humeur.
« Mon cher Georges j’ai pu voir la photo des fesses
d’Aurélie après la correction que vous lui avez donnée et je vous félicite car
elle a été visiblement bien corrigé. Je n’ai pas besoin de vous rappeler
l’importance des punitions corporelles dans notre entreprise et leurs intérêts.
Je vous encourage donc aussi souvent qu’il sera nécessaire à ne pas hésiter à
sévir avec Aurélie. Je ne vous en ferai jamais le reproche, bien au contraire.
La formation est primordiale pour prendre de bonnes habitudes et la fessée est une
pédagogie qui a fait ses preuves.
Aurélie est jeune, elle a tout à apprendre et elle a
bien besoin par conséquent d’être souvent et sévèrement fouettée pour lui
faire prendre du plomb dans la tête. Je compte donc sur vous pour que sa
formation se continue sans faille. Jusqu’à la fin de celle-ci, c’est-à-dire à
l’issue de sa période d’essai de 2 mois vous devriez la corriger au moins une
fois par semaine. Si vous ne savez pourquoi, je suis persuadée qu’elle, elle le
saura ! Si vous l’aviez fait plus tôt elle n’aurait pas oublié de répondre
à notre client.
A ce propos, je lui ai adressé une lettre d’excuse avec la
réponse appropriée à sa question, ainsi que la photo des fesses punies de la
coupable. Il m’a bien remercié et m’a dit qu’il n’en attendait pas moins de la
part de la Présidente de la SFID. Il en a profité pour me féliciter de la
qualité de nos instruments et du choix que nous offrons. C’est un client fidèle
qui dirige une pension pour garçon. Il m’a avoué qu’il n’y avait pas un jour ou
nos instruments ne servaient pas à ramener à la discipline chez plusieurs de
ses pensionnaires. Je veux bien le croire.
Quant à vous je dois vous corriger à votre tour pour l’oubli
d’Aurélie. Vous êtes son responsable et vous avez failli dans sa formation.
C’est mon devoir de vous le rappeler. Déshabillez-vous que l’on en finisse vite
avec cette histoire."
Elle se leva en même temps que moi pour aller ouvrir ses
tiroirs aux instruments tandis que je mettais nu prestement afin de ne pas la
mécontenter.
Lorsqu’elle se tourna vers moi elle n’avait toujours pas
choisi d’instrument. Mais elle remarqua aussitôt mes fesses marquées de la
fouettée de la veille.
« Mais vous avez été corrigé récemment, et comme il
faut ! s’exclama-t-elle. Je crois reconnaître le travail de Céline
ajouta-t-elle. Et même les marques de notre fouet à chien.
Me tromperai je, questionna-t-elle ?
Etant le seul dans le bureau cette question m'était
visiblement destinée je répondis que oui c’était bien Céline qui m’avait
fouetté hier soir et que le fouet à chien était l’instrument qui lui avait
servie à imprimer ces marques sur mes fesses.
« Je savais que ce fouet était un bon instrument et je
ne suis pas déçue en voyant le résultat de la fouettée sur vos fesses. Je ne
vous demanderai pas pourquoi vous avez mérité pareil correction car il s’agit de
votre vie privée. Mais je n’en pense pas moins. A votre âge vous faire corriger
les fesses par votre compagne ! Vous devez bien mal vous tenir à la maison
pour mériter pareille punition.
Cela me pose un problème car je ne vais pas pouvoir utiliser
un instrument cinglant afin de ne pas vous abîmer plus les fesses.
Nous allons donc nous rabattre sur une surface large qui
vous fera tout aussi bien crier sans dégâts supplémentaires.'
Ce faisant elle
prit un large et long padlle dans un joli cuir fauve qu’elle caressa dans ses mains.
« Décidément je préfère de loin le cuir au bois pour
les surfaces planes. Qu’en pensez-vous Georges ? Les goûts et les couleurs on ne se refait
pas. Je ne vous attache pas, vous êtes un grand garçon habitué à être fessé
conclu a-t-elle."
J’approuvais d’un signe de tête tout en m’allongeant de
moi-même sur le banc à fessée. Sachant que si j’avais le malheur de bouger la
correction serait au minimum doublée. L’attache n’était pas physique mais
psychologique. Elle a raison pour le cuir pensais-je intérieurement, car pour
avoir déjà goûté au paddle en bois, même percé de trou, le cuir était
incomparable. Du cuir sur du cuir cela fonctionne, alors que du bois sur des
fesses cela claque sèchement et la douleur est très vive et presque immédiatement
insupportable.
J’allais avoir le loisir de tester le cuir. Et de bien le
tester car Madame Leroy le fit claquer pendant près d’un quart d’heure sur mes
fesses qui devinrent vite cramoisies. Comme elle l’avait prédit et au bout de
10 minutes je n’en pouvais plus et commençais à crier de douleur.
« C’est pour votre bien Georges me répétait-elle. Vous
l’avez mérité cette correction. Si vous aviez mieux surveillé Aurélie cela ne
serait pas arrivé. Et le paddle claquait de plus belle tandis que je m’accrochais
au banc pour ne pas me relever et fuir ma correctrice.
Et dire qu’il allait falloir que je surveille et corrige
Aurélie à la moindre faute pour plaire à Madame Leroy. Et que cela risquait
d’énerver Céline qui allait se venger sur mes fesses.
Elle s’arrêta enfin et m’autorisa à me relever pour me
mettre au coin les mains sur la tête.
Comme à la maison il ne fallait surtout pas essayer de se
toucher les fesses sinon c’était le redémarrage à zéro. Aussi à peine relevée
je scotchai mes mains derrière ma tête pour être sûr de ne pas faire de bêtise.
Ce n’était pourtant l’envie qui m’en manquait car mes fesses me cuisaient
durement appelant un massage rédempteur. Mais cela faisait partie de la
punition, laisser son popotin refroidir seul, sans aide, obligeait à penser à
autre chose sous peine de craquer.
Je maudissais Céline qui était la cause de toutes mes
dernières fessées et les recommandations de madame Leroy il y a quelques
minutes me revenaient en boucle
« Vous devriez la corriger au moins une fois par
semaine. Si vous ne savez pourquoi, je suis persuadez qu’elle, elle le
saura !
Justement, avant de me rasseoir devant mon écran je fis un
crochet dans le cagibi d’Aurélie que je venais de croiser devant les toilettes.
Elle m’avait regardé d’un air goguenard car elle très bien d’où je venais et ce
qui venait de se passer.
En regardant son écran je vis qu’elle n’était pas sur le
logiciel de l’entreprise mais sur internet et sur des pages de mode
féminine. Ainsi cette petite garce faisait des emplettes sur internet pendant
ses heures de travail, ou tout au moins visitait les sites pour repérer les
bonnes affaires.
Evidemment c’était plus intéressant que de répondre aux
clients. Je décidais de l’attendre et lorsqu’elle réapparut et qu’elle me vit
devant son écran je la vis pâlir d’un coup puis piquer un fard se sachant prise
en faute.
« Et bien Aurélie, je constate que vous faîtes tout
sauf travailler ce matin. Vous croyez que l’on vous paye pour quoi, dis-je hors
de moi. Je suis responsable de vous et de votre formation et je ne laisserai
pas passer cela. Vous connaissez les conséquences, alors direction la salle de
correction immédiatement. J’étais vraiment en colère et la correction que je
venais de prendre à cause de cette petite écervelée, ajoutée à la douleur encore
bien présente de mes fesses me mettait exceptionnellement hors de moi.
La tête baissée, des larmes commençant à poindre à ses yeux,
Aurélie tremblante ressortit pour aller un peu plus loin dans le couloir. Je
lui passais devant car seuls les responsables avaient la clef de cette pièce
spéciale qui servait aux punitions du personnel. Les cadres, eux, étaient
corrigés dans le bureau de Madame Leroy par elle-même ou exceptionnellement par
la personne à qui Madame Leroy déléguait ponctuellement cette tâche. C’était le
plus souvent Madame Simone, Directrice de production et experte en fessée et
flagellation. Cette forte Alsacienne avait une manière, sans pareil, de faire claquer les
fouets et autres instruments sur les fesses des condamnés. Et il
valait mieux passer par les mains de Madame Leroy que par celle de Madame
Simone.
Mais le personnel lui était corrigé par son responsable dans
cette pièce entièrement vitrée mais insonorisée afin que chaque personne qui
passait par là puisse voir ce qui s’y passait. Ainsi la punition était publique
et la honte du puni n’en était que plus grande.
J’allais donc pour la deuxième fois devoir corriger Aurélie.
Mais cette fois ci j’étais motivé. Cette gamine m’avait fait recevoir une
avalanche de fessée depuis que je l’avais rencontrée, dont la dernière me
chauffait encore les fesses. Et visiblement elle n’avait pas compris le premier
avertissement en allant surfer sur internet plutôt que travailler sur ses
tâches. Elle allait voir de quel bois je me chauffais. Justement
j’attrapais la grande règle en bois et lui intimais l’ordre de se déshabiller.
Ce qu’elle fit prestement baissant elle-même sa petite culotte blanche. Ses
petites fesses bien blanches apparurent et commencèrent à se contracter de
peur. Après l’avoir fait mettre en position, courbée, les mains appuyées sur le
banc, les fesses relevées, Je commençais à lui appliquer des grands coups de
règles qui la firent crier. De longues bandes rouges apparurent sur ses fesses
car je n’y allais pas de main morte, énervé que j’étais.
« Vous n’avez pas compris les règles de cette maison
Aurélie. Je vais vous les faire rentrer dans la peau, hurlai-je presque en
claquant de plus belle et de plus en plus fort. Aussi souvent que vous ferez
des erreurs ou que vous ne serez pas assidue dans votre travail nous reviendrons
ici pour parfaire votre formation.
Aurélie pleurait maintenant à gros sanglot tandis que la
règle, telle un métronome, revenait lui aplatir le fessier qui était maintenant
uniformément carmin.
Madame Leroy qui passait dans le couloir s’arrêta en me
voyant et passa la tête pour me parler.
« Et bien Georges je vois que vous avez écouté mes conseils
et sans tarder même. Comme quoi ma méthode porte ses fruits. Je ne sais pas ce
qu’elle a fait ou pas fait et il vaut mieux que je ne le sache pas, mais
corrigez la bien, il en va de votre responsabilité et de votre tranquillité.
Fort de ces encouragements et afin de ne pas décevoir Madame
Leroy je redoublais d’énergie pour fesser Aurélie qui criait de plus en plus
fort car la douleur montait crescendo.
Je m’arrêtai enfin au bout de plusieurs minutes lorsque mon
bras commença à montrer des signes de fatigue et que j’estimais la cuisson des
fesses d’Aurélie à point.
Je la fis ensuite mettre au coin culotte toujours baissée et
mains sur la tête. Elle eut le malheur de se toucher les fesses. Je la
sermonnais alors vertement en lui expliquant les conséquences.
« Non seulement vous faîtes des erreurs, vous ne
travaillez pas mais en plus vous ne respectez même pas les consignes alors que
vous êtes en punition. Et bien vous allez vous en souvenir.
Je la ramenai d’une main ferme vers le banc, lui appuyait
sur la nuque pour lui faire reprendre la position tandis que je reprenais la
règle pour lui asséner une nouvelle rasade pendant au moins 5 minutes. Les
fesses commençaient à bleuir sous l’avalanche des coups et elle allait garder
des traces pour un moment.
Madame Leroy qui repassait dans le couloir en sens inverse
me fit un nouveau geste d’encouragement pour ma sévérité visiblement satisfaite
de me voir en action.
Je ne me reconnaissais pas. Moi qui n’aurais jamais fait du
mal à une mouche avant de rentrer à la SFID, j’étais en train de battre comme
plâtre une jeune femme déculottée devant moi.
Décidément va vie et comportement changeaient au fil des
mois grâce ou à cause de la SFID.
Pour suivre le fil de ce récit
Le premier de la série : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 16
La suite au prochain chapitre... sans doute mais pas pour l'instant. La saison 2 s'arrête là. Attendons la saison 3 !
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Bonjour George,
RépondreSupprimerCette madame Leroy est La reine du machiavélisme disciplinaire. L'intrigante, qui ne peut pas s'occuper des fesses tout le monde, n'a pas son pareil pour inciter les membres du personnel à se corriger entre eux. Diviser pour mieux fesser!
Par contre lorsqu'elle prend les commandes ça claque sec ! Le pouvoir est au bout du Padell... en cuir... qui a su la séduire, elle sait donc l'entretenir... Sur les fesses de Georges qui ne fesse pas assez souvent à son goût! Un quart d'heure d'assouplissement du derrière ça vous gâche une fin de journée et ça rend un peu hargneux .
Alors Georges se venge sur Aurélie qui se venge sur...L'effet domino de la raclée. Les poupées gigognes de la fessée! Ce sera qui la plus petite à devoir se déculotter?
On attend avec impatience une démonstration de madame Simone, experte en fessée qui n'y va pas avec le dos des biscuits à la cuillère l'alsacienne.
Et tout ce petit monde se rougit allègrement le derrière pour le plus grand plaisir de la lecture.
IL n'y a que le banc à fesser qui manque un peu de poésie... et puis tout nu, sur le bois dur...avec la règle aux fesses! Oula la, double peine !!!
Il n'y aurait pas quelque part à la SFID une belle paire de cuisses accueillantes.
Aussi terriblement amusant que follement cuisant!
Cordialement
Ramina