vendredi 18 janvier 2019

La SFID - Dans le bureau de Madame Leroy - chapitre 17

Le lendemain matin à 9 heures je frappais à la porte de Madame Leroy qui me fit aussitôt entrer et asseoir face à elle dans son bureau. En m’asseyant les marques du fouet à chien se rappelèrent à moi et je dissimulais une grimace de douleur.
Madame Leroy semblait calme et de bonne humeur.
« Mon cher Georges j’ai pu voir la photo des fesses d’Aurélie après la correction que vous lui avez donnée et je vous félicite car elle a été visiblement bien corrigé. Je n’ai pas besoin de vous rappeler l’importance des punitions corporelles dans notre entreprise et leurs intérêts. Je vous encourage donc aussi souvent qu’il sera nécessaire à ne pas hésiter à sévir avec Aurélie. Je ne vous en ferai jamais le reproche, bien au contraire. La formation est primordiale pour prendre de bonnes habitudes et la fessée est une pédagogie qui a fait ses preuves.
Aurélie est jeune, elle a tout à apprendre et elle a bien besoin par conséquent d’être souvent et sévèrement fouettée pour lui faire prendre du plomb dans la tête. Je compte donc sur vous pour que sa formation se continue sans faille. Jusqu’à la fin de celle-ci, c’est-à-dire à l’issue de sa période d’essai de 2 mois vous devriez la corriger au moins une fois par semaine. Si vous ne savez pourquoi, je suis persuadée qu’elle, elle le saura ! Si vous l’aviez fait plus tôt elle n’aurait pas oublié de répondre à notre client.
A ce propos, je lui ai adressé une lettre d’excuse avec la réponse appropriée à sa question, ainsi que la photo des fesses punies de la coupable. Il m’a bien remercié et m’a dit qu’il n’en attendait pas moins de la part de la Présidente de la SFID. Il en a profité pour me féliciter de la qualité de nos instruments et du choix que nous offrons. C’est un client fidèle qui dirige une pension pour garçon. Il m’a avoué qu’il n’y avait pas un jour ou nos instruments ne servaient pas à ramener à la discipline chez plusieurs de ses pensionnaires. Je veux bien le croire.
Quant à vous je dois vous corriger à votre tour pour l’oubli d’Aurélie. Vous êtes son responsable et vous avez failli dans sa formation. C’est mon devoir de vous le rappeler. Déshabillez-vous que l’on en finisse vite avec cette histoire."
Elle se leva en même temps que moi pour aller ouvrir ses tiroirs aux instruments tandis que je mettais nu prestement afin de ne pas la mécontenter.
Lorsqu’elle se tourna vers moi elle n’avait toujours pas choisi d’instrument. Mais elle remarqua aussitôt mes fesses marquées de la fouettée de la veille.
« Mais vous avez été corrigé récemment, et comme il faut ! s’exclama-t-elle. Je crois reconnaître le travail de Céline ajouta-t-elle. Et même les marques de notre fouet à chien.
Me tromperai je, questionna-t-elle ?
Etant le seul dans le bureau cette question m'était visiblement destinée je répondis que oui c’était bien Céline qui m’avait fouetté hier soir et que le fouet à chien était l’instrument qui lui avait servie à imprimer ces marques sur mes fesses.
« Je savais que ce fouet était un bon instrument et je ne suis pas déçue en voyant le résultat de la fouettée sur vos fesses. Je ne vous demanderai pas pourquoi vous avez mérité pareil correction car il s’agit de votre vie privée. Mais je n’en pense pas moins. A votre âge vous faire corriger les fesses par votre compagne ! Vous devez bien mal vous tenir à la maison pour mériter pareille punition.
Cela me pose un problème car je ne vais pas pouvoir utiliser un instrument cinglant afin de ne pas vous abîmer plus les fesses.
Nous allons donc nous rabattre sur une surface large qui vous fera tout aussi bien crier sans dégâts supplémentaires.'
Ce faisant elle prit un large et long padlle dans un joli cuir fauve qu’elle caressa dans ses mains.
« Décidément je préfère de loin le cuir au bois pour les surfaces planes. Qu’en pensez-vous Georges ?   Les goûts et les couleurs on ne se refait pas. Je ne vous attache pas, vous êtes un grand garçon habitué à être fessé conclu a-t-elle."
J’approuvais d’un signe de tête tout en m’allongeant de moi-même sur le banc à fessée. Sachant que si j’avais le malheur de bouger la correction serait au minimum doublée. L’attache n’était pas physique mais psychologique. Elle a raison pour le cuir pensais-je intérieurement, car pour avoir déjà goûté au paddle en bois, même percé de trou, le cuir était incomparable. Du cuir sur du cuir cela fonctionne, alors que du bois sur des fesses cela claque sèchement et la douleur est très vive et presque immédiatement insupportable.
J’allais avoir le loisir de tester le cuir. Et de bien le tester car Madame Leroy le fit claquer pendant près d’un quart d’heure sur mes fesses qui devinrent vite cramoisies. Comme elle l’avait prédit et au bout de 10 minutes je n’en pouvais plus et commençais à crier de douleur.
« C’est pour votre bien Georges me répétait-elle. Vous l’avez mérité cette correction. Si vous aviez mieux surveillé Aurélie cela ne serait pas arrivé. Et le paddle claquait de plus belle tandis que je m’accrochais au banc pour ne pas me relever et fuir ma correctrice.
Et dire qu’il allait falloir que je surveille et corrige Aurélie à la moindre faute pour plaire à Madame Leroy. Et que cela risquait d’énerver Céline qui allait se venger sur mes fesses.
Elle s’arrêta enfin et m’autorisa à me relever pour me mettre au coin les mains sur la tête.
Comme à la maison il ne fallait surtout pas essayer de se toucher les fesses sinon c’était le redémarrage à zéro. Aussi à peine relevée je scotchai mes mains derrière ma tête pour être sûr de ne pas faire de bêtise. Ce n’était pourtant l’envie qui m’en manquait car mes fesses me cuisaient durement appelant un massage rédempteur. Mais cela faisait partie de la punition, laisser son popotin refroidir seul, sans aide, obligeait à penser à autre chose sous peine de craquer.

Dix minutes je pus me rhabiller et prendre congé de Madame Leroy. Je retournais dans mon bureau après un passage aux toilettes où je pu satisfaire un besoin naturel mais surtout me masser les fesses pendant quelques minutes, ce qui me fit du bien après la terrible tannée que je venais de prendre.
Je maudissais Céline qui était la cause de toutes mes dernières fessées et les recommandations de madame Leroy il y a quelques minutes me revenaient en boucle
« Vous devriez la corriger au moins une fois par semaine. Si vous ne savez pourquoi, je suis persuadez qu’elle, elle le saura !        
Justement, avant de me rasseoir devant mon écran je fis un crochet dans le cagibi d’Aurélie que je venais de croiser devant les toilettes. Elle m’avait regardé d’un air goguenard car elle très bien d’où je venais et ce qui venait de se passer.
En regardant son écran je vis qu’elle n’était pas sur le logiciel de l’entreprise mais sur internet et sur des pages de mode féminine. Ainsi cette petite garce faisait des emplettes sur internet pendant ses heures de travail, ou tout au moins visitait les sites pour repérer les bonnes affaires.
Evidemment c’était plus intéressant que de répondre aux clients. Je décidais de l’attendre et lorsqu’elle réapparut et qu’elle me vit devant son écran je la vis pâlir d’un coup puis piquer un fard se sachant prise en faute.
« Et bien Aurélie, je constate que vous faîtes tout sauf travailler ce matin. Vous croyez que l’on vous paye pour quoi, dis-je hors de moi. Je suis responsable de vous et de votre formation et je ne laisserai pas passer cela. Vous connaissez les conséquences, alors direction la salle de correction immédiatement. J’étais vraiment en colère et la correction que je venais de prendre à cause de cette petite écervelée, ajoutée à la douleur encore bien présente de mes fesses me mettait exceptionnellement hors de moi.
La tête baissée, des larmes commençant à poindre à ses yeux, Aurélie tremblante ressortit pour aller un peu plus loin dans le couloir. Je lui passais devant car seuls les responsables avaient la clef de cette pièce spéciale qui servait aux punitions du personnel. Les cadres, eux, étaient corrigés dans le bureau de Madame Leroy par elle-même ou exceptionnellement par la personne à qui Madame Leroy déléguait ponctuellement cette tâche. C’était le plus souvent Madame Simone, Directrice de production et experte en fessée et flagellation. Cette forte Alsacienne avait une manière, sans pareil, de faire claquer les fouets et autres instruments sur les fesses des condamnés. Et il valait mieux passer par les mains de Madame Leroy que par celle de Madame Simone.
Mais le personnel lui était corrigé par son responsable dans cette pièce entièrement vitrée mais insonorisée afin que chaque personne qui passait par là puisse voir ce qui s’y passait. Ainsi la punition était publique et la honte du puni n’en était que plus grande.
J’allais donc pour la deuxième fois devoir corriger Aurélie. Mais cette fois ci j’étais motivé. Cette gamine m’avait fait recevoir une avalanche de fessée depuis que je l’avais rencontrée, dont la dernière me chauffait encore les fesses. Et visiblement elle n’avait pas compris le premier avertissement en allant surfer sur internet plutôt que travailler sur ses tâches. Elle allait voir de quel bois je me chauffais. Justement j’attrapais la grande règle en bois et lui intimais l’ordre de se déshabiller. Ce qu’elle fit prestement baissant elle-même sa petite culotte blanche. Ses petites fesses bien blanches apparurent et commencèrent à se contracter de peur. Après l’avoir fait mettre en position, courbée, les mains appuyées sur le banc, les fesses relevées, Je commençais à lui appliquer des grands coups de règles qui la firent crier. De longues bandes rouges apparurent sur ses fesses car je n’y allais pas de main morte, énervé que j’étais.
« Vous n’avez pas compris les règles de cette maison Aurélie. Je vais vous les faire rentrer dans la peau, hurlai-je presque en claquant de plus belle et de plus en plus fort. Aussi souvent que vous ferez des erreurs ou que vous ne serez pas assidue dans votre travail nous reviendrons ici pour parfaire votre formation.
Aurélie pleurait maintenant à gros sanglot tandis que la règle, telle un métronome, revenait lui aplatir le fessier qui était maintenant uniformément carmin.
Madame Leroy qui passait dans le couloir s’arrêta en me voyant et passa la tête pour me parler.
« Et bien Georges je vois que vous avez écouté mes conseils et sans tarder même. Comme quoi ma méthode porte ses fruits. Je ne sais pas ce qu’elle a fait ou pas fait et il vaut mieux que je ne le sache pas, mais corrigez la bien, il en va de votre responsabilité et de votre tranquillité.
Fort de ces encouragements et afin de ne pas décevoir Madame Leroy je redoublais d’énergie pour fesser Aurélie qui criait de plus en plus fort car la douleur montait crescendo.
Je m’arrêtai enfin au bout de plusieurs minutes lorsque mon bras commença à montrer des signes de fatigue et que j’estimais la cuisson des fesses d’Aurélie à point.
Je la fis ensuite mettre au coin culotte toujours baissée et mains sur la tête. Elle eut le malheur de se toucher les fesses. Je la sermonnais alors vertement en lui expliquant les conséquences.
« Non seulement vous faîtes des erreurs, vous ne travaillez pas mais en plus vous ne respectez même pas les consignes alors que vous êtes en punition. Et bien vous allez vous en souvenir.
Je la ramenai d’une main ferme vers le banc, lui appuyait sur la nuque pour lui faire reprendre la position tandis que je reprenais la règle pour lui asséner une nouvelle rasade pendant au moins 5 minutes. Les fesses commençaient à bleuir sous l’avalanche des coups et elle allait garder des traces pour un moment.
Madame Leroy qui repassait dans le couloir en sens inverse me fit un nouveau geste d’encouragement pour ma sévérité visiblement satisfaite de me voir en action.
Je ne me reconnaissais pas. Moi qui n’aurais jamais fait du mal à une mouche avant de rentrer à la SFID, j’étais en train de battre comme plâtre une jeune femme déculottée devant moi.
Décidément va vie et comportement changeaient au fil des mois grâce ou à cause de la SFID.



Pour suivre le fil de ce récit

Le premier de la série :  chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 16
La suite au prochain chapitre... sans doute mais pas pour l'instant. La saison 2 s'arrête là. Attendons la saison 3 !

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1 commentaire:

  1. Bonjour George,
    Cette madame Leroy est La reine du machiavélisme disciplinaire. L'intrigante, qui ne peut pas s'occuper des fesses tout le monde, n'a pas son pareil pour inciter les membres du personnel à se corriger entre eux. Diviser pour mieux fesser!
    Par contre lorsqu'elle prend les commandes ça claque sec ! Le pouvoir est au bout du Padell... en cuir... qui a su la séduire, elle sait donc l'entretenir... Sur les fesses de Georges qui ne fesse pas assez souvent à son goût! Un quart d'heure d'assouplissement du derrière ça vous gâche une fin de journée et ça rend un peu hargneux .
    Alors Georges se venge sur Aurélie qui se venge sur...L'effet domino de la raclée. Les poupées gigognes de la fessée! Ce sera qui la plus petite à devoir se déculotter?
    On attend avec impatience une démonstration de madame Simone, experte en fessée qui n'y va pas avec le dos des biscuits à la cuillère l'alsacienne.
    Et tout ce petit monde se rougit allègrement le derrière pour le plus grand plaisir de la lecture.
    IL n'y a que le banc à fesser qui manque un peu de poésie... et puis tout nu, sur le bois dur...avec la règle aux fesses! Oula la, double peine !!!
    Il n'y aurait pas quelque part à la SFID une belle paire de cuisses accueillantes.
    Aussi terriblement amusant que follement cuisant!
    Cordialement
    Ramina

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