Le sens de l'équité : pas de jalouse

Mais bien sûr que si, ma chérie, tu sais bien que ta tante et moi nous sommes très attentive à me pas faire de jalouse entre ta cousine et toi. Depuis que vous êtes toutes petites, nous vous traitons de la même façon quand vous êtes ensemble. Ce n'est pas à vingt-sept ans que nous allons arrêter.

Là dans le cas présent ? Je ne sais pas laquelle des deux a été la première. Ta Cousine ? Toi ? Est-ce ta tante qui a commencé et moi qui, afin d'être équitable, ait dû suivre ? Ou le Contraire ? Le résultat est le même.

Tu vois, nous sommes très attentive à vous traiter de la même façon toutes les deux. Et pour que vous en soyez certaines, cette fois-ci, c'est sur les genoux de ta tante que tu vas te retrouver et moi je vais m'occuper de ta cousine.

Vous avez décidé d'être insupportables depuis le début de ces vacances ? De rentrer à l'aube en réveillant toute la maisonnée ? De boire au point de ne plus tenir debout et de vomir à côté des toilettes ? De refuser de faire votre part du rangement et du ménage ? De faire subir à tout le monde votre mauvaise humeur ?

Combien voulez-vous parier que ma sœur et moi allons rectifier ce comportement en en rien de temps ?

Vous ne voulez pas vous comporter en jeunes femmes responsables ? Vous préférez agir comme si vous étiez des adolescentes en pleine crise ? Soit ! Mais ne soyez pas étonnées que nous agissions en conséquence.

Qu'arrive-t-il aux petites filles capricieuses ? Je ne connais pas de remède plus souverain qu'une bonne fessée déculottée. Je ne sais pas ce que tu en penses, mais j'ai l'impression qu'une fois la culotte baissée et les fesses bien rougies, cela va vous permettre, à toi et à ta cousine, de reconsidérer au plus vite votre attitude.

Tu vois, ta tante et moi avons pris de bonnes résolutions pour ce nouvel an. Je parie, qu'à la différence de celles que j'avais prises les années précédentes, je vais réussir à tenir celles-ci toute l'année.

Pour commencer, nous avons décidé qu'après chaque fessée, vous iriez au coin. Nous vous montrerons comment il faudra s'y tenir afin que chaque personne qui entre dans la pièce où vous serez en pénitence, voie du premier coup d’œil que vous avez reçu une bonne fessée déculottée.

Pour aujourd'hui, vous y resterez jusqu'au déjeuner. Et oui, je ne rends bien compte que cela veut dire que toute la famille pourra vous y contempler. Cela sera un avertissement salutaire pour vos frères et sœurs plus jeunes. Ils comprendront ce  qui risque de leur arriver s'ils prennent la même voie que vous deux.

Je ne sais pas si vous vous habituerez mais cela vous arrivera d'autres fois. A commencer par ce soir. Il y a une deuxième fessée de prévue, en punition du tintamarre que vous avez fait hier soir en rentrant. Je crois que nos mains ne suffiront pas à vous donner la leçon que vous méritez. Nous devrions bien trouver deux ceintures pour imprimer le message plus durablement sur vos fesses. Bien évidemment, vous passerez toute la soirée au coin.

Au rythme où vont vos désobéissances et vos insolences, je ne serais pas étonnée que ta tante ou moi soyons obligées de vous baisser la culotte et de vous fesser plusieurs fois par jour. Cela vous fera le plus grand bien.

A la plus petite désobéissance, à la moindre insolence, dès le début d'un caprice, vous serez punies. Une bonne fessée immédiatement et la présence d'éventuels témoins, qu'ils soient de la famille ou non, nous sera totalement indifférente.

Bien évidemment, vous êtes privées de sortie jusqu'à la fin des vacances. J'espère que vous aurez le temps d'avertir vos copains et copines qui viennent vous cherchez, qu'il serait préférable qu'ils ne se pointent pas ce soir. Ils risqueraient de tomber en pleine fessée.

Quoique, je me demande s'ils ne seraient pas préférables que certains soient là à ce moment-là. J'ai l'impression qu'un certain nombre d'entre eux auraient également grand besoin que nous leur administrerions une sévère fessée. Je verrais bien une bonne brochette de ces jeunes gens alignés le nez contre le mur et les mains sur la tête, exposant à tout le monde leurs fesses que nous aurions copieusement rougies.

Puisque vous ne sortirez plus le soir, cela vous permettra de vous coucher bien plus tôt. Vingt-et-une heure devrait être une heure raisonnable. Vous pourrez ainsi récupérer le retard de sommeil que vous avez accumulé et vous lever tôt tous les matins pour préparer le petit-déjeuner pour toute la famille.

Dis-moi, sœurette, ne serait-il pas temps que nous baissions ces culottes ? Si nous voulons faire impression, il faut que les fessées que nous leur donnons, soient mémorables. Une culotte baissée, ça aide. Ces demoiselles en ont besoin !

Grand merci à l'auteur anonyme à qui j'ai emprunté le dessin !

Si vous avez des indications afin qu'on puisse rendre son œuvre  à l'auteur...

L'équité, voilà un principe auquel bien des fesseuses tiennent

                                                   

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