lundi 14 janvier 2019

Une logeuse attentive

Comme tu le vois, mon garçon, que tu aies vingt-deux ans ne modifie pas la façon dont je dois réagir, et que nous soyons dans un parc avec tout plein de monde autour de nous  ne change rien à l'affaire.
Au contraire, je ne vois pas pourquoi je devrais me cacher pour te montrer les conséquences de ton comportement. Peut-être ne m'as-tu pas crue quand je t'ai promis que si je devais me déplacer, tout se réglerait sur place ? Tu vas découvrir que je tiens toujours mes promesses.
Ta mère et moi sommes bien d'accord. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle a décidé que tu logerais chez moi durant toutes tes études. Je dois avoir un œil sur ce que tu fais et comment tu te comportes. Il est bien connu que les grands garçons comme toi, même quand ils ont plus de vingt ans, ne savent pas s'occuper tout seuls d'eux-même. Ils ont tendance à se comporter comme des petits garçons irresponsables, surtout si on leur lâche la bride sur le cou.

L'année dernière, lors de ta première année de fac, en a été la démonstration flagrante. Tu as passé plus de temps en fêtes et à écumer les cafés, que de temps sur tes cahiers et tes bouquins. Le résultat n'a étonné personne ! Tu as échoué à tous tes examens.

Je pensais que tu avais compris que cela n'arriverait plus maintenant que tu habites chez moi. Nous avons pourtant mis au point pas mal de choses, que ce soit du côté de tes heures de coucher, de ton hygiène corporelle ou du soin que tu prends pour ranger tes affaires. Il a fallu que je me fâche régulièrement, mais maintenant que tu as compris que la moindre négligence ou un travail scolaire insuffisant te conduiraient immédiatement à plat-ventre en travers de mes genoux, tu as fait pas mal de progrès.
Je me disais que bientôt, il n'allait plus être nécessaire de te déculotter et de te fesser aussi souvent, que les trois ou quatre fessées par semaine que je t'ai données avaient suffi pour que tu comprennes qu'il était préférable d'obéir et de travailler.
Je vois que ce n'est pas aussi simple que cela. La fessée que je t'ai donnée à la maison, la semaine dernière, pour être rentré bien après l'heure de ton dernier cours, n'a pas été suffisante. Tu as sans doute cru à une menace en l'air quand je t'ai dit que la prochaine fois j'irai te chercher et que je m'occuperai de ta désobéissance sur place ?
Crois-tu toujours que je n'irai pas au bout de ce que je te promets ?


fessée déculottée en public

Je savais que je te trouverai ici, à la terrasse d'un café. Te saisir par l'oreille et te faire traverser la rue à été un jeu d'enfants. Ce banc a été placé là à point nommé. Je vois que tes copains et copines, sur le trottoir d'en face, ont une vue imprenable sur tes fesses qui sont maintenant bien rouges.
J'ai l'impression qu'il y en a quelques-uns, parmi ceux qui trouvent amusant de te voir dans cette position, qui auraient, eux aussi, bien besoin d'une bonne fessée déculottée. Je crois connaître certains de leurs parents. Je vais leur en parler dès ce soir. Au besoin, je sévirai moi-même.

Quant à toi, tu vas vite comprendre que cette désobéissance a été de trop. J'ai été bien trop accommodante avec toi. La fessée déculottée, administrée dans ta chambre avec ma main nue ne suffit plus ? Malgré les corrections que je te donne tu as décidé d'ignorer mes avertissements et de n'en faire qu'à ta tête ? Et bien tout cela va changer !

Dès notre retour à la maison, tu auras une nouvelle fessée, je vais utiliser une ceinture. Je pense qu'une légère rougeur de tes fesses ne suffit plus. Il faut que je te laisse des marques qui vont rester au moins plusieurs heures pour que tu comprennes que je suis sérieuse. Je vais m'efforcer qu'elles y restent plusieurs jours. Au moins, pendant ce temps-là, tu sauras ce que tu risques à me désobéir.
Cela t'aidera à comprendre que quand j'ai décidé te te baisser la culotte, il n'est pas question que tu t'y opposes, y compris quand nous serons en public. Tu t'y es essayé pour cette fessée devant tes copains, je te promets que c'est la dernière fois que tu t’opposes à mes décisions.

Ensuite, tu iras au coin. Pas question que cela se passe dans ta chambre. Ce sera dans le séjour, là où toute la famille pourra te voir. Dorénavant, ce sera là que tu prendras la fessée et que tu iras au coin. Bien évidemment, cela ne m'empêchera pas de te baisser la culotte. Au contraire !


Grand merci à Nate à qui j'ai emprunté le dessin !

Bien qu'il ne soit pas signé, le style semble caractéristique.
J'ai dû effacer les bulles contenant les paroles originales des personnages. Au-delà du fait qu'elles étaient en anglais, elles ne correspondaient pas au récit que je voulais proposer. Je prie Nate de m'en excuser.

Heureusement que plus d'une logeuse prend ses responsabilités

           fessée déculottée sur les genoux                                        fessée déculottée aux orties sur les genoux de sa logeuse

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2 commentaires:

  1. Bonjour Gérard,
    Un petit récit court illustrant un dessin... c'est la livraison du lundi. Il y en a eu d'autres, je pense qu'il y en aura d'autres.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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