mardi 22 janvier 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - chapitre 8


CHAPITRE 8  : Béatrice et Maxime, une affaire de famille. (1)

Béatrice Klakerspank, jusque-là simple observatrice pour ne pas perturber le bon déroulement de la correction, sort de sa réserve de circonstance.
« C’est bien Catherine, bravo ! Excellente fessée et bonne leçon de savoir vivre. Je vais finir la correction de monsieur avant que son épouse vienne le chercher. Gladys ne devrait pas tarder.  A mon tour de lui tester le derrière. Et Monsieur pourra nous remercier de lui faire apprécier la diversité de qualité de fessées administrées par des mains différentes.
– C'est trop aimable à vous Madame. Répond la jeune femme en rosissant sous le compliment. Mais, avec l'expérience que vous avez, vous fessez tellement fort... Je ne tiendrai pas la comparaison.
– Allons Catherine, ne soyez pas si modeste ! Vous avez déjà un joli tour de main et une très bonne frappe. Avec une pratique régulière vous parviendrez rapidement à fesser encore plus fort et plus longtemps. Mais pour le moment vos fessées sont déjà bien cuisantes. Il suffit de regarder la couleur des fesses de monsieur.
– Merci madame ! J'apprécie le compliment... Je vous le reculotte ?
– Oui, merci. Je préfère le déculotter moi-même. Le déculottage fait partie de la fessée. C'est toujours un moment agréable dont il ne faut pas se priver.
– Tout à fait madame, je suis bien d'accord ! Vous avez entendu monsieur Edouard ? Relevez-vous et venez ici que je vous reculotte pour que vos fesses soient présentables devant madame Béatrice.
Edouard encore sonné par sa raclée, regarde tour à tour Catherine qui vient de lui flanquer sa fessée et madame Klakerspank qui prépare la suivante.

« Mais... mais... vous n'avez tout de même pas l'intention de me flanquer une autre fessée ! Je viens d'en prendre deux, ça suffit ! Je vous en prie... pitié... j'ai compris la leçon. !"

Madame Klakerspank, imperturbable, a déjà pris position sur le tabouret. Elle a retroussé sa jupe très haut sur ses cuisses pour fesser à l'aise et relève tranquillement la manche droite de son bustier. Elle l'enroule avec soin autour de son bras pour bien dégager la main qui va claquer. Un petit sourire narquois au coin des lèvres, elle glisse un regard moquer sous ses paupières fardées en direction de sa future victime

« Voyons mon ami, la première ne compte pas. C'était une simple fessée d'échauffement sur le slip. Une vraie bonne fessée ça s'appelle une déculottée et ça s’administre le slip baissé. Alors...  vous feriez bien d'arrêter vos jérémiades inutiles. J'attends vos fesses mon cher, et je vais leur faire savoir ce qu'il en coûte de me faire attendre. »

Prosterné entre les jambes de Catherine, le malheureux se fait reculotter sans ménagement. Elle prend soin de lui ajuster son slip au plus serré sur le derrière pour entretenir la cuisson de la fessée. Grimaçant de douleur, il se redresse alors et tente de remonter son pantalon en trébuchant. La voix autoritaire de Béatrice ne lui en laisse pas le temps.
– « Mais Edouard...qui vous a autorisé à vous rhabiller ? C'est en slip, le pantalon aux chevilles qu'on vient humblement chercher sa fessée ! »
 Edouard n'a pas le choix. Il a rarement le choix dans ce genre de situation. Il rumine quelques mots de protestation à peine audibles et obéit. Les jambes entravées par son pantalon, la boucle de ceinture raclant bruyamment le carrelage, il traverse le salon d’une démarche chaotique, comme s'il marchait sur des patins. Les fesses lui cuisent si fort   qu'il fait le déplacement en pleurnichant comme un petit garçon qui va se faire corriger par sa mère. Le personnage arrogant a définitivement perdu de sa superbe devant ces Dames, bien décidées à lui faire payer ses manières déplacées.

 Sûre de sa force et de son autorité, l'imposante Madame Klakerspank le manœuvre sans difficulté. Le malheureux, pas très costaud, ne pèse pas lourd entre ses mains. Dès qu'il arrive à sa portée, elle le saisit sans ménagement par les cheveux, le force à se courber et le couche brutalement, sans résistance, en travers de ses larges cuisses. Emporté par l'ampleur du mouvement qui le projette en avant, il glisse sur ses bas nylon et manque de tomber.
« Non mon ami, ce n'est pas la bonne position. Pour la fessée c'est par ici !» 
Elle le rattrape d'une main et le plaque sur ses genoux en lui faisant cambrer les reins pour l'obliger à bien déployer son derrière.
« Voilà ! C'est comme ça que je veux vous avoir sous la main ! Ah, Monsieur croyait que j'en avait terminé avec ses fesses ! »

Tout en lui maintenant le derrière en l'air, elle le déculotte de son autre main libre.  L'élastique du slip vient à peine de claquer sur ses cuisses que la fessée démarre aussitôt dans un bruit retentissant, qui résonne de nouveau entre les murs du salon. Le malheureux se met immédiatement à hurler sous les cuisantes claquées qui ravivent instantanément la cuisson de ses fesses. Elles sont encore rouges et sensibles de la précédente correction.
Catherine, Solange et madame Duplessy suivent avec admiration la formidable déculottée que madame Klakerspank administre avec énergie. Elle ne se contente d'ailleurs pas de fesser et s'amuse à pimenter la raclée de commentaires ironiques, ajoutant le sarcasme à l'humiliation de la fessée en public.
« Alors, on la sent bien sa fessée maintenant. Hum ? On la sent tout de même mieux déculotté. Bien meilleure que celle de tout à l'heure à travers le slip ! »

Edouard, noyé dans ses larmes, à l'impression que la terrible femme est en train de lui éclater le derrière en lui faisant exécuter une trépidante danse des fesses. Le public féminin enthousiaste apprécie la performance et se régale des spectaculaires rebondissements du flamboyant postérieur. Incapable de se retenir malgré sa honte, le pauvre homme, au supplice, se répand en vaines supplications. Il a beau implorer en bafouillant, la clémence n'est manifestement pas à l'ordre du jour des intentions de Madame qui continue à lui claquer les fesses avec entrain.
« Pitié maaaadame, arrêtez ! Vous taaaapez trop fort ! Et vous a... vous avez la main tellement du-u-re !
– Comment ça ? Vous n'aimez pas cette fessée à la main ? Elle claque bien pourtant !
– Aaaah noooon ! Voootre main…trop dure !  On...on dirait un... Battoir !  Aiiie !

Béatrice ne répond pas tout de suite. Elle interrompt la raclée, la main en arrêt, levée au-dessus des fesses écarlates. Elle réfléchit quelques secondes, reprend la fessée en ajustant encore quelques allers et retours, et contre toute attente, décide d'arrêter,
– « Très bien ! Puisque monsieur fait son douillet, c'est d'accord... je veux bien abréger la fessée à la main ! »  
Edouard pantelant sur ses cuisses continue de sangloter alors que son corps meurtri se relâche lentement, encore parcouru de brefs soubresauts.
« Aaaaah... mer...merci Madame... Merci !
La belle femme lui tapote affectueusement le derrière.
« Pas encore mon cher, pas encore !... Solange, ma chère, voulez-vous bien regarder dans mon sac derrière la caisse, vous serez gentille. 
– Oui madame, le grand sac rouge ?
– C'est cela... Vous allez y trouver deux martinets... Vous prenez le plus gros à lanières plates et vous me l'apportez s'il vous plaît.
Edouard rugit en ruant du derrière sur les cuisses de sa fesseuse qui le maîtrise aussitôt d’une main ferme plaquée au creux des reins.
« Allons mon cher... On reste bien en place ! Je veux des fesses souples et détendues pour la fessée au martinet !
 – Ah non, Non ! Pas ça ! Pitié, S'il vous plaît madame, pas la fessée au martinet ! Ça fait trop mal !
– Voyons Edouard, votre correction n'est pas encore terminée. Et vous ne savez pas ce que vous voulez. La fessée à la main est trop cuisante, je vous en propose une cinglante au martinet et vous n'êtes toujours pas satisfait ! Ça suffit comme ça ! Solange... Le martinet s'il vous plaît !
– Non, non ! Je vous en supplie, pas le martinet ! Pitié, j'ai déjà les fesses en feu !
– Comment ça les fesses en feu ! Juste un peu rouges, c'est tout. Et encore, même pas assez ! Je vais vous montrer moi, ce que c'est, d'avoir vraiment le feu aux fesses ! »

 Edouard ulcéré, continue à vociférer en tapant des poings par terre. Les trois femmes s'amusent à le voir se couvrir de ridicule. Béatrice jubile en le regardant s'énerver tout seul.
« C'est bien, continuez à tortiller du derrière, ça le rend plus excitant ! J'aime quand on résiste. J'adore mâter les fessiers récalcitrants ! 

Indifférente à ses protestations, elle décide de prendre une position mieux adaptée à l'utilisation du martinet qui nécessite davantage d'ampleur de mouvement. Elle lui ceinture la taille et se lève du tabouret en le tenant sous son bras pour le faire décoller du sol, les fesses relevées à la bonne hauteur.
« Voilà, nous y sommes ! Je ne sais pas si Gladys vous fesse aussi au martinet, mais je pense que vous allez regretter la fessée à la main mon ami ! »

fessée déculottée au martinet


Elle tend la main vers Solange qui lui apporte l'instrument de discipline.
– C'est un des martinets que j'utilise pour corriger mon fils, Maxime. J'en ai toujours au moins un dans mon sac en cas d'urgence. »
 Edouard plié en deux sous son bras, attend sa correction, les fesses tournées vers son public. Elle ajoute avec un clin d'œil vers les Dames du salon.
« Il faut avoir pour principe de ne jamais rater une occasion de sévir. Et pour ça, je vous conseille d'avoir toujours un bon instrument de discipline à portée de main en cas de nécessité. Vous allez voir, celui-ci est une vraie petite merveille. Bien manié, il vous fait   reluire une paire de fesses en dix minutes ! 

Elle fait sauter le manche dans sa main pour assurer sa prise et, le bras fort, haut levé, commence une nouvelle fessée à grand coup de lanières. Le cuir souple, bien enveloppant claque dur sur les fesses déjà cuisantes du malheureux qui se remet aussitôt à hurler. La frappe lourde et cinglante se démultiplie en bruissant allers et retours, traversant la vaste surface du fessier en largeur d'abord puis dans l'autre sens.

Edouard a beau mugir sa souffrance et réclamer la fin de l'épreuve, rien n'y fait. Fermement maintenu sous le bras de sa fesseuse, il parcoure quelques kilomètres virtuels en pédalant dans le vide, les jambes entravées par son slip et son pantalon. Elle est manifestement plus forte que lui. Les fesses rouge vermillon, étrillées sous les cinglées de martinet, il finit par capituler et se soumettre sans résistance à la correction. La maîtresse femme en profite. Indifférente au tourment qu'elle lui inflige, elle lui fait baver ses dernières larmes sur le carrelage sous une éclatante envolée de lanières qui lui laisse le postérieur en fusion. Il irradie la pièce d'un rouge brique resplendissant.

Edouard a demandé grâce au moment où elle desserre sa prise pour le laisser s'écrouler à genoux par terre. Les trois femmes enthousiastes, félicitent la fesseuse.  Le monsieur a pris sa leçon jusqu'au bout. Mais Béatrice ne le lâche pas encore. 

« Alors... Vilain garçon, on a compris maintenant ? On ne s'amusera plus à tripoter les fesses des dames ? Sinon... Sinon quoi ?
  Heuuu... oui... sinon... C'est... C'est la fessée ! Je... je suis... désolé... 
  Oui, ça je m'en doute ! Mais encore ? »
La main nerveuse, levée au-dessus des fesses éclatantes, est prête à retomber. Elle insiste menaçante.
– Alors ! ... Qu'est-ce qu'on dit, à la Dame, qui lui a fait un beau derrière aussi rouge ? »

Le malheureux se trémousse sur le carrelage en se tenant les fesses à deux mains comme pour se les protéger à l'avance. Elles sont striées de rouge foncé sur toute la surface, Du bas des reins jusque sur le haut des cuisses.

« Merci... Oui, merci ! »
Vlan ! Vlan ! Ça par immédiatement. Une claque sur chaque fesse après avoir écarté les mains inutilement placées.
« Merci qui, et pourquoi ? »
Un deuxième aller et retour retentit sur le derrière encore en pleine cuisson pour rendre la question plus convaincante.
Les trois femmes se régalent de la leçon de politesse et démonstration d'autorité de la patronne.
« Merci...  Madame Catherine... merci Madame Béatrice, pour ces bonnes fessées. Je promets de ne plus recommencer.
– A la bonne heure ! Voilà ce qu'on voulait entendre... Elle se tourne, menton levé, vers ses employées. Catherine... Solange... Satisfaites ? »
Les deux jeunes femmes acquiescent avec un large sourire. Catherine ravie.
« Tout à fait Madame, on n'en espérait pas tant. Monsieur est prévenu, il a intérêt à tenir sa promesse. 
– Parfait ... Madame Duplessy ? Je pense que vous saurez tirer profit de cette séance de fessées improvisée
– Vous pouvez le dire chère Madame. Quand je vois le résultat, mon mari peut préparer ses fesses. Fini les mauvaises manières ! A partir de maintenant ça va chauffer à la maison ! » 
Béatrice, d'un hochement de tête, affiche sa satisfaction. Elle lisse sa jupe sur ses cuisses et tend le martinet encore chaud à Solange.
« Vous pouvez le remettre dans mon sac s'il vous plaît …Une seule méthode efficace pour se faire obéir : La fessée, et rien d'autre ! »
En patronne de la maison, elle conclut avec autorité.
– « Excellente fin de journée, très instructive et distrayante pour tout le monde... Elle se tourne vers Edouard toujours à genoux, qui n'ose pas se relever.  Vous pouvez vous reculotter. Et je veux du slip bien tendu sur les fesses pour prolonger l'effet fessée. Vous allez attendre votre épouse au coin, près de la caisse ! »

L'attente ne dura pas longtemps. Catherine et Solange finissaient de ranger leurs affaires, madame Duplessy enfilait son manteau pendant que Béatrice fermait sa caisse, quand la porte du salon s'ouvrit brusquement. Il était dix-neuf heures dix. Gladys fit une entrée coup de vent, les bras chargés de sacs marqués du nom des boutiques qu'elle avait faites au cours de son après-midi de shopping.
« Bonjour mesdames ! Ah quelle circulation ! Je ne suis pas trop en retard ? Tu m'attendais pour fermer Béatrice ? Je suis désolée ! Dit-elle en posant ses sacs sur un fauteuil d'attente.
– Non ma chérie, ça va... On vient juste de terminer avec ton mari. On a fini par le mettre au coin il y a à peine cinq minutes.
– Oui je vois ça ! . »
La sévère épouse l'a déjà repéré. Sourcils froncés, elle ôte ses gants et les pose avec son sac sur un autre fauteuil. Les mains sur les hanches, visage fermé, elle exprime d'emblée son agacement.
« Qu'est-ce qu'il fabrique au coin ? Et qu'est-ce qu'il a encore fait pour ça ? »
Béatrice soupire d'un air faussement navré, puis échange un regard entendu avec Catherine qui sourit à son tour.
« Tu connais ton mari et ses mains baladeuses. Il a encore voulu tripoter les fesses de Catherine, alors, comme tu m'avais conseillé de sévir en cas de récidive...
– Fessée ?
– Fessée ! Immédiatement !
– Très bien ! Une sévère j'espère ?
– Pour ça fait moi confiance. Il s'en est même pris trois. Une par Catherine, bien sûr, la victime. Je me suis chargée des deux autres, à la main et au martinet.
– Déculottées les fessées ?
– Evidemment chérie ! Enfin, une à travers le slip et les deux autres déculottées.
– Excellent, vous avez bien fait. Edouard est obstiné, souvent irresponsable. Je dois le fesser régulièrement pour le corriger de ses fréquents écarts de conduite. 
– Et bien c'est ce qu'on a fait. Et je peux te dire qu'on lui sacrément bien rougi le derrière !
– Parfait ! Je vais voir ça tout de suite. Edouard, tu baisses ton pantalon et tu viens ici me montrer tes fesses ! » 
Client soumis entre les mains de Béatrice, Edouard vient de repasser sous l'autorité de son épouse. Il ne gagne pas vraiment au change. Les deux femmes appliquent les mêmes méthodes avec la même intransigeance.
« Oh Gladys, s'il te plaît, je suis ridicule à marcher avec le pantalon sur les chevilles.
– Mon pauvre ami, c'est bien pour ça que je te le demande. »
Béatrice en rajoute à plaisir.
« Parce qu'on ne se sent pas ridicule de se prendre trois fessées déculottées devant des dames ! Venez ici montrer à votre épouse comme on vous a bien fait reluire les fesses ! »
Les jambes entravées par son pantalon, Edouard se déplace en traînant les pieds et se présente devant Gladys qui lui flanque aussitôt une gifle retentissante.
« Ça c'est pour avoir protesté avant d'obéir. Maintenant penche toi, la tête entre mes jambes pour qu'on voit bien tes fesses pendant que je te déculotte ! »
Le malheureux s'exécute, une nouvelle fois humilié devant Catherine et Solange restées pour le spectacle et bien sûr Béatrice toujours aux première loges pour participer ou profiter d'une séance de discipline.
« Ah oui, belle raclée ! S'exclame Gladys en déculottant le fessier cramoisi de son mari, courbé en deux la tête coincée entre ses cuisses. La position offre une vision parfaite du derrière entièrement déployé. Les doigts passés sous l'élastique, elle descend lentement le slip le long des cuisses pour prendre le temps de savourer la merveilleuse apparition. Les fesses et le haut des cuisses sont entièrement cuits.
« Absolument ma-gni-fique !  Ce rouge écarlate est splendide. Bien réparti, sur toute la surface des deux fesses, avec ces belles traces de lanières plus foncées par-dessus... je vois que mon chéri s'est pris une belle série de fessées... Bravo mesdames, je n'aurais pas fait mieux ! »

la culotte baissée sur le genoux


Ajoute-t-elle en le reculottant. Edouard pousse un gémissement lorsqu'elle s'applique à   lui ajuster son slip au plus près, les fesses étroitement serrées dans le nylon. La matière très enveloppante conserve la chaleur et prolonge ainsi la cuisson des fessées.  Le pantalon étroit par-dessus renforce la pression.

Catherine et Solange sont déjà parties. Edouard, les fesses en mode feu continu, chaudement reculottées, attend sagement les consignes, debout devant la porte. Gladys a repris ses emplettes. Béatrice a enfilé sa veste de tailleur et récupéré son sac avec les deux martinets. 
« Gladys, ma chérie, il faut que je rentre. J'ai quelque compte à régler avec mon fils à la maison. 
– Maxime ! Il a encore fait des siennes ?
– Oh ce n'est pas très grave. Mais tu connais la chanson, on applique les mêmes règles... Au moindre écart c'est :  fessée déculottée et au coin ! Le martinet que j'ai chauffé sur les fesses de ton mari ne va pas tarder à reprendre du service à la maison ! »
La belle femme esquisse un sourire prometteur. Gladys pousse son mari sur le trottoir d'une nouvelle claque aux fesses.
« Celui-là aussi va s'en reprendre une dans peu de temps. Il connaît bien la règle, et j'ai augmenté la dose. Une fessée prise en journée, c'est maintenant deux autres le soir à la maison ! »
– « Tu as raison chérie, on est sévère ou on ne l'est pas !  Assure Béatrice qui enchaîne   d'un ton professoral.
– « Fesses rouges le jour, écarlates le soir ! »
 Les deux femmes éclatent de rire et rient encore en montant dans leur voiture.

« Maxime ? ... Tu es là mon chéri ? … Maman est rentrée ! »

La voix grave et chaude de Béatrice semble affectueuse, mais le ton employé sur la fin de sa phrase sonne davantage comme une injonction, plutôt qu'une simple annonce de présence. Cela voulait dire :    Maman est rentrée, elle attend, qu'en garçon bien élevé, son fils vienne lui souhaiter le bonsoir immédiatement... Comme elle lui a appris à le faire.

C'était, chez elle, un niveau d'exigence de bonne tenue et de savoir vivre de tous les instants qui répondait à un désir profond de lui apporter une parfaite éducation. C'est du moins ce qu'elle exprimait de ses intentions. Elle lui inculquait le sens des valeurs, le respect des personnes, le goût du travail bien fait, les vertus de la politesse et de l'obéissance. Elle était convaincue que les bienfaits de ses principes d'éducation passaient par l'application d'une stricte discipline, basée sur une pratique systématique des châtiments corporels. Elle estimait que le martinet en était l'incontournable instrument.

 Adepte inconditionnelle de la fessée comme méthode de correction, elle ne se gênait pas pour en faire l'éloge auprès de son entourage. Elle se vantait ainsi d'en faire un usage régulier et n'hésitait pas à en démontrer l'efficacité en fessant Maxime devant ses amies. Elle en incitait même certaines à participer en leur mettant ses fesses à disposition pour d'éprouvantes séances d'initiation aux qualités éducatives de la fessée. Le plus dur, pour lui, étaient les séquences de fessées au martinet. Béatrice, en démonstration, s'en chargeait avec un plaisir manifeste, histoire de reprendre la main devant son public.
   
Au cours de ces séances mouvementées, l'aspect éducatif de la fessée finissait par sortir un peu du champ de préoccupation de la sévère maman. Elle régnait alors sur son petit monde et les fesses de son fils avec le sentiment de puissance d'une implacable maîtresse de cérémonie. Le malheureux en ressortait le corps meurtri, les fesses écarlates et cuisantes, gonflées par les fessées.  Il lui fallait bien plusieurs jours avant de s'en remettre et de pouvoir s'asseoir correctement. Notamment à table comme sa mère l'exigeait, au principe du respect de la cuisine de la bonne tenue pendant les repas.

Béatrice avait perdu son mari, pilote dans l'armée de l'air, victime d'un crash en cours d'essai d'un prototype. Elle vivait seule avec son fils et avait pu acheter son salon de coiffure grâce aux indemnités et pensions faisant suite au tragique accident. Elle devait sans doute à ses origines anglo-saxonnes cette intérêt pour l'ordre et la discipline. Plus particulièrement, la discipline, qui en faisait une fesseuse acharnée et redoutable.
Le bras fort et la main sévère, sa plantureuse stature faisait le reste. Elle impressionnait son entourage, souvent fasciné par son pouvoir de séduction, et plus précisément son fils subjugué par sa prestance et son écrasante personnalité.

Maxime apparut à la porte du salon.
« Bonsoir maman... je t'avais entendu rentrer. »
C'était un jeune homme d'une vingtaine d'années, au physique avenant, d'allure plutôt sportive, sans plus. Sa silhouette assez svelte donnait une impression de légèreté. Le ton de sa voix, mesuré, empreint d'un semblant d'assurance, laissait supposer une nature plus réservée. Il semblait posé, pas fragile, mais sans doute assez influençable devant la force de caractère de sa mère qui, elle, en imposait, déterminée et sûre d'elle.
Il s'approcha d'elle pour l'embrasser. Elle le laissa faire sans lui rendre vraiment.  Elle était visiblement contrariée.


Avec les dessins originaux de l'auteur !



Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 7

Il y a une suite, le chapitre 9 

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Wahou ! Quel spectacle ! Ces dames s'amusent !
    Excellent récit, réaliste à souhait.
    Dame Béatrice, Comtesse de la Chambrière, et sa cour d'admiratrices, Dame Catherine et Baronne Duplessy, sans oublier son amie, Lady Gladys. Un petit air de menuet ou de valse, en crinoline pour créer une ambiance ?... Rires.
    La suite nous réserve "un recadrage cuisant" pour Maxime, Un peu comme Gérome avec sa chère Maman Térèze... On attend avec impatience...
    Peter.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour,
    Merci Peter pour cet enthousiasme bien encourageant. Oui, ces dames s'amusent et nous aussi.
    Toujours aussi imaginatif, l'ami Peter en plein délire historique voit du Menuet et de la crinoline là où il y a du martinet et des bas nylon! Belle ambiance effectivement. Que voulez vous ces dames ont la fessée facile. Personne ne s'en plaindra, sauf sir Edouard qui nous gratifie d'une belle Valse du derrière.
    Maxime est en alerte rouge avec un recadrage maison que maman lui prépare. Le tour de Gérôme va bien finir par arriver. Et ça soulagera un peu la main de maman Térèz!
    Cordialement
    Ramina.

    RépondreSupprimer
  3. Très belle fessée, moi aussi ma femme me punit en me donnant la fessée trois à quatre fois par semaine pour la moindre erreur ou mon insolence c'est la fessée cul nu ,même si on a des invités comme ses parents et ses frères et sœurs, c'est immédiatement devant tout le monde

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bonjour, quel délice.
      Votre adorable épouse n'aurait elle pas une sœur célibataire ?...ou une amie célibataire ?

      Supprimer
  4. La fessée déculottée sur les genoux j adore ca jai une jolie paire de fesses imberbes et douce je suis proche de Paris qui aime la même chose que moi ? Merci de laisser un message

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.