mercredi 2 janvier 2019

Chambre chez l'habitante - Chapitre 65


La jeune femme sous le coude de Madame Caroni n’avait pas la vie plus facile. Elle se souvenait de ses fessées d’enfance quand sa mère la fessait. Elle s’était souvent retrouvée dans la même position, offrant ses fesses à la correction rédemptrice. Elle n’était donc pas tout à fait en terrain inconnu. Si parfois elle avait eu la jupe retroussée, jamais sa culotte n’avait été baissée.

La différence était évidente. Elle avait cru, quand elle était corrigée par sa mère, que le fin tissu de sa culotte était une piètre protection. Il n’en était rien. S’il n’amortissait que très peu l’énergie qu’on pouvait mettre sans une fessée, il rendait bien plus cuisant le moment où la main de Madame Caroni frappait ses fesses. Il y avait, à ce moment-là une douleur vive, d’une courte durée qui naissait sur le pourtour de l’endroit où la main était tombée. Elle ne durait pas, mais son intensité la rendait insupportable. A chaque fois, la jeune femme poussait un cri de souris prise au piège.
La culotte baissée, elle se sentait bien plus vulnérable. Il y avait la question de la pudeur, bien sûr. Aussi loin qu’elle s’en rappelât, elle ne s’était jamais trouvée les fesses nues contre son gré, en présence d’autres personnes. Cela avait dû lui arriver dans sa prime enfance, mais elle n’en gardait pas de souvenir.
La honte qu’elle ressentait était due à sa tenue qui exhibait ses fesses sans qu’elle arrivât vraiment à la considérer comme impudique. La fessée justifiait une exposition publique de ses parties intimes qu’elle avait bien conscience de montrer au gré de ses mouvements désordonnés. Plus profondément encore, c’était de s’être laissée aller à commettre cette provocation gratuite qui la mortifiait. Elle avait l’impression d’être redevenue une petite fille prise à faire une bêtise et qu’on punissait de son inconséquence.
Elle avait cru que, comme quand elle était petite fille, sa correctrice se contenterait d’appliquer fermement sa main sur son séant une douzaine de fois, éventuellement sur chaque fesse, et qu’elle en serait quitte pour une légère rougeur qui s’estomperait rapidement. La première douzaine s’était transformée en une vingtaine, qui avait été suivie d’une deuxième vingtaine et cela ne s’arrêtait pas. Madame Caroni ne donnait aucun signe d'une fin proche.
L’irritation du début s’était muée en échauffement qui était devenu une inflammation, elle-même transformée rapidement en une brûlure qui ne cessait de s’étendre et de s’intensifier. Aux réactions des personnes présentes, elle avait compris que résister ne lui apporterait que des ennuis supplémentaires. Même si elle l’avait voulu, la matrone qui la tenait aurait probablement pu la maintenir en place quoi qu’elle fasse.
En son for intérieur, elle ne trouvait pas la punition injustifiée. C’est sa forme, une fessée déculottée en public, qu’elle trouvait décalée au regard de son âge. Mais elle n’avait pas le choix ce qui était l’essence même d’une punition. Elle ne chercha pas à lutter contre la contrainte qu’on lui imposait. C’était un mauvais moment à passer, une amère médecine qu’il fallait prendre et sur laquelle il ne serait pas nécessaire de revenir, laissant de côté la fierté écornée.
Le mauvais moment durait… encore… et encore. Il n’en finissait pas et la brûlure ne cessait d’être toujours plus insupportable. Alors qu’elle levait une jambe suite à une claque qui lui avait paru plus forte que les précédentes, elle exposa la face interne de sa cuisse. C’est à cet endroit qu’atterrit la main de Madame Caroni. La fulgurance de la douleur lui arracha un hurlement. Elle interposa sa main, mettant fin à la fessée. Ce n’était que provisoire.
« Tu vas enlever ta main tout de suite et je ne veux plus la revoir !
– Non Madame, s'il vous plait, arrêtez, je n’en peux plus.
– C’est donc que la fessée fait son effet. Je compte bien que tu n’en puisses plus. C’est exactement ce que je recherchais. Mais ça ne vaut pas dire que la fessée s’arrête là. Je n’ai pas fini. Enlève ta main !
– Non, Madame, non !
– Si c’est moi qui dois l’enlever, je te promets que tu vas le regretter !
– Non, Madame, s’il vous plait.
– C’est toi qui l’auras voulu ! »
Madame Caroni prit le poignet de la jeune femme et l’amena sous son ventre. Elle l’emprisonna dans sa main. La main était immobilisée sous le ventre, le terrain était libre pour que la fessée reprenne. Cela se fit, mais avec un petit délai. Madame Schneider venait juste de passer commande d’une badine pour le jeune homme.
« Mesdames, tant que vous y êtes, pouvez-vous m’en couper une également, j’en aurai usage bientôt ! »

Deux minutes plus tard, Madame Caroni et Madame Schneider s’étaient munies d’une baguette de bois souple que leurs comparses leur avaient obligeamment apportée. Le premier coup de la badine sur les fesses des deux jeunes gens se termina en deux hurlements qui firent se détourner les passants qui n’avaient pas encore rejoint le cercle des curieux.
Les rameaux de bois souple traçaient, sur les fesses, de longues lignes rouges qui traversaient de part en part les postérieurs. Les quatre ou cinq premiers furent à peu près parallèles, puis les mouvements que faisaient les hanches des deux punis pour éviter la morsure de la badine, mirent du désordre dans cette belle régularité.
Les marques se chevauchaient, elles se croisaient, leur extrémité s’égarait sur le haut des cuisses. Les deux fesseuses devaient maintenant faire de réels efforts pour garder leur puni à portée de la baguette. C’e n’est pas que ni l’une ni l’autre ne cherchait à s’enfuir, mais leur réaction instinctive leur commandait de fuir le terrible instrument qui marquait leur chair.
Ce fut Madame Caroni qui mit fin à la fessée en premier. Elle tenait sous son bras une jeune femme secouée de sanglots irrépressibles amis qui ne faisait plus aucun geste pour se soustraire à la volonté de sa correctrice. La main qui suivait sur ses fesses les traces douloureuses, provoqua un long frisson de douleur et de consolation.
Le jeune homme restait en position disciplinaire sur les genoux de Madame Schneider. Pour rien au monde il n’aurait bougé de là sans en avoir reçu l’autorisation. La fessée lui avait appris l’obéissance. C’était un grand progrès !
Aucun des deux ne faisait plus attention à ce qu’il montrait ou non de son intimité. Cette notion même avait été effacée par la fessée. C’est donc sans difficulté qu’ils se relevèrent tous les deux quand l’ordre leur en fut donné. Debout devant leur correctrice, les mains pendantes, ils attendaient que leur devenir leur soit annoncé.
« Je pense que ces deux jeunes gens ont besoin d’un temps de réflexion avant d’entamer le nettoyage de la place. Qu’en dites-vous, Madame Schneider ?
– Excellent idée !
– Où pourrions-nous les mettre ?
– Quelques punis ont été mis à la place où Madame Marchand a placé sa punie, il y a quelques jours. Le mur le long du kiosque sert de plus en plus de lieu de pénitence. Je trouve qu’il est bien adapté pour ce faire.
– Va pour le mur du kiosque ! En route ! »
Ce n’était qu’une petite claque, mais elle suffit à mettre la jeune femme en marche. Le jeune homme n’attendit pas que Madame Schneider fasse de même. Chacun fut placé dans l’angle que formaient un poteau et le mur de soutènement du kiosque. Chacun de leur côté, il leur fut expliqué ce qu’on attendait d’eux durant leur temps de pénitence. Aucune des deux matrones ne prit le temps d’expliquer ce qu’il en coûtait s’il leur venait à l’idée d’enfreindre les règles qui leur étaient imposées.

Particulièrement quand on n’en a pas l’habitude, les temps au coin paraissent toujours plus longs qu’ils ne le sont réellement. C’est l’effet de la perte de repère et de la pauvreté de ce qui peut y occuper notre esprit. Les distractions sont rares quand vous vous trouvez le nez enfoncé dans l’angle formé par deux murs et les bras croisés dans le dos.
Certes la douleur ressentie sur vos fessées occupe pendant un petit moment mais cela ne dure pas. L’air frais circulant sur vos fesses nues, quand c’est une nouveauté surprend au début, puis on s’y habitue. Les deux jeunes gens entendaient bien que des gens passaient dans leur dos, ils prêtèrent l’oreille à quelques commentaires, mais c’était finalement assez répétitif. L’ennui les gagna. C’est une conséquence normale du coin.
Ils furent donc particulièrement soulagés quand leurs deux correctrices revinrent.
« Venez-ici tous les deux ! »
C’est avec empressement qu’ils se rendirent à l’appel, malgré la difficulté à se déplacer avec leur pantalon autour des chevilles. Les deux Dames les attendaient assise sur le banc. Sans un mot d’explication, elles leur ôtèrent leur pantalon, puis leur culotte.
« Vous allez ramassez tous les déchets que vous trouverez sur cette place, les vôtres, bien sûr, mais également tous les autres. Je veux voir cette place nette. Inutile de vous dire ce qui vous arrivera si j’y trouve le plus petit papier, n’est-ce pas ?
– Oui Madame, répondirent-ils à l’unisson.
– Prenez chacun un balai et une pelle, dit-elle en désignant les instruments qui avaient été préparés, et au travail ! »
Les deux se regardèrent, mais ils ne bougèrent pas.
« Mais Madame, notre culotte ? On ne peut pas…
– Je vous assure que vous allez pouvoir travailler dans cette tenue. Cela fait partie de la punition. Vous n’aurez vos vêtements que lorsque la punition sera terminée, donc pas tout de suite. Dépêchez-vous avant que nous nous ravisions et que nous ne commencions par une fessée ! »
Il y avait urgence à obéir, ils s’emparèrent chacun d’un balai et d’une pelle. La place était grande. Par où commencer ?
« Encore une chose : vos deux mains doivent être occupées par le travail que vous avez à faire. Si je les vois à faire autre chose, la baguette est toujours là, prête à reprendre du service. »
Une fillette qui passait par là s’écria :
« Maman, regarde, ils n’ont pas été sage, ils ont eu la fessée ! On voir leur fesses ! »
D’un réflexe malheureux, le jeune homme plaça ses deux mains devant son sexe.
« Qu’est-ce que je viens de dire ? »
Une monumentale claque accompagna cette question. Sans demander leur reste, les deux jeunes gens reprirent leur balai et leur pelle et ils commencèrent à balayer le sol. La place était grande pour leur petit balai, et d’avoir les fesses nues était humiliant, mais cela valait mieux que de prendre une autre fessée.
Ce genre d’incident, l n’y en eut pas beaucoup mais suffisamment pour qu’une rumeur se répande à l’extérieur de la ville, donna une réputation de ville aux mœurs très conservatrice. Il y eut de moins

La question de l’habillement des adultes placés sous la domination d’une grande personne devint rapidement un enjeu. On vit assez rapidement disparaître les tenues négligées. Les personnes placées en situation de pupille n’avaient visiblement pas le choix. Quelques-uns s’y essayèrent, sans grande réussite. Les choses furent définitivement mises au point un jour où il faisait beau et tout le monde avait envie de porter une tenue légère.
Ils étaient bien connus tous les deux pour avoir introduit le look grunge dans la communauté qui constituait cette ville. Si encore ils avaient adopté un style légèrement négligé cela aurait fait jaser mais sans plus. C’était un frère et une sœur, Morgane et Rodolphe, qui, alors qu’ils avaient un peu plus de vingt ans, s’étaient mis à porter des tenues des plus bâclées : jeans délavé et troués y compris sur les fesses, vêtements déchirés, cheveux en désordre…
Des voisines en avaient fait la remarque à leur mère qui, sans cautionner la tenue de ses enfants, avaient avoué son impuissance à faire changer la situation, malgré la réprobation générale. Elle ne semblait pas accorder une grande importance à la façon dont ses jeunes adultes étaient habillés quand ils déambulaient dans la rue, pas plus, d’ailleurs, qu’à la façon dont ils se comportaient. Les libertés qu’ils prenaient avec dans leur comportement avec les autres avaient été, depuis qu’ils étaient tout petits, une source de conflit avec leur environnement, sans que leur mère n’intervienne.
Cela faisait déjà quelques semaines que la fessée administrée en public à des adultes, devenait une chose banale. Morgane et Rodolphe avaient revêtus leurs habituels jeans troués mais ils les portaient si bas sur leur taille que leur culotte et le haut de la raie de leurs fesses étaient visibles.
Madame Tolbois faisait partie de leurs voisins proches. Elle ne faisait pas les frais de leur impolitesse, ils se méfiaient de l’autorité naturelle de leur voisine. Ils réservaient leurs bêtises et leurs plaisanteries douteuses à d’autres personnes de leur voisinage.
Elle en avait été victime qu’une seule fois lors que les deux garnements n’avaient que six ou sept ans. Les attrapant par l’oreille, elle les avait reconduits chez leur mère et devant la passivité de celle-ci, Madame Tolbois s’était chargée elle-même de la fessée. Les deux gamins n’avaient pas eu le temps de protester et leur mère n’avait pas osé. Depuis ce jour, ils évitaient leur terrible voisine devant laquelle ils filaient doux.
Ils n’eurent pas de chance ce jour-là. Madame Mercier les suivait et elle ne put retenir une remarque acerbe.
« Quelle tenue ! C’est une honte d’oser se promener habillé de façon aussi provocante ! »
Cela aurait pu en rester là si le réflexe de provocation que ces deux jeunes gens avaient depuis leur enfance, ne les avait poussés à répondre.
« Eh dis donc, la vieille, de quoi tu t’occupes ?
– T’as regardé comment t’es attifée, grand-mère ? »
Peut-être auraient-ils dû être plus prudents. Rodolphe sentit une douleur vive venant de son oreille droite et Morgane de la gauche. Ils durent marcher vers Madame Mercier sans comprendre qui les y emmenait si ce n’était que le tiraillement sur leur oreille les conduisait vers la dame avec laquelle il venaient de se permettre quelques insolences.
« Il serait peut-être temps, à votre âge, que vous appreniez non seulement à vous habiller correctement mais aussi à vous adresser poliment à vos aînés ! »
Rodolphe tenta de s’arrêter mais il en fut dissuadé par la douleur qui, de son oreille, se communiqua à tout le côté droit de sa tête. Il dut finir le trajet sur la pointe des pieds.
« Je vous propose, Madame Mercier, de leur apprendre tout cela de la façon la plus radicale : une bonne fessée ! »
Ce n’est qu’arrivés à destination qu’ils eurent les premiers indices permettant d’identifier qui les avait si cavalièrement pris à partie. La voix leur disait quelque chose. Mais ce qui avait retenu leur attention c’était le mot « fessée ».
« Qui êtes-vous ? De quoi vous… »
Ce n’est qu’une fois le pinçon de leur oreille relâché qu’ils purent tourner la tête. Ils reconnurent leur voisine, Madame Tolbois. Le souvenir de la fessée, reçue il y a pourtant si longtemps, était toujours aussi vif.
« Commencez donc par baisser les chiffons qui vous servent de pantalon !
– Mais, mais…
– On s’excuse, on s’excuse. C’est bon.
– Oh que non, ce n’est pas bon. J’ai dit : baissez vos pantalons ! C’est une fessée déculottée que vous allez recevoir !
– Mais non… vous ne pouvez pas.
– Je ne suis pas votre fille…
– Il suffit ! J’ai dit « les pantalons baissés ». Faut-il que nous le fassions nous-mêmes ? Nous serions alors obligées de vous punir également pour votre désobéissance. Les deux jeunes gens se regardèrent, mais ils n’obtempérèrent pas.
« S’il faut que je demande de l’aide à ces dames, dit Madame Tolbois en montrant les quelques personnes qui s’étaient agglutinées autour d’eux, je suis persuadées qu’elles seront ravies de me prêter la main. »
Quelques hochements de tête donnèrent du poids à la menace de de Madame Tolbois. Morgane et Rodolphe savaient que la fessée était maintenant chose courante. Ils n’avaient aucun doute sur ce que pensaient la dizaine de personnes qui les entouraient.
« Dites-nous, Madame Tolbois, si vous avez besoin de notre aide ! Cela fait un bon moment que ces deux-là ont besoin d’une bonne leçon. »
C’était une dame à qui ils avaient régulièrement joué des tours dans leur enfance et avec laquelle, récemment encore, ils avaient échangé des mots fort peu aimables qu’ils avaient conclu par des insultes assez ordurières.
« S’il vous plait, pas ici, supplia Morgane.
– Ce n’est pas à vous de décider de ce genre de chose. C’est la dernière fois que je vous le dis : baissez-moi ces pantalons ! »
Il n’y avait pas d’échappatoire. Il était entendu qu’une personne comme Madame Tolbois avait le droit de punir des personnes qui s’étaient si mal conduites en public. C’était de notoriété publique. C’est Rodolphe qui craqua le premier. Il baissa la tête et, lentement, il déboucla sa ceinture. Morgane le regarda, la bouche arrondie. Ella allait émettre une protestation, puis elle se ravisa. A son tour, elle déboutonna son pantalon.
« Lequel prenez-vous, Madame Mercier ?
– Celui-là me va très bien. »
Elle avait pris Rodolphe par le bras et elle le courba sous son bras. Son pantalon était tombé à mi-cuisses. Morgane se tourna vers Madame Tolbois. Elle laissa un sanglot monter.
« Pardon, Madame. Je ne le ferai plus.
– Je vais m’en assurer ! »
Elle courba la jeune femme sous son bras et de sa main libre, elle descendit le pantalon. Il était moulant et ce n’était pas chose facile, mais centimètre par centimètre, il passa sous les genoux. Faire glisser la culotte fut bien plus aisé. Madame Mercier en avait fait autant avec Rodolphe. Les deux femmes se faisaient face. D’un signe de tête, elles se donnèrent mutuellement le signal.
Elles avaient toutes deux l’expérience nécessaire pour donner une fessée cuisante à ces deux adultes. Elle alla bon train. Morgane et Rodolphe regrettèrent bien vite leur insolence. Ils se promirent de ne plus recommencer. Ça, c’était une fois que la fessée commença à chauffer sérieusement leurs fesses. Puis, ils n’eurent même plus l’énergie de penser à une prochaine fois. Quand donc cette fessée cesserait-elle ?

C’est Madame Mercier qui stoppa en premier.
« Parfait, dit-elle, je pense que ce jeune homme a eu son compte. Et la vôtre ?
– Vous avez raison, je vais m’en tenir là.
– Je ne vais pas laisser ces deux-là se promener dans la ville aussi mal habillés. Je vais les raccompagner chez eux.
– Vous avez raison. Des vêtements aussi négligés, c’est fini. Il est donc hors de question qu’ils remettent ces pantalons. »
Joignant le geste à la parole, elle descendit le pantalon de Morgane sur ces chevilles.
« Enlève tes chaussures ! »
Une fois qu’elle fût pieds nus, il était simple d’ôter le pantalon. La culotte tomba sur les pieds de la jeune femme.
« Autant tout enlever. »
Madame Mercier l’imita.
« Je les raccompagne chez eux. Je crois que je dirai deux mots à leur mère pour les avoir laisser sortir dans cet état.
Les deux pantalons furent abandonnés dans la poubelle la plus proche. Madame Mercier fourra les deux culottes dans son sac.
« En route ! »
Une claque sur les fesses de Morgane et de Rodolphe donna le signal du départ. Leurs fesses nues rougies se voyaient encore fort bien quand ils tournèrent le coin de la rue.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents 

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 64

Il y a une suite ...

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1 commentaire:

  1. Bonjour à tous,
    Il faut bien le reconnaître et pour notre satisfaction de lecteurs assidus, que ce soit sous le coude d'une madame Caroni, ou entre les mains d'une madame Tolbois, les héros et héroïnes de JLG n'ont pas la vie facile et rarement froid aux fesses.

    Soixante deuxième épisode, mesdames et messieurs, et pas de temps mort !! La saga de la ville prototype de la fessée régulatrice de l'ordre public continue. Ces bonnes citoyennes, "Aubergines" nouvelle génération, pratiquent la claque aux fesses au lieu des papillons sur le pare brise, ça coûte moins cher et ça réchauffe! Nos éducatrices de rue se partagent la tâche et les derrières en rappel au bonnes manières et aux règles de politesses.
    Pas compliqué de baisser " le chiffon qui sert de pantalon" sévères et drôles avec ça! Après les papiers par terre... quel autre motif de correction ?
    Rendez vous, au soixante troisième épisode pour une nouvelle distribution des prix!
    Cordialement,
    Ramina

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