mercredi 9 janvier 2019

Chambre chez l'habitante - chapitre 66


La fessée en public devint si courante qu’elle permettait de comprendre qu’elle avait aussi cours dans de nombreux espaces domestiques. Si j’en croyais mon expérience personnelle, j’étais puni bien moins souvent dans la rue qu’à la maison ou au travail. Ce n’est pas que les fesseuses hésitaient à sévir dans un espace public, mais les occasions en étaient bien moins courantes.

L’attitude de beaucoup des pupilles permettait de les distinguer des autres personnes. Il suffisait d’un froncement de sourcil pour que je baisse la tête, reconnaissant aux personnes qui se trouvaient face à moi, y compris quand je ne les connaissais pas, notre différence de statut, ce qui les autorisait à me fesser si elles estimaient que je l’avais mérité. Je ne voulais plus prendre le risque d’être taxé de rébellion et que cela arrive aux oreilles de Madame Tolbois. Je préférais subir ma fessée sur le champ plutôt que de risquer un tour au fond du jardin.
Il y eut cependant quelques quiproquos qui permirent à des adultes, pourtant habituellement soumis à la fessée, d’échapper à une correction alors qu’elle était amplement nécessaire. L’âge n’étant pas un critère pertinent, il n’était pas aisé d’identifier qui était naturellement placé sous l’autorité des grandes personnes à portée de voix et de regard et qui était potentiellement chargé de surveillé ces adultes revenus à un statut d’enfant.
Il commençait à se murmurer, entre tutrice, qu’il serait plus facile si un signe distinctif permettait d’identifier ceux qui étaient, de fait, placés sous l’autorité collective des réels adultes de la ville. Madame Tolbois et Madame Mercier s’en étaient plainte devant moi à trois reprises.
« Il faudrait habiller nos pupilles de façon particulière afin que nous puissions bien les distinguer en tous lieux et en tous moments ! »

Avec le sens des affaires qui la caractérisait, Madame Schneider sauta sur l’occasion. Enora se retrouva rapidement habillée comme une petite fille. Elle avait un corsage blanc boutonné jusqu’au cou et une jupe plissée gris clair qui lui arrivait au milieu des cuisses. Des chaussures noires à talons plats et des socquettes blanches complétaient la tenue.
Quand elle était amenée à sortir du magasin, elle mettait un manteau, de la même couleur que la jupe et qui descendait à la même hauteur. Ses cheveux longs étaient attachés soit en une queue de cheval tenue par une barrette, soit en deux couettes qui lui encadraient le visage.
« Regardez, proclamait Madame Schneider, comme c’est pratique pour donner la fessée ! »
Elle ne se privait pas d’effecteur des démonstrations à chaque fois qu’on le lui demandait. Enora courbée sous son bras, elle relevait l’arrière de la jupe sur les reins de la jeune femme, puis elle baissait la culotte de sa main libre.
La démonstration s’arrêtait là, sauf si Enora avait mérité une fessée qu’elle recevait alors sur le champ. La démonstration n’en était que plus concluante.
« Vous voyez, aucun obstacle ! Si toutes nos chipies portaient une tenue semblable, il serait plus aisé de les identifier et de surveiller ce qu’elles font quand elles ne sont pas sous la supervision directe de leur tutrice. »
Béatrice fut l’une des premières à bénéficier de cette nouvelle tenue. Moins d’une semaine après qu’Enora l’eut adoptée, elle arriva un matin au bureau dans son nouvel uniforme. Madame Colas l’en félicita.
« Quelle bonne idée tu as eue. Cela te va très bien.
– Oh ce n’est pas moi. C’est Madame Caroni ! »
Pour Béatrice, les décisions de Madame Caroni avaient force de loi, elles ne se discutaient pas, ce qui était préférable car toute contestation aurait été réglée par une fessée. Béatrice ne semblait pas prendre ombrage de ce que sa voisine lui avait imposé. Elle ne vint plus au travail qu’habillée dans sa nouvelle tenue.
Madame Colas la trouvait très pratique pour lui administrer la fessée. Elle insista auprès de la Maman de Magali et auprès de la belle-mère de Catherine pour qu’elles en soient habillées également. Elle eut rapidement gain de cause, d’autant plus facilement que la mode se diffusa à grande vitesse. Une petite semaine plus tard, Magali était habillée de la même façon que Béatrice et cela ne mit que quelques jours pour que Catherine les imitât. Au vu des marques que chacun put admirer à l’occasion d’une fessée donnée par Madame Colas le jour même, Madame Gorevski avait dû se montrer persuasive, mais elle était venue à bout du problème.

Dès que les premières tenues féminines firent leur apparition, les tutrices qui avaient des garçons en charge, revendiquèrent aussitôt de disposer d’une tenue analogue à celle des filles. Madame Schneider expliqua qu’elle n’avait rien de tel en stock, mais qu’elle y travaillait.
« Je ne crois pas qu’il existe de vêtements qui conviennent à ce dont nous avons besoin. J’en fais fabriquer sur mesure à partir d’un modèle prévu pour les petits garçons. »
Cela finit par arriver. J’eus l’honneur dont je me serais bien passé, d’être parmi les premiers à l’essayer. Madame Tolbois passa me chercher au travail et elle nous fîmes halte dans la boutique de Madame Schneider.
« Laissez-moi faire ! »
Madame Schneider me conduisit dans le milieu du magasin. Elle avait convié un petit groupe de personnes pour assister à l’essayage. Elle comptait sur elles pour faire savoir, dans leur entourage, qu’enfin on disposait d’une tenue adéquate pour habiller les garçons. Madame Schneider ne perdait jamais le sens des affaires et elle tenait à rester en pointe dans ce domaine, comme elle l’avait été pour l’habillement des filles.
C’est donc entouré d’un cercle de femmes attentives qu’elle me déshabilla. Mon pantalon, ma chemise et même mes chaussettes furent remisés dans un sac plastique qu’elle remit à Madame Tolbois. Je me doutais qu’ils n’étaient pas prêts d’en sortir.
Théâtralement, Madame Schneider sortit une culotte courte d’un paquet dans lequel elle était emballée. Elle la montra à toute l’assemblée en la tenant par les bretelles. Elle était du même gris que celui que portaient maintenant de nombreuses filles de tous âges. Un murmure de satisfaction parcourut le groupe de spectatrices.
« Avez-vous vu comme les jambes de la culotte sont courtes ? En fait, il n’y en a pas vraiment. J’ai demandé à ce que la coupe dégage bien les cuisses. Nous savons tous combien nos garçons ont besoin de sentir nos mains claquer leurs cuisses pour comprendre le sérieux de ce que nous leur demandons ! »
Quelques rires brefs accompagnèrent cette remarque.
« Elle se porte sans ceinture. C’est un accessoire pour adultes. Nos garçons n’en ont pas besoin. J’ai donc fait mettre des bretelles qui retiennent la culotte, mais je vous montrerai comment elles sont pratiques à enlever, ce qui facilite le déculottage. »
Madame Schneider avait pensé à tout.
« Je propose qu’elle soit portée avec une chemise blanche qui n’a rien de particulier si ce n’est de faire le pendant du corsage blanc de nos filles. »
Elle prit Enora par la main et elle la plaça sur le bord du cercle, pour mettre en évidence la couleur du haut qu’elle portait.
« Si vous complétez par des chaussettes blanches, nous aurons des garçons et des filles aux couleurs totalement assorties. Faciles à repérer, donc à surveiller ! »
Puis, se tournant vers moi.
« Habillons ce garçon afin que vous vous rendiez bien compte ! »
Les chaussettes, la chemise, la culotte courte, les bretelles, … je fus habillé d’autant plus vite que je montrais la plus grande coopération.
« Regardez comme les cuisses sont bien dégagées ! »
Madame Schneider me courba sous son bras et elle tapotait mes cuisses en un simulacre de fessée qui s’il n’était pas douloureux, était, par contre, fortement vexant. Elle remontait au plus haut le peu de tissu qui descendait sur mes cuisses. Cela devait donner une vue imprenable sur ma culotte blanche.
« Je vous avais promis une démonstration de déculottage… »
Joignant le geste à la parole, Madame Schneider déboutonna le pantalon, puis la braguette. Elle fit glisser les bretelles le long de mes bras. La culotte courte tomba d’elle-même sur mes chevilles.
« C’est le moment qui demande au puni de se laisser faire. Mais je suppose que s’il porte cette tenue, c’est que cette question-là est déjà réglée. Si ce n’est pas le cas, appelez-moi. Je mobiliserai quelques-unes d’entre nous pour remettre le récalcitrant en question à la raison ! »
Elle me replaça sous son coude, et elle me baissa la culotte.
« Et voilà, dit-elle en tapotant mes fesses nues. Le tour est joué. Vous voyez, ce n’est pas plus compliqué que de déculotter l’une de ces demoiselles ! »
Elle reporta alors son attention sur moi.
« As-tu mérité une fessée, Axel ?
– Oh non Madame !
– Qu’en pensez-vous Bernadette ?
– Il dit vrai. Pas de fessée au programme pour le moment ! »
J’avais craint un instant que la démonstration s’achève par une correction. Madame Tolbois, fidèle à ses habitudes de justice scrupuleuse, venait d’y mettre fin.
« Alors ce sera pour une prochaine fois, promis Madame Schneider tout en remontant ma culotte. Regardez ! Tout aussi simple à reculotter ! »
Elle disait vrai. Du point de vue des tutrices cette tenue était un vrai progrès qui facilitait le déculottage des garçons à l’instar de celui des filles. Nos avions fait un grand pas vers l’égalité. Pour moi, cela ne changeait pas grand-chose. Baisser la culotte, même quand c’était compliqué, n’avait jamais arrêté aucune de mes fesseuses.
Madame Tolbois fut immédiatement convaincue par les arguments de Madame Schneider. Elle acheta quatre tenues complètes et, de ce jour, je ne portais plus que cela.

Le soir-même, je pus apprécier combien le déculottage était aisé et rapide avec cette nouvelle tenue. Maria avait reçu une fessée. Elle patientait au coin, tenant sa jupette grise relevée. Elle avait été dans les premières à devoir adopter l’uniforme que portaient les adultes soumis à l’autorité des grandes personnes.
Cela n’avait pas été sans mal et il avait fallu un passage au fond du jardin deux soirs de suite pour qu’elle en accepte le principe. La baguette de bois généreusement utilisée sur ses fesses le premier soir et une frottée aux orties le second avaient eu raison de son entêtement.
Elle avait beaucoup pleuré, mais elle avait dû se résigner. C’était un changement important pour elle, bien plus que pour moi. Jusque-là, il n’y avait que deux maisons dans lesquelles il était entendu qu’elle recevait la fessée : chez Madame Tolbois, bien sûr et chez Madame Mercier, la voisine. Avec cette tenue grise chacun savait qu’elle méthode de discipline était utilisée à son égard. Madame Tolbois ordonna à maria de passer la voir chaque matin, avant son départ pour le travail, pour inspecter sa tenue.
Elle dut changer ses habitudes. La jupette grise ne signalait pas seulement ce qui lui arrivait régulièrement à la maison, mais cela donnait également l’autorisation à toute personne de la corriger quand elle le jugeait nécessaire, en particulier dans l’espace public.
Cela ne faisait que deux jours qu’elle circulait dans l’espace public avec la tenue d’une punie potentielle. Malgré son côté stigmatisant, elle ne pensait pas, en permanence que chacun savait qu’elle était punissable à chaque instant. Elle n’avait pas encore appris à maîtriser son comportement à tout instant.
Maria prenait le bus chaque jour pour aller travailler. Elle s’inséra au milieu de la file d’attente sans y faire vraiment attention. Il n’y avait pourtant que cinq personnes à attendre, ce n’était donc pas pour passer devant les autres.
« Dites-moi, ma fille, vous n’avez pas vu qu’il y a une queue et que les derniers arrivés se mettent au bout ! »
Les choses en seraient certainement restées là si Maria avait fait profil bas en priant ses voisins de l’excuser et en reprenant sa place normale pour attendre le bus. Mais elle avait accumulé de la mauvaise humeur depuis que Madame Tolbois avait dû la fesser en réponse à sa réticence à se laisser inspecter sous toutes les coutures.
Soulevant sa jupe, Madame Tolbois lui avait fait remarquer l’abondance des dentelles qui ornaient sa petite culotte et de la nécessité d’en changer pour quelque chose de plus sage. Maria avait haussé les épaules, réflexe incontrôlé qui lui avait valu une fessée immédiate et la traversée de la rue, les fesses nues. Madame Tolbois tenait maria d’une main et dans l’autre, ostensiblement, la culotte alors qu’elle la raccompagnait chez elle pour lui enfiler un autre sous-vêtement.
Encore sous le coup de cette récente punition. Son caractère impulsif et la frustration accumulée lui firent commettre l’erreur qu’il ne fallait pas commettre.
« Mêlez-vous de ce qui vous regarde !
– Mais c’est exactement ce que je fais en reprenant une petite fille effrontée qui vient de rajouter l’insolence à un comportement qui nécessite une correction. »
La femme n’était pas plus âgée que Maria. Elle ne se posa cependant pas de question. Elle prit Maria par la main et l’obligea à faire deux pas vers elle, avant que Maria ne comprisse la situation et ne résiste à la main qui l’attirait.
« Non, attendez, je vais au bout de la queue !
– Trop tard pour t’en rendre compte. C’est la fessée ! »
Maria, en reculant brusquement, en libéra de la main qui la tenait. C’en était trop !
« Veux-tu que je te raccompagne chez ta tutrice pour voir ce qu’elle en pense ? »
Maria blêmit. C’était ce qui pouvait lui arriver de pire et le souvenir de la fessée aux orties, trois jours auparavant, était encore vif à son esprit.
« Oh non Madame, pardon !
– Il est bien temps de demander pardon. Ce n’est plus le moment. Viens-ici ! »
Maria fit les deux pas qui scellaient son sort. Courbée sous le bras de la femme qu’elle ne connaissait pas, elle sentit qu’on relevait sa jupe. Le doigt qui se glissa sous l’élastique de la culotte ne lui laissa aucun espoir. En quelques dizaines de claques bien appuyées, la dame avait fait passer son message. L’insolence n’était plus de mise pour Maria.
« Il y a là un coin tout à fait approprié pour que tu y attendes le bus. »
La femme désignait l’angle que formaient les deux pans de l’abribus. Maria ne s’y trompa pas. Elle y cala son nez et releva l’arrière de sa jupe, tout en calmant ses pleurs et en reprenant son souffle. Bien que cela ne lui eût pas été formellement demandé, elle appliquait ce qui lui était habituellement demandé par Madame Tolbois quand celle-ci la mettait en pénitence. Une seule fessée suffisait.
L’arrivée du bus ne changea que le lieu où elle exhibait ses fesses rougies.
« Monte dans le bus ! »
Ce n’était pas si facile à faire que cela. La culotte tendue entre ses deux genoux gênait la montée des trois marches.
« Regarde, il y a juste ce qu’il te faut ! »
Elle désignait l’angle qui formait une plaque transparente fixée perpendiculairement au flanc du bus. Maria comprit le message. Elle enfonça son visage dans l’angle qui lui était désigné et en rabattant sa jupe dans son dos, elle exposa ses fesses nues.
« A quel arrêt descends-tu ?
– Place de la résistance, Madame.
– Ah, je descends avant. Qui pourrait surveiller que cette impertinente reste bien à sa place pendant tout son trajet ?
– Pas de souci, répondit une voix.
– Je m’en charge, si vous le voulez. »
Maria ne vit pas les quatre ou cinq doigts qui se levèrent pour proposer leurs services. Elle était sous bonne garde.

Le soir où je rentrais revêtu de ma nouvelle tenue, cela faisait plus de trois semaines que Maria portait la sienne. A défaut de l’avoir accepté de bonnes grâces, elle s’y était habituée et elle ne faisait plus une affaire quand il fallait sortir habillée de son costume gris.
Je n’en connais plus les circonstances exactes, mais maria avait, encore une fois, exaspéré Madame Tolbois par sa frivolité. Une Madame Tolbois exaspérée, ce n’était jamais ne bonne nouvelle. Les fesses de Maria en avaient fait les frais et elle attendait au coin que ma logeuse l’autorise à la quitter. Cela ne serait probablement pas le cas avant le dîner. Il ne restait plus qu’une petite demi-heure.
Je commis l’erreur de lambiner pour répondre à une convocation de Madame Tolbois.
« Mais qu’avez-vous tous les deux ce soir ? »
La taille de ma culotte courte n’était pas ajustée. C’était la coupe qui voulait cela, une trouvaille de Madame Schneider. S’il n’y avait eu les bretelles, elle serait tombée sur le haut de mes cuisses. Il était donc facile de déboutonner le pantalon. La braguette était fermée par une fermeture à glissière. Elle fut descendue sans que cela ne prît du temps. Madame Tolbois saisit mes deux bretelles sur mes épaules. Elle les fit glisser le long de mes bras et ma culotte courte qui n’était plus retenue, descendit en même temps jusqu’à mes genoux.
Madame Tolbois me ploya sous son coude. Elle comme moi savions comment nous y prendre. Ma culotte ne resta en place que le temps que ma logeuse mit à la baisser. Compte tenu de son expérience et de ma passivité, il ne fallut que quelques secondes.
Les fesses cuisantes et des larmes dans les yeux, j’allais rejoindre, si l’on peut dire, Maria au coin. Nous avions en effet chacun un angle du séjour dans lequel nous passions nos temps de pénitence.

Cette petite fessée ne saurait compromettre l’atmosphère du reste de la soirée. Au contraire, j’aurai certainement le droit à un moment de consolation dans les bras de Madame Tolbois, un câlin qui serait le signe de mon pardon. Tout était donc en ordre, il n’y avait rien à dire.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents 

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 65

Il y a une... et non, il n'y a pas de suite.

C'était le dernier épisode de cette série. Mais nous croiserons certainement certains personnages dans d'autres récits. A suivre...


Les commentaires, les avis sont les bienvenus

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19 commentaires:

  1. Bonjour à tous,
    ILs vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants!... Non, ce n'est pas tout à fait ça. Ils vécurent heureux auprès de madame Tolbois et eurent beaucoup de fessées... Et de câlins.
    Ainsi se termine ce joli comte de fés...sées qui a quand même tenu un nombre considérable de déculottées sur 66 épisodes ! Et ça en fait des montées et descentes de slip
    Ce dernier volet plutôt amusant grâce à l'imagination de madame Schneider qui invente les tenues fonctionnelles, facilitant l'administration des fessées.
    Accès aux fesses direct, déculottage facile en toutes circonstances. pour fessées immédiates, pour les filles comme pour les garçons.
    Fallait y penser... c'est fait, merci qui ?
    Un petit moment d'émotion en voyant disparaître cette chère madame Tolbois avec ses superbes fessées si cuisantes!
    Cordialement

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    1. Ramina,
      Toutes les bonnes choses ont une fin. Peut-être ressusciterai-je Madame Tolbois pour un passage dans l'une des histoires qui vont suivre ? Il y a matière à faire et certains prochains récits s'y prêtent... mais pas tout de suite. Il y a déjà quelques chapitres qui sont écrits, ce qui veut dire une publication pas avant...
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Je vous félicite pour ces beaux textes tellement réalistes. Moi-même adepte de la fessée et d'une éducation sévère, j'ai eu à connaître cette obligation de sévérité auprès de mon neveu très étourdi et âgé de 19 ans à l'époque lorsqu'il entrepris des études supérieures donc domicilié chez moi. A la lecture de votre expérience, je suis surprise cependant qu'il ne soit jamais fait référence à la gestion et au contrôle de la sexualité des jeunes garçons qui à mon avis fait partie intégrante de l'éducation qu'on leur doit quand ils ne savent pas gérer leur vie de jeune adulte. Il me parait complétement utile qu'une préceptrice apprenne également au jeune homme cette gestion qui peut si elle est mal prise en compte ou plus grave laissée pour compte être destructrice et malsaine pour les études et l'attention que doit avoir un jeune garçon pour sa conduite générale.

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  3. Bonjour Henriette,
    Bienvenue parmi les commentatrices de ce blog. Si je ne me trompe pas, c'est la première fois que votre signature apparaît. J'espère qu'il y en aura d'autres.
    Je vous remercie pour vos félicitations. Pour un auteur, savoir que ses textes sont lus et appréciés, c'est essentiel. C'est d'ailleurs pour cela que j'ai créé ce blog.

    La question de l'éducation de la sexualité de tous ces jeunes gens... vaste question. Vous avez raison, c'est un sujet peu abordé dans ce blog, à part quelques fessées pour manifestation intempestive et déplacée de la virilité de nos protagonistes et quelques allusions à de la masturbation. Dans les relations de type maternel qui s'instaure, il ne serait pas anormal que ces Mamans de substitution s'occupent de contrôler les pulsions des jeunes gens qu'elles ont sous leur responsabilité.
    N'oubliez cependant pas que dans "chambre chez l'habitante", Daniel a plus de cinquante ans. Peut-être que la question du contrôle de sa sexualité n'est-elle plus primordiale, mais je vous accorde que ça se discute.

    Vous faites référence à l'obligation de sévérité que vous avez eue vis à vis de votre neveu quand il était domicilié chez vous. Pouvez-vous nous en dire plus ? Comment vous y êtes-vous prise pour assurer le contrôle de sa sexualité ?
    Je serais ravi de connaître les méthodes que vous avez employées. J'attends vos précisions avec impatience.
    Au plaisir de vous lire très bientôt,
    JLG.

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  4. Bonjour, me voici honorée d'être encouragée à écrire quelques détails de mon expérience sur ce blog que j'apprécie. Permettez-moi avant cela, d'insister sur votre autorisation à évoquer ce genre d'éducation plus osée que les belles histoires que j'ai lu jusqu'à maintenant. Même si pour moi une éducation sévère basée sur la fessée ne peut être dissociée du contrôle et de la gestion de la sexualité d'un garçon, ne pensez-vous pas que parler de nudité, d'érection et d'éjaculation peut paraître à certains lecteurs quelque peu déplacé. Pour autant, Rémi puisque c'est le nom de mon neveu ne semble avoir tirer de cette éducation que des bénéfices pour sa vie d'adulte. Merci

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    1. Bonjour Henriette,
      Difficile d'avoir un avis sans savoir de quoi vous allez parler.
      Les mots que vous citez : nudité, érection, éjaculation et je rajouterai sexe, masturbation, pénis, vagin... sont évoqués sur ce blog à plusieurs reprises. Ce ne serait pas une première. Mais j'ai cru comprendre en vous lisant que vous parliez plus d'une situation que de l'emploi de mots.
      De quels types de situation parlerez-vous ? Je suppose, su vous venez sur ce blog, que vous serez dans la ligne éditoriale qui est détaillée sur la page "à propos". On peut la résumer en une phrase : la fessée, donnée par la gent féminine, comme moyen d'éducation des adultes. Je refuse régulièrement de publier des textes ou des commentaires qui sortent de ce cadre.
      Il ne sera donc pas question de sexualité forcée, d'inceste ni même d'initiation à l'acte sexuel et encore moins de pédophilie. Mais si vous avez pris en charge l'éducation de votre grand neveu, du côté de la sexualité comme l'évoque votre premier courrier, il s'agissait de l'aider à la contrôler. Dans une première approche, cela me semble entrer dans le périmètre du blog.
      S'il y a un souci je vous recontacterai suite à l’envoi de votre premier texte.
      Je dois avouer que vous avez piqué ma curiosité. Non seulement je vous encourage à donner plus de détails sur votre expérience, mais j'attends votre premier écrit avec impatience.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Henriette,
      Je viens de recevoir vos quatre courriels. Je vous propose, au lieu de les publier sous forme de commentaires où ils n'auront que peu de lectures, de les transformer en un article que je publierai en tant que tel sur le blog.
      Q'en pensez-vous ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Bien sur, pour cela, il avait été informé qu'il me fallait le surveiller et vérifier trés régulièrement ses slips et draps de lit à la recherche d'éventuelles traces suspectent. Il comprit sans trop de difficulté que mon accompagnement serait intrusif et dicté uniquement par mon souhait de le recadrer dans son intérêt car je ne lui cachais ni mes actes ni mes intentions à son sujet.
    C'est l'odeur pestilentielle de sa chambre notamment un matin lorsque je rentrais le réveiller qui m'obligea à changer de comportement rapidement et à accentuer mon pouvoir de contrôle à l'égard de mon hôte.
    Il me paraissait clair que l'odeur était celle résultant de son sexe puant comme conséquence d'un tripotage nocturne que je le lui avais pourtant formellement interdit. Je le fachais bien sur et lui reprochais vertement cette pratique en le faisant rougir de honte ce qui du reste était assez facile dans son cas.
    Seulement quelques jours avaient suffit pour que je prenne conscience de ma naiveté en la matière et je décidais sur le champs de lui imposer immédiatement un contrôle beaucoup plus contraignant de sa vie y compris intime dont la gestion de sa sexualité que visiblement il avait du mal à gérer.
    Sa désapprobation, relative à son âge, ne me fit bien sur pas changer d'avis et je persistais fermement à lui reprocher cette façon de faire particulièrement polluante. Son action malsaine méritait donc une fessée sévère que je lui donnais sur le champs à mêm son lit avant de le conduire fermement à la salle d'eau ou je lui faisais prendre une douche en lui savonnant énergiquement ses parties génitales qui pour l'occasion n'étaient pas à la fête.
    Les fessées dispensées jusque-là pour les fautes de rigueur comportementale ne suffisaient donc pas et ne pouvaient qu'être complémentaires à des régles de vie beaucoup plus strictes.
    Je lui en parlais de façon déterminée dans la même journée en lui reprochant son état-d'esprit minable aprés avoir informé ma soeur de son comportement inadmissible et de ma volonté de sévir.
    Je dois ajouter qu'en préambule à l'hébergement de mon neveu j'avais expliqué ce que ma soeur savait déjà, sur le faits que la reprise en compte de l'éducation de son fils passerait inévitablement par des punitions corporelles aussi souvent que nécessaire mais avec mon engamenet de l'aviser des faits notables concernant le comportement de Rémi.
    Elle paru donc trés contrariée de la tournure si rapide des événements mais ma décision était sans appel.
    Soit, Rémi quittait la maison immédiatement soit j'accentuais mon autorité en contrôlant tous ses faits et gestes au sein de mon domicile.
    Sa mère trop inquiète pour l'avenir de son fils adoré m'encouragea à accentuer mon emprise sur lui afin de lui garantir un avenir social à la hauteur de ses futures responsbilités professionnelles.
    Il fut donc décidé, d'un commun accord, que Rémi resterait à la maison en échange de son autorisation pour que je prenne en compte tous les aspects de sa vie sans restriction.
    A suivre.....

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  6. Cet engagement fut mis cette fois-ci symboliquement par écrit et signé de tous!
    Par voie de conséquence, je décidais de suite la prise en compte totale de son hygiène corporelle en participant activement à ses douches et toilettes qu'il ne devait désormais prendre qu'en ma présence. Il me semblait évident dans le cadre de mes responsalibités que je devais prendre en charge le contrôle et la gestion de la sexualité de mon neveu si je ne voulais pas que les efforts entrepris pour l'éduquer soient vains!
    Quelques claques sonores sur les fesses lui firent clairement comprendre que cette étape était elle-aussi non négociable.
    Avec information donnée à sa Mère, je décidais également de l'épiler complétement pour un maximum d'hygiène et aussi pour qu'il se rende compte que les choses venaient de changer radicalement.
    C'est d'ailleurs à cette occasion qu'il reçu sa première giffle car Monsieur se sentait contrarié de se montrer à sa tante et n'acceptait pas d'être touché.
    Mis entièrement nu, pour l'occasion, et étendu sur une serviette de bain déposée sur son lit, quelques minutes suffirent ce matin-là pour lui couper les poils au ciseau fin avant de l'épiler complêtement à la cire, offrant ainsi une vision glabre de son pubis et de sa raie des fesses beaucoup plus conforme avec son nouveau statut.
    Ses accés aux toilettes devinrent reglementés par des demandes préalables de sa part avec l'obligation de laisser la porte ouverte et celle de nettoyer la cuvette aprés chaque utilisation avec une éponge et de la javel.
    Il devait de plus obligatoirement s'asseoir quel que soit le besoin pour s'apprendre à éviter les gouttes.
    Je le laissais s'essuyer seul, une fois fini, en lui rappelant néanmoins que je pouvais contrôler son hygiène corporelle à tous moment de la journée.
    Il va sans dire que les fessées quasi quotidiennes que je lui donnais me permettait en écartant ses fesses de vérifier autant que besoin la propreté de son anus en le menaçant de douche froide si tel n'était pas le cas.
    De fréquentes fessées et le rappels réguliers de nos engagements permirent de lui faire comprendre que sa nudité intégrale que je lui imposais parfois ne devait devenir habituelle entre nous car il n'était qu'un enfant sous mon entière responsabilité et que ce statut ne lui permettait pas de revendiquer quoi ce soit.
    A suivre.....

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  7. Je lui appris aussi dans le cadre de nos nouvelles dispositions domestiques à s'obliger à communiquer avec sa tante en ne me cachant rien de ses doutes et satisfactions qu'une telle reprise en main lui procuraient.
    Sa pudeur excessive que je considérais comme injustifiée faisait l'objet régulièrement d'explications complétées par de brèves claques sur les fesses lorsqu'il semblait hésiter pour se dénuder entièrement quand je le lui demandais.
    C'est la raison pour laquelle, je choisissais parfois de lui donner la fessée aprés l'avoir fait entièrement dénudé pour qu'il comprenne que cela ne changeait finalement rien à la douleur ressentie.
    C'est à l'occasion de nos discussions qu'il m'avoua ne plus avoir particulièrement honte de sa nudité devant moi mais avoir de la gène à sentir sa verge durcir en ayant de plus en plus de mal à se contenir.
    Ma compréhension et mes paroles rassurantes face à ses doutes et son manque de maitrise le mis à l'aise car autant je considérais la nudité comme partie intégrante d'une discipline domestique autant je trouvais naturel et normal pour un garçon de se montrer quel que soit son état lorsqu'il est nu et ce sans n'y voir aucune perversité.
    Il est vrai que l'abstinence sexuelle que je lui imposais lui occasionnait effectivement des érections beaucoup plus fréquentes au fil des jours en particulier lorsque je le savonnais sous la douche ou lorsqu'il était étendu sur son lit et que je lui coupais les ongles des pieds et des mains.
    Lorsque sa verge était complétement dressée, je renonçais d'ailleurs à le savonner pour ne pas qu'il ressente un éventuel plaisir sous ma main qui n'était destinée qu'à le fesser et à l'éduquer. Dans ces moment-là je prenais simplement la douche et la dirigeais glacée sur son sexe pour qu'il redevienne trés rapidement flasque et je terminais ainsi le savonnage de ce corps grelotant de froid.
    Bien entendu le reste du temps, je ne me préoccupais pas trop de ses érections sommes toutes normales aprés lui avoir dit et répété maintes fois que son corps changeait et que je considérais ses érections comme synonymes de bonne santé. Son anatomie n'était que celle d'un enfant qui grandit aprés tout et n'avait aucune raison d'être dissimulée lors des punitions corporelles et des soins que j'entendais lui donner.
    C'est d'ailleurs lorsqu'on revenait de la douche et que je le séchais étendu sur son lit qu'il me parlait le plus sincèrement du mode et je l'encourageais ainsi à se livrer sans pudeur pour qu'il ait totalement confiance en moi et me livre ses sentiments les plus secrets.
    Il est notable d'ailleurs de constater qu'il ne regrettait absolument pas sa façon d'être éduqué fermement en ma présence en trouvant la méthode trés bénéfique et nécessaire dans son cas.
    Il me remerciait d'ailleurs fréquemment dans ses moments apaisés pour le bien que je lui apportais avec parfois les larmes de reconnaissance dans les yeux ce qui me remplissait de bonheur et me confortait dans mon envie de continuer à le faire progresser socialement.
    Il m'avoua cependant avoir un peu honte de savoir sa maman au courant de ce que je lui imposais.
    Dans ce cas également, une explication selon laquelle rien ne devait être caché dans le cadre de cette éducation choisie par tous le contenta à défaut de le convaincre.
    Je dois avouer que plus que jamais déterminée à perséverer dans la reprise en main de Rémi, le fait qu'il soit souvent en érection devant moi me préoccupait quand même un peu et je l'évoquais d'ailleurs à sa Mére pour l'associer comme je m'y étais engagée. Elle me reconnaissait d'ailleurs un certain courage à vouloir gérer cette particularité sans m'opposer de quelconque réserve.
    A suivre….

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  8. Mais un certain matin aprés l'avoir lavé, séché, bisé et envoyé en cours, je découvrais horrifiée en défaisant ses draps pour les changer, une grande tâche de sperme à peine séche de la nuit en plein milieu de son lit.
    J'étais trés en colère et me sentais trahis par la confiance que j'avais accordée à mon neveu.
    J'hésitais à appeler sa mère immédiatement et à le congédier sur le champs tellement cette façon de se comporter m'était insupportable.
    Je me ravisais pourtant en cours de journée et en parlais finalement à une amie proche qui était comme moi convaincu des bienfaits d'une éducation sévère pour les grands enfants.
    Son expérience me fut utile car elle avait eu des grands garçons elle aussi à elever et connaissait quelques particularité de leur intimité que je devais connaitre.
    Elle me conseilla comme elle-même l'avait fait auparavant, de consulter une doctoresse dont le cabinet était en banlieue de notre agglomération, particulièrement informée sur les déconvenues que les femmes peuvent rencontrer dans l'éducation des jeunes garçons.
    J'étais décidais à ne rien lacher s'agissant de l'éducation de Rémi et donc des engagements que j'avais pris vis à vis de lui comme de ma soeur et je me persuadais de prendre attache avec cette dame pour lui évoquer le cas de mon protégé.
    Fin de la 1er partie

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  9. Bonjour je suis bien sur d'accord avec vous si vous estimez mon histoire intéressante au point d'être diffusée sur le blog. J'en suis par ailleurs honorée.
    Merci beaucoup pour votre confiance.

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    1. Bonjour Henriette,
      Où en êtes-vous de la refonte de vos textes pour pouvoir les publier sous forme d'un récit ? Je n'ai plus de vos nouvelles.
      Je n'ai pas d'adresse internet, je ne peux donc pas vous contacter directement. Envoyez-moi un courriel en remplissant la case "pour me contacter" en haut à droite de cette page.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  10. Merci cher JLG pour votre encouragement à continuer à vous raconter mon histoire. Quelques ennuis de santé m'ont éloigné de mes préoccupations habituelles. Je m'y remets et vous envoie la suite. Merci beaucoup pour votre message
    Henriette

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  11. Bien sur Rémi ne perdit rien pour attendre et dès son retour des cours, je l'entrepris sur sa façon de se comporter et de s'amuser avec sa verge comme un petit garçon malgré mon interdiction formelle.
    Bien entendu, je le fessais dès son arrivée sans qu'il ne puisse rien m'opposer à cela vu mon degré d'énervement.
    Je l'envoyais dans sa chambre se dénuder pour une sévère correction que je lui donnais sans attendre ses explications.
    Je le couchais sur mes genoux et commençais comme je le faisais souvent à le frapper modérement pour commencer et pour lui chauffer les fesses. Rapidement rouges, leurs couleurs m'invitaient à augmenter la puissance des claques qui inévitablement lui faisaient couler les larmes.
    Aprés quelques instants à ce rythme soutenu, les fesses bien rouges, je l'envoyais au coin pour qu'il puisse réfléchir à son comportement général et aux améliorations à y apporter.
    Ce n'est qu'ensuite que je le faisais revenir vers moi pour qu'il se confesse et me donne ses explications. La fessée étant dans tous les cas salvatrice et génératrice de solutions, il se confaisait ainsi sans retenue, il en avait maintenant l'habitude.
    C'est ainsi qu'il m'expliqua de nouveau que son absence de maîtrise concernant les écoulements de sa verge étaient selon lui, favorisés par l'abstinence que je lui imposais et à laquelle il n'était pas habitué. La tâche était donc vraisemblablement due à une fuite nocturne liée à un trop plein de sa prostate.
    Je restais malgré tout interrogative mais par ailleurs satisfaite de savoir qu'en respectant mes interdictions de se tripoter, il pouvait effectivement dire la vérité.
    Malgré les inspections de ses culottes et le contrôle de sa sexualité, je n'avais rien anticipé et cela me contrariait un peu et je m'en voulais de ne pas avoir pu anticiper cet incident finalement prévisible.
    J'apprenais à mes dépends qu'une éducation stricte dispensée à un jeune garçon pour son bien ne peut exclure la prise en compte physiologique de sa sexualité qu'il convient également de gérer jusqu'au bout et sans réserve.
    Lorsqu'il était en érection ce qui lui arrivait malgré tout assez fréquemment, je lui inspectais souvent le gland en le décalottant entièrement pour en contrôler l'absence d'échauffement et rougeurs qui aurait pu accréditer la thèse d'attouchements sauvages. Docile et en parfaite osmose avec mes directives, il m'écoutait dans ces moments-là lui rappeler que je ne tolérais en aucune façon qu'il se touche sous mon toit et il acquiescait d'ailleurs cette façon de faire sans rien m'opposer par crainte de sanction exemplaire.

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  12. Même ses testicules que j'inspectais également régulièrement ne m'avaient pas parus être lourds au point de devoir être purgés.
    Je devais donc réagir rapidement et prendre mes responsabilités.
    J'expliquais donc à Rémi que j'avais décidé de consulter une doctoresse spécialisé dans l'éducation des jeunes garçons pour solutionner ses problèmes de fuites nocturnes et je prenais attache pour un rendrez-vous.
    Au téléphone, j'expliquais à sa secrétaire que ma demande me semblait inhabituelle et donc je sollicitais l'autorisation de parler directement au médecin.
    La doctoresse trés gentiment me rappela personnellement dans la soirée et me demanda pour quelles raisons je consultais ce qui me permit d'exposer certains problèmes rencontrés dans l'éducation de mon neveu immature aprés ne lui avoir rien cacher de la façon dont le lui apprenait à bien se comporter depuis que j'en avais la charge.
    Elle paru par ailleurs totalement en phase avec mes méthodes d'éducation et m'en félicita même lorsque j'évoquais les progrés qu'avait fait Rémi en matière d'hygiène corporelle et de politesse.
    Elle m'encourageait même à réagir comme j'envisageais de le faire en me conseillant de continuer à l'éduquer fermement mais en ayant aucune réserve vis à vis de sa personne et ne pas avoir honte à prendre en compte la gestion de ses petits incidents sexuels inévitables chez un jeune homme.
    Elle me parut convaincue de ma démarche quand elle apprit de ma part que Rémi avait l'habitude de se dénuder entièrement devant moi pour se laisser inspecter autant que besoin.
    A l'écouter, il me paraissait désormais évident qu'un garçon comme Rémi devait être pris en compte plus complétement si je voulais continuer à l'aider à se gérer une fois adulte.
    Elle m'encouragea donc à venir la voir avec mon neveu pour aborder la problématique avec lui.
    Réguaillardie, je préparais donc Rémi pour cette visite en le douchant méticuleusement et en lui coupant les ongles tout en m'appliquant à l'épiler avec soin en insistant sur ses testicules que je voulais particulièrement présentables.
    Je téléphonais bien sur à sa mère pour expliquer la conversation que je venais d'avoir avec la doctoresse et comme d'habitude j'obtins sa bénédiction pour persister dans ma démarche.
    Une fois entrée dans son cabinet médical, elle me questionna plus précisément sur les problèmes rencontrés et m'exposa à son tour les particularités de la sexualité des garçons beaucoup en détails.
    Elle aborda plus en détails les problèmes liés à la sexualité des garçons et leurs gestion dans le cadre familial. La conversation était franche et sans réserve et permettait d'éluder aucun faux-semblant.
    Elle demanda évidemment que Rémi se dénude complétement pour qu'elle puisse apprécier la réalité du phénomène et vérifier éventuellement son fonctionnement physiologique.
    Elle félicita même Rémi sur son excellente éducation et l'obéissance qu'il témoignait en s'exécutant sans retenue non sans aborder son épilation totale qu'elle trouvait totalement adaptée et indispensable pour une hygiène irréprochable.
    Elle me confirma que si ma méthode d'écucation rigoriste basée sur des fessées et des punitions était bonne, je devais compte tenu des 19 ans de Rémi, apprendre à gérer sa sexualité sans aucune réserve et pour son bien. Un jeune homme qui n'arrive pas à gérer son hygiène n'arrivera pas à gérer sa sexualité et il convenait donc de lui apprendre aussi cet aspect de son anatomie.
    La doctor était en fait une adepte de cette éducation ferme qui consiste à guider les jeunes adultes dans leur vie de tous les jours quand des erreurs ont été commises.
    Des sévères fessées données sur des corps dénudés lui paraissaient être la meilleure des façons de procéder et j'en tirais beaucoup de satisfactions à l'écouter.

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  13. Elle nous expliqua ainsi que beaucoup de mamans et de tutrices dans notre cas lui avaient fait confiance et avaient courageusement éduqué leurs protégés dans cette état d'esprit de rigueur et d'amour pour des résultats probants.
    Elle encourageait ainsi Rémi à donner son avis en ne lui cachant pas qu'il avait beaucoup de chance d'avoir une personne déterminée à s'occuper de lui comme je le faisais.
    J'eus ainsi la grande satisfaction d'entendre Rémi répondre aux questions de la doctoresse et me remercier pour l'éducation que je lui donnais et les progrés qu'il avait fait dans tous les domaines domestiques agrémentés de résultats scolaires du meilleur niveau.
    Je ressentais cela dit la doctoresse encline à encore plus de sévérité dans l'éducation des jeunes adultes manquants de repère comme Rémi tout en restant maîtresse de mes choix.
    Bien qu'elle connaissait parfaitement les raisons de ma venue, elle me demanda si je voulais profiter de cette visite pour faire un bilan complet et dispenser un examen plus approfondi de mon neveu. Bien sur j'acceptais cette excellente proposition de façon enthousiate et j'assitais ainsi à une visite médicale dont beaucoup de docteurs feraient bien de s'inspirer.
    Durant environ une heure, elle ausculta Rémi sans rien n'épargner de son anatomie.
    Elle m'apprit l'importance d'observer et de sonder l'anus de Rémi aprés ses douches.
    Bien sur ses parties sexuelles furent comme le reste de son corps longuement observées.
    Elle insista également longuement sur ses testicules qu'elle m'encouragea à contrôler plus fréquemment car étant par nature sensible et sujets à d'éventuels problèmes aussi.
    Bien entendu elle aborda les possibilités de fuites nocturnes de Rémi sans le culpabiliser mais en me confirmant qu'il restait préférable qu'il éjacule épisodiquement car cela restait une chose naturelle et physiologiquement indispensable pour un garçon de son âge.
    En me parlant de cela, elle avait fait mettre Rémi à 4 pattes sur la table d'aucultation et lui inspectait sa verge ainsi positionnée derrière lui pour évitant certainement qu'il n'ait trop de gène à croiser nos regards.
    Elle me demanda trés simplement si je désirais qu'elle purge mon neveu pour évacuer le sperme trop longtemps contenu avant qu'elle me propose un diagnostic et une thérapie à mettre en place.
    J'acquiescais en permettant ainsi à mon neveu un soulagement sous contrôle médicalisé ce qui me rassurait un peu.
    Nous n'eûmes pas trop longtemps à attendre et voyant le corps de Rémi se tendre et se préparer à éjaculer, elle lui imposa d'en demander l'autorisation ce qui me parut une trés bonne manière de procéder.
    Le récipient disposait entre ses jambes fût ainsi quelques instants aprés particulièrement impacté de jets spermatiques relativement épais autant qu'abondants ce qui confirmait définitivement que son absence de masturbation avait bien été respectée.
    En laissant Rémi se remettre de ses émotions, elle me tendit le récipient afin d'observer de prés la semence ainsi récoltée et évaluer le degré de retenue qu'avait enduré mon neveu.
    Elle me tendit des mouchoirs en papier pour que je puisse nettoyer partiellement sa verge souillée et l'invita à se rapprocher du fauteuil dans lequel je venais d'être invitée à m'asseoir.
    Trés naturellement et en l'absence d'autorisation pour se rhabiller, Rémi vint prés de moi toujours nu et sans autre formalisme pour écouter ce que le docteur allait dire.
    Le docteur insista encore sur l'obéissance de mon neveu et m'en félicita en me disant que son éducation était tout simplement le fruit de ma détermination à le guider dans son apprentissage de sa vie d'adulte et que je pouvais en être fière.
    Elle m'encouragea en l'absence de volonté de ma part pour masturber mon neveu, à le ramener régulièrement pour un suivi médical adapté si je le désirais.

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  14. Elle me demanda trés simplement si je désirais qu'elle purge mon neveu pour évacuer le sperme trop longtemps contenu avant qu'elle me propose un diagnostic et une thérapie à mettre en place.
    J'acquiescais en permettant ainsi à mon neveu un soulagement sous contrôle médicalisé ce qui me rassurait un peu.
    Nous n'eûmes pas trop longtemps à attendre et voyant le corps de Rémi se tendre et se préparer à éjaculer, elle lui imposa d'en demander l'autorisation ce qui me parut une trés bonne manière de procéder.
    Le récipient disposait entre ses jambes fût ainsi quelques instants aprés particulièrement impacté de jets spermatiques relativement épais autant qu'abondants ce qui confirmait définitivement que son absence de masturbation avait bien été respectée.
    En laissant Rémi se remettre de ses émotions, elle me tendit le récipient afin d'observer de prés la semence ainsi récoltée et évaluer le degré de retenue qu'avait enduré mon neveu.
    Elle me tendit des mouchoirs en papier pour que je puisse nettoyer partiellement sa verge souillée et l'invita à se rapprocher du fauteuil dans lequel je venais d'être invitée à m'asseoir.
    Trés naturellement et en l'absence d'autorisation pour se rhabiller, Rémi vint prés de moi toujours nu et sans autre formalisme pour écouter ce que le docteur allait dire.
    Le docteur insista encore sur l'obéissance de mon neveu et m'en félicita en me disant que son éducation était tout simplement le fruit de ma détermination à le guider dans son apprentissage de sa vie d'adulte et que je pouvais en être fière.
    Elle m'encouragea en l'absence de volonté de ma part pour masturber mon neveu, à le ramener régulièrement pour un suivi médical adapté si je le désirais.
    Elle me conseilla ainsi de continuer à être ferme en le fessant autant que nécessaire car il en avait besoin tout en étant plus attentive à son abstinence sexuelle dont il devait désormais me parler.
    Sans pour autant avoir la permission de se tripoter ce dont j'avais en horreur, Rémi devait me dire quand il ressentait des pulsions sexuelles afin que j'en vérifie la réalité avant de prendre un rendez-vous avec la doctoresse visiblement intéressée par le suivi médical de ce garçon.
    Je prenais donc rendez-vous avec cette Dame fort agréable pour le mois suivant avant de la remercier pour tout ce qu'elle m'avait conseillé.
    Avant de nous quitter, elle me conseilla d'en parler à sa mère et insista même pour qu'elle vienne lors d'une prochaine visite pour s'imprégner de l'éducation de son grand fils.
    C'est ainsi que je continua à éduquer Rémi jusqu'à la fin de ses études supérieures en alternant les fessées et les visites médicales avec la caution de sa mère.
    Sans grande difficulté je continuais ainsi d'accompagner Rémi durant quelques années avant qu'il réussisse à quitter ma maison pour se lancer dans sa propre vie sociale et professionnelle.
    C'est aujourd'hui un cadre respecté fort d'une belle famille et j'en suis fière.

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  15. Je suis assez surprise de votre méthode d'éducation avec banalisation de la nudité de votre neveu. Peut-être avez-vous légèrement exagéré votre relation bien que certaine scènes me semblent proches de ce que je ressens. cela dit je vous remercie d'avoir abordé cette notion si importante qu'est la gestion de la sexualité des garçons trop souvent laissé sous silence.

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