Mon cousin Rodolphe rapporta à Maman ma "tendre rencontre" après l'école avec Moiselle Bellenatte.
En province, les rumeurs circulent vite dans les petites communes. Parvenu aux oreilles maternelles, mon "idylle" naissante déclencha les foudres de Maman, relayées en cela par Tante Sofie et Bérénice, ma cousine.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimer"Moiselle Bellenate" Il y a du Gaston Lagaffe la dedans. En voilà un qui aurait pu se prendre plusieurs fessées par jour.
Entre Le cousin Rodolphe et l'ami Gérôme c'est un peu ce qui arrive. Tous les prétextes sont bons pour les faire passer sur les genoux des femmes de la famille.
Ah les émois amoureux du grand enfant Peter! Maman ne veux pas lâcher son poussin, comme ça, à la première venue. Elle ne lui lâche pas les fesses non plus! ET les élans du coeur finissent sous les fessées déculottées! Maman en plein dépit amoureux( maternel) vis à vis de son fi-fils chéri. C'est mon fils, ma bataille !!! Rires...
Toujours aussi drôle et pittoresque, cette charmante nostalgie des années 50. Tout y est, les images et le son, avec les expressions d'un terroir familial de province en voie de disparition! La fessée, comme les chemisiers à fleurs, témoignent d'une époque révolue et en deviennent documents historiques. Ben voui!
Merci pour ces petites pages de fessante poésie.
Cordialement
Ramina
PS. Amusant aussi le coussin sous les fesses de maman, pour fesser à l'aise. Elle veut bien malmener le derrière de son fils mais prend soin du sien!
RépondreSupprimerBonjour Ramina,
RépondreSupprimerAh oui, ce brave Gaston, le grand amoureux de Mademoiselle Jeaaanne, la secrétaire du directeur... Admiratrice de ce grand flemmard patenté de Gaston et de ses trouvailles abracadabrantes!!!
Eh oui, pas facile de se défaire des griffes maternelles !
"Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage".
(in : La Fontaine : Le Lion et le Rat. Livre IV).
Eh oui, le charme nostalgique de la douce vie en province...
Peut-être un retour au Pensionnat Dimanche prochain ???
Peter.