samedi 5 janvier 2019

Axel en famille - Chapitre 77


Quand Tatie Nathalie et moi arrivâmes chez les Moreau le lendemain matin, tout le monde était au travail. Ça récurait, ça nettoyait, ça essuyait dans tous les coins. Il y avait dans l’air une odeur persistante de produits détergents. L’arrivée de Tatie Nathalie provoqua un peu d’émoi. De l’inquiétude se lisait dans les regards : serait-elle satisfaite de ce qui avait été entreprit depuis le matin ? Jugerait-elle que l’un ou l’autre des Moreau avait mérité une fessée pour une négligence qu’il n’avait as identifiée ?
Dans un premier temps, Tatie Nathalie resta énigmatique. Elle fit le tour de la maison, inspectant le travail qui avait été fait. Elle s’attarda dans les toilettes de l’étage.

« Jeanne, viens voir ici ! »
L’interpellée arriva presque tremblante. Elle était dans ces petits souliers, non sans raison. Etre convoquée par Tatie Nathalie n’était pas une très bonne nouvelle.
« Qui a fait le ménage ici ?
– C’est Raoul qui a …
– Il n’a pas été minutieux. Il reste une trace de coulure d’eau sale sur l’extérieur de la cuvette, là. Regarde ! »
Elle montrait la partie de la cuvette qui touchait presque le mur.
« Quand je dis que le ménage doit être fait à fond, cela veut dire qu’il ne reste pas d’endroit oublié. C’est le genre de détail qui vaudra une fessée, à celui qui a été négligent, ce soir quand je vérifierai le travail que vous avez fait. Inutile de te préciser que dans ce cas, tu seras fessée toi aussi. Raoul doit être plus méticuleux. Occupe-toi-en ! »
Moins d’une minute plus tard, Jeanne ramenait un Raoul qui n’en menait pas large. Il ne cessait de jeter des coups d’œil craintifs vers Tatie Nathalie qui pourtant se contenta d’observer. Jeanne prit son mari par l’oreille et l’obligea à se pencher vers l’endroit litigieux.
« Comment se fait-il qu’il reste une trace là ?
– Aïe, je vais l’essuyer !
– Dépêche-toi de t’y mettre ! »
Elle administra, pour bonne mesure, une série de claques sur le fond du pantalon de son mari. Raoul revint munit d’une éponge et rectifia son oubli.
« C’est bien, lui dit Jeanne. Retourne à ton travail. »
Une nouvelle claque sur les fesses l’y encouragea. Jeanne se tourna vers Tatie Nathalie, guettant son approbation.
« Tu ne t’y es pas trop mal prise. Cependant, je ne suis pas certaine qu’autant de claques étaient nécessaires. Tout d’abord parce que quand tu les donnes sur le fond du pantalon, elles ne sont que symboliques. Raoul ne les a même pas senties. Ta main sur les fesses une ou deux fois suffisent pour lui faire comprendre qu’il est à la limite d’une fessée plus efficace s’il ne rectifie pas son erreur au plus vite. »
Jeanne acquiesça.
« Le pinçon sur l’oreille était inutile. Raoul ne montrait aucune mauvaise volonté qui aurait pu t’amener à le contraindre. N’en abuse pas ou bien ces gestes d’autorité auront perdu de leur efficacité quand il faudra t’en servir. Mais, je note que tu fais des efforts. C’est bien mieux qu’hier. »
Jeanne rougit. Elle ne devait pas s’attendre à un compliment.
« J’ai encore quelques petites choses à vérifier. Retourne à ton travail, je t’appellerai si j’ai besoin de toi. »
Tatie Nathalie poursuivit son tour de la maison sans faire d’autres commentaires. Elle finit dans la cuisine et elle s’arrêta devant les deux téléphones portables. Elle voulut en regarder le contenu, mais elle ne put aller au bout sans les mots de passe.
« Jeanne s’il te plait ! »
Elle arriva presque en courant.
« As-tu vérifié si les téléphones ont été utilisés depuis qu’ils ont été confisqués ? »
Jeanne porta sa main à sa bouche. Elle n’y avait pas pensé. Tatie Nathalie lui donna deux claques sur le fond du pantalon. Le visage de Jeanne s’assombrit.
« Tu vois, ces deux petites claques suffisent pour te donner un avertissement. Tu comprends tout de suite que la prochaine fois, il n’y aura pas de pantalon, et probablement pas de culotte non plus. Je suis certaine que tu as tout de suite compris. »
Jeanne hocha la tête.  Elle n’oublierait plus de vérifier les téléphones.
« Appelle les enfants. Ils doivent te donner le mot de passe. »
Florence et Anthony ne furent pas ravis de la demande de leur mère.
« Mais, … mais, commença Florence, tu ne peux pas regarder mes messages, je …
– Je ne te donnerai pas mon code, poursuivit Anthony, c’est personnel, intime ce qu’il y a dans mon téléphone. Ça ne te regarde pas. »
Jeanne ne passait pas à l’offensive face aux protestations de ses enfants. Tatie Nathalie nota, dans sa tête d’en reparler avec Jeanne, et elle prit le relais.
« Tout ce qui vous concerne regarde votre mère. De la même façon qu’elle doit avoir accès aux parties intimes de votre corps pour en vérifier la propreté ou à tout ce qu’il y a dans votre chambre, elle doit savoir ce qu’il y a dans votre téléphone. C’est son rôle de vérifier avec qui vous êtes en contact, avec qui vous échangez, quelles sont les personnes que vous voyez et les contenus de ce que vous échangez. »
Les deux jeunes gens restaient interloqués à l’annonce de ce programme.
« Elle doit pouvoir mettre fin à des situations qui vous entraîneraient trop loin. C’est sa responsabilité, elle doit pouvoir l’assumer. Vous allez donc lui donner votre mot de passe !
– Il n’en est pas question, insista Anthony ! »
J’aurais pu lui expliquer qu’il avait été trop loin. La suite était évidente.
« Jeanne, je crois que nous avons là un grand garçon qui vient de refuser d’obéir. »
La voix de Tatie Nathalie était calme, mais la menace pointait sous la douceur du ton. Cela sembla réveiller Jeanne. Elle agrippa le bras de son fils et le plaça devant elle.
« Ici, les garçons désobéissants reçoivent la fessée, proclama-t-elle. »
Elle déboucla la ceinture d’Anthony qui esquissa un mouvement de ses mains pour s’y opposer, mais il y renonça.
« Mais, … mais, … mais, … bredouilla-t-il. »
Jeanne baissa son pantalon.
« Je vais le donner, le code, je vais le donner !
– Je n’en ai pas douté un seul instant, répondit Tatie Nathalie, mais maintenant, ce sera après la fessée. »
Jeanne avait maintenant baissé la culotte et elle courba son fils sous son bras en passant son bras autour de la taille du jeune homme. Elle sentit tout de suite que la position ne convenait pas. Anthony était plus grand qu’elle. Ses fesses arrivaient bien trop haut pour qu’elle puisse lui donner une fessée efficace. Heureusement, Tatie Nathalie vint à la rescousse. Elle savait comment s’y prendre en pareilles circonstances.
« Anthony, tu plies les genoux afin que ta Maman puis te mettre à la bonne hauteur pour te donner la fessée. »
L’opposition qu’Anthony avait manifestée quand le code d’accès à son téléphone lui avait été demandé, avait été instinctive. C’était un réflexe malheureux qu’il regrettait déjà, mais il était trop tard. La désobéissance avait été actée et la fessée méritée qui en découlait était décidée. Il ne lui restait plus qu’à subir sa correction en espérant qu’une volonté marquée de collaborer atténuerait la rigueur de la punition. Il fléchit les genoux tant que sa mère pesait sur son dos. Il fut rapidement en place pour recevoir une bonne fessée.
Jeanne commençait à acquérir de l’expérience en ce qui concerne l’administration de fessées. Ses hésitations de la veille se voyaient encore, mais elles avaient largement diminué. Dès le début, il fut clair qu’Anthony en sentirait les effets.
Les claques résonnaient sur ses fesses nues. Elles laissèrent tout de suite des marques rosées qui foncèrent au fur et à mesure que Jeanne insistait. Anthony ne chercha pas à retenir ses cris. Dès la première claque il gémit et cela ne cessa que quand les premiers pleurs prirent le relais.
à chaque fois que la main de Jeanne s’abattait, le pied du côté où elle fessait, se soulevait jusqu’à tendre le pantalon tombé sur les chevilles, mais cela ne pouvait aller plus loin. Cela dessinait un ballet bien réglé dont Jeanne donnait le tempo.
Quand les fesses d’Anthony furent uniformément rouges soutenu, Jeanne relâcha son fils.
« Le mot de passe s’il te plait. »
Anthony le lui donna entre deux sanglots.
« Florence, à toi. »
Jeanne ne rencontra pas plus de difficulté.
« Quel miracle que la fessée ! Sans elle, je n’aurai jamais pu avoir ces mots de passe !
– L’un de vous deux, demanda Tatie Nathalie, a-t-il utilisé son téléphone depuis qu’il a été confisqué ? »
Florence et Anthony se regardèrent.
– Attention, il est encore temps d’avouer une désobéissance. Dans cinq secondes, il sera trop tard. »
Anthony prit une grande respiration.
« Moi, j’ai répondu à un SMS. »
Il baissa la tête, honteux de cette nouvelle désobéissance. Jeanne n’hésita pas. Elle replaça Anthony dans la position qu’il venait de quitter.
« Florence, va me chercher la ceinture. Elle doit encore être sur le canapé.
– Une seconde, s’interposa Tatie Nathalie, Anthony a avoué sa désobéissance, tu dois en tenir compte. S’il n’avait rien dit, la ceinture s’imposait. Il faut graduer les punitions en fonction de la gravité de la faute. Autrement, tes punis n’y comprendront plus rien. Là, je pense que cela devrait suffire. »
Elle tendait une grande spatule en bois qu’elle venait de prendre dans un pot placé sur le plan de travail. Tatie Nathalie avait raison. La spatule en bois était largement suffisante. Les fesses d’Anthony avaient été chauffées par la fessée donnée à la main. L’impact de la spatule se voyait à l’attitude du jeune homme.
Anthony cherchait instinctivement à éviter l’instrument en bois. Il se tortillait sous le bras de sa mère, sans toutefois essayer de se dégager de la position punitive dans laquelle il était. Cela ne gênait pas sa mère qui atteignait sa cible à tous les coups. Cela montrait, par contre, combien la spatule permettait de faire du bon travail.
Bien qu’elle n’ait pas été en mesure de contraindre son fils à rester en position, cela donnait pourtant l’impression qu’il en était ainsi. Elle lui imposait sa volonté, non pas physiquement, mais tout se tenait dans la tête. Anthony, malgré ses vingt-et-un ans, admettait maintenant que sa mère puisse lui administrer la fessée quand elle le jugeait nécessaire.
Certes, la présence tutélaire de Tatie Nathalie y était pour beaucoup, mais il avait le vague sentiment que la discipline qui lui était imposée lui serait profitable. En, très peu de temps, cela ne faisait même pas deux jours qu’il avait reçu sa première correction, une grande partie du poids qui pesait sur lui, s’était allégé. Il recherchait inconsciemment une autorité dans les mains de laquelle se remettre, il l’avait trouvée en même temps que sa première fessée.
Cela faisait plusieurs années qu’il sentait que sa vie se déstructurait lentement. Il n’arrivait pas à s’imposer des normes de vie qui lui permettraient de construire son avenir. Il se sentait livré à lui-même, sans repère et sans personne auprès de qui chercher appui. Alors qu’il n’avait que très peu connu cela durant son enfance et son adolescence, il sentait poindre une exigence qui commençait à constituer des repères stables. Cela le rassurait. Si recevoir la fessée en était le prix, c’était un moindre mal.
La fessée suivait son cours. Anthony extériorisait la douleur qu’elle provoquait par des sanglots bruyants et des mouvements désordonnés de ses pieds. Ses fesses prenaient une couleur de plus en plus sombre. Tout allait donc pour le mieux.
« Va au coin ! »
M’étant trouvé dans une situation analogue de nombreuses fois, je savais que le coin apparaissait, dans un premier temps, comme un refuge attendu, du moins quand il se situait après une fessée. Quand il m’était arrivé d’y être placé dans l’attente d’une correction, il en était tout autrement.

« Voyons ce qu’il  a dans ces téléphones »
Tatie Nathalie composa les mots de passe. Elle regarda les appels téléphoniques enregistrés, consulta les messages enregistrés et les SMS reçus et envoyés.
« Effectivement, Anthony, je vois le SMS que tu as envoyé ce matin. Etant donné ce qu’il y a dedans, tu aurais pu t’épargner une fessée sans que cela nuise. »
Elle passa au téléphone de Florence. Celle-ci rougit et baissa les yeux ?
« Je ne tiendrai pas compte de ce que tu as écrit à l’époque où tu ne recevais pas encore la fessée. Qu’il soit bien clair que si tu recommences à utiliser ce langage, non seulement je te confisque définitivement ton téléphone, mais en plus tu recevras la plus belle fessée de toute te vie. Préviens tes copines de ne plus utiliser ces appellations, notamment en ce qui concerne tes parents. C’est toi qui en serais puni, à défaut de pouvoir fesser ces péronnelles. »
Florence acquiesça d’un hochement de tête rapide. Elle trouvait qu’elle s’en sortait à bon compte, beaucoup plus facilement que ce qu’elle avait craint.
« Que les choses soient claires, vous n’avez pas le droit de toucher à votre téléphone sans l’autorisation préalable de votre Maman ou de moi d’ici la fin des vacances. Si vous êtes sages, nous vous laisserons le consulter une fois par jour et pas plus d’un quart d’heure. Vous montrerez alors à votre Maman qui vous a écrit et ce que vous lui avez répondu. S’il y a des insolences, des impolitesses ou des gros mots, ce sera la fessée. »
Ces décisions changeaient considérablement la façon dont les enfants Moreau utilisaient leur téléphone. Ce n’était pourtant pas le moment de s’en plaindre.
« Quand vous retournerez à l’école, sauf punition, vous pourrez avoir votre portable. Mais dès que vous renterez à la maison, il retrouvera sa place dans la cuisine. Vous montrez, à votre Maman, chaque jour, tous les courriels et SMS que vous avez reçus et envoyés afin qu’elle puisse en contrôler le contenu. S’il y a un problème, vous serez punis. »
Il n’était pas possible de voir la réaction d’Anthony. Sa position dans le coin ne le permettait pas. Florence, par contre, ne cachait pas son ébahissement. Tatie Nathalie éradiquait l’un après l’autre tous les espaces d’intimité. Le contrôle sur la vie de son frère et la sienne allait désormais être bien plus étroit. Cela obligerait à changer quelques habitudes et comportements. Toutefois, elle n’alla pas plus loin.
« Oui, Florence, quelque chose ne va pas ? »
Tatie Nathalie l’interpellait. Elle s’empressa de répondre.
« Non, non, Tatie, tout va bien. J’ai compris. »
L’opinion d’Anthony ne fut pas sollicitée. Au coin il était contraint au silence et il n’y avait pas de raison suffisante pour y déroger.
« Retourne au travail, Florence. Je crois qu’il y a encore beaucoup à faire. »

Jeanne s’apprêtait à suivre sa fille.
« Une seconde, jeune femme, il y a encore une chose dont nous avons à discuter. »
Jeanne se retourna. Elle était blême.
« Oui, que se passe-t-il ? »
Sa voix tremblait. Discuter de quelque chose avec Tatie Nathalie pouvait s’avérer périlleux.
« Peux-tu m’expliquer deux choses. Premièrement que tu n’as pas vérifié si la confiscation des portables était effective, mais, deuxièmement, plus grave, comment ton fils a-t-il pu se servir de son portable sans que tu t’en aperçoives ?
– Je ne sais pas, bredouilla Jeanne.
– C’est bien ce qui m’inquiète. Comment dois-je interpréter que tu n’as pas d’idée de la façon dont Anthony s’y est pris ? »
Jeanne resta silencieuse. Il n’y avait pas de bonne réponse.
« Laisse-moi imaginer. Aurais-tu été négligente dans ta surveillance des enfants ? »
Jeanne n’avait rien à répondre à cette question. Elle subissait la réprimande de Tatie Nathalie en sachant où cela allait la mener.
« Je te promets que tu vas devenir plus vigilante. Je veux que tu saches en permanence où sont les enfants et ce qu’ils font. Si Anthony a pu se servir de son téléphone, c’est qu’il n’était pas assez occupé. C’est ton rôle de donner du travail à tous les habitants de cette maison et de veiller à ce qu’ils le fassent. »
Jeanne acquiesça. Tatie Nathalie mettait le doigt sur ses manquements du matin. Encore un fois, elle n’avait pas réussi à tenir son rôle correctement. Cela lui avait semblé simple, hier au soir, mais confrontée à la réalité elle se rendait compte de la difficulté de la tâche et de l’attention de tous les instants qu’elle lui demandera.
« J’ai dit que je t’aiderai dans cette tâche. Pour cela, je t’ai promis que je ne te passerai rien, pas la plus petite négligence, pas le moindre oubli. A chaque fois, tu seras punie. Je ne vois pas d’autre solution, ce matin, que te corriger une nouvelle fois. Ne crois-tu pas que c’est juste et que tu en as besoin ? »
Jeanne hocha la tête pour signifier son accord. La boule qu’elle avait dans la gorge ne lui permettait pas d’émettre le moindre son, encore moins une phrase cohérente. Elle espérait que Tatie Nathalie s’en contenterait.
« Je vois que tu es d’accord. Tu vas donc prendre une bonne fessée. Approche ! »
Ses pieds se déplacèrent tous seuls. Sur l’instant, Jeanne était incapable de prendre une décision. L’habitude d’obéir aux commandements de Tatie Nathalie avait été la plus forte.
Tatie Nathalie lui défit le pantalon aussitôt. Elle le descendit en dessous des genoux. Puis elle fit passer Jeanne sous son bras et ceintura sa taille pour la plaquer contre son flanc. Elle fit décoller les pieds de la femme qu’elle tenait sous son coude, pour la placer un peu plus à sa convenance. Jeanne avait l’impression d’être déplacée comme un fétu de paille, comme si elle ne pesait rien dans les mains de sa voisine.
Puis elle sentit les doigts de sa voisine se glisser sous l’élastique de sa culotte. Bien qu’elle s’y attendît, Jeanne ne put maîtriser la chair de poule qui s’empara de toute la peau dénudée après que Tatie Nathalie lui a baissé la culotte.
A son grand étonnement, elle s’aperçut que l’angoisse qui la paralysait depuis que Tatie Nathalie avait commencé à la gronder, était bien moins présente. Il restait l’appréhension de la fessée à venir et de ses conséquences douloureuses sur ses fesses. Mais, sous-jacent, c’était le soulagement : elle allait enfin recevoir la fessée qu’elle avait méritée. Ensuite, ce serait terminé. Elle pourrait reprendre son rôle, libérée de ses précédentes fautes.
La fessée répondit à ses attentes. La main de Tatie Nathalie transforma ses fesses en une zone incandescente en très peu de temps. Elle sentait la cuisson augmenter progressivement à droite, puis à gauche, encore à droite et de nouveau à gauche. Elle laissa la douleur se répandre, criant et pleurant pour exprimer ses regrets et tenter de détourner son attention de la brûlure qui embrasait ses fesses.
Comme d’habitude, cela fut assez inefficace, mais il est très difficile de ne pas s’y essayer à chaque fois. Elle se promit de faire les efforts nécessaires, non pas pour ne plus recevoir la fessée, cela faisait partie de son apprentissage, mais pour mériter les compliments de Tatie Nathalie.




Pas de dessin de Peter Pan cette semaine.

Il reviendra, après un repos bien mérité.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1

L'épisode précédent : chapitre 76
Le prochain épisode ... soyez patient, il arrive bientôt.

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3 commentaires:

  1. Bsr,
    Jeanne va t elle , convoquer les copines de florence pour les punir aussi ???
    A suivre

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  2. Bonjour,
    A l'allure ou ça va et les multiples entrées en scène, il faut s'attendre à quelques coups de théâtre... et nouvelles claques sur les fesses avant la tombée du rideau!
    Ramina

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    Réponses
    1. Bonjour,
      une nouvelle direction lors du prochain épisode, ça vous va ?
      J'espère que oui. Tout cela est déjà écrit.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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