Aurélie intégrait l’entreprise ce lundi matin. Je ne l’avais
pas revu depuis le fameux entretien d’embauche. Et la suite qui s’était conclu
par la fessée magistrale de Céline dont les 50 derniers coups avaient été
administrés par Aurélie elle-même avec le même martinet qu’avait utilisé Céline
pour son test.
Autant dire que j’étais un peu inquiet, autant de l’attitude
d’Aurélie et des rapports qu’il allait falloir construire avec elle, que de
l’attitude de Céline dont la jalousie était latente.
Céline me l’avait encore prouvé deux jours auparavant avec la
très cuisante fessée de représailles aux verges qui m’avait fait hurler de
douleur et marqué durablement mon épiderme fessier.
Aussi ce matin en attendant Aurélie je sentais le contact
très désagréable et encore douloureux de mon slip sur les séquelles de la
fessée.
A 9 heures pétantes Aurélie se présentait à l’accueil et Julie
la standardiste s’empressa de me prévenir.
Je descendis l’accueillir et comme on l’avait fait pour moi
je lui faisais visiter l’entreprise, les ateliers, le show-room, la salle de
correction. Elle semblait ravie d’avoir trouvé ce CDI si facilement et surtout
grâce à Madame Leroy qui avait terminé seule avec elle l’entretien d’embauche
quelque peu raté par ma faute. Je lui montrais son bureau certes petit, à côté
du mien. C’était en fait une ancienne pièce de rangement mitoyenne de mon
bureau. La cloison avait été cassée pour permettre d’en faire un bureau et
remplacée par une cloison vitrée qui permettait d’éclairer la pièce sans
fenêtre. Ainsi nous allions aussi bien elle que moi nous voir travailler car
nous étions quasiment face à face séparés seulement par la vitre. Certes nous
pourrions nous abriter derrière nos écrans respectifs qui nous cachaient. Mais
fini l’intimité de mon lieu de travail.
Puis nous allâmes chez Céline pour la signature du contrat
de travail. Je me demandais quelle allait être l’attitude de Céline avec
Aurélie mais Céline fit assoir Aurélie poliment et me dit qu’elle en avait pour
un petit moment avec Aurélie le temps de lire avec elle le contrat, de lui
expliquer les clauses particulières (entres autres les fameux châtiments
corporels et autres séances d’essai d’instruments (voir l’épisode le contrat)
propre à la SFID.
Aussi je remontais tranquillement dans mon bureau pas fâché
de gagner un petit moment de solitude.
Environ une heure après Céline et Aurélie rentrèrent dans
mon bureau et à leurs attitudes à toutes les deux je compris que la signature
du contrat s’était bien passée. Mieux que cela, Céline et Aurélie avaient l’air
d’avoir sympathisé. Il faut dire qu’Aurélie était d’un naturel charmant,
certes un peu timide surtout dans ces circonstances. Mais elle ne devait pas
avoir beaucoup d’ennemie. Et en fille intelligente elle avait retourné Céline
en sa faveur en s’excusant d’emblée pour la fouettée qu’elle lui avait donné
sur ordre de Madame Leroy comme je l’appris plus tard. Céline de son côté qui
n’était pas méchante juste un peu jalouse s’excusa à son tour de la tannée
qu’elle avait mis à Aurélie en guise de test. Et les deux étaient devenues
complices en une heure de discussion.
Céline très excité me dit d’emblée :
« Georges nous allons loger Aurélie le temps qu’elle
trouve un appartement. Elle est à l’hôtel et Madame Leroy ne lui remboursera
que quelques jours. Aussi j’ai pensé que la chambre d’ami fera parfaitement
l’affaire pendant quelques semaines pour Aurélie. Qu’en penses-tu ?
Interloqué par cette situation nouvelle à laquelle je ne
m’attendais pas, mais alors pas du tout, je montrai ma stupéfaction.
« Aurélie aime bien cuisiner comme moi et cela me fera
de la compagnie féminine. Et elle pourra même m’aider à te corriger si
nécessaire !
Devant cette affirmation ma stupéfaction se transforma en
honte instantanément et je piquai un fard. Ainsi Aurélie était déjà au courant
des punitions que je recevais à la maison dans le cadre de la discipline
domestique. Elles avaient dû en parler. J’allais donc avoir 2 femmes qui
allaient surveiller ma conduite ici à la SFID et à la maison et donc double
raison de me faire fesser. Pauvre de moi. Décidément l’arrivée d’Aurélie
allait encore une fois changer ma vie.
« D’ailleurs baisse ton pantalon que je montre à
Aurélie les résultats de la fessée d’avant hier aux verges, punition domestique
suite à votre entretien d’embauche.
J’eu l’impression que le plancher s’effondrait sous moi
tellement la honte me submergeait mais je défis ma ceinture et fis prestement
glisser mon pantalon sur mes chevilles pour ne pas risquer des représailles.
Céline acheva de me dénuder le bas en tirant sur l’élastique
de mon caleçon et dévoila mes deux globes bleuis par la fessée de l’avant-veille
et constellés de points violets. Elle les caressa en expliquant à Aurélie les
effets d’une fessée aux verges sur la peau et sur le puni.
« Il a bien crié ponctua t’elle d’une claque qui raviva
la douleur et mis fin à l’inspection. Et il s’en souviendra, c’est le but n’est-ce
pas Georges ?
J’acquiesçai timidement tandis que Céline ressortait et que
je me réajustais rapidement fuyant le regard intéressé d’Aurélie.
Le reste de la journée se passa normalement et je commençai
à former Aurélie aux logiciels et à la maintenance du site de la SFID. Elle
n’en revenait pas des commandes qui arrivaient du monde entier pour les
produits du catalogue. Et de la diversité d’instruments que nous proposions aux
correcteurs ou aux punis de tout poil qui s’exposaient à nos instruments de
discipline.
Des questions étaient posées dans la fiche contact du site
et Aurélie allait être chargée d’y répondre. Actuellement c’est moi qui remplissais
cette tache nouvelle depuis la création du site et qui demandait malgré tout
une certaine expérience. Je lui dis que surtout elle n’hésite pas à me demander
si elle ne savait pas.
Justement une épouse demandait, si pour corriger sévèrement
son mari qui buvait trop elle devait acheter un paddle, une tawse ou un
martinet. Les trois, dis-je en souriant à Aurélie.
Une directrice d’internat demandait quel diamètre de cane
anglaise elle devait acheter pour punir de grands ados de 18 ans.
Et des questions comme cela il y en avait plusieurs chaque
jour.
A la fin de la journée Aurélie me demanda si nous avions
beaucoup d’instruments à la maison et de dus bien lui répondre que forcément
oui car elle allait les voir et peut être même en action.
Le lendemain comme convenu Aurélie vint s’installer chez
nous dans la chambre d’ami. Celle-ci se trouvait en face de la nôtre, au
premier étage juste en dessous du grenier transformé en salle de correction.
Céline entreprit de lui faire visiter la maison de la cave au grenier et lui
montra les nombreux instruments servant à la discipline. Elle ouvrit le
registre de punition et avertit Aurélie.
« Ici tout le monde est soumis aux même règle de
discipline domestique. Y compris moi-même. Mais ayant été éduqué chez les
sœurs, je suis parfaitement discipliné et sais tenir une maison. Vous êtes ici chez
moi et si vous deviez ne pas respecter les règles de propreté, de ménage, de
politesse je vous punirais comme Georges. Mais je suis certaine que cela ne se
produira pas Aurélie, n’est-ce pas ?
Aurélie lui assura qu’en tant qu’invitée elle aurait un
comportement exemplaire et que Céline n’aurait pas besoin d’en venir à cette
extrémité.
Ce soit là Céline me fit l’amour comme elle ne l’avait pas
fait depuis longtemps. La présence d’Aurélie de l’autre côté du couloir y était
peut-être pour quelque chose. L’instinct primaire de la femelle voulant satisfaire
sexuellement son homme en présence d’une autre femelle potentiellement
concurrente certainement d’autant qu’elle ne chercha pas à dissimuler l’expression
de sa jouissance quand elle vint.
Le reste de la semaine passa très vite occuper que j’étais
par la formation d’Aurélie.
Celle-ci apprenait vite et Madame Leroy ne s’était pas
trompée en décidant de l’embaucher.
Le week-end arriva et Aurélie, célibataire et loin de ses
parents qui habitaient en région Lyonnaise avait décidé de rester avec nous. Nous
avions entrepris de lui faire découvrir les environs du village et les belles
forêts solognote qui nous entourait.
Lorsque nous rentrâmes à la nuit tombée Céline ouvrit le
registre de punition et entrepris de remplir une nouvelle page. Qu’avais donc
fait encore car je ne doutais pas que ce fut pour moi que Céline calligraphiait
de sa plus belle plume la page vierge. Aurélie curieuse tentait de lire
par-dessus son épaule dans l’entrée de la maison.
« Georges je vais encore une fois devoir sévir ! Vous
n’avez pas lavé la voiture depuis plusieurs jours et c’est une vraie porcherie.
Cela fait pourtant partie de vos tâches dans cette maison. Vous allez me donner
l’occasion de vous punir en présence d’Aurélie qui a pu constater comme moi
votre négligence et votre paresse à ne pas maintenir notre véhicule propre.
Vous devriez avoir honte de nous avoir obligé à monter dans une voiture aussi
sale. Vous allez le regrettez et très bientôt.
Nous vous attendons en salle de correction et en tenue de
fessée dans 30 minutes. Et ne nous faîtes pas attendre. Céline expliqua alors à
Aurélie que la fessée domestique se recevait en tenue de petit garçon pour
ajouter la honte à la douleur infligée. Aurélie souriait malicieusement en me
regardant et je la vis plisser des yeux d’impatience de me voir en tenue tandis
que je rougissais et que la honte m’envahissait.
Ce qui arriva 30 minutes plus tard. Je montais l’escalier
dans ma culotte tyrolienne en ayant bien pris soin cette fois de boutonner ma
braguette. Les 2 femmes m’attendaient assis dans le canapé en face du banc à
fessée.
Et bien Aurélie puisque c’est la première fessée domestique
de Georges à laquelle vous assistez et que vous avez roulée dans une voiture
sale par sa faute, je vous laisse choisir les instruments de cette fessée.
Sachant qu’il a mérité 100 coups comme indiqué dans le registre de punition.
Aurélie acquiesça, se leva et alla ouvrir les armoires
vitrées ou étaient suspendu les instruments de fessée.
Elle en regarda, en effleura, en soupesa plusieurs et arrêta
finalement son choix sur un beau paddle en cuir épais et un martinet composé de
9 lanières assez fines.
« Bon choix Aurélie dit Céline. Alors puisque vous avez
choisi vous allez aussi punir Georges. Je vous conseille de commencer par bien
chauffer les fesses au paddle. L’effet du martinet n’en sera que meilleur
ensuite. Georges, déshabillez-vous, appuyez vos mains sur le banc et présenter
vos fesses à Aurélie pour être fessé.
Rouge de honte je m’exécutais comme toujours en pareille
circonstance. Je baissais moi-même mon caleçon pour ne pas aggraver ma honte en
laissant Aurélie le faire. Mais c’était sans compter sur Céline qui avait
remarqué mon manège et qui s’empressa de me le remettre en place.
« Georges, vous savez bien que dans notre règlement
c’est la fesseuse qui baisse le caleçon quand elle le juge nécessaire. Vous ne
vouliez pas qu’Aurélie ajoute à votre honte le fait de découvrir vos fesses et
vos attributs. Et bien c’est raté et vous aurez 10 coups de plus pour cette
erreur d’appréciation.
Aurélie qui commençait vraiment à se prendre au jeu attrapa
alors l’élastique de mon caleçon et le fit descendre lentement sur mes
chevilles en se penchant en avant pour découvrir mon sexe qui n’en menait pas
large.
Céline lui montra alors la meilleure position pour bien
fesser et comment bien utiliser le paddle. J’eu droit à un coup d’essai avant
que les cinquante premiers coups ne claquent sur mes fesses.
Aurélie n’était pourtant pas un gros gabarit mais elle claquait
quand même très fort. Elle était classée au tennis comme elle le dit à Céline,
ceci expliquait sans doute cela. Le bruit résonnait dans le grenier et Céline
l’encourageait. J’avais de la peine à rester en place sous la courroie de cuir
qui me chauffait les fesses de plus en plus. Je ne pouvais plus m’empêcher de
crier ce qui eut pour effet de ralentir Aurélie. Mais Céline se leva à ce moment-là,
attrapa des mains d’Aurélie l’instrument et se mit à me claquer à nouveau les fesses
avec force et détermination. Je hurlai et Céline expliquait à Aurélie :
« Il ne faut pas vous laisser impressionner. Georges
est un douillet et vous ne serez jamais assez sévère avec lui. Il faut qu’il
s’en souvienne et pour qu’il s’en souvienne il faut claquer fort.
Aurélie prit alors la suite avec le martinet aux fines
lanières. Sur la peau chauffée au rouge par le cuir, les cinglades des 8
lanières étaient insupportables. J’en supportais pourtant 60 coups sérieusement
appliqués par Aurélie avec force et détermination comme Céline lui avait
montrés. Elle termina en nage comme après la correction de Céline chez Madame
Leroy.
« Bravo Aurélie, vous faîtes une bonne fesseuse. J’ai
moi-même pu m’en rendre compte. Madame Leroy ne s’est pas trompé. Vous faîtes
un bon usage des instruments de la SFID et vous y mettez du cœur. C’est important
que le puni sache qu’il est bien pris en main et qu’il ne bénéficiera d’aucune
mansuétude de la part de sa fesseuse. Maintenant il faut mettre Georges au coin
main sur la tête avec interdiction formelle de se toucher les fesses. Si
c’était le cas, la punition serait immédiatement reprise à zéro. Il pourra
ainsi méditer sur sa paresse à ne pas avoir maintenu la voiture dans un état de
propreté optimale.
Sagement je me rendais par petit pas glissant au coin du
grenier avec ma culotte qui m’entravait les chevilles. J’avais déjà positionné
mes mains sur la tête pour ne pas risquer de réprimandes supplémentaires et
pour éviter toutes tentations de me masser les fesses qui me brûlaient.
Aurélie très fière de sa fessée, des compliments de Céline
et de la couleur de mes fesses dont le rouge était en train de foncer
sérieusement, me regarda rejoindre mon coin les mains sur les hanches d’un air
goguenard. Et elle s’adressa à moi avec assurance :
« Et bien Georges vous ne l’avez pas volé celle-là !
Et bien pauvre de moi, je n’avais effectivement pas fini
d’être fessé plus d’une fois qu’à mon tour avec deux fesseuses à domicile dont
la nouvelle s’annonçait comme aussi redoutable que ma correctrice attitrée.
Pour suivre le fil de ce récit
Le premier de la série : chapitre 1L'épisode précédent : chapitre 14
La suite au prochain chapitre... sans doute la semaine prochaine.
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Bonjour,
RépondreSupprimerEt bien voilà! Pourquoi faire seule ce qu'on peut faire à deux. Céline a trouvé une solide deuxième main pour s'occuper des fesses de Georges. Ces dames sont intraitables. Belle démonstration d'Aurélie avec une superbe double fessée parfaitement cuisante. Dommage pour monsieur qui oublie la procédure... C'est celle qui fesse qui déculotte! S'en souviendra t il pour la prochaine séance ?
Cordialement.
Ramina