mercredi 30 janvier 2019

Recadrage en Provence - chapitre 3

Les confessions de Louise 

Je m’engageai dans les escaliers, les fesses en feu, maman ne m’avait pas ménagée avec sa main cette fois-ci, mais c’est vrai que j’avais exceptionnellement évité le martinet grâce à ce Maxime…
Quel beau jeune homme le fils de la cousine de Maman, moi qui ne l’avait jamais vu… Mais si seulement il avait pu arriver une heure plus tard ! Quelle honte ! Je ne suis pas une fille très pudique, mais qu’un homme entre comme cela chez nous et découvre ma position au coin le cul à l’air, rougi par la fessée… Je m’en remettrai mais sur le coup j’ai cru que mes jambes allaient me lâcher. Et maman qui décide de remettre une couche en travers de ses genoux ! Je sentais son regard sur mon derrière, je suis sûr qu’il en a bien profité le bougre !
Grrrrrrr parfois j’en envie de faire mon sac et de m’enfuir d’ici. J’en ai assez d’être fessée comme une enfant, j’ai 20 ans désormais, ce n’est plus possible ! Je sais au fond de moi que Maman a raison, que je mérite mes punitions, que Anna et elles sont incroyables, elles font de cette ferme une entreprise si fructueuse, je consens bien qu’elles puissent me fesser lorsque je le mérite, elles m’impressionnent c’est vrai, leur statut est indiscutable… Je me l’avoue à moi-même…
Mais cette petite peste de Nathalie ! Elle a à peine 5 ans de plus que moi et elle me déculotte, me fesse à sa guise ! Elle se joue de moi et elle en profite, ce que je ne supporte plus ! Elle a réussi à obtenir les bonnes grâces de maman et maintenant elle prend ses grands airs ! Heureusement que Noémie et Maxime sont arrivés, je sens que je vais être un peu plus tranquille, ces deux-là risquent de me mettre à l’abri quelques temps, ils ne doivent pas s’imaginer à quel point nos punitrices sont pointilleuses.

En entrant dans ma chambre je m’empressai de me brosser les dents et de me mettre au lit, j’entendais en bas maman discuter avec Maxime mais je ne pouvais comprendre le moindre mot… J’imagine qu’elle lui expliquait en quoi consisterait son travail et quelles étaient les règles de la maison.
Je me massais les fesses en attendant le passage de Nathalie qui devait venir vérifier la propreté et le bon rangement de ma chambre.
Je repensais à une fessée que j’avais reçue cette année à l’université, c’était de loin la pire expérience de ma vie, ce n’était pas la fessée la plus sévère que j’avais reçue mais celle qui m’humilia le plus. La peur d’être vue, à 20 ans, fessée dans une classe de l’université... Je pense que j’aurais dû supporter des moqueries durant des mois et des mois, peut-être même que mes camarades m’auraient charriée pendant tout mon cursus scolaire.
Hors de ses gonds, maman avait été jusqu’à demander à ma professeur d’économie Madame Fenant de me fesser si elle le jugeait nécessaire, elle avait fait part de mes bavardages et maman n’avait pas hésité à lui demander de me punir « comme la petite fille que j’étais ».
Madame Fenant n’avait pas du tout été surprise par la demande de maman, allant même à la féliciter. Elle raconta brièvement qu’elle fessait sa fille et même son mari lorsqu’il le méritait.
Je n’avais pas pris au sérieux cette menace mais un jour en fin d’année j’étais allée trop loin. Je ne cessais de bavarder avec ma voisine Alicia. Je lui racontais mes sorties avec mon petit ami, mes périples et mes secrets. Elle était toujours très curieuse et elle n’hésitait pas à me questionner et à alimenter notre conversation. Jusqu’au moment où Madame Fenant me repris pour la deuxième fois.
-       Je vous ai déjà demandé de cesser ces bavardages Mademoiselle Lemaire ! Je n’en peux plus, cette fois vous viendrez me voir à la fin du cours !
Je craignais cette fois-ci la punition… Allait-elle oser me fesser et me déculotter qui plus est 
Le cours se terminait sans que je ne bouge une oreille. J’attendis que tous les élèves quittent la classe et je me présentais devant Mme Fenant.
-    "Veuillez m’excuser Madame, je vous promets que je cesserai tout bavardage à l’avenir, je pourrais d’ailleurs m’assoir au premier rang si vous le souhaitez."
-       -- Oui nous allons vous changer de place mais cette fois-ci vous êtes allée trop loin, je dois vous reprendre deux ou trois fois pour bavardage à chaque cours, c’est un manque de respect qui mérite une bonne fessée comme me l’a autorisé votre mère. Approchez-vous jeune fille !"
Mme Fenant me pointait le sol du doigt à se droite, j’étais apeurée, la porte de la classe était ouverte, tous mes camarades devaient être dans la salle de pause désormais mais je craignais que quelqu’un assiste à ma fessée.
-    "Allez approchez-vous jeune fille ! Sinon je signalerais à votre mère que vous avez tenté de résister. Je suis certaine qu’elle n’hésitera pas alors à doubler la correction !"
Je dus me résigner, une nouvelle fois les menaces de ce genre m’obligeaient à me soumette à la fessée, tout comme le faisait Anna et Nathalie, c’était maintenant Madame Fenant qui trouvait les mots magiques.
Subir cela à l’université par ma prof était une nouvelle limite, je me sentait humiliée, j’approchais et me courbais sous le bras de Madame Fenant espérant que la fessée soit courte et peu douloureuse. D’un geste elle souleva ma jupe et me déculotta. J’étais debout sur l’estrade les fesses à l’air prête à recevoir ma correction. Le spectacle était ridicule, sûrement irréel à notre époque dans une université.
Sa main claqua violemment une fesse puis l’autre. L’air que déplaçait la main de ma fesseuse léchait mon intimité et me faisait ressentir encore plus ma nudité. Le rythme était soutenu, une fesse puis l’autre, Madame Fenant devait avoir l’habitude de cuire des derrières, elle claquait méthodiquement mes fesses, déplaçant les coups du bas du dos jusqu’aux cuisses. Mon cul cuisait déjà, elle tapait moins fort que maman mais de manière plus soutenue.
Je ne pus m’empêcher de gémir et de crier, d’habitude j’arrive à rester plutôt silencieuse mais là c’en était trop ! Etre fessée par ma professeur, à l’université, déculottée, je n’arrivais pas à retenir mes sanglots, la honte m’envahissait. Cette fessée m’a marquée parce qu’elle avait lieu ailleurs qu’à la maison.
Certes j’en avais reçues à droite à gauche lors de mon enfance mais depuis ma majorité ça ne m’arrivait plus. Toute ma vie je m’en souviendrai, tout comme je me souviens que mes camarades de classe n’eurent pas vent de cette fessée. Quel soulagement… Madame Fenant s’était contentée d’une bonne fessée et c’était suffisant pour me calmer le reste de l’année, pas de mise au coin, je fus envoyée les fesses endolories au cours suivant à la fin de la pause de mes camarades.
Plusieurs m’observèrent curieusement quand je changeais de position sur la chaise pour soulager mon derrière mais c’était finalement passé inaperçu… Je me promettais de faire attention l’année prochaine… Madame Fenant sera encore mon professeur d’économie.


Cette peste de Nathalie entra enfin dans ma chambre pour vérifier que tout était bien en ordre et que j’étais prête à me coucher.
-    "Bonsoir Louise, je viens faire mon petit tour… J’espère que tout est en ordre je ne voudrais pas te flanquer une nouvelle fessée après celle que tu viens de recevoir, je l’ai entendue depuis ma chambre figure-toi !
-   --Oh arrêtes un peu tes sarcasmes et tes moqueries Nathalie ! lui lançais-je avec un air boudeur.
-    -- Pardon ??! Je te préviens je ne veux plus que tu me parles comme ça c’est compris ?"
Elle s’avança vers mon lit avec un air menaçant, alors je m’empressai de m’excuser en me disant que j’aurais ma vengeance. Je trouverai bien une idée un jour qui la fera se retrouver le cul à l’air fessée par maman ou Anna, peu importe. Elle peut compter là-dessus !
-    "Excuse-moi Nathalie, s’il te plaît… je viens d’être fessée devant notre nouvel arrivant j’ai été surprise et humiliée. S’il te plaît excuse-moi, j’ai eu ma dose pour ce soir…"
Contrairement à Maman et Anna, mes excuses mielleuses me permettaient parfois d’échapper à la punition de Nathalie, je pense qu’elle n’osait pas être trop sévère avec moi, j’étais quand même la fille de sa patronne…
-    "C’est bon pour cette fois-ci Louise, mais montre-moi ce derrière que je jette un œil !"
Je me mis sur le ventre et Nathalie abaissa mon drap jusqu’à mes mollets. Je sentais l’air frais absorber la chaleur de mon derrière encore en feu.
-   "Ohhhh ta maman ne t’a pas ratée ! Et tu dors nue ? Bon… je te comprends en fin de compte, il fait une chaleur à étouffer ici à l’étage, j’en fais tout autant. Tes fesses sont tout de même bien rouges je vais y appliquer un peu de pommade."
Je dois avouer que je ne m’opposais jamais à l’application de la pommade, celle-ci atténuait si bien la cuisson, cela refroidissait, apaisait les rougeurs d’un fessier cramoisi et meurtri par la fessée à main nue, ou pire après l’utilisation du martinet, de la brosse à cheveux ou de la ceinture qui étaient si souvent utilisés ici. Nathalie déposa une bonne noisette de pommade sur chaque fesse puis elle commença un petit massage circulaire pour bien la faire pénétrer dans ma peau meurtrie. Ses doigts glissaient sur mes fesses comme sur une patinoire, j’avais l’impression que la peau de mon derrière refroidissait et se détendait petit à petit.
A ce moment-là personne n’aurait pu me faire fuguer finalement… Le massage continuait doucement, la douleur s’estompait et je m’endormais… J’avais beau détester Nathalie, je m’imaginais étant une maîtresse massée par sa servante… tout l’inverse de la réalité, mais ce moment était agréable. Nathalie s’affairait en fait à remettre mon derrière en état pour une future fessée.
A moitié endormie je sentis Nathalie remonter le drap sur mon corps puis sortir de ma chambre sur la pointe de pieds.

Quelques minutes plus tard je fus finalement réveillée par un vacarme bien connu ! Je sursautais et il me fallut à peine quelques secondes pour comprendre ce qu’il se passait. Je ne sais pas ce qu’avait fait Maxime pour la mériter mais notre nouveau locataire étant en train de recevoir une bonne fessée déculotté !
J’imagine que c’était de la part de maman, à force de la recevoir j’étais capable de distinguer ne serait-ce qu’au son si la fesseuse était maman ou Anna. De toute façon cela ne pouvait pas être Nathalie, elle n’avait pas encore été présentée à Maxime. Cela ne pouvait pas être Anna non plus, elle rentrait chez elle le soir, elle habitait avec sa fille à quelques centaines de mètres de la ferme.
Le bruit s’arrêta puis repris à peine une minute après. J’entendais les fesses de mon voisin d’en face claquer sévèrement et de manière encore plus distincte. J’imagine que maman l’a allongé sur ses genoux sur son lit. Si c’est la première fessée qu’il reçoit je n’ose même pas imaginer tout ce qui doit lui passer par la tête en ce moment…
J’étais à la fois compatissante au son des tapes sur ses fesses mais à la fois curieuse de voir le tableau. Après tout ce petit salopard avait assisté dès son arrivée à ma fessée et avait sans doute bien lorgné sur mon postérieur ! Je sais bien que mon cul est très apprécié de la gente masculine, certains me vannent ouvertement à l’université ou me disent des choses que je préfère ignorer. Il n’aurait été que justice que je puisse en faire autant, que je puisse assister au spectacle.
La fessée continuait, le rythme était intense, les fesses de Maxime devaient être désormais dans un état déplorable, je restais dans mon lit de peur qu’on entende du mouvement dans ma chambre. De toute façon me disais-je, j’aurai l’occasion d’assister à une de ses prochaines fessées… Je n’en doute pas et peut être dès demain…
Je souriais bêtement dans mon lit, l’idée de voir ce jeune garçon cul nu fessé devant nous m’excitait quelque peu. La fessée ne prenait toujours pas fin, les claques s’enchaînaient encore et encore, maman n’y allait pas de main morte pour une première ! Je finissais par compatir, j’imaginais sa situation et sa douleur… Arriver ici seul, sans connaître qui que ce soit et à peine quelques heures après être déculotté et fessé par une inconnue ou presque… Le sentiment de compassion avait fini par prendre le pas sur l’excitation, si j’avais dû me lever ça aurait plutôt été pour soutenir Maxime, le cajoler, le réconforter…
J’avais beau être parfois piquante et désagréable, je le reconnaissais bien volontiers, voire peste, je n’avais qu’une seule envie à ce moment-là, attendre que maman sorte de sa chambre pour aller le consoler… La fessée cessa et je finis par me dire que Maxime ne serait pas enchanté de me voir débarquer, il devait sûrement espérer que cette première fessée soit passée inaperçue, je ne suis pas bête je sais ce que l’on pense dans ces cas-là, j’ai trop souvent vécu cette situation.
J’entendis maman dans le couloir se diriger vers sa chambre et je finis par m’endormir paisiblement.


Il y  a une suite. C'est le chapitre 4

Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 2


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Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK


2 commentaires:

  1. Bonjour Paul,

    Belles séances de fessées, cuisantes à souhait,ça claque mème à l'université!

    Notre amie Louise a vraiment l'oreille musicale et le sens du rythme...et quelle habitude de la fessée! Il faut croire qu'elle en reçoit souvent pour reconnaître la main de sa mère ou celle d'Anna rien qu'à la sonorité des claques sur une paire de fesses.
    A l'allure ou les corrections dégringolent, elle pourra peut être aussi identifier à la sonorité, le ou la, propriétaire d'un derrière en train de claquer.
    Comme le vin, on peut déguster à l'aveugle!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,
    Oui pour l'instant elle devine de qui il s'agit en fonction du lieu où ça se passe ;-)
    Merci pour le commentaire.
    Bonne lecture,
    Paul.

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