Première journée de travail
Par
chance le premier réveil et le petit déjeuner se passèrent sans encombre pour
moi. Marta entra dans ma chambre pour me réveiller à mon chevet, je pris cette
intrusion dans ma chambre pour éviter de réveiller les autres filles sur le
palier.
Je
fus envoyé à la douche et je retrouvai Marta pour boire un jus de fruit et
quelques tranches de pain à la confiture. Finalement je n’étais pas mécontent
de moi, j’étais bien éveillé et prêt à découvrir mon travail.
Petit
déjeuner achevé, Marta me montra où était le tracteur, la remorque, elle me fit
faire un essai avec le tracteur, ce n’était pas un problème pour moi ayant déjà
conduit quelques engins de chantier lors de quelques jobs d’été. Marta
paraissait surprise et finalement ravie de mon aisance à circuler le tracteur,
elle me félicita ce qui me remplit de fierté et de joie.
C’était
curieux, je me sentais un peu honteux face à elle quand je repensais à la
fessée d’hier soir mais ce matin je ressentais beaucoup de bonheur à recevoir
des louanges. Je n’avais pas ressenti cela au travail depuis … je n’avais au
final jamais ressenti cela de toute ma vie. Marta était stricte, elle m’avait
puni honteusement mais une grande admiration pour elle naissait en moi, sa
bienveillance m’enivrait. La fessée était peut être une punition nécessaire
pour s’accomplir et jouir d’une vie d’adulte, je commençais à me rendre compte
qu’elle avait peut-être un réel intérêt. Cela dit j’étais toujours mortifié à
l’idée d’être déculotté, exhibé devant Marta, Anna, Nathalie et la fessée en
public me paraissait inconcevable pour un adulte comme moi.
Tout
était en place pour que les employées démarrent la cueillette, le tracteur et
la remorque au bout des rangées de lavande les plus fleuries, les paniers vides
prêts à être distribuées aux employées, il n’y avait plus qu’à les attendre. –C’est
parfait mon petit Maxime, maintenant tu peux aller prendre un petit café en
attendant l’arrivée d’Anna et de nos 6 employées.
– Merci
cousine Marta, je ne dirais pas non à un petit café en effet.
– Tu
peux rejoindre la salle à manger, à cette heure Nathalie a dû le préparer. De mon
côté je pars en ville chez un grossiste en flacons et récipients, je ne serai
de retour que dans l’après-midi. Je te conseille d’écouter Anna au doigt et à
l’œil c’est bien compris ? Souviens-toi de tout ce que je t’ai dit hier
soir sinon tes fesses en subiront les conséquences, Anna ne sera pas plus
clémente avec toi qu’avec les autres…
Il
était 6h45, je rejoignais la salle à manger, alors que Marta montait dans sa
voiture, le soleil faisait son apparition à l’horizon, la journée allait être
belle.
En
entrant dans la pièce je saluais fièrement Anna et Louise, puis Anna me
présenta à Nathalie et Noémie, tout le monde souriait, surtout Louise. En
croisant le regard de Louise je ne pus m’empêcher de repenser à son derrière,
même cramoisi il offrait une vue tellement exquise. Puis je me rappelais la
fessée que m’avait flanquée Marta dans ma chambre avant de me coucher… Est-ce
que Louise avait entendu ma fessée, était-elle au courant que j’avais été
déculotté et fessé par sa mère ? Le rouge me montait aux joues, je
soupirai un bon coup puis je demandai poliment :
« Serait-il
possible de me joindre à vous pour prendre un petit café ?
– Bien
sûr Maxime, installe toi ici… »
Nathalie
écarta la chaise qui était à côté d’elle et me glissa une tasse de café. Nous
discutions du beau temps, de la région, de cousine Marta qui était bien
courageuse. Je remarquais que Louise et Noémie étaient vêtues d’une sorte de
combinaison une pièce. Sans doute que cette combinaison était imposée pour la
cueillette. Anna se leva brusquement pour attraper un vêtement sur la
commode et elle me le tendit :
« Maxime
voici une combinaison pour toi, dépêche-toi de l’enfiler s’il te plaît, ensuite
nous irons accueillir les employées
– Oui
Anna je vais aller enfiler ça tout de suite »
Alors
que j’allais m’engager vers ma chambre, Anna m’arrêta en chemin :
« Ôte ce jogging et ce t-shirt ici Maxime et enfile cette combinaison, nous n’avons
plus le temps !
– Mais
Anna… Je dois… Je…
– Je
ne veux pas entendre tes simagrées ! Tout le monde ici a déjà vu un homme
en slip, ton corps n’est pas différent et ne choquera personne ! C’est
compris ?
–Mais…
Je …
–Je
ne veux plus t’entendre ! En slip et enfile moi ça ! »
L’imbécile
que j’étais avait cru bon ce matin d’enfiler un jogging sans mettre de culotte,
mes fesses me faisaient encore mal et j’avais préféré me passer d’une culotte
pour le moment. Quelle situation inconfortable ! Je ne savais pas quoi
faire. Je devais trouver rapidement un moyen d’éviter une telle honte, me
retrouver cul nu ou le sexe exhibé devant ces quatre femmes et me couvrir de
ridicule, sans parler des traces présentes sur mes fesses. J’enlevais mon T-shirt
et entrepris alors de passer la combinaison au-dessus du jogging.
« Maxime,
je ne voudrais pas me fâcher dès ce matin avec toi, il va faire 32 degrés
aujourd’hui, cesse cet excès de pudeur et enlève-moi ce pantalon ! »
Je
fus bien obligé de partager mon problème et je trouvais une excuse bidon :
« Je
suis arrivé trop tard pour défaire ma valise hier soir et ce matin je n’ai
revêtu que ce jogging en sortant de la douche. Je suis nu Madame en dessous…
– Peu
m’importe nu ou en slip, cela t’apprendra, ce soir tu penseras à bien défaire
ta valise et demain à mettre un dessous.
– Mais
je ne vais quand même pas…
–C’est
la DERNIERE fois que je te le dis Maxime, enlève ce jogging et enfile-moi cette
combinaison, sinon je te l’enlève moi-même et je te mets une bonne fessée
devant tout le monde ! »
Anna
menaçait de sévir devant les trois jeunes filles et l’idée de me fesser moi un
homme de 26 ans était ouvertement annoncé devant elles ! Je sentais que je
rougissais d’un coup, mon cœur s’accélérait, je commençais à transpirer.
J’étais coincé, obligé de me soumettre aux ordres que me donnait Anna. Mes
mains tremblaient, je ne pouvais pas montrer mes fesses, mes spectatrices
auraient su que j’avais déjà pris une fessée déculottée.
Je
lançais des regards furtifs à Louise, Noémie et Nathalie qui restaient
silencieuses mais arboraient un léger sourire. On aurait dit que ces trois
jeunes filles n’avaient aucune pitié pour moi. Elles n’avaient aucune gêne à me
fixer du regard. Je n’hésitai plus une seconde de peur de subir une humiliation
encore plus importante et je baissai mon pantalon de jogging face à elles.
« Très
bien, tu as de la chance, je ne suis pas toujours aussi clémente, c’est bien
parce que c’est ton premier jour. Tu as intérêt à ne plus discuter mes ordres
Maxime sinon tu sais ce qu’il t’en coutera. Même chose pour toi Noémie !
Plus de caprices concernant ce qui t’es servi au petit déjeuner, me suis-je
bien fait comprendre ? »
Je
finissais d’enfiler ma combinaison, Nathalie me tournait le dos et avait fini
par ne plus regarder le spectacle que j’offrais, Louise elle était face à moi,
elle n’en ratait pas une miette. J’imagine qu’au fond d’elle elle m’en voulait
d’avoir été présent hier quand elle recevait sa correction. J’avais eu tout le
loisir d’assister à sa tenue au coin, au rougissement de ses fesses, à son
humiliation d’être fessée en temps qu’adulte… Je sentais mon sexe gonfler alors
j’accélérai le mouvement au maximum au point d’accrocher une jambe dans ma
combinaison et d’être sur le point de tomber. Je reprenais mon équilibre et
parvins à cacher mon intimité et ma nudité juste à temps. Revêtu de ma
combinaison blanche je tentais de retrouver un peu de sérénité et de faire
comme si rien ne s’était passé, je repris ma tasse de café.
« Noémie
tu vas me finir cette tartine, je me moque que la confiture n’est pas à ton
goût. Tu as besoin de prendre des forces et de te remplir le ventre pour tenir
jusqu’au déjeuner.
– Excusez-moi
madame mais je suis allergique aux abricots…
– Ah
bon ?? Et comment se fait-il que ta maman ne l’ait pas mentionné ?
Peut-être n’es- tu pas au courant mais ta maman nous a fait un courrier avant
ta venue, il était uniquement mentionné que tu étais allergique au paprika…
Alors jeune sotte, soutiendrais-tu ce mensonge ?
– Mais
maman ne…
– Cesse
donc de t’enfoncer ! Et viens ici ! Tout de suite ! »
Tout
en restant assise sur sa chaise, Anna se recula d’un bon mettre de la table à
manger, son regard noir ne lâchait plus celui de Noémie. Tout le monde avait
compris que Noémie allait recevoir une bonne correction mais la fautive ne
bougeait pas, apeurée et j’imagine bloquée par l’idée de dévoiler son intimité
à des inconnus dont je faisais partie.
« Si
je dois me lever Noémie, je te préviens que tu reprendras une fessée ce soir et
une demain matin avant le petit déjeuner pour te rappeler qu’il est inutile de
faire la difficile à table. »
Toujours
scellée sur sa chaise Noémie rougissait, elle peinait à sortir le moindre mot
et à esquisser le moindre mouvement. Anna se leva, attrapa la jeune fille par
le bras, s’assit sur le canapé du salon situé à quelques mètres et l’allongea
en travers de ses genoux. En quelques secondes la pauvre jeune fille s’était
retrouvée dans cette position humiliante, enfantine.
Anna
ne perdait plus de temps, elle avait décidé d’aller jusqu’au bout, elle ne
sollicitait même plus Noémie verbalement, cela s’était avéré inutile jusque-là.
La fermeture éclair de la combinaison fut descendue, puis en quelques secondes,
la combinaison abaissée jusqu’aux mollets de la jeune fille. Noémie toujours
immobile, tétanisée, se retrouvait alors en petite culotte sur les genoux de sa
punisseuse. Anna s’occupa de faire glisser cette dernière barrière, mais enfin
Noémie réagissait, de sa main droite elle tenta d’attraper l’élastique de sa
culotte mais Anna d’un geste sûr et précis attrapa son poignet en vol et replia
le bras de la punie dans le creux de son dos.
« Il
est trop tard Noémie, ici c’est bien cul nu que les petites menteuses reçoivent
leur fessée. Si tu te permets à l’avenir de contester ton déculottage je
n’hésiterai pas à te cingler les fesses avec ma ceinture ! Est-ce bien
compris ? »
Anna
déculotta Noémie d’une seule main, les fesses encore légèrement rosées de
Noémie rebondirent l’une contre l’autre suite au mouvement brusque du
déculottage.
« J’avais
oublié que Marta t’avait déjà fessée hier soir, je vais m’empresser de raviver
les souvenirs de cette première fessée, en espérant que tu comprennes à
l’avenir que tu dois manger ce qui t’es servi et que le mensonge est sévèrement
puni. Les caprices d’une jeune fille ne sont pas les bienvenus ! »
Ses
fesses faisaient peine à voir, on aurait dit qu’elles exprimaient toute la
terreur que ressentait Noémie. Ce postérieur sans défense, légèrement cambré
par la position occupée sur les jambes de notre jolie responsable, était
désormais prêt à recevoir la fessée. Et quelle fessée !
La
première claque nous surpris tous dans la salle ! Evidemment la plus
exposée dû être encore plus surprise que Louise, Nathalie et moi. Le cri
qu’elle laissa échapper masqua nos réactions. Anna enchaîna avec une seconda
claque sur l’autre fesse, puis la troisième, la quatrième, la fessée était
lancée, les fesses de Noémie accusaient le coup à chaque heurt. Son derrière se
dandinait et ses cris aigus se calaient au rythme de la fessée. Anna y mettait
du cœur, elle ne lâchait pas du regard ce cul qu’elle colorait, sa main
embrassait parfaitement la courbe du postérieur de Noémie, accentuant le son
sec et lourd qui résonnait autour de nous.
Nathalie
souriait, elle ne ratait pas une miette du spectacle, mais Louise et moi
fermions parfois les yeux, tout comme moi, j’imagine qu’elle s’identifiait à
Noémie, qu’elle craignait de se retrouver punie telle une enfant, obligée
d’exposer sa nudité et d’offrir ses fesses nues à Anna qui avait toute autorité
pour l’exiger au moindre écart. Quelles que soient les personnes présentes, le
ou la fautive était déculotté et corrigé sans considération pour sa pudeur et
sa fierté. Se faire déculotter, offrir à la vue de tous ses fesses, se
soumettre à la fessée me paraissait être une situation des plus honteuses, des
plus rabaissantes pour les jeunes adultes que nous étions.
Anna
fit une petite pause et demanda à Nathalie de lui donner la tartine de Noémie.
Elle prit la tartine et la mit dans la bouche de Noémie.
« Tu
vas me terminer cette tartine là sur mes genoux, exhibant à tous tes fesses
punies telle une petite fille. »
Quelqu’un
frappa à la porte et l’ouvrit
« Bonj….
Bonjour Madame »
La
surprise de voir Noémie les fesses à l’air l’interloqua.
« Nous
sommes toutes arrivées, prêtes à démarrer la cueillette » fit une ouvrière
en passant sa tête dans l’ouverture de la porte.
– Je
suis désolée mais votre jeune collègue fait des caprices et n’a toujours pas terminé
son petit déjeuner, nous allons devoir démarrer en retard à cause d’elle. Le
temps de travail sera décalé en conséquence. Désolée pour vous mais je ne
pouvais faire autrement que de sévir et fesser ce derrière au moment où la
faute a été commise… Vous connaissez bien le principe ma chère Maude. »
Je
ne sais pas si ce sont les derniers mots que prononça Anna ou le fait qu’une
personne de plus assista à cette scène humiliante pour Noémie mais d’un coup
elle mit en bouche sa tartine, mastiqua puis parvint à l’avaler quelques
secondes plus tard. Lorsque la tartine fut complètement avalée, Anna se remit à
martyriser les fesses pourtant déjà bien rouges de Noémie.
Maude
restait là, sans voix, elle restait immobile au pied de la porte et observait
le derrière de Noémie recevoir ce nouveau traitement. Noémie se mit à pleurer,
sans doute que cette fessée était celle de trop pour elle, elle avait fait un
effort pour surpasser son dégoût pour la confiture d’abricot mais malgré cela
son postérieur subissait à nouveau les sévices de sa punisseuse. Après une
longue séries de coups sur ce postérieur cramoisi, Anna mit fin à la fessée, le
but était atteint, la tartine avait été avalée et Noémie sanglotait de manière
très prononcée. Anna la reculotta délicatement et lui glissa à l’oreille :
« Ce
soir tu viendras me voir à la fin de la journée, maintenant cesse de pleurer et
remonte cette combinaison, il est temps que tout le monde se mette au travail. »
J’assistais
déjà à une deuxième fessée déculottée, mais cette fois-ci malgré le plaisir de
découvrir l’intimité de cette jolie jeune femme, d’assister à la danse de son
postérieur rythmée par la fessée qu’appliquait Anna, j’avais surtout ressenti
de la compassion pour Noémie.
Il y a une suite, le chapitre 5
Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 3
Et si je me fendais d'un petit commentaire ?
C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
Bonjour, Paul
RépondreSupprimerBonne fessée de mise en forme dès le matin avent d'aller cueillir la lavande. Noémie se fait cueillir le derrière à froid pour une stupide histoire de confiture.
A la ferme du bonheur, toutes les occasions sont bonnes pour se prendre une fessée. On entend chanter les cigales et crépiter les derrières! Après cette excellente déculottée, la température des fesses de Noémie doit certainement dépasser les 32° atmosphérique de la chaleur estivale.
L'atmosphère à la fois conviviale et disciplinaire de cette petite communauté est bien rendu. Certains détails descriptifs apportent une de l'originalité au texte. Comme les fesses de Noémie qui rebondissent " l'une contre l'autre suite au mouvement brusque du déculottage "... On imagine facilement, charmant et bien observé.
On attend le retour retentissant de Marta!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMerci pour vos commentaires, je suis ravi que l'atmosphère soit bien rendue.
En effet il fait chaud et ça claque souvent :-)
Le mouvement brusque du déculottage peut donner de charmantes visions oui, merci de l'avoir fait remarquer.
Bonnes lectures,
Paul.