mercredi 6 février 2019

Recadrage en Provence - chapitre 4

Première journée de travail

Par chance le premier réveil et le petit déjeuner se passèrent sans encombre pour moi. Marta entra dans ma chambre pour me réveiller à mon chevet, je pris cette intrusion dans ma chambre pour éviter de réveiller les autres filles sur le palier.
Je fus envoyé à la douche et je retrouvai Marta pour boire un jus de fruit et quelques tranches de pain à la confiture. Finalement je n’étais pas mécontent de moi, j’étais bien éveillé et prêt à découvrir mon travail.

Petit déjeuner achevé, Marta me montra où était le tracteur, la remorque, elle me fit faire un essai avec le tracteur, ce n’était pas un problème pour moi ayant déjà conduit quelques engins de chantier lors de quelques jobs d’été. Marta paraissait surprise et finalement ravie de mon aisance à circuler le tracteur, elle me félicita ce qui me remplit de fierté et de joie.
C’était curieux, je me sentais un peu honteux face à elle quand je repensais à la fessée d’hier soir mais ce matin je ressentais beaucoup de bonheur à recevoir des louanges. Je n’avais pas ressenti cela au travail depuis … je n’avais au final jamais ressenti cela de toute ma vie. Marta était stricte, elle m’avait puni honteusement mais une grande admiration pour elle naissait en moi, sa bienveillance m’enivrait. La fessée était peut être une punition nécessaire pour s’accomplir et jouir d’une vie d’adulte, je commençais à me rendre compte qu’elle avait peut-être un réel intérêt. Cela dit j’étais toujours mortifié à l’idée d’être déculotté, exhibé devant Marta, Anna, Nathalie et la fessée en public me paraissait inconcevable pour un adulte comme moi.
Tout était en place pour que les employées démarrent la cueillette, le tracteur et la remorque au bout des rangées de lavande les plus fleuries, les paniers vides prêts à être distribuées aux employées, il n’y avait plus qu’à les attendre. –C’est parfait mon petit Maxime, maintenant tu peux aller prendre un petit café en attendant l’arrivée d’Anna et de nos 6 employées.
– Merci cousine Marta, je ne dirais pas non à un petit café en effet.
– Tu peux rejoindre la salle à manger, à cette heure Nathalie a dû le préparer. De mon côté je pars en ville chez un grossiste en flacons et récipients, je ne serai de retour que dans l’après-midi. Je te conseille d’écouter Anna au doigt et à l’œil c’est bien compris ? Souviens-toi de tout ce que je t’ai dit hier soir sinon tes fesses en subiront les conséquences, Anna ne sera pas plus clémente avec toi qu’avec les autres…
Il était 6h45, je rejoignais la salle à manger, alors que Marta montait dans sa voiture, le soleil faisait son apparition à l’horizon, la journée allait être belle.
En entrant dans la pièce je saluais fièrement Anna et Louise, puis Anna me présenta à Nathalie et Noémie, tout le monde souriait, surtout Louise. En croisant le regard de Louise je ne pus m’empêcher de repenser à son derrière, même cramoisi il offrait une vue tellement exquise. Puis je me rappelais la fessée que m’avait flanquée Marta dans ma chambre avant de me coucher… Est-ce que Louise avait entendu ma fessée, était-elle au courant que j’avais été déculotté et fessé par sa mère ? Le rouge me montait aux joues, je soupirai un bon coup puis je demandai poliment :
« Serait-il possible de me joindre à vous pour prendre un petit café ?
– Bien sûr Maxime, installe toi ici… »
Nathalie écarta la chaise qui était à côté d’elle et me glissa une tasse de café. Nous discutions du beau temps, de la région, de cousine Marta qui était bien courageuse. Je remarquais que Louise et Noémie étaient vêtues d’une sorte de combinaison une pièce. Sans doute que cette combinaison était imposée pour la cueillette. Anna se leva brusquement pour attraper un vêtement sur la commode et elle me le tendit :
« Maxime voici une combinaison pour toi, dépêche-toi de l’enfiler s’il te plaît, ensuite nous irons accueillir les employées
– Oui Anna je vais aller enfiler ça tout de suite »
Alors que j’allais m’engager vers ma chambre, Anna m’arrêta en chemin :
« Ôte ce jogging et ce t-shirt ici Maxime et enfile cette combinaison, nous n’avons plus le temps !
– Mais Anna… Je dois… Je…
– Je ne veux pas entendre tes simagrées ! Tout le monde ici a déjà vu un homme en slip, ton corps n’est pas différent et ne choquera personne ! C’est compris ?
–Mais… Je …
–Je ne veux plus t’entendre ! En slip et enfile moi ça ! »
L’imbécile que j’étais avait cru bon ce matin d’enfiler un jogging sans mettre de culotte, mes fesses me faisaient encore mal et j’avais préféré me passer d’une culotte pour le moment. Quelle situation inconfortable ! Je ne savais pas quoi faire. Je devais trouver rapidement un moyen d’éviter une telle honte, me retrouver cul nu ou le sexe exhibé devant ces quatre femmes et me couvrir de ridicule, sans parler des traces présentes sur mes fesses. J’enlevais mon T-shirt et entrepris alors de passer la combinaison au-dessus du jogging.
« Maxime, je ne voudrais pas me fâcher dès ce matin avec toi, il va faire 32 degrés aujourd’hui, cesse cet excès de pudeur et enlève-moi ce pantalon ! »
Je fus bien obligé de partager mon problème et je trouvais une excuse bidon :
« Je suis arrivé trop tard pour défaire ma valise hier soir et ce matin je n’ai revêtu que ce jogging en sortant de la douche. Je suis nu Madame en dessous…
– Peu m’importe nu ou en slip, cela t’apprendra, ce soir tu penseras à bien défaire ta valise et demain à mettre un dessous.
– Mais je ne vais quand même pas…
–C’est la DERNIERE fois que je te le dis Maxime, enlève ce jogging et enfile-moi cette combinaison, sinon je te l’enlève moi-même et je te mets une bonne fessée devant tout le monde ! »
Anna menaçait de sévir devant les trois jeunes filles et l’idée de me fesser moi un homme de 26 ans était ouvertement annoncé devant elles ! Je sentais que je rougissais d’un coup, mon cœur s’accélérait, je commençais à transpirer. J’étais coincé, obligé de me soumettre aux ordres que me donnait Anna. Mes mains tremblaient, je ne pouvais pas montrer mes fesses, mes spectatrices auraient su que j’avais déjà pris une fessée déculottée.
Je lançais des regards furtifs à Louise, Noémie et Nathalie qui restaient silencieuses mais arboraient un léger sourire. On aurait dit que ces trois jeunes filles n’avaient aucune pitié pour moi. Elles n’avaient aucune gêne à me fixer du regard. Je n’hésitai plus une seconde de peur de subir une humiliation encore plus importante et je baissai mon pantalon de jogging face à elles.
« Très bien, tu as de la chance, je ne suis pas toujours aussi clémente, c’est bien parce que c’est ton premier jour. Tu as intérêt à ne plus discuter mes ordres Maxime sinon tu sais ce qu’il t’en coutera. Même chose pour toi Noémie ! Plus de caprices concernant ce qui t’es servi au petit déjeuner, me suis-je bien fait comprendre ? »
Je finissais d’enfiler ma combinaison, Nathalie me tournait le dos et avait fini par ne plus regarder le spectacle que j’offrais, Louise elle était face à moi, elle n’en ratait pas une miette. J’imagine qu’au fond d’elle elle m’en voulait d’avoir été présent hier quand elle recevait sa correction. J’avais eu tout le loisir d’assister à sa tenue au coin, au rougissement de ses fesses, à son humiliation d’être fessée en temps qu’adulte… Je sentais mon sexe gonfler alors j’accélérai le mouvement au maximum au point d’accrocher une jambe dans ma combinaison et d’être sur le point de tomber. Je reprenais mon équilibre et parvins à cacher mon intimité et ma nudité juste à temps. Revêtu de ma combinaison blanche je tentais de retrouver un peu de sérénité et de faire comme si rien ne s’était passé, je repris ma tasse de café.
« Noémie tu vas me finir cette tartine, je me moque que la confiture n’est pas à ton goût. Tu as besoin de prendre des forces et de te remplir le ventre pour tenir jusqu’au déjeuner.
– Excusez-moi madame mais je suis allergique aux abricots…
– Ah bon ?? Et comment se fait-il que ta maman ne l’ait pas mentionné ? Peut-être n’es- tu pas au courant mais ta maman nous a fait un courrier avant ta venue, il était uniquement mentionné que tu étais allergique au paprika… Alors jeune sotte, soutiendrais-tu ce mensonge ?
– Mais maman ne…
– Cesse donc de t’enfoncer ! Et viens ici ! Tout de suite ! »
Tout en restant assise sur sa chaise, Anna se recula d’un bon mettre de la table à manger, son regard noir ne lâchait plus celui de Noémie. Tout le monde avait compris que Noémie allait recevoir une bonne correction mais la fautive ne bougeait pas, apeurée et j’imagine bloquée par l’idée de dévoiler son intimité à des inconnus dont je faisais partie.
« Si je dois me lever Noémie, je te préviens que tu reprendras une fessée ce soir et une demain matin avant le petit déjeuner pour te rappeler qu’il est inutile de faire la difficile à table. »
Toujours scellée sur sa chaise Noémie rougissait, elle peinait à sortir le moindre mot et à esquisser le moindre mouvement. Anna se leva, attrapa la jeune fille par le bras, s’assit sur le canapé du salon situé à quelques mètres et l’allongea en travers de ses genoux. En quelques secondes la pauvre jeune fille s’était retrouvée dans cette position humiliante, enfantine.
Anna ne perdait plus de temps, elle avait décidé d’aller jusqu’au bout, elle ne sollicitait même plus Noémie verbalement, cela s’était avéré inutile jusque-là. La fermeture éclair de la combinaison fut descendue, puis en quelques secondes, la combinaison abaissée jusqu’aux mollets de la jeune fille. Noémie toujours immobile, tétanisée, se retrouvait alors en petite culotte sur les genoux de sa punisseuse. Anna s’occupa de faire glisser cette dernière barrière, mais enfin Noémie réagissait, de sa main droite elle tenta d’attraper l’élastique de sa culotte mais Anna d’un geste sûr et précis attrapa son poignet en vol et replia le bras de la punie dans le creux de son dos.
« Il est trop tard Noémie, ici c’est bien cul nu que les petites menteuses reçoivent leur fessée. Si tu te permets à l’avenir de contester ton déculottage je n’hésiterai pas à te cingler les fesses avec ma ceinture ! Est-ce bien compris ? »
Anna déculotta Noémie d’une seule main, les fesses encore légèrement rosées de Noémie rebondirent l’une contre l’autre suite au mouvement brusque du déculottage.
« J’avais oublié que Marta t’avait déjà fessée hier soir, je vais m’empresser de raviver les souvenirs de cette première fessée, en espérant que tu comprennes à l’avenir que tu dois manger ce qui t’es servi et que le mensonge est sévèrement puni. Les caprices d’une jeune fille ne sont pas les bienvenus ! »
Ses fesses faisaient peine à voir, on aurait dit qu’elles exprimaient toute la terreur que ressentait Noémie. Ce postérieur sans défense, légèrement cambré par la position occupée sur les jambes de notre jolie responsable, était désormais prêt à recevoir la fessée. Et quelle fessée !
La première claque nous surpris tous dans la salle ! Evidemment la plus exposée dû être encore plus surprise que Louise, Nathalie et moi. Le cri qu’elle laissa échapper masqua nos réactions. Anna enchaîna avec une seconda claque sur l’autre fesse, puis la troisième, la quatrième, la fessée était lancée, les fesses de Noémie accusaient le coup à chaque heurt. Son derrière se dandinait et ses cris aigus se calaient au rythme de la fessée. Anna y mettait du cœur, elle ne lâchait pas du regard ce cul qu’elle colorait, sa main embrassait parfaitement la courbe du postérieur de Noémie, accentuant le son sec et lourd qui résonnait autour de nous.
Nathalie souriait, elle ne ratait pas une miette du spectacle, mais Louise et moi fermions parfois les yeux, tout comme moi, j’imagine qu’elle s’identifiait à Noémie, qu’elle craignait de se retrouver punie telle une enfant, obligée d’exposer sa nudité et d’offrir ses fesses nues à Anna qui avait toute autorité pour l’exiger au moindre écart. Quelles que soient les personnes présentes, le ou la fautive était déculotté et corrigé sans considération pour sa pudeur et sa fierté. Se faire déculotter, offrir à la vue de tous ses fesses, se soumettre à la fessée me paraissait être une situation des plus honteuses, des plus rabaissantes pour les jeunes adultes que nous étions.
Anna fit une petite pause et demanda à Nathalie de lui donner la tartine de Noémie. Elle prit la tartine et la mit dans la bouche de Noémie.
« Tu vas me terminer cette tartine là sur mes genoux, exhibant à tous tes fesses punies telle une petite fille. »
Quelqu’un frappa à la porte et l’ouvrit
« Bonj…. Bonjour Madame »
La surprise de voir Noémie les fesses à l’air l’interloqua.
« Nous sommes toutes arrivées, prêtes à démarrer la cueillette » fit une ouvrière en passant sa tête dans l’ouverture de la porte.
– Je suis désolée mais votre jeune collègue fait des caprices et n’a toujours pas terminé son petit déjeuner, nous allons devoir démarrer en retard à cause d’elle. Le temps de travail sera décalé en conséquence. Désolée pour vous mais je ne pouvais faire autrement que de sévir et fesser ce derrière au moment où la faute a été commise… Vous connaissez bien le principe ma chère Maude. »
Je ne sais pas si ce sont les derniers mots que prononça Anna ou le fait qu’une personne de plus assista à cette scène humiliante pour Noémie mais d’un coup elle mit en bouche sa tartine, mastiqua puis parvint à l’avaler quelques secondes plus tard. Lorsque la tartine fut complètement avalée, Anna se remit à martyriser les fesses pourtant déjà bien rouges de Noémie.
Maude restait là, sans voix, elle restait immobile au pied de la porte et observait le derrière de Noémie recevoir ce nouveau traitement. Noémie se mit à pleurer, sans doute que cette fessée était celle de trop pour elle, elle avait fait un effort pour surpasser son dégoût pour la confiture d’abricot mais malgré cela son postérieur subissait à nouveau les sévices de sa punisseuse. Après une longue séries de coups sur ce postérieur cramoisi, Anna mit fin à la fessée, le but était atteint, la tartine avait été avalée et Noémie sanglotait de manière très prononcée. Anna la reculotta délicatement et lui glissa à l’oreille :
« Ce soir tu viendras me voir à la fin de la journée, maintenant cesse de pleurer et remonte cette combinaison, il est temps que tout le monde se mette au travail. »
J’assistais déjà à une deuxième fessée déculottée, mais cette fois-ci malgré le plaisir de découvrir l’intimité de cette jolie jeune femme, d’assister à la danse de son postérieur rythmée par la fessée qu’appliquait Anna, j’avais surtout ressenti de la compassion pour Noémie.


Il y  a une suite, le chapitre 5

Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 3


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Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

2 commentaires:

  1. Bonjour, Paul
    Bonne fessée de mise en forme dès le matin avent d'aller cueillir la lavande. Noémie se fait cueillir le derrière à froid pour une stupide histoire de confiture.
    A la ferme du bonheur, toutes les occasions sont bonnes pour se prendre une fessée. On entend chanter les cigales et crépiter les derrières! Après cette excellente déculottée, la température des fesses de Noémie doit certainement dépasser les 32° atmosphérique de la chaleur estivale.

    L'atmosphère à la fois conviviale et disciplinaire de cette petite communauté est bien rendu. Certains détails descriptifs apportent une de l'originalité au texte. Comme les fesses de Noémie qui rebondissent " l'une contre l'autre suite au mouvement brusque du déculottage "... On imagine facilement, charmant et bien observé.
    On attend le retour retentissant de Marta!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Bonjour Ramina,

    Merci pour vos commentaires, je suis ravi que l'atmosphère soit bien rendue.
    En effet il fait chaud et ça claque souvent :-)
    Le mouvement brusque du déculottage peut donner de charmantes visions oui, merci de l'avoir fait remarquer.

    Bonnes lectures,
    Paul.

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