Une nouvelle consultation par courriel auprès du Docteur Legendre. Noémie fait part d'un problème qui a dû arriver plus d'une fois. Je vous laisse le découvrir en lisant leurs échanges.
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi
21 janvier 2019 18:14:56
Objet: est-ce
dans vos cordes ?
Docteur Legendre,
Je m’adresse à vous, faute
d’avoir trouvé une autre personne avec qui discuter de mon problème.
Je ne sais
pas si cela entrera dans ce à quoi vous voulez répondre. Si ce n’est pas le
cas, ne me répondez pas. Si je n’ai pas de vos nouvelles dans les jours qui viennent, je comprendrai.
J’ai trouvé vos coordonnées
sur internet, un forum où il était question de l’infidélité masculine. Une
personne disait qu’elle avait utilisé vos méthodes et que cela avait
admirablement bien fonctionné. Elle n’en disait pas plus. J’en suis arrivé à
chercher à l’extérieur des solutions à mon problème. Etes-vous la bonne
personne ?
Peut-être faut-il que je vous décrive le contexte afin que vous compreniez mon problème. Je m’appelle Noémie et j’ai
un peu plus de trente-eux ans. Je vis avec Jean-Claude, mon compagnon qui a
deux ans de moins que moi. Notre vie s’annonçait sans nuage jusqu’à la semaine
dernière.
Peut-être faut-il d’abord
vous expliquer que Jean-Claude et moi nous avons fait nos études ensemble dans
une grande école de commerce dont je tairai le nom pour des raisons de
confidentialité. Nous travaillons maintenant tous deux dans l’entreprise de mon
père. Je suis la responsable des ressources humaines et Jean-Claude est
commercial. Je fais donc partie du comité de direction alors que lui est
simplement cadre. Je suis en quelque sorte son chef, indirectement certes, mais je
suis placée plus haut que lui dans l’organigramme.
J’ai appris, incidemment ce week-end
dernier, que Jean-Claude avait eu une liaison avec la jeune femme qui habite à
l’étage au-dessus du nôtre, une de mes très bonnes amies en plus. Je ne rentre pas dans les détails, ils ont peu d'importance pour ce dont je veux vous entretenir. Apparemment,
ce fut assez ponctuel, mais suffisamment abouti pour qu’ils aient couché
ensemble, deux ou trois fois semble-t-il, une liaison purement charnelle, rien d'affectif.
Je suis assez
traditionaliste en matière de mœurs, mais ce qui me gêne le plus, c’est que
nous nous étions juré fidélité tant que nous serions ensemble, même si nous ne
sommes pas officiellement mariés. Pour moi, la confiance était rompue.
J’ai donc confronté
Jean-Claude aux éléments factuels dont je dispose. Il s’est troublé tout de
suite. Je crois qu’il ne s’attendait pas à ce que je sois au courant et je l’ai
pris au dépourvu.
Il a essayé de nier, mais si
maladroitement qu’il s’est enfoncé à chaque phrase, me confortant dans mes
convictions. J’ai mis dans la balance la fin de notre relation et le travail
qu’il occupait dans la société de mon père, le sommant d’avouer. Après quelques
menaces, il s’est rendu à l’évidence et il a confessé sa faute.
Je ne lui ai pas adressé la
parole pendant 24 heures. Le lendemain soir, je lui ai dit que je n’acceptais
de continuer à vivre avec lui que s’il acceptait la sanction que je déciderai
de lui imposer. Il a essayé de savoir ce que j’envisageais, mais je ne lui ai
rien dit. Il a fini par accepter, visiblement à contrecœur.
J’ai réfléchi depuis et je suis arrivée à la conclusion que je
devais prendre des mesures pour que ce genre d’écart ne se reproduise plus.
J’ai donc adopté une solution radicale. J’envisage de lui imposer une cage de
chasteté. J’en ai commandé une sur internet. Elle doit être livrée dans
quelques jours.
Pensez-vous que ce soit une bonne solution ?
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Mardi 22 janvier 2019 21:37:12
Objet
: Re: est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Votre témoignage m’a émue. Je ne sais pas s’il
rentre dans mon périmètre de compétence, mais je sens que vous avez besoin d’un
avis de femme à femme. C’est ce que je vais m’efforcer de faire.
Je ne suis pas une grande spécialiste de la chasteté
masculine. Ce n’est donc pas sous cet angle que je prendrai la question que
vous me posez. Par contre, je m’y connais un peu en matière de punition. Je
vais donc vous répondre sur ce terrain.
Je comprends que vous envisagiez une punition.
Jean-Claude doit être sanctionné pour ce qu’il a fait. C’est une attitude
irresponsable vis-à-vis de vous et de son activité professionnelle. Il a rompu son engagement. Il est normal qu'il en soit puni.
Je n’ai pas d’avis particulier sur la nature de la
punition que vous envisagez, mais elle est directement en rapport avec ce qui
l’a provoquée. C’est un gros avantage qui devrait en augmenter la portée. En
quelque sorte, Jean-Claude sera puni par là où il a fauté. C’est donc un choix
judicieux qui devrait l’amener à réfléchir s’il envisage de récidiver.
Soyez Ferme !
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mardi
22 janvier 2019 23:56:01
Objet: Re:
Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Je vous remercie de vos encouragements. Je crois
absolument nécessaire que Jean-Claude apprenne suite à cet épisode à ne plus
jamais recommencer. Je n’admets pas qu’il ait pu me tromper de cette façon.
Il doit en payer le prix. Je veux qu’il sente que je
le punis comme un petit garçon irresponsable, ce qu’il est très souvent.
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Mercredi 23 janvier 2019 17:57:54
Objet
: Re: Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
N*****,
La dernière phrase de votre courriel m’a intriguée.
Vous parlez de l’irresponsabilité de Jean-Claude. Est-ce devenir trop intrusive
que de vous demander plus d’explication ?
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi
23 janvier 2019 20:45:22
Objet: Re:
Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Votre question n’est pas du tout indiscrète. Je suis
plutôt contente que vous abordiez le sujet. Je ne sais pas si c’est un effet de
ma tolérance limitée, mais j’aurais bien d’autres choses à reprocher à
Jean-Claude.
Il fait partie de ces hommes qui considèrent que le
travail domestique ne les concerne pas. Je lui en impose régulièrement, mais
cela m’oblige à me fâcher, à élever la voix et il ne le fait qu’à reculons.
Il est souvent de mauvaise foi. Quand il est en
difficulté dans une conversation, et pas seulement avec loi, il est capable
d’utiliser les pires arguments. J’ai parfois l’impression d’avoir un adolescent
rebelle face à moi. Rebelle et insolent.
Vous voyez, c’est ce genre de chose que j’aimerai
voir disparaître chez Jean-Claude, mais nous en sommes loin.
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Vendredi 25 janvier 2019 21:05:12
Objet
: Re: Re: Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Considéreriez-vous que je fais fausse route en
disant que vous souhaiteriez pouvoir mieux contrôler les faits et gestes de
Jean-Claude ?
Cela expliquerait le recours à la cage de chasteté.
Pensez-vous que ce sera suffisant ?
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi
23 janvier 2019 20:45:22
Objet: Re:
Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Je ne dirai pas que je veuille mieux le contrôler,
mais s’il pouvait cesser ses attitudes frivoles et accepter de réfléchir avant
d’agir sans se soucier des conséquences de ses actes et de laisser aux autres
le soin de réparer les dégâts causés, de discuter la moindre de mes décisions
mais de refuser de les prendre lui… Je parle de lui comme d’un adolescent.
C’est peut-être de cela qui m’horripile, j’ai
parfois l’impression de vivre avec un adolescent, voire parfois un enfant, et
non avec un adulte. Un mélange entre un petit garçon et un homme qui croit que
les aspects quotidiens ne le regardent pas, mais râlant au moindre problème.
C’est agaçant. A la réflexion, le mot est un peu faible.
C’est d’autant plus étonnant qu’il est plutôt un
professionnel apprécié.
Oui, vous avez raison. J’ai envie que cela change et
parfois, souvent, j’ai envie qu’il obéisse sans discuter quand je lui dis
quelque chose. Cela n’arrive quasiment jamais. les tensions dans notre couple sont de plus en plus fréquentes. Il considère que mes exigences sont tatillonnes mais il montre son mécontentement si le quotidien n'est pas parfaitement réglé.
Je sais que sa mère est toujours passée derrière lui pour assurer les tâches quotidiennes aussi banales que ranger ses affaires, tenir sa chambre en ordre, arranger les relations avec les personnes avec qui il s'était disputé ou avec qui il avait été insolent... Je ne ferai pas la même chose et j'ai parfois l'impression que c'est ce qu'il attend de moi.
Au début de notre cohabitation, son inertie était acceptable. J'ai naturellement compensé ses insuffisances, sans vraiment m'en rendre compte, mais il en fait de moins en moins. Il a toujours quelque chose de plus urgent à faire que prendre en charge les aspects d'entretien de notre intérieur qui lui reviennent.
Je sais que sa mère est toujours passée derrière lui pour assurer les tâches quotidiennes aussi banales que ranger ses affaires, tenir sa chambre en ordre, arranger les relations avec les personnes avec qui il s'était disputé ou avec qui il avait été insolent... Je ne ferai pas la même chose et j'ai parfois l'impression que c'est ce qu'il attend de moi.
Au début de notre cohabitation, son inertie était acceptable. J'ai naturellement compensé ses insuffisances, sans vraiment m'en rendre compte, mais il en fait de moins en moins. Il a toujours quelque chose de plus urgent à faire que prendre en charge les aspects d'entretien de notre intérieur qui lui reviennent.
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Jeudi 24 janvier 2019 06:07:32
Objet
: Re: Re: Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Il y a, en effet, nécessité de faire évoluer ses
comportements, non seulement pour vous et l’équilibre de votre couple, mais
aussi pour lui. J’ai assez peu d’éléments pour me prononcer, mais les
situations que vous décrivez sont tellement courantes qu’il n’est pas difficile
de les imaginer. Je ne suis pas certaine que cela vous console, mais vous êtes
nombreuses dans cette situation.
Ne vous y laissez pas enfermer. Prenez les choses en
main. Il n’y a pas de raison que vous n’arriviez pas à faire grandir votre
compagnon, car c’est bien le problème : il en est resté à un stade de
maturité affective où il veut bien des avantages que lui procure la vie
avec vous, mais il en refuse les inconvénients (partager les tâches ménagères,
se soucier des conséquences de ses actes et agir en conséquence…).
Faire évoluer Jean-Claude ne sera pas aisé. Beaucoup
de choses reposeront sur vos épaules, mais si vous en acceptez le prix et que
vous tenez le temps qu’il faudra, il n’y a pas de raison que vous n’y arriviez
pas.
Il faut que vous vous en donniez les moyens.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi
24 janvier 2019 13:12:48
Objet: Re:
Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
J’espère que vous dites vrai. Maintenant que vous
m’avez entrevoir que je pourrai aider Jean-Claude à changer, ce serait une trop grande
désillusion si je n’y arrivais pas. Je me crois capable d’être assez tenace
pour aller au bout et pour tenir aussi longtemps qu’il faudra.
Voyez-vous, lorsque je vous ai écrit la première
fois, je commençais à envisager de me séparer de Jean-Claude. Son infidélité a
été la goutte d’eau qui a fait débordé le vase. Cette simple pensée me faisait
mal. Je ne le voulais absolument pas, mais j’avais l’impression d’être dans une
impasse : toute la vie de la maison qui reposait sur moi, les disputes incessantes…
Maintenant, j'aperçois une issue.
De quels moyens pensez-vous qu’il faudra user ?
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Jeudi 24 janvier 2019 19:16:41
Objet
: Re: Re: Re: Re: est-ce dans vos cordes ?
N*****,
La période où vous poserez à Jean-Claude la cage de
chasteté, sera le moment favorable pour envisager le début du traitement. Où en
êtes-vous de ce côté-là ? Croyez-vous qu’il va accepter de la
porter ?
Peut-être devriez-vous commencer par cette
étape ? Je vous en dirai plus si vous passez cette première étape. Inutile
de vous donner de faux espoirs s’ils sont irréalisables.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi
26 janvier 2019 08:21:47
Objet: Re:
Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Jean-Claude a porté sa cage pour la première fois
hier. Le colis était arrivé dans la journée et j’ai abordé le sujet le
soir-même.
Il a d’abord refusé et il s’est fâché quand j’ai
insisté. J’avais en tête ce que vous m’aviez dit. Cela m’a aidé à garder mon
calme. J’avais l’impression d’avoir en face de moi un adolescent qui faisait
une colère pour refuser les conséquences désagréables de son comportement
irréfléchi. Je lui ai expliqué posément qu’il n’avait pas le choix, sauf s’il
préférait tout quitter : moi et son travail.
Il a fini par se calmer et tenter de négocier les
conditions d’utilisation de la cage. Il a commencé par proposer que ce soit lui
qui en détienne la clé ! Je n’ai cédé sur rien. Il est maintenant clair
que c’est moi qui déciderai quand il sera encagé et quand je le libérerai.
Il a ensuite voulu la mettre lui-même. J'ai encore refusé, argumentant que ce n'était pas lui qui avait décidé de porter la cage, mais moi qui la lui imposais. Ce n'est pas si simple à poser et les attouchements que cela a nécessité ont eu des conséquences sur la taille de ses organes. J'ai dû y poser une poche de glace, un truc que j'ai trouvé sur internet.
Il a ensuite voulu la mettre lui-même. J'ai encore refusé, argumentant que ce n'était pas lui qui avait décidé de porter la cage, mais moi qui la lui imposais. Ce n'est pas si simple à poser et les attouchements que cela a nécessité ont eu des conséquences sur la taille de ses organes. J'ai dû y poser une poche de glace, un truc que j'ai trouvé sur internet.
Pour le moment, nous sommes en phase d’accoutumance.
Progressivement, il portera la cage de plus en plus longtemps, mais il faut la
lui enlever de temps en temps. Je pense qu’en fin de semaine prochaine, il la
portera en permanence.
M’en direz-vous plus, maintenant, sur votre
méthode ? J’ai hâte de commencer.
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Samedi 26 janvier 2019 10:01:36
Objet
: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Je suis heureuse que ce premier temps se soit déroulé comme prévu. J’aurais été surprise que vous n’arriviez pas à vos fins. Nos
échanges me laissent entrevoir une femme résolue, ferme dans ses décisions. Ce
sera indispensable pour la suite. Je fais le pari que puisqu’il a accepté la
première punition, que les autres ne poseront que peu de problème.
Je suppose que, avec cette cage, vous devez vous
livrer à de fréquentes inspections de son intimité. Donnez-lui des habitudes
d’obéissance à ces moments-là. Formalisez la différence de statut qu’il y a
maintenant entre lui et vous. Vous n’êtes plus à égalité dans votre couple.
C’est vous qui décidez pour tout un pan de sa vie et lui est dépendant de vos
décisions. Il suffit maintenant d’en étendre le champ ainsi que celui des
punitions qu’il conviendra de diversifier.
Ne vous livrez pas à ces inspections dans un lieu où
l’intimité est de règle (votre chambre, la salle de bain…) mais dans une pièce
où se déroulent habituellement des activités plus publiques. Le séjour serait
parfait. Vous devez bien y avoir un canapé ?
Prenez-y place et ordonnez-lui de se tenir debout
face à vous. Baissez-lui le pantalon et la culotte. Il doit prendre l’habitude
que vous le déculottiez sans lui demander son avis. Cela doit désormais faire
partie de vos prérogatives.
Je ne sais pas trop en quoi consistent ces
inspections. Je suppose qu’il s’agit de lui enlever la cage pour vérifier qu’il
n’y a pas eu de problème pendant qu’il la portait et de la lui remettre. Faites
toutes ces opérations vous-même sans accepter d’interférence de sa part.
Il s’agit de vous comporter comme une grande
personne qui prend soin d’un petit garçon parce qu’il n’est pas capable de le
faire lui-même. Adoptez un ton de voix qui convient. Et pour finir,
reculottez-le vous-même. Passez outre s’il râle !
J’attends de vos nouvelles pour savoir comment
Jean-Claude a accueilli ce nouveau changement dans votre relation.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi
26 janvier 2019 22:36:18
Objet: Re:
Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
L’inspection de ce soir s’est déroulée comme vous me
l’aviez conseillé. Quand j’ai annoncé à Jean-Claude que c’était l’heure de
l’inspection de la cage, il a voulu se diriger vers notre chambre. Je l’ai pris
par le bras et je l’ai ramené vers le séjour. Il a eu l’air étonné, mais il n’a
rien dit.
Je l’ai mis devant le canapé (car oui, nous avons un
canapé) et je m’y suis assise. Les deux premières fois il s’était allongé sur
notre lit. Il a semblé mal à l’aise avec cette nouvelle position. J’ai refusé
quand il m’a dit qu’il préférait que cela se passe comme la dernière fois.
Il a voulu baisser son pantalon. Je lui ai donné une
petite claque sur les mains en lui ordonnant de les mettre dans son dos. Je
l’ai grondé quand il a commencé à protester et lui disant que si je devais
faire ce travail en plus c’était à cause de ses bêtises et que le moindre de ce
qu’il pouvait faire, c’était de me faciliter les choses en cessant de s’en
mêler et de râler en permanence. Il a hésité, puis il a mis ses mains dans son dos. Il a eu un mouvement
de recul quand je lui ai baissé la culotte. Je lui ai fait les gros yeux. Il
n’a rien dit mais cela ne lui plaisait visiblement pas. Je n'en ai pas tenu compte.
Vous aviez raison. Quand il s’est retrouvé devant
moi, son pantalon sur ses chevilles et la culotte aux genoux, j’ai eu la
sensation de m’occuper d’un enfant, surtout qu’il m’a laissé faire en silence
le temps que je lui enlève la cage. C’est encore un peu tôt pour la lui laisser
toute la nuit. Je l’ai reculotté sans qu’il ne dise un mot.
J’ai l’impression que nous sommes bien partis. Qu’en
pensez-vous ?
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Dimanche 27 janvier 2019 07:55:51
Objet
: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Vous êtes effectivement sur de bons rails. J’ai
l’intuition que vous n’aurez plus, désormais, que des difficultés mineures à
régler.
Attendez de lui avoir définitivement installé la
cage de chasteté pour passer à la suite. Je suppose que cela ne prendra que
quelques jours. Continuez comme vous le faites actuellement en attendant. Le déculotter et avoir accès à ses parties les plus intimes, sans qu'il y ait de relation sexuelle en préparation doit faire partie de votre champ de décision sans qu'il ait son mot à dire.
Le jour où vous aurez décidé de passer à l’acte,
soyez attentive à sa première désobéissance ou à son premier caprice. Restez
calme et annoncez-lui que vous lui en reparlerez plus tard. Mettez en place une
inspection et déculottez-le comme vous en aurez pris l’habitude et lui
également désormais. Informez-le alors que vous allez le punir pour sa dernière
désobéissance ou son dernier caprice.
Allongez-le alors à plat ventre sur vos genoux et
donnez-lui une fessée, quelque chose de sérieux. Ne ménagez pas votre peine. Il
va sans doute protester, voire résister, mais vous devriez avoir les arguments
pour le convaincre. Je vous fais confiance. N’oubliez pas, après la fessée, de
le mettre au coin.
Passer cette étape ne sera peut-être pas simple. C’est la première fois qui est difficile, ensuite cela sera plus facile.
Passer cette étape ne sera peut-être pas simple. C’est la première fois qui est difficile, ensuite cela sera plus facile.
Tenez-moi au courant.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi
30 janvier 2019 23:07:44
Objet: Re:
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Je comprends qu’on fasse appel à vous. Vous avez une
très bonne connaissance de la psychologie de nos adolescents attardés. Je vous
remercie de vos conseils. Tout s’est déroulé comme vous l’aviez prévu.
J’ai annoncé ce matin à Jean-Claude que désormais il
porterait sa cage de chasteté en permanence, que je continuerai mes inspections
mais la plupart du temps sans libérer ses organes génitaux et qu’il était temps
qu’il apprenne à vivre avec la cage en permanence. Il m’a regardé comme s’il
espérait que je revienne sur ma décision, mais il n’a pas fait de commentaire. Je lui ai expliqué qu'il en avait pour un mois d'abstinence totale et qu'ensuite je ne lui enlèverait la cage que pour nos activités intimes et des raisons d'hygiène.
Ce soir, au cours du dîner, je l’ai grondé parce
qu’il se tenait mal à table. C’est une de ses grandes spécialités. Tout un tas de petits morceaux de nourriture tombent entre lui et la table et bien évidemment il ne les ramasse jamais. Il m’a
répondu insolemment. Je lui ai dit que j’attendais de lui plus d’obéissance
quand je lui faisais une remarque justifiée, mais que nous allions en reparler
plus tard. Il m’a rétorqué que ce n’était pas parce que je lui avais imposé une
cage que je pouvais décider de tout. J’ai renvoyé ma réponse à après le dîner.
Dès que la cuisine a été rangée, ce que j’ai dû
faire seule, je suis allée chercher Jean-Claude dans la chambre où il s’était
réfugié, comme s’il y boudait. Une réaction d'adolescent ! Je l’ai ramené par le bras dans le séjour, sans
lui dire un mot. Je me suis installée comme j’ai l’habitude de le faire pour
l’inspection quotidienne qui est devenue un rite de début de soirée. Je lui ai
baissé le pantalon et la culotte.
Je me suis livrée à mon examen quotidien de son
hygiène et des éventuelles irritations puis, je lui ai annoncé que pour son
insolence pendant le repas, j’allais lui donner une fessée. Il m’a regardé
incrédule, puis il a refusé. Il s’est reculotté. Je lui ai dit que je ne le
libérerai pas de la cage avant qu’il ait reçu la fessée qu’il avait méritée et que si ce
n’était pas réglé avant la fin de la soirée, il devrait s’en aller. Je lui ai
ordonné d’aller dans sa chambre (tout juste s’il ne tapait pas du pied par
terre) et de n’en sortir que quand il serait prêt à recevoir la correction dont
il avait besoin.
Il est revenu au bout d’une petite demi-heure. Il a
commencé à négocier. Je l’ai interrompu pour lui demander s’il avait décidé de
prendre sa fessée. Il n’ a pas voulu répondre à ma question, mais il a essayé de continuer à
vouloir me faire changer d’avis. Sans lui en laisser le temps, je l’ai renvoyé
dans la chambre.
Il est revenu presque une heure plus tard. Je
lisais, allongée dans le canapé. Sans dire un mot, il est venu se mettre debout
devant moi. Sans ouvrir la bouche, je l’ai déculotté, puis je l’ai allongé sur
mes genoux et je lui ai donné une fessée. J’ai bien vu, au début, qu’il
retenait ses cris, mais cela n’a pas duré longtemps. Il avait des larmes dans
les yeux quand je lui ai permis de se relever. Je lui ai ordonné d’aller se
mettre au coin. Il m’a regardé d’un air suppliant mais quand j’ai élevé la voix
il s’y est dirigé sans plus attendre. J’ai arrêté d’un mot sa tentative pour
relever sa culotte.
Cela fait un bon quart d’heure qu’il y est, là
devant moi pendant que je vous écris. Il n’a pas bougé du coin et ses bras
croisés dans son dos tiennent sa chemise de sorte que ses fesses sont exposées.
Je dois avouer que cela m’a soulagée de l’avoir puni et a fait retomber la
tension qui régnait dans la maison.
Je vous remercie, encore une fois, de vos judicieux
conseils. Je crois qu’ils vont changer ma vie et celle de Jean-Claude.
J’espère une réponse de votre part.
N*****
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi
1er février 2019 06:59:07
Objet: Tr:
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Vous n’avez pas eu le temps de vous répondre, mais
je voulais vous faire part des suites étonnantes à la fessée que j’ai donnée
hier soir à Jean-Claude.
Quand il a eu passé un peu plus d’une demi-heure au
coin, je lui ai ordonné de venir me voir.
Quand il est arrivé près de la chaise sur laquelle j’étais assise, il
avait toujours les mains dans le dos et il n’avait rien fait pour se
reculotter. Je dois avouer que j’ai été impressionnée par le niveau
d’obéissance auquel la fessée l’avait conduit en une seule fois.
Je lui ai dit qu’il aurait désormais la fessée
déculottée à chaque fois que j’estimerai qu’il en aurait besoin. Il a fait une
grimace, mais il n’a rien dit. Puis je l’ai reculotté et je lui ai ordonné de
se mettre en pyjama et de se coucher.
Quand je suis arrivée dans la chambre dix minutes
plus tard, il était au lit. Il me tournait le dos et n’a pas bougé jusqu’à ce
que la lumière soit éteinte. Alors que je m’attendais à ce qu’il continue sa
bouderie, il s’est tourné vers moi et a posé sa tête sur ma poitrine. Il m’a
demandé pardon. Je lui ai dit que ce qu’il avait fait n’était pas une
catastrophe, mais qu’il avait besoin d’être puni pour comprendre que cela n’était
pas normal. Je lui ai redit que je le fesserai à chaque fois que ce serait
nécessaire que je ne m'attendais pas à ce qu'il soit d'accord, mais que ce serait comme cela désormais. Je lui ai demandé s'il avait compris. Il a acquiescé. Il s’est endormi là, alors que je lui caressais
la joue.
Il vient de partir au travail ce matin et je vous
adresse ce rapide courriel avant de m’y rendre à mon tour. Depuis qu’il s’est
levé, il n’a pas fait allusion à la fessée d’hier soir et moi non plus. Il a
été très affectueux, habitude qu’il avait perdu depuis bien longtemps et qui
renoue avec son comportement durant les premiers temps de notre vie commune.
Il s’est empressée de ranger la table du petit
déjeuner quand je lui ai fait remarquer qu’il avait tout laissé en plan. Il a
obéi quand je l’ai obligé à repasser l’éponge sur la table ce qu’il avait fait
négligemment la première fois. Ces derniers mois, malgré mes demandes répétées,
il prétextait un manque de temps pour filer en courant en me laissant faire ce
travail.
Comme vous pouvez le voir, les changements sont
spectaculaires. Vont-ils durer ?
J’espère une réponse de votre part.
N*****
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Jeudi 1er février 2019 18:38:26
Objet
: Re: Tr: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
N*****,
Quels conseils supplémentaires pourrais-je vous
donner ? Je crois que vous avez tout compris de l’attitude à adopter
vis-à-vis de Jean-Claude. Vous n’êtes pas au bout de vos surprises tant les
changements vont être radicaux… si vous ne relâchez pas la pression.
En particulier, il serait indispensable que vous ne
différiez plus la punition quand il commettra un écart. Plus elle sera
administrée au plus tôt après la bêtise, plus elle sera efficace.
Cela vous amènera à vous questionner sur votre
réaction quand il méritera une punition alors que vous ne serez pas seuls ou à
votre domicile. Réfléchissez-y bien avant qu’arrive le moment où vous devrez
décider, poussée par la nécessité.
N’hésitez pas à me donner de vos nouvelles, en
particulier s’il y a du changement.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi
1er février 2019 22:11:42
Objet: Re:
Re: Tr: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Vous avez raison. Il faudra persévérer, mais
maintenant que je sais comment faire, je me sens capable de tenir aussi longtemps
qu’il le faudra.
Ce soir, en rentrant, Jean-Claude a laissé traîner
ses affaires partout, y compris ses chaussures dans le milieu de la cuisine.
Comme il n’a pas obéi la première fois que je lui ai demandé de ranger, il a
reçu une fessée, à la suite de laquelle il a rangé tout ce qu’il avait dispersé
dans notre appartement. C’était attendrissant de le voir se hâter malgré son
pantalon baissé qui limitait ses déplacements. Il a fini l’après-midi au coin, jusqu’au
dîner.
Il a reçu une deuxième fessée pour m’avoir répondu
alors que je lui faisais une remarque pendant le dîner. Quand je lui ai ordonné de venir me voir, sans bouger de la chaise sur laquelle j'étais assise, il a tout de suite compris qu'une fessée l'attendait. Il m'a demandé pardon pendant que je lui baissait sa culotte, puis je l'ai couché en travers de mes genoux. J'arrive à lui donner, à main nue, des fessées qui lui rougissent les fesses et le contraignent à crier. Il avait des larmes aux yeux quand je l'ai relevé. Je l’ai privé de dessert
et pendant que je finissais de manger, il est resté au coin, dans la cuisine.
Je crois que les habitudes sont bien prises
maintenant.
Je vous tiendrai au courant.
N*****,
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi
16 février 2019 22:11:42
Objet: Re:
Re: Re: Tr: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos cordes ?
Docteur,
Nous ne sommes pas encore au bout du mois d’abstinence
sexuelle que j’ai imposé à Jean-Claude. Il porte sa cage de chasteté nuit et
jour et je ne la lui enlève qu’une fois par semaine pour un nettoyage à fond de
l’objet et de ses organes sexuels. Je m’en charge moi-même. Je suis ainsi certaine
que c’est fait correctement.
Je suis obligée de donner régulièrement la fessée à Jean-Claude.
Il y a tant de choses à rectifier dans son attitude. La semaine dernière, cela
a été à cinq reprises, mais je crois que nous allons battre le record cette
semaine.
Bien sûr, il est gêné sur le moment, ce que je
comprends. Mais ensuite, après qu’il a reçu sa correction et qu’il soit passé
au coin, il vient me demander pardon et nous ne parlons plus de la bêtise qu’il
avait commise. Je considère qu'il en a payé le prix et qu'il est pardonné.
Tout va donc pour le mieux pour moi et pour Jean-Claude.
Depuis que j’ai pris en charge son éducation et la discipline qui va avec, il
est plus ouvert, plus souriant, plus détendu et il recherche mon approbation
très souvent. Il vient souvent se blottir contre moi dès que je prends quelques minutes pour souffler sur le canapé et particulièrement quand je lui ai donné une fessée quelques temps auparavant.
Votre intervention a été déterminante. Je vous en
remercie.
N*****,
De
: jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé
: Samedi 17 février 2019 10:21:19
Objet
: Re: Re: Re: Re: Tr: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos
cordes ?
N*****,
Satisfaite d’avoir pu vous rendre service.
Si vous n’y voyez pas d’inconvénients, je vais
demander à Josip Le Gall de publier notre échange de courriel sur le blog « une
bonne fessée », après l'avoir anonymé.
Je pense que votre cheminement sera d’une grande
utilité pour beaucoup de vos congénères.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine
legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 17
février 2019 14:18:35
Objet: Re:
Re: Re: Re: Re: Tr: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re:est-ce dans vos
cordes ?
Docteur,
Je n’y vois aucun problème, au contraire. Si mon expérience peut servir à d’autres, j’en serais satisfaite.
Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de l’évolution
de la situation.
N*****,
D'autres consultations du Docteur Legendre à lire sur ce blog :
Aller plus loin ?
Si vous souhaitez réagir, commenter, vous interroger ou envisager une consultation par internet sur votre propre situation ... laissez un commentaire ci-dessous.
Vous pouvez également contacter directement, par courriel, le Docteur Legendre.
Fidèle lecteur je vous remercie pour toutes ces textes , superbement écrits , en particulier les consultations et la fameuse Christine, dont j'attends avec impatience la rentrée a sainte Marie. .encore bravo
RépondreSupprimerKryss,
RépondreSupprimerMerci pour vos encouragements. C'est toujours très utile d'avoir des retours des lecteurs. Ils aident à continuer à produire des récits pour alimenter le blog.
Pour ce qui est de la rentrée de Christine, je ne suis pas en mesure de vous en dire plus. Jeancla avait dit, dans un premier temps, qu'il reprendrait à l’automne 2018. Confronté à son silence,je l'ai interrogé. Il est très pris par ses activités professionnelles, il ne sait donc pas trop quand il aura de nouveau le temps d'écrire. C'est que ça demande du temps !
Je pense qu'il y aura d'autres consultations. Le Docteur Legendre me l'a laissé entendre, c'est qu'elle doit avoir quelques échanges en cours avec des patients. J'attends qu'elle m'envoie les textes.
Au plaisir de vous lire.
Tout le plaisir est pour moi, j adorerais consulter le docteur Legendre mais il n y que mon imagination qui pourrait répondre .Encore merci
RépondreSupprimer