vendredi 30 novembre 2018

Consultation es fessée - Thérèse et Philippe

Philippe a 18 ans et sa grand-tante chez qui il habite le temps de ses études, lui donne la fessée quand il la mérite. Evidemment, cela ne lui convient pas. Que peut y faire le docteur Legendre ?
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.


De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 3 Novembre 2018 02:15:11
Objet: Marre des fessées

Docteur Legendre,

Je me permets de vous demander un avis sur ma situation. Ma mère croit dur comme fer aux vertus de la fessée et m'en a donné souvent jusqu´à ce que je quitte la maison.
Depuis la rentrée, j'ai commencé mes études et je suis hébergé chez une grand-tante. Malheureusement pour moi, cette dernière est d'une génération plus ancienne et me traite encore plus "à la dure" que ma mère. Résultat, alors que je suis étudiant et majeur (18 ans), je n'ai jamais reçu autant de déculottées au martinet de ma vie.

Pire encore, ma mère m'a promis que pour toute fessée que je recevrais de ma grand-tante, je m'en prendrais une autre de sa part. Résultat, depuis septembre, chaque week-end où je suis rentré à la maison, j'ai eu droit à une trempe.

Or à partir de cette semaine, pour des raisons d'emploi du temps, je vais devoir rester chez ma grand-tante jusqu'aux vacances de noël. Mais ma mère a tenu à préciser qu'elle maintenait le principe : une fessée à l'extérieur, une autre à la maison. Et vu la fréquence des corrections de ma grand-tante, je risque de me prendre une raclée par jour pendant deux semaines lors des prochaines vacances si ma mère tient vraiment sa promesse.

J'espère que vous admettrez que c'est trop sévère. Aussi j'aimerais qu'en tant que spécialiste, vous interveniez à la fois auprès de ma grand-tante pour lui demander de moins me corriger et auprès de ma mère pour la convaincre d'abandonner ce principe de double fessée. L'idéal, ce serait que vous arriviez à leur expliquer que la fessée n'est pas adapté à des garçons de mon âge. Le problème, c'est que la lorsque j'ai dit cela à ma mère le jour de mes dix-huit ans, elle n'a rien trouvé de mieux que de me prouver le contraire en me donnant le martinet.

Je compte sur vous, Docteur Legendre, pour me répondre favorablement. Je pourrai montrer cette réponse à ma mère et à ma grand-tante si cette réponse va dans le bon sens, sinon tant pis. Bien cordialement,



On Sat, Nov 3, 2018 at 6:42 AM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Mon cher Philippe,
Je vais essayer d'être digne de la confiance que vous avez placée en moi.
Je ne voudrais pas me prononcer sans être certaine d'avoir tous les éléments pour analyser pertinemment votre situation. Il me manque quelques éléments. Pouvez-vous m'apporter les précisions suivantes ?

Vous demandez à être moins corrigé. Je le comprends. Recevoir une fessée, qui plus est avec le martinet, n'est jamais agréable pour personne. Je conçois que vous estimiez être trop souvent puni. C'est souvent le cas pour les jeunes gens de votre âge. Cependant, vous ne décrivez pas le rythme de fessées auquel vous êtes soumis. Qu'entendez-vous exactement par trop souvent ?
Par ailleurs, vous parlez de fessées que vous recevez, mais vous n'en évoquez pas les raisons. Quels sont les motifs qui poussent votre grand-tante à vous corriger ?
Pouvez-vous, par exemple, me donner une idée du nombre de fessées que vous avez reçues la dernière semaine entière que vous avez passé chez votre grand-tante, des raisons qui les ont justifiées ainsi que de leur sévérité ? Donnez-moi un aperçu de votre régime punitif. Précisez-moi s'il s'agissait d'une semaine type ou si les punitions ont été particulièrement fréquentes cette semaine-là ou si elles ont été particulièrement rares.

Je vous remercie, par avance, de me fournir tous ces éléments.
J'attends votre réponse.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée



De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 3 Novembre 2018 14:09:49
Objet: Re: Marre des fessées

Docteur Legendre,

Merci pour votre réponse rapide. Mais je suis très déçu que vous ne soyez pas d'accord pour dire qu'à mon âge, on est trop vieux pour la fessée. C'est quand même une punition pour des enfants de moins de 10 ans, pas pour des grands garçons de 18 ans comme moi !

Ma dernière correction date de dimanche dernier. J'étais sorti avec des copains samedi soir et j'avais la permission de minuit. Je suis rentré vers 1h du matin mais ma grand-tante était couchée, je me suis dit qu'il n'y avait pas de souci. Dimanche matin ma grand-tante est venue frapper à la porte de ma chambre vers 8h en me reprochant de ne pas m'être levé tout seul comme je suis censé le faire. Comme j'étais de mauvaise humeur d'avoir été réveillé et visiblement fatigué, elle m'a demandé à quelle heure j'étais rentré. Je lui ai dit que j'avais eu tout au plus un quart d'heure de retard sur l'heure prescrite. Mais elle ne m'a pas cru sur parole et a téléphoné à une voisine dont le fils était aussi à la soirée. Du coup mon mensonge a été découvert.

Ma grand-tante a été furieuse et a commencé à m'engueuler. Je lui ai répondu qu'elle n'avait pas à me gronder comme un enfant et qu'il n'y avait pas de raison que j'aie seulement la permission de minuit alors que tous mes copain avaient le droit de rentrer plus tard. Ma grand-tante n'a pas apprécié que je lui réponde et m'a dit: "Alors comme ça tu rentres en retard, tu mens et par-dessus le marché, tu es insolent. Tu sais ce que ça mérite ?".

Hélas pour moi, je ne savais que trop ce qui m'attendait. J'ai dû aller chercher le martinet, me déculotter, et me mettre en position pour la fessée (mains sur la tête et penché vers l'avant). Je ne sais pas combien de coups de martinet j'ai reçus, ma grand-tante me corrige jusqu'à ce que j'aie "eu mon compte". Après ma raclée, je suis resté une bonne demi-heure au coin, toujours mains sur la tête avec le pantalon et la culotte baissés. À un moment, une voisine est passée. En me voyant, elle n'a pas pu s'empêcher d'approuver ma punition et de me dire que j'avais de la chance d'avoir une grand-tante si soucieuse de mon éducation. Et elle s'est même permise de me donner quelques claques sur les fesses bien senties en expliquant que ça la démangeait !

Je ne vais pas vous raconter toutes les autres fessées auxquelles j'ai eu droit depuis septembre mais j'en ai reçu environ une par semaine. L'an dernier avec ma mère, c'était seulement une ou deux par mois et je trouvais déjà que c'était trop. Le mode d'administration de ces fessées est toujours celui que je viens de vous décrire et je peux vous dire qu'à chaque fois, ça fait mal aux fesses pendant toute la journée et même encore le lendemain.

J'espère, Docteur Legendre que vous me soutiendrez dans ma demande de ne plus être puni par la fessée. Cordialement,

Philippe



On Sat, Nov 3, 2018 at 3:40 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Philippe,
Je commence à comprendre votre situation.
Dans mon précédent courriel, je ne crois pas m'être prononcé sur l'âge adéquat pour recevoir la fessée. J'y viendrai plus tard.

Avant d'aller plus avant sur ce sujet et sur les autres contenus dans vos courriels, j'aurais encore besoin de quelques précisions de votre part sur les conséquences des fessées que vous avez reçues.

Vous signalez les douleurs que la fessée engendre sur vos fesses. Il n'y a là rien que de très banal. C'est même l'effet recherché quand on administre une correction. Ce n'est pas de ce côté que se centre mon investigation.
Je souhaiterais que vous me faisiez part des conséquences sur votre comportement, et en particulier ce qu'en disent vos proches dont l'avis, en la matière, est particulièrement important. Vos proches, notamment votre mère et votre grand-tante, constatent-elles une amélioration de votre comportement ? Est-elle durable ou plutôt éphémère ?
Posons la question autrement si vous le préférez, en prenant un exemple : lors de votre prochaine sortie nocturne, serez-vous plus attentif à respecter l'heure prévue pour votre retour ?

Comment expliquez-vous que vous acceptiez de vous soumettre aux fessées que votre mère et votre grand-tante décident de vous administrer ? Vous obéissez quand elles vous ordonnent de vous déculotter et vous subissez votre punition jusqu'au bout, c'est-à-dire là où elles l'ont décidé. Bien que cela vous pèse, à vous lire, j'ai l'impression que vous reconnaissez que leur autorité s'exerce légitimement sur vous. Est-ce exact ?

Je vous remercie de votre retour

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée








De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 3 Novembre 2018 18:52:25
Objet: Re: Marre des fessées


Dr Legendre,

Évidemment, après avoir reçu la fessée, j'ai tendance à me "tenir à carreau". Mais je dois avouer que l'amélioration de mon comportement ne dure jamais très longtemps, guère plus de 3-4 jours. C'est ce qui fait dire à ma grand-tante que ma mère aurait dû me corriger plus souvent et que j'ai un sérieux retard à rattraper en matière de fessées.

Concernant les sorties nocturnes, bien sûr, je m'efforcerai de rentrer à temps la prochaine fois mais je trouve injuste de devoir rentrer plus tôt que les autres et encore plus injuste de recevoir encore des fessées alors que la plupart des jeunes de mon âge n'en reçoivent plus.

Concernant mon attitude au moment de la fessée, je n'ai pas vraiment le choix. Si je résiste, je sais que la correction sera plus sévère et que
je risque même de m'en prendre une autre le lendemain. Il y a aussi la force de l'habitude : lorsque que ma mère ou ma grand-tante m'ordonne d'aller chercher le martinet, de baisser mon pantalon, de me mettre en position ou d'aller au coin, j'obéis avec résignation, machinalement, sans réfléchir, simplement parce que cela m'arrive régulièrement depuis des années.

Mais si je reconnais que ma mère et ma grand-tante ont encore autorité sur moi, je préférerais que cette autorité s'exerce autrement. J'aimerais donc que vous arriviez à les convaincre de ne plus me donner de fessées.
Malheureusement, vos messages donnent l'impression que vous n'êtes pas de mon côté et que vous trouvez normal que je reçoive encore le martinet à mon âge. J'espère bien que vous me détromperez dans votre réponse.
Cordialement,

Philippe



On Sat, Nov 3, 2018 at 9:02 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Philippe,
Détrompez-vous, je suis de votre côté. J'ai besoin de tous les éléments pour construire une analyse crédible et objective afin de convaincre vos correctrices. Je suis toujours guidée par le bien de la personne qui est soumise à la fessée.
Je vais avoir beaucoup de choses à écrire à votre mère et à votre grand-tante afin qu'elles changent leur pratique à votre égard. Pouvez-vous me donner leurs adresses courriel afin que je puisse les contacter directement ? Il me semble que cela aurait un impact plus grand si elle reçoivent mes indications directement, plutôt que si c'est vous qui leur transmettez le message.
J'ai l'intention de vous écrire un courriel dans lequel je vous livrerait mon analyse de la situation, en mettant votre mère et votre grand-tante en copie. Cela clarifiera la situation.
Qu'en pensez-vous ?

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Samedi 3 Novembre 2018 21:29:54
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

Je me suis permis de parler de notre échange à ma grand-tante qui n'a pas de courrier électronique. Nous nous sommes mis d'accord pour que vous adressiez vos recommandations à mon adresse mail ; je lui montrerai votre réponse et elle avisera. Mais elle ne s'est pas privée de me rappeler qu'à son époque, on était majeur à 21 ans, on restait sous l'autorité de la famille tant qu'on ne vivait pas de son propre salaire et que la fessée au martinet était une des principales marques de cette autorité. Dans l'attente de votre réponse, cordialement,

Philippe



 On Sun, Nov 4, 2018 at 6:38 AM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Philippe,
Passer par vous ne me semble pas la meilleure façon de faire pour contacter votre grand-tante, mais je ne peux qu'utiliser celle que vous me proposez. Allons-y donc de cette façon.

Je tiens tout d'abord à vous redire que je cherche quelle peut être la plus pertinente façon de faire pour prendre en compte vos intérêts à moyen et long terme. Ce n'est pas forcément la plus simple, ni la plus facile à accepter, mais grandir, devenir un adulte demande des efforts qu'il faut que vous consentiez.

Tout d'abord, vous posez la question de votre âge, en posant le postulat, qu'à dix-huit ans, vous êtes trop âgé pour recevoir la fessée. Je ne sais pas sur quoi repose cette idée. Elle peut sembler une évidence si on ne la regarde pas de trop près. Elle ne résiste ni à une analyse rigoureuse, ni à une simple observation.
Je suis en relation régulière avec des garçons et des filles qui, pour bon nombre d'entre eux, sont bien plus âgés que vous et qui reçoivent encore la fessée. Ils n'en sont pas réjouis, mais ils constatent que cela les aide à rester dans les cadres que d'autres personnes leur imposent, puisqu'ils sont incapables de les respecter par eux-même. Bien que, comme vous, cela leur pèse, ils en constatent la pertinence.
La responsabilisation, l'auto-contrôle et la capacité à respecter de soi-même les règles sociales, qualités indispensables pour qui veut se prétendre adulte, ne sont pas donnés à tout le monde. Au contraire, il s'agit d'une patiente construction, fruit de l'éducation. Il n'est pas rare que certaines personnes ne l'atteignent que bien après l'âge légal de la majorité, certains n'y arrivent jamais.
Il y a alors deux solutions archétypales. Soit ces adultes deviennent des inadaptés sociaux versant dans la marginalité ou dans la violence, soit ils trouvent sur leur chemin un ou plusieurs adultes qui les accompagnent sur le chemin qu'ils ne savent pas trouver par eux-mêmes.  Bien souvent, comme dans votre cas, ce sont des femmes qui jouent ce rôle, mis il existe des contre-exemples.
Quand ils acceptent l'autorité de celles qui vont jouer le rôle de tutrices à leur égard, il leur est possible de rester intégrés dans la société. Ils doivent cependant en accepter les inconvénients. Ces tutrices doivent disposer des moyens de leur faire comprendre, sans ambiguïté, quand leur attitude a dépassé les bornes acceptables. Les en punir est alors une nécessite, la fessée en étant la méthode la plus adaptée, parce que la plus immédiatement compréhensible. J'y reviendrai.
Vous seriez probablement très surpris de connaître le nombre de jeunes gens de votre entourage qui sont encore soumis à ce type de punition. Bien évidemment, comme vous, ils cherchent à le dissimuler. Vous ne pouvez pas plus le découvrir qu'ils sont en mesure de savoir que vous êtes fessé quand votre mère et votre grand-tante l'estiment nécessaire. Il faut en effet un concours de circonstances pour que cela se sache : une fessée administrée en public, une visite domiciliaire alors que le contrevenant est au coin après avoir été corrigé... Le plus souvent, y compris dans ces situations, la discrétion des témoins est de rigueur. Ceux qui sont soumis à des régimes disciplinaire analogues ne tenant pas à ce que le recours à cette méthode, plus répandue qu'on ne le croit, soit mis sur la place publique.
De ma position, je me trouve en relation autant avec des jeunes gens ou des plus âgés qui sont corrigés quand ils le méritent, qu'avec des personnes qui sont obligés de recourir à la fessée pour contrôler les comportements des adultes qui les entourent et dont ils ont dû prendre la responsabilité de leur éducation. Quand ils sont en mesure d'en faire une analyse raisonnée, les uns comme les autres conviennent que le bilan final est plutôt positif.
Vous n'êtes donc pas trop âgé pour recevoir la fessée, voire il semble que, en ce qui vous concerne, ce soit une nécessité que d'autres prennent cette responsabilité pour assumer les responsabilité que vous ne savez pas prendre. Vous l'admettez vous-même en reconnaissant le bien-fondé de l'autorité de votre mère et de votre grand-tante sur vous. Cet aveu n'est pas un hasard.

Vous pensez également qu'une moyenne d'une fessée par semaine est un rythme déraisonnable. Je crains que vous ne fassiez fausse route en pensant qu'il y aurait un seuil au dessus duquel le nombre de fessées hebdomadaires dépasserait les taux admissibles. Ce n'est pas une question de nombre de fessées, mais de nombres d'écarts qui obligent à recourir à une correction. C'est cela qui va déterminer la fréquence du recours à une correction.
Il est fondamental qu'une personne dont l'éducation est prise en charge par une tutrice ne reçoive que les fessées qu'il a méritées, mais qu'il les reçoive toutes. C'est une question de repère : un comportement répréhensible doit obligatoirement conduire à recevoir la fessée. A défaut, les corrections apparaissent comme aléatoires, au bon vouloir de la correctrice, dépendant de son humeur. Le bénéfice éducatif en est fortement diminué, voire annihilé. Elles ne permettent plus de constituer les limites stables dont ces adultes immatures ont besoin.
Je suis donc surprise que vous ne receviez qu'une fessée par semaine. Peut-être serait-il nécessaire que votre grand-tante qui assume actuellement l'autorité à votre égard, élargisse son champ d'investigation. Il n'y a pas que les retours tardifs après une soirée qui doivent être sanctionnés. A-t-elle regardé du côté du rangement de vos affaires ou de la qualité de votre travail estudiantin ? Ne serait-il pas nécessaire d'examiner plus attentivement les question de propreté et d'hygiène corporelle ? Votre langage est-il toujours à la hauteur de ce qu'il devrait être ? N'avez vous pas de progrès à faire en matière de politesse ou de respect de vos aînés ?
Il y a là matière à de nombreux comportements inconvenants qui doivent être sanctionnés, à chaque fois, d'une sérieuse fessée. J'invite donc votre grand-tante à y regarder de plus près, quel que soit le nombre de fessées que cela la conduira à vous donner chaque semaine. Vous reconnaissez cependant qu'après une fessée vous vous "tenez à carreau" pendant trois ou quatre jours. Imaginez ce qu'il en serait si vous receviez la fessée trois ou quatre fois par semaine. Vos progrès seraient stupéfiants.

Enfin, vous contestez la façon dont s'exerce l'autorité à votre égard. Vous pensez qu'il y aurait d'autres méthodes bien plus pertinentes que de vous fesser. Il y a effectivement d'autres méthodes. Sont-elles plus adaptées à votre comportement et à votre personnalité ? Il suffit de lire le bilan que vous tirez de celles que vous recevez pour en douter. Vous reconnaissez qu'après une fessée, vous redoublez d'efforts pour ne pas en mériter une autre. Par contre, vous n'explorez pas la piste de l'auto-discipline. Etes-vous capable, par exemple, de limiter vous même vos heures de retour à la maison, sans qu'on vous l'impose ? Il semble bien que non puisque votre seule revendication consiste à ne pas vouloir "rentrer plus tôt que les autres". Quel bel exemple de comportement infantile !
Vous donner la fessée semble décidément bien convenir au niveau de maturité, ou plutôt d'immaturité intellectuelle dans lequel vous êtes. C'est à vous de montrer, si vous en êtes capable, que vous êtes en mesure de vous comporter en adulte. En attendant, il ne semblerait prématuré et risqué de ne plus vous corriger quand vous en avez besoin.

Voilà, vous possédez toutes les clés pour comprendre pourquoi la situation que vous vivez actuellement n'a rien de scandaleux. Au contraire, vous avez autour de vous les personnes qui, parce qu'elles vous aiment et que votre avenir est important pour elles, ont pris la responsabilité de vous maintenir dans les cadres que vous ne savez pas construire.
J'espère que votre grand-tante pourra lire ces lignes. Elles lui permettront, comme vous, de décrypter votre fonctionnement inconscient et d'adapter son comportement en conséquence. Il y a cependant quelques ajustements à effectuer dans la méthode qu'elle a mise en place. Si elle le souhaite, je peux, dans un prochain courriel en esquisser les grandes lignes.

Comme vous pouvez le constater, Philippe, je suis de votre côté et je crois avoir pris en compte vos intérêts, même si vous êtes, pour l'instant, incapable de vous en rendre compte.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 11:30:45
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

Je suis la grand-tante de Philippe et comme il vous l'a dit, je n'ai
pas d'adresse électronique. Hier soir, cet insolent m'a montré avec un
air de triomphe le message où vous disiez "de son côté" et où vous
expliquiez qu'il faudrait que je change mes pratiques à son égard. Il était
persuadé que vous alliez appuyer sa demande de ne plus recevoir de fessées !
Je dois avouer que j'ai été agacée par son idée de vous avoir consultée dans
mon dos et en lisant votre message, j'ai eu peur d'être en présence de ces
pseudo-spécialistes qui recommandent l'éducation sans fessées, ce qui est
un non-sens absolu. Fort heureusement, je m'étais trompée !

Aussi quelle n'a pas été ma joie ce matin lorsque Philippe a lu son mail
en ma présence, persuadé qu'il y trouverait un courrier de votre part
soutenant ses prétentions ridicules à ne plus recevoir le martinet. Je
vous laisse imaginer sa tête lorsqu'il a découvert la teneur de votre
message ! Il avait tellement honte que ses joues étaient aussi rouges que
ses fesses après une bonne fessée.

Je l'ai obligé à lire à voix haute votre message et à répéter plusieurs fois
des phrases telles que :

"Vous n'êtes donc pas trop âgé pour recevoir la fessée, voire il semble que,
en ce qui vous concerne, ce soit une nécessité"

"Imaginez ce qu'il en serait si vous receviez la fessée trois ou quatre fois
par semaine. Vos progrès seraient stupéfiants."

"Vous donner la fessée semble décidément bien convenir au niveau de
maturité, ou plutôt d'immaturité intellectuelle dans lequel vous êtes."

"Il me semblerait prématuré et risqué de ne plus vous corriger quand vous
en avez besoin."

"Comme vous pouvez le constater, Philippe, je suis de votre côté."

Je lui ai fait remarquer que cette dernière phrase confirmait ce que sa mère
et moi ne cessons de lui répéter : si nous lui donnons des fessées, c'est
pour son bien et il nous en remerciera plus tard. Mais cette tête de mule
ne veut pas l'admettre.

Il faut préciser que l'anecdote du retard la semaine dernière n'est qu'un
exemple parmi bien d'autres des fautes qui lui ont valu une raclée. Je
pourrais vous en raconter d'autres à l'occasion. Par ailleurs je ne fais
pas mystère auprès de mon entourage - voisins, amis, famille - de mes
opinions en matières d'éducation et tout le monde sait que je corrige
régulièrement mon petit-neveu au martinet. Et devinez quoi : personne ne
me désapprouve, au contraire. Tout le monde a bien conscience que les
méthodes à l'ancienne avaient du bon et que les utiliser encore de nos jours
ne peut qu'être profitable à un garçon de l'âge de Philippe.

Vous terminez votre courrier par des suggestions d'ajustements dans mes
méthodes éducatives. N'hésitez surtout pas à me préciser ce point. Je
vais désormais surveiller le mail de mon petit-neveu afin de ne pas rater
votre réponse. En attendant, je vais voir où en est Philippe, à qui j'ai
ordonné de recopier 10 fois votre message pour le punir d'avoir comploté
dans mon dos et pour s'être plaint de mes méthodes éducatives. Après quoi
il aura droit à sa déculottée au martinet hebdomadaire. Merci encore pour
votre message,

Thérèse (la grand-tante)



 On Sun, Nov 4, 2018 at 6:19 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Madame,
Je suis ravie de pouvoir enfin échanger directement avec vous. Je l'avais suggéré à Philippe, mais je sentais bien sa réticence. Il était certainement plus facile, pour lui, de se positionner en intermédiaire pour tenter de contrôler la situation. J'avais pensé qu'il ne vous montrerait jamais le message de ce matin. Je n'avais pas imaginé qu'il vous ait dévoilé triomphalement notre conversation d'hier soir. Nous allons, maintenant pouvoir avancer plus vite.

Je ne reviens pas sur la nécessité de continuer à fesser Philippe bien qu'il ait déjà dix-huit ans passés. Il est probable que vous en avez pris pour plusieurs années et je ne suis pas certain que ses vingt-et-un ans y changeront quelque chose. En effet, Philippe semble bien immature et le chemin pour qu'il assume ses responsabilités d'adulte sera probablement très long. J'espère que vous l'aviez mesuré quand vous avez accepté d'assumer l'autorité sur votre petit-neveu et que vous vous avez pris la responsabilité de son éducation.
Je préfère vous prévenir que certains adultes ne peuvent jamais se séparer d'une tutelle autoritaire et, dans ce cas, vous ne pourrez raisonnablement vous défaire de cette responsabilité qu'en la transférant à une autre personne. Une compagne, une belle-mère... les possibilités existent.

Je voulais aborder deux points avec vous.
Je ne sais pas si je me trompe, mais j'ai l'impression qu'il serait utile de monter le niveau d'exigence envers Philippe. Je suis surpris qu'il ne mérite pas plus d'une fessée par semaine. C'est peu ! Cela laisse supposer que soit il est bien plus mûr que l'échange qu'il a eu avec moi le laisse supposer, soit que plusieurs aspects de ses négligences vous échappent. Avec les jeunes garçons de cet âge, je vois deux domaines qu'il faudrait regarder de plus près.
Evoquons d'abord la question de son travail estudiantin. Etes-vous bien certaine que l'attention qu'il y porte est à la hauteur de ce que mérite une première année d'université ? Sortant du lycée où le travail est encore bien encadré, beaucoup de jeunes gens ont énormément de mal à gérer l'absence de cadre qui prévaut dans les études supérieures. S'il n'y a pas une personne derrière eux qui surveille la qualité et la quantité de travail, la dérive peut venir vite. C'est souvent ce qui explique le fort taux d'échec en première année d'études supérieures. Je ne sais pas dans quelle filière il se trouve, mais vous devriez exiger de voir ses prises de notes en cours, voire lui demander de les remettre au propre si nécessaire, imposez-lui la rédaction de fiches de synthèse, faites-lui réciter ses leçons... N'attendez pas que les premiers examens révèlent son manque de travail. Je dois avouer que je suis inquiète de ses revendications de plus de liberté pendant ses sorties et le premier courriel qu'il m'a envoyé m'est parvenu en pleine nuit, ce qui laisse supposer qu'il consulte internet fort tard, certainement au détriment du sommeil dont il a encore grand besoin. Tout ceci est fort peu compatible avec des études sérieuses et s'apparente plus à des comportements d'adolescent.
Ceci m'amène à la deuxième piste dont je voulais parler. Au-delà de la gestion de son sommeil, cela dit en passant c'est une question à regarder de plus près, il n'est pas rare que les garçon de son âge soient approximatifs sur les questions d'hygiène personnelle. Il a évoqué, dans l'un de ces courriels en réponse à l'une de mes questions, que vous aviez frappé à la porte de sa chambre avant d'y pénétrer dimanche dernier, alors qu'il était en retard à se lever. Cela me laisse penser qu'il garde un espace d'intimité que vous ne pouvez surveiller. Que savez-vous de ce qu'il fait ou de ce qu'il ne fait pas, derrière les portes fermées de sa chambre, de la salle de bain ou même des toilettes, s'il sait que vous le préviendrez avant d'y pénétrer ? Peut-être même attendez-vous son autorisation ? Il n'est certainement pas assez grand pour gérer tout cela tout seul. Interdisez-lui de verrouiller les portes des pièces dans lesquelles il se trouve, entrez-y à l'improvise. Soyez présente à tous ces moments : habillage, déshabillage, douche... Peut-être découvrirez-vous qu'il est nécessaire de monter les standards d'exigence de ces moments-là, voire même qu'il est préférable que vous les preniez en charge vous-même. Cela n'aurait rien d'étonnant, ni d'exceptionnel avec un jeune homme aussi immature que celui que vous hébergez. N'oubliez pas que dans sa tête, c'est encore un petit garçon et ceux-ci ont besoin de l'assistance des grandes personnes dans toutes les tâches de la vie quotidienne.

Le deuxième point que je voulais voir avec vous concerne les fessées que sa mère lui donne quand il rentre chez lui. Je crois qu'il faut faire un choix. Soit c'est sa mère qui le punit pour les écarts qu'il commet quand il est sous votre responsabilité, soit c'est vous.
Si sa mère le punit quand il rentre chez lui, cela signifie que vous n'avez pas la pleine et entière autorité sur lui quand il est chez vous... alors que c'est ce dont il a besoin. Une punition doit être infligée au plus près de la bêtise qui la motive, dès qu'elle est commise ou dès qu'elle est découverte, mais elle doit se clore au plus vite à la fin de la punition. Vous devez avoir l'autorité pour lui indiquer quand une punition est terminée et que l'on peut passer à autre chose. Cela doit passer par une demande de pardon formalisée par Philippe que vous accepterez si la punition est finie. Prendre Philippe dans vos bras ou sur vos genoux pour un câlin est un excellent moyen de lui signifier que la punition lui a permis d'expier l'écart qu'il avait fait et qu'il a de nouveau toute votre confiance. Il n'est alors plus possible d'y revenir... encore moins plusieurs semaines plus tard... encore moins si c'est une tierce personne, fut-elle sa mère, qui s'en charge. Il y aurait alors une épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête. Vous imaginez bien comment, en terme d'éducation, c'est improductif.
Vous devez exiger de votre nièce qu'elle cesse ces pratiques. Il y aura suffisamment de raisons qui justifieront une fessée quand Philippe sera de retour chez lui pour ne pas avoir besoin d'en rajouter indûment.

Vous devez donc pouvoir graduer la sévérité des punitions en fonction de la faute commise, surtout si les motifs de recours à la fessée deviennent plus nombreux. La fessée au martinet n'y suffira pas. Vous aurez à lui administrer des fessée moins sévères, à main nue, par exemple ou plus sévères, avec une baguette de bois, une ceinture... à vous de trouver avec quel instrument vous arriverez à le punir plus rigoureusement.
Je crois avoir compris que vous lui baissez la culotte pour le fesser et que vous l'envoyez au coin. Les deux sont indispensables à chaque fessée. Ces pratiques me semblent à conserver. J'ai compris que l'arrivée d'une visiteuse ne met pas fin à la punition, ce qui me semble satisfaisant.
Je suis plus interrogative sur les positions que vous lui faites prendre pour le fesser. Ordonner à son puni de se courber au milieu d'une pièce pour le fesser, se comprend pour une personne qui n'a pas de lien affectif avec celui qu'elle punit. Ce serait le cas si l'un des professeures de l'université que fréquente votre petit-neveu, envisageait de le fesser, mais malheureusement ces pratiques n'y ont plus cours. Lorsque le lien affectif est patent, ce qui est votre cas avec Philippe, il est nécessaire que la fessée l'active et le renforce. Cela demande qu'il soit non seulement dans une position disciplinaire, mais aussi dans une situation infantilisante. Les positions qui impliquent une plus grande proximité, un contact corporel entre la tutrice et son pupille, sont préférables. Allongez-le à plat-ventre sur vos genoux, courbez le sous votre bras (mettez-le à genoux si sa taille ne permet pas de lui administrer commodément une fessée), il se sentira non seulement fessé, mais également fessé par vous parce qu'il s'est comporté comme un petit garçon, ce qui lui sera encore plus salutaire.

Je reste à l'écoute des questions que vous pourriez vous poser.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée



De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 20:26:18
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

Merci beaucoup pour votre message. Je vais tâcher de répondre à certaines de vos remarques. Tout, d'abord, il est vrai qu'une fessée par semaine, c'est peu. Vu le comportement de Philippe, s'il avait quelques années de moins, il se retrouverait bien plus souvent déculotté sur mes genoux pour se prendre une bonne séries de claques sur les fesses. La difficulté est que vu mon âge et le sien, je ne me vois pas utiliser cette méthode et je n'arriverais sans doute pas à lui infliger une douleur suffisante pour une punition. Je réserve donc la fessée pour les fautes les plus graves et dans ce cas c'est le martinet. Pour les cas moins graves, je me contente de lui faire des remontrances mais peut-être ai-je tort.

J'ai parfaitement conscience de la nécessité de continuer à fesser Philippe pendant encore de nombreuses années. Mon neveu vise un diplôme bac+5 et vu son immaturité, je n'imagine pas qu'il n'ait pas besoin de fréquentes fessées pendant toute cette période. Je l'en ai déjà prévenu, il a bien sûr protesté mais vu la raclée qu'il s'est prise aussitôt après, il a compris que je ne me laisserais pas faire.

Concernant les fessées supplémentaires que lui donne sa mère, vous me permettrez de ne pas être totalement d'accord avec vous. J'ai grandi à une époque où les enfants pouvaient s'attendre à recevoir des fessées de nombreuses personnes (enseignants, voisins, famille etc.) et toute fessée de ce type était suivie d'une deuxième à la maison. De plus, dans bien des familles, le père n'hésitait pas à donner une deuxième fessée quand la mère en avait administré une. Ce principe de la double fessée ne me choque donc pas et je ne considère pas mon autorité amoindrie par les corrections que Philippe reçoit de sa mère. J'admets cependant qu'une trop grande durée entre la faute initiale et la punition n'est pas adaptée. J'en parlerai à la mère de Philippe qui avisera.

Finalement, vous abordez le mode opératoire de la fessée. Philippe n'a pas été assez précis sur ce point mais une fois qu'il est en position, mains sur la tête et penché vers l'avant, je le prends par la taille de mon bras gauche et je le fesse au martinet. Le contact corporel sur lequel vous insistez, à raison d'ailleurs, est donc tout à fait présent. Je n'utilise que le martinet, je ne suis pas certaine que d'autres instruments seraient en soi plus sévères. On peut toujours moduler le nombre de coups en fonction de la faute commise et je peux vous dire que les corrections les plus cuisantes que j'ai administrées à Philippe lui ont laissé les fesses bien douloureuses pendant plusieurs jours. Cependant, d'autres personnes que vous m'ont conseillé l'usage de la ceinture, j'y réfléchirai.

Ces quelques mots n'épuisent évidemment pas le sujet qui, dans le cas de mon neveu, est quasiment inépuisable mais je ne voudrais pas abuser de votre patience. En tout cas, merci encore pour vos conseils et pour avoir bien fait comprendre à Philippe ce qu'une vraie spécialiste comme vous pense de la fessée.

Thérèse (la grand-tante)



On Sun, Nov 4, 2018 at 9:20 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Chère Thérèse,
Le but du jeu de mon intervention n'est pas de vous imposer quoi que ce soit, mais d'attirer votre attention sur certain nombre de paramètres qui influent sur l'efficacité, en matière d'éducation, des punitions que vous pouvez donner à Philippe.

Je continue à penser que vous devriez systématiser le recours à la fessée quand Philippe a besoin qu'on lui fixe des limites. Le gronder me semble insuffisant, sauf en cas de faute bénigne. Pour cela, il faut que vous diversifiez la gamme des fessées que vous pouvez lui donner.

Si, compte tenu de la différence de stature, il vous semble difficile de le coucher sur vos genoux, utilisez l'une des positions que JLG a eu l'occasion de décrire sur le blog "une bonne fessée". Il en parle d'expérience. Vous trouverez l'article qui la décrit à l'adresse suivante : https://josiplegall35.blogspot.com/2017/09/recette-pour-une-bonne-fessee.html 

Je pense qu'il faut effectivement que vous abordiez la question des doubles fessées avec sa mère. Les cas que vous évoquez intègrent la deuxième fessée dans le temps de la punition. Bien qu'inutile et tendant à mettre en cause la pertinence de la première fessée pour sanctionner la faute, cette deuxième correction n'intervenait pas après la demande de pardon et son acceptation.
Je n'ose croire que vous imaginez ne pas solder une séquence punitive par un pardon, réintégrant Philippe dans son cadre social dont la fessée et le temps au coin l'avaient exclu et lui permettant de savoir qu'il a de nouveau toute votre confiance. Ce serait dramatique du point de vue de son éducation. Pour grandir, psychologiquement parlant, il a besoin de la confiance de ses proches, tout autant que de leur punitions.
Une fois le pardon accordé, on ne peut y revenir. C'est là où se trouve la faiblesse d'une deuxième punition différée. Je sais que la tradition à largement utilisé cette méthode, mais il est parfois bon de la questionner. Elle n'avait pas que du bon.
Tenez-moi au courant des évolutions que vous apporterez à l'éducation de Philippe.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée



De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 22:09:40
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

 Mon neveu n'est pas très grand et je n'aurais aucun problème à l'allonger sur mes genoux pour lui donner la fessée. Le problème est que cette position n'est pas adaptée pour une raclée au martinet. Elle l'est pour la fessée manuelle traditionnelle qu'on donne aux jeunes enfants. Mais de simples claques sur les fesses suffisent-elles pour un garçon de 18 ans ?

Concernant le principe de la double fessée décidé par la mère de Philippe, je crois que cela traduit aussi le sentiment de culpabilité de ma nièce qui se rend compte qu'elle n'a pas donné assez de fessées à son fils quand il était plus jeune. Je ne crois pas qu'on puisse lui jeter la pierre.  Je dirais même qu'elle a malgré tout un certain mérite d'avoir continué à lui donner le martinet jusqu'à 18 ans alors que l'on entend tous ces charlatans recommander l'éducation sans fessée, que les parents qui en donnent cessent cette pratique à l'adolescence pour la plupart, et que l'utilisation du martinet a quasiment disparu alors que nous savons parfaitement que rien ne vaut cet instrument pour remettre un garnement sur le droit chemin.

En tout état de cause, je ferai part à ma nièce de vos observations mais je ne peux rien garantir quant à sa décision. Je vous tiendrai au courant de l'évolution de la situation. Merci encore,

Thérèse



On Sun, Nov 4, 2018 at 10:37 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Thérèse,
La fessée "allongé en travers des genoux" est bien adaptée pour corriger soit avec la main nue, soit avec un instrument court.
Imaginez la situation : Philippe à dix-huit ans, vous le faites venir devant vous suite à une bêtise pas trop grave ou une négligence légère, vous lui défaites son pantalon et vous le lui ramenez sur les mollets, vous lui baissez alors la culotte que vous abandonnez à hauteur de ses genoux, vous prenez le temps de le gronder, fesses nues debout devant vous en lui expliquant pourquoi il va recevoir une fessée, vous le couchez alors en travers de vos genoux et vous lui donnez une fessée à main nue. Croyez-vous que la punition ne sera pas effective ? Il aura été traité comme un petit garçon désobéissant. Si la fessée n'est pas des plus sévères, c'est plus son esprit qui sera marqué que ses fesses. Je vous assure que la leçon sera retenue. Ne négligez pas l'aspect psychologique de la fessée.
La rigueur de la fessée ne dépendra pas de la force que vous y mettrez, mais de la vitesse avec laquelle votre main atterrira sur ses fesses et de la forme que vous lui donnerez à ces moment-là. Elle doit épouser le plus parfaitement possible la courbure du postérieur de votre petit-neveu. Vous pouvez donner ainsi des fessées non négligeables qui chaufferont les fesses sur le moment sans que cela dure plus de quelques minutes. Une petite mais réelle fessée, mais qui fait son effet, notamment par son caractère infantilisant.
Vous souhaitez en augmenter la sévérité ? Pas de souci ! Munissez-vous d'une brosse à cheveux à dos plat ou d'une courte baquette souple en bois ou encore d'une règle plate en bois, quarante centimètres de long suffiront. Utilisez ces instruments pour administrer la fessée à votre petit-cousin alors qu'il est à plat-ventre sur vos genoux. Il devrait s'en souvenir et n'aura aucune envie d'y revenir.
Encore plus sévère ? Soit ! Le martinet ou la ceinture alors que vous l'avez courbé sous votre bras.

Vous disposez alors d'une gamme complète de fessées à la sévérité graduée que vous pouvez utiliser en fonction de l'écart que vous avez à sanctionner. Infiniment plus efficace qu'une simple réprimande, non ?

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 23:59:41
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,
  
Certes, la fessée déculottée sur les genoux a un aspect symbolique fort et l'aspect infantilisant peut compenser le côté moins cuisant pour les fesses. J'essaierai la prochaine fois que l'occasion se présentera, et malheureusement je risque de ne pas attendre longtemps. J'utiliserai quand même un instrument pour éviter le fameux "j'ai pas eu mal" dont malheureusement mon insolent de neveu serait capable en cas de fessée manuelle trop peu douloureuse. J'ai trouvé une belle illustration sur internet de correction donnée avec une règle qui me semble correspondre parfaitement à votre description. 

Merci encore de ma part mais aussi et surtout de la part de Philippe, qui, à la lecture de vos conseils, est de plus en plus ravi de l'initiative qu'il a prise de vous avoir contactée 😊
 Thérèse




On Mon, Nov 5, 2018 at 12:21 AM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Thérèse,
Vous diversifiez le champ de vos punitions. Philippe ne s'en portera que mieux. Vous allez lui permettre de faire de réels progrès dont vous devrez le féliciter et dont il vous remerciera... dans quelques années.

Concernant la fessée sur les genoux, l'illustration correspond bien à ce que vous devrez faire. Je vous suggère toutefois une stratégie plus progressive. Donnez-lui pour commencer une fessée à main nue si c'est ce type de correction que nécessite la bêtise qu'il vient de faire. L'adéquation de la fessée à l'écart qui la justifie me semble un principe intangible.
Si, suite à celle-ci, il se permet une insolence du type "j'ai pas eu mal", remettez-le en position et utilisez la règle jusqu'à obtenir de cris, des pleurs ou des supplications. Ce sera la punition justifiée pour l'insolence et il est normal qu'elle soit plus cuisante que la première.

Je parie qu'à la fessée suivante pour un motif bénin, il se contentera d'une fessée à main nue. Avec la multiplication des fessées et donc des mises au coin qui doivent les suivre, il va devoir devenir plus prudent autant pour épargner ses fesses que parce qu'il risque bien plus souvent de se retrouver au coin quand des personnes vous rendront visite.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée





De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 19:09:53
Objet: Re: Marre des fessées

Docteur Legendre,

C'est Philippe qui vous écrit cette fois-ci pour vous faire part de l'évolution de la situation. Comme elle vous l'a raconté, ma grand-tante m'a fait lire à voix haute votre premier message d'hier qui m'a procuré la pire honte de ma vie. Vexé, je n'ai pas pu m'empêcher de lâcher des grossièretés et la punition ne s'est pas fait attendre : 10 fois votre message à copier et une bonne raclée.

Le pire, c'est que nous avions des invités à déjeuner et tous sont arrivés pendant que j'étais au coin. J'ai eu droit à d'innombrables réflexions du genre "ta grand-tante a bien raison de te donner des fessées", "à sa place j'aurais fait la même chose", "rien de tel qu'une déculottée pour remettre les idées en place", "tu n'imagines pas la chance que tu as d'être encore corrigé", "on ne dira jamais assez les bienfaits du martinet" etc.

Une fois ce mauvais moment passé, je me suis tenu à carreau, d'autant plus que ma grand-tante semblait convaincue par vos conseils de me donner bien plus qu'une fessée par semaine. Hélas pour moi, je me suis fait rattraper par la patrouille. Ma grand-tante a croisé ce matin une voisine qui lui a raconté un incident survenu vendredi. À l'arrivée d'un bus, je suis passé devant elle pour pouvoir m'asseoir et lorsqu'elle m'a demandé de lui laisser la place, je l'ai fait en maugréant.

Je suis persuadé que si elle n'avait pas été en contact avec vous, ma grand-tante se serait contentée d'une engueulade. Mais cette fois-ci, elle a appliqué vos conseils de me corriger systématiquement pour toute faute même bénigne. J'ai d'abord téléphoné à la voisine pour présenter mes excuses. Cette dernière les a acceptées en ajoutant : "tu ne crois pas que c'est une fessée que tu mériterais ?" J'ai alors pris mon courage à deux mains pour lui avouer que c'était ce qui allait m'arriver. Et j'ai dû encaisser sa réponse : "recevoir une bonne fessée déculottée sur les genoux de ta grand-tante, comme un petit garçon de 8 ans, ça te fera le plus grand bien".

Ma grand-tante m'a fait baisser mon pantalon et mon slip et, voyant que mes fesses gardaient encore de belles marques du martinet donné la veille, elle a estimé qu'avec un postérieur encore bien endolori, une fessée à la main ferait largement l'affaire. Elle ne croyait pas si bien dire. Je n'ai jamais autant gigoté, battu des pieds et gémi que pendant la volée qu'elle m'a administrée. Je n'imaginais pas que des claques sur les fesses puissent faire aussi mal. Et le pire, c'est que cette position allongé sur les genoux, que je n'avais pas subie depuis une dizaine d'années, me donnait l'impression d'être traité comme un enfant encore à l'école primaire alors que je suis étudiant.

Pendant ma demi-heure de coin, nous avons eu la visite d'une des invitées d'hier midi qui n'a pas pu s'empêcher de remarquer "Il a encore eu la fessée ! Décidément il n'arrête pas. Ça n'arrive pas tous les jours quand même ?". Ma grand-tante a répondu qu'elle était déterminée à me donner autant de fessées qu'il le faudraitet que vu mon comportement habituel et mon immaturité, cela risquait d'arriver plusieurs fois par semaine pendant assez longtemps.

Voilà, Docteur Legendre, le premier résultat de vos recommandations. Je ne peux pas vous cacher que ce n'est pas du tout ce que j'attendais quand j'ai pris la décision de vous écrire. Je ne nie pas que certains de mes actes pourraient mériter une fessée si j'étais plus jeune mais je trouve vraiment exagéré d'utiliser cette méthode sur un étudiant de 18 ans. Je suis décu de ne pas vous avoir convaincue et encore plus déçu qu'au contraire, ce soit vous qui ayez convaincu ma grand-tante de multiplier les fessées. Mais je n'ai pas vraiment le choix et dois accepter son
autorité. Merci quand même,

Philippe



On Mon, Nov 5, 2018 at 8:38 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Mon cher Philippe,
J'espère que vous avez pris l'initiative de m'écrire en accord avec votre grand-tante. Si ce n'est pas le cas j'ai peur, pour vos fesses, qu'elle n'apprécie pas. Pour ma part, à par le fait que vous n'ayez pas obtenu son autorisation, je ne vois rien de choquant dans ce que vous m'écrivez.
Je comprends que vous préféreriez ne plus recevoir la fessée, à dix-huit ans passés. Hélas, vous en avez encore le plus grand besoin. Grandissez, mûrissez, assumez vos responsabilités d'adulte et il n'y a pas de raison que le nombre de fessées et leur sévérité diminuent. Avouez que pour l'instant nous en sommes très loin.
C'est difficile à admettre, mais quand vous regardez la situation lucidement, vous admettez, vous-même, que certaines de vos bévues méritent une fessée. Vous êtes sur le chemin de la sagesse. Continuez, c'est une longue route.
Dans quelques années, vous remercierez votre grand-tante pour sa sévérité et vous regarderez les fessées reçues alors que vous étiez étudiant, comme les jalons indispensables qui vous ont permis de grandir. Je suis donc bien dans votre camp.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 20:51:24
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

Décidément, mon petit-neveu n'en fait qu'à sa tête. Depuis que j'ai découvert cette correspondance qu'il avait entamée avec vous, j'ai interdit à Philippe d'utiliser le mail sans mon autorisation préalable et mon contrôle de ce qu'il écrit. Or le dernier message qu'il vous envoyé s'est fait dans mon dos, comme vous l'aviez deviné, Et comme vous l'avez aussi deviné, cela va lui valoir une bonne fessée. Non pas que ce qu'il écrit soit choquant mais il faut bien qu'il apprenne à obéir. Cela va faire sa 3e fessée en deux jours.Vous qui parliez dans un précédent mail de 3 ou 4 ème fessées par semaine, vous avez peut-être sous-estimé la tête de mule...

Je m'en vais de ce pas le recoucher sur mes genoux et lui donner sa 2e déculottée de la journée. Après quoi ce sera au coin puis au lit. Merci de vos conseils salutaires,

Thérèse



On Tue, Nov 6, 2018 at 12:37 AM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Thérèse,
Je constate que vous avez pris la situation en mains. Philippe va, maintenant, pleinement pouvoir profiter de l'éducation que vous lui prodiguez.
Je partage votre avis, il doit apprendre à obéir et chaque désobéissance doit se traduire par une correction. J'arrive après la bataille, cr vous devez déjà lui avoir administré sa punition, mais j'espère que vous n'avez pas été trop sévère. Il s'agit d'une première désobéissance sur ce sujet. Une fessée déculottée à main nue doit suffire. S'il recommence à  n'en faire qu'à sa tête sur ce sujet, vous devrez augmenter la rigueur de la prochaine.
Continuez à surveiller et à contrôler ce qu'il fait sur internet, c'est un outil dont les jeunes gens immatures ne doivent pas se servir sans supervision. Sur ce sujet, entre autres, il doit apprendre à demander l'autorisation.

3ème fessée en deux jours, c'est effectivement un rythme important. Sachez que vous êtes dans la phase de mise en place des règles. Philippe va tester votre résolution. Il a besoin de découvrir si ce que vous lui interdisez à l'oral, est suivi d'effet quand il outrepasse les limites que vous avez fixées. Toute limite dont le non respect n'entraîne aucune réaction, est une limite qui n'existe pas. Vous devez donc être très rigoureuses sur le respect de ces dernières.
Il n'y a pas de règle sur la longueur de ces périodes où les pupilles testent leur tutrice. Cela dépend de beaucoup de choses. En ne laissant rien passer, vous lui faciliterez le passage à la phase suivante. Il aura alors intégré que les règles se respectent, qu'elles que soient les circonstances. Les fessées devraient alors naturellement s'espacer.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mardi 6 Novembre 2018 18:55:35
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

En effet vous arrivez après la bataille, malheureusement pour Philippe car je ne me suis pas contentée de claques sur les fesses pour sa 2e correction hier. Une raison est que je m'étais un peu fait mal à la main à lui tanner le derrière lors de la fessée précédente. Une autre raison est que même si la désobéissance n'était pas d'une extrême gravité, elle avait eu lieu dans un contexte, après deux fessées le jour même et la veille, où il aurait dû se tenir à carreau et où par conséquent toute bêtise méritait d'être plus sévèrement sanctionnée.

J'ai donc pris le parti d'utiliser une règle en bois d'une cinquantaine de centimètres, en ne frappant pas trop fort mais assez longuement pour que la correction fasse son effet. Vu l'heure qu'il était, personne n'est passé pendant sa séance au coin. En revanche, le bruit des coups de règle sur les fesses, beaucoup plus sonore que le martinet, a fait que nos voisins ont entendu et Philippe a eu droit à de nouvelles remarques aujourd'hui, toutes confirmant la large approbation de l'usage de la fessée, même sur un étudiant de 18 ans comme lui.

Je lui ai d'ailleurs fait remarquer qu'à part lui, toutes les personnes qui savent que je le corrige souvent trouvent cela parfaitement justifié. Et votre avis en tant que spécialiste est sans doute le meilleur argument en faveur de la fessée. 

Thérèse



On Tue, Nov 6, 2018 at 8:21 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Thérèse,
Mes avis ne sont que consultatifs et ne portent que sur des points de détail. Vous avez pris en main la situation et vous me donnez l'impression que la direction dans laquelle vous allez est ce dont Philippe a besoin. Je ne peux donc qu'approuver les décisions que vous prenez.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 15 Novembre 2018 18:31:00
Objet: Re: Marre des fessées

Docteur Legendre,

Je profite de l'absence de ma grand-tante pour vous poser un question. Je viens de lire un article qui annonce que la fessée va être interdite en France comme elle l'est déjà dans de nombreux pays en Europe. Le journal donne de nombreux arguments contre les punitions corporelles. Ne croyez-vous pas que ce serait l'occasion de persuader ma grand-tante d'arrêter les corrections qu'elle m'administre presque quotidiennement depuis la correspondance que vous avez eue avec elle ? 

J'ai encore eu droit à une déculottée hier soir. Tout ça parce que j'avais osé lui répondre. Ne trouvez-vous pas qu'elle exagère ? J'ai quand même 18 ans ! Je vous quitte car ma grand-tante va bientôt rentrer et il ne fat pas qu'elle me voie sur l'ordinateur sans son autorisation. J'attends une réponse favorable de votre part,

Philippe



On Thu, Nov 15, 2018 at 8:40 PM <jeanine.legendre@laposte.net> wrote:
Philippe,
Je crois que les tentatives, toutes avortées jusqu'à maintenant, pour faire interdire la fessée, ne concernent que celles qui sont données aux enfants. Ce n'est pas votre cas, Philippe.
Encore une fois, vous sont-elles profitables ? Soyez attentif à votre comportement. Tenez, ne croyez-vous pas que de m'écrire, sans l'autorisation de votre grand-tante, révèle un comportement enfantin ? Le besoin de braver l'interdit ? Comment voulez-vous, après cela, que votre grand-tante ne recoure pas à la fessée ? Vous en avez à l'évidence besoin. Apprenez à obéir et nous en reparlerons.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée




De: "Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 15 Novembre 2018 21:14:22
Objet: Re: Marre des fessées

Dr Legendre,

Je suis la grand-tante de Philippe. Une fois de plus cet impertinent vous écrit dans mon dos. La dernière fois, cela lui avait valu quelques bons coups de règle en bois sur les fesses, cette fois-ci ce sera le martinet. Et le pire, c'est qu'il vous écrit pour se plaindre des fessées que je lui donne ! Vous lui avez pourtant expliqué en détail pourquoi il les mérite mais cela n'a manifestement pas suffi. Décidément, cette première phase que vous évoquiez où les pupilles testent leur tutrice et où il leur faut des corrections très fréquentes risque de durer avec Philippe. Mais il se lassera de recevoir sa fessée quotidienne avant que je ne me lasse de la lui donner. Merci pour votre réponse ferme qui l'a bien remis à sa place,

Thérèse




De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>

À: ""Philippe M******" <philippe.m*********@gmail.com>
Envoyé: Vendredi 16 Novembre 2018 03:02:17
Objet: Re: Marre des fessées
Thérèse,
Vous mettez en évidence combien la fonction de tutrice d'un jeune adulte est exigeante. Il vous faut de la persévérance et de la rigueur. Soyez attentive à ne punir Philippe que quand il l'a mérité, mais soyez alors implacable. Il doit recevoir une fessée qui constitue, pour lui, une bonne leçon.
Ne négligez pas le moment où il doit venir demander pardon. Il aura alors besoin de votre réconfort. La main qui a fessé doit également savoir consoler. Si, à ce moment, vous devez encore le considérer comme un petit garçon et agir en conséquence, ce sera le moment de passage qui lui permettra de reprendre son statut d'adulte... jusqu'à la prochaine fessée.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée


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3 commentaires:

  1. Bonjour Docteur,

    La tâche de tutrice /tuteur est difficile et délicate.
    Eduquer sans maladresse, punir pour recadrer, indulgence sans faiblesse...
    Le jeune homme se conduit comme un garçon immature, vu côté adulte. Parfois, derrière un comportement immature se cache un désir de protection inavoué. Et si cette personne n'ose l'exprimer avec des mots, elle le montre par ses actions jugées puériles par certaines personnes de son entourage. La fessée est le pendant de la caresse.
    J'oserai cette petite équation :
    Amour = attention = éducation = punition/récompense.
    Qu'en pensez-vous ?
    Respectueusement. Peter Pan.

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    Réponses
    1. Bonjour Peter Pan,
      C'est effectivement un investissement important que d'accepter le rôle de tutrice vis à vis d'un adulte qu'il soir un garçon ou une fille. Certaines le conscientisent en assumant le rôle, mais je n'ai pas connu de personne qui le regrettent. En fait, quand elle en prennent la responsabilité, elles savent, inconsciemment, que ce rôle les engage profondément. Cela correspond souvent à leur nature profonde, quelque chose qui ressemble à une relation mère enfant.
      Dans votre équation, j'aurais tendance à remplacer le mot amour par affection. Selon les statuts respectifs, il ne s'agit pas toujours d'amour. Prenons, par exemple, la situation d'une logeuse qui exerce une autorité allant jusqu'à la fessée déculottée sur une autre adulte. Il ne s'agit pas vraiment d'amour. Ce mot est trop fort. Affection est donc plus général, l'amour n'en est qu'un cas particulier.
      Sous réserve de cette modification, je suis tout à fait d'accord avec votre équation.
      Docteur Jeanine Legendre.

      Supprimer
  2. Arrivés à leur majorité, beaucoup de jeunes adultes manquent de maturité et se comportent encore en ado. Tous n'ont pas la chance, d'avoir une mère, une tante, une tutrice pour les recadrer...même sévèrement.

    Oliver Twist

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