jeudi 22 novembre 2018

Lucas chez Miss Kassandra - 3ème visite

Lucas chez Miss Kassandra. Nous n'en sommes pas au premier épisode. Une visite scénarisée chez une professionnelle de la fessée...

Les bonnes fessées de ma belle mère : une nouvelle visite chez Miss Kassandra
(Cet épisode a été vécu, je n’ai rien inventé, je n’ai fait que relater les faits qui se sont déroulés)

 C’est ma quatrième visite chez Miss Kassandra, la fameuse disciplinarian qui donne la fessée pour corriger les mauvais comportements. Notre dernière rencontre datait de quelques mois et j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour me faire recadrer et sévèrement punir.
Connaissant bien ma correctrice et son expertise à fesser, je me sens en totale confiance. Elle ne m’a pas vu depuis longtemps et  je redoute, je crains ses bonnes fessées, je sais qu’elles font mal et en même temps j’y prends un certain plaisir car je me sens pris en main avec méthode et envie. Miss Kassandra avait pu tester ma résistance aux claques et connaissait parfaitement le degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. Ce que j’attendais et en même temps redoutais : va-t-elle me donner des fessées encore plus fortes et sévères que les précédentes ?

Je décidais de lui envoyer un mail pour reprendre contact :

Bonjour Miss Kassandra, j'espère que tu vas bien.
C'est moi Lucas, après quelques mois de pause, j'aurai besoin d'un sérieux recadrage.
Es-tu dispo mardi 25 octobre dans la matinée, par exemple 10h ou 11h ?
Je souhaiterai jouer avec le scénario suivant : je suis un élève de 14 ans dissipé et insolent. Je suis convoqué chez ma belle et jeune belle-mère pour une sérieuse séance de correction. Le motif: j'ai fait beaucoup de bêtises, j'ai séché plusieurs fois les cours, j'ai été insolent avec mon prof de Maths et pour finir, j'ai eu zéro à ma dictée. Je ne t'ai rencontré qu'une fois lorsque mon père nous a présentés. A cette occasion tu m'as trouvé assez mal élevé et ayant besoin de discipline. A mon arrivée tu liras une lettre dans laquelle tu énonceras les règles  à respecter chez toi et les punitions qui en découlent. Pendant toute la séance je devrais te répondre poliment par oui Maman ou non Maman. Cela te convient t'il ?
Dans l'attente de te lire,
Bises
Lucas
Je reçu sa réponse par mail quelques minutes après
Bonjour Lucas je recevrai  jusqu'à  midi le 25 octobre ; De ce fait tu es convoqué à 10h. J'aime bien le scénario. Confirme-moi bien que tu seras présent pour ce rdv. Je te souhaite une belle soirée, en attendant de te coucher sur mes cuisses et je te dis à bientôt. 
Miss Kassandra

Je voulais maintenant rentrer dans le jeu, dans le scénario. Je ne suis plus Lucas l’adulte mais le petit garçon convoqué chez belle Maman. Je lui écris un mail assez explicite à ce sujet.

Bonjour Belle Maman. Pour ma convocation chez vous le mardi à 10h, voici la lettre revue et corrigée que vous me lirez à mon arrivée. J’ai aussi joint un carnet de punitions afin que vous puissiez sévir selon les bêtises constatées. J'espère qu'il vous convient. J’attends de vos nouvelles, la menace d'une bonne correction me fera bien patienter en attendant de vous revoir,
Je vous embrasse
Lucas

J’attendais tout fébrile la réponse à mon mail m’attendant à être bien sermonné par mon parent. Elle me répondit dans la foulée :

Bonjour  Lucas. Tes fautes m’ont réellement mise en colère et je t'avais bien dit que je pouvais être très stricte avec les enfants. De ce fait je t’attends à 10h pétantes. Je sais que tu sèches les cours en ce moment sans compter tes notes lamentables et ton insolence vis à vis de ton prof de math. Pour toutes ces raisons, aujourd'hui et durant deux heures, tu vas connaître une correction de taille, tes fesses s'en souviendront longtemps et ce sera totalement mérité. 
Il est temps que je reprenne ton éducation d’enfant en main. 
A bientôt Lucas
Maman !

Plus on se rapprochait du rendez-vous,  plus je m'imaginais Miss Kassandra avec sa robe noire ajustée, moulant sa belle poitrine, ses longues jambes gainée de bas avec ses chaussures à talons hauts. Je me souviens de ses belles mains expertes à corriger.  Sa réponse ne faisait aucun doute sur ce qui m’attendait. Plus je me rapprochais de la correction et plus je sentais que je l’avais méritée.
Le jour J arrive et malheureusement je suis en retard, je lui envoi un SMS pour la prévenir :
 Bonjour Miss K, je serai en retard de 30 minutes, j’ai un problème de transport.
Sa réponse par SMS fut immédiate et très brève :
Bien !
Que voulais dire ce  point d’exclamation ? Sans doute qu’elle était contrariée que je sois en retard. A cet instant je me disais que je méritais une fessée dès mon arrivée pour être en retard. Cela commençait bien. J’arrive finalement chez elle. Je sonne à sa porte. Miss Kassandra  me reçoit aimablement et me demande de déposer mon manteau et d'enlever mes chaussures. Elle est charmante et accueillante et elle m’embrasse comme le ferait une mère avec son enfant, un câlin très tendre et familial. Je suis assis confortablement sur une chaise. Elle se tient debout devant moi et m’annonce qu’elle a un courrier à me lire.
« Mon cher Lucas, Tu fais partie de la famille. Depuis que je suis en couple avec ton père, je te considère désormais comme mon propre fils. A cet égard je saurai faire preuve de tendresse et d'attention, tu seras toujours le bienvenu chez moi. J'ai des enfants du même âge que toi et Il est normal que je te  traite de la même façon qu'eux. Ton avenir m'importe tout autant que celui de mes propres enfants. Je te préviens Thomas, toutes les mauvaises habitudes que tu as prises, vont devoir disparaître. Il n'est plus question, mon garçon, que tu désobéisses, fasses preuve de paresse ou que tu me mentes. Déjà pour commencer, je te demande de m'appeler "Maman", de me dire « vous »  et de me répondre poliment par « oui Maman » ou « Non Maman » sous peine de recevoir une bonne paire de claque, c’est compris Lucas ? »
Elle s’interrompt pour voir si j’ai bien compris la consigne. Je réponds du tac au tac
« Non pas question vous n’êtes pas ma mère »
Elle pose la lettre, s’avance vers moi et elle me décoche une volée de claques sur mes deux joues. Mon effronterie est stoppée net par la cinglante reçue.
« As-tu bien compris Lucas ? »
« Oui Maman »
« C’est mieux tu vois qu’avec moi il vaut mieux obéir ! »
Elle poursuit la lecture de sa lettre :
« Je dois faire attention à ce que ton comportement corresponde à mes exigences. Sous mon toit, ce sont mes règles de discipline qui s'appliquent. Les choses sont simples mon garçon : si tu fais une bêtise ou me désobéi, je te donnerai une bonne FESSEE. Sache mon enfant que  je baisse toujours la culotte avant de la donner, quelques secondes me suffisent pour déculotter et te coller cul nu en travers de mes cuisses,  c’est compris mon garçon ? »
« Oui Maman »
« Je suis une Maman aimante mais très stricte et je donne souvent de bonnes FESSEES déculottées aux enfants pas sages qui finissent en pleurs, les fesses bien rouges ! Mes mains sont redoutables et du lever au coucher la fessée peut tomber,  gare à tes p’tites fesses ! Et après la correction je te met au coin fesses nues pour réfléchir »
« Oh non Maman pas la fessé, je ne... »
« Tais toi mon petit je n’ai pas fini de lire ! »
Elle enchaîne
« Si la faute est plus grave, je te fesserai avec mon martinet ou ma strappe. Mes corrections sont si cuisantes que tes fesses vont beaucoup rougir... Quand j'annonce la correction, je déculotte et ma FESSEE est immédiate sans possibilité de l'éviter. Cela ne te servira à rien de supplier, te tortiller, ni tes pleurs, ni tes supplications ne m’arrêteront. Quand je fesse c’est moi qui décide quand la FESSEE démarre et quand la FESSEE s’arrête. Tu auras donc la FESSEE à chaque fois que je penserai que tu en a besoin. Ce ne sera  que la première d'une longue série. »
Je baisse les yeux honteux.
« Je constate que cette semaine tu as commis de nombreuses bêtises : -tu as séché les cours, -tu as été insolent envers ton prof de maths, -tu as eu zéro à ta dictée, quelle honte ! Mon cher enfant je dois sévir et la correction que je vais t'administrer va te faire regretter toutes tes fautes, vilain garçon viens ici que je te corrige. ».
Joignant le geste à la parole elle me tire par l’oreille et me courbe sous son bras. Elle me donne quelques bonnes claques sur mon pantalon. A partir de ce moment je réalise que j’ai perdu tous mes privilèges d’adulte, je dois me laisser faire, obéir et je suis le jeune garçon sermonné et puni par sa mère qui reprend son éducation en main et qui a bien raison de sévir.
« Mon cher enfant viens ici que je te déculotte, mes mains me démangent de t’en coller une bonne »
 « Une…une….fessée » dis-je tout penaud et la voix hésitante
« Oui mon garçon tu  mérites une  fessée longue et cuisante » me répond Maman d’un ton autoritaire.
Elle me dirige vers sa chaise à fessée, me tirant par l’oreille. Me voila droit devant elle pendant qu’elle déboucle ma ceinture et me baisse avec autorité le pantalon à mi cuisse. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton encore plus sévère
«  Allonge toi en travers de mes cuisses que je te fesse correctement !"
 D’un mouvement énergique elle me bascule en travers de ses cuisses. Je suis surpris par la poigne de Maman et je pose mes mains tendues sur le sol.  Elle me donne une petite fessée sur ma culotte assez agréable et peu cuisante. Je suis aux anges.
« Je vais t'apprendre à m’obéir, Maman donne toujours la  fessée déculottée  »
En quelques secondes elle me baisse la culotte en la retournant sous les fesses. Dans cette position pas de doute, si quelqu’un rentre, il verra une mère corrigeant proprement son petit garçon, la culotte baissée, allongé à plat-ventre sur les belles cuisses de Maman. Elle prend plus d’élan pour me donner la fessée. Ses mains claquent mes fesses, de plus en plus fort. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme un petit garçon. Après quelques minutes, elle me relève, je remonte ma culotte et mon pantalon. Elle me met au coin. Je reste au coin, les mains sur la tête, la  culotte à nouveau baissée pendant cinq minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
« Lucas, Maman est furieuse que tu aies séché les cours, tu mérite une bonne correction, viens ici ! »
« Oui Maman »
Joignant le geste à la parole elle s’assoit sur la chaise, me couche sur ses genoux. Elle me déculotte en deux secondes et commence sa fessée. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et j’encaisse les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrêtera, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elle me fesse pendant de longues minutes. Cette deuxième fessée est beaucoup plus cuisante que la première surtout quand vous avez déjà les fesses bien rouges. Je constate honteux que Miss K « Maman » n’a pas perdu la main et qu’elle se souvient du degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. Elle me dirige vers le bureau et je dois m’asseoir sur la chaise à paillasson que je redoute tant.
Quelle honte d’être assis cul nu sur la chaise et en plus cela picote les fesses déjà bien rouges.
« Prend ton stylo et copie moi dix fois je dois obéir à Maman sous peine d’être corrigé »
Je m’exécute et je n’ai qu’une hâte, quitter la position assise tant cela me cuit le postérieur. Elle me demande de retourner au coin en remontant culotte et  pantalon. Mains sur la tête, bien collé au mur, je dois méditer en silence et je m’entends répondre du tac au tac « Oui Maman » ou « Non Maman » à chaque question posée. Pendant que je suis au coin je me montre assez impertinent, et j’oublie de dire Maman après le fameux oui
« Mais quand vas-tu obéir mon garçon ?  Penche-toi bien en avant, en reculant tes jambes »
Maman me  déculotte et s’absente quelques minutes. J’attends fébrilement ma prochaine correction, fesses nues, et bien rouges. Elle revient brandissant le martinet, l’instrument de correction d’antan si redouté par les enfants pas sages. Maman brandit le martinet et me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues. Je dois compter à voix haute les coups, 20 en tout. J’ai très mal aux fesses. Elle baisse ma culotte à mes pieds et me maintenant contre son flanc légèrement courbé sous son bras, elle me donne une nouvelle fessée très rapide et expéditive qui après le martinet est presque un soulagement. Me voilà fébrile le cul nu en pénitence à nouveau mains sur la tête.
Elle devient tout à coup beaucoup plus aimante m’attirant contre elle, elle m’assoit sur ses genoux et me prend dans ses bras pour me consoler. Cela me fait beaucoup de bien ce câlin si tendre, ce moment suspendu assis sur les genoux de Maman, les fesses nues, ma culotte à mi cuisse, Miss Kassandra sait aussi jouer la Maman tendre et câline et j’apprécie ses douces caresses enlacé dans ses bras, le visage dans son cou, mon ventre collé à sa généreuse poitrine. Quelle sensation agréable d’être consolé par Maman qui vient de me flanquer une bonne correction si méritée. Dans ma tête je l’entends me dire « mon enfant, je fesse et je câline à la fois. Je t’aime comme mes enfants et je dois aussi sévir quand tu n’es pas sage, Maman est stricte mais juste, elle t’a donné une bonne fessée car tu l’as méritée ». Elle poursuit son câlin avec de tendres paroles.
 « Tu vois mon enfant, Maman t’aime bien et si tu es sage elle peut te consoler, te rassurer, te chérir comme ses autres enfants, mais quand tu n’es pas sage Maman donne la fessée c’est tout simple, compris Lucas ?
« Oui Maman »
« Tu vois qu’il vaut mieux m’obéir »
Je me relève et elle me dirige vers le canapé ou elle s’assoit, je suis énergiquement propulsé en travers de ses cuisses étendues tout du long. C’est sans doute la position la plus confortable qu’il soit mais devinant ce qui m’attend, je ne suis pas si détendu. Elle prend son temps Maman, pour l’instant je profite de cette position mais je sens monter en moi une certaine angoisse : quand la fessée va-t-elle tomber ? Combien de claques ? Quelle sévérité ? J’ai les fesses encore bien chaudes de ma précédente raclée. J’attends le motif de ma correction.
 « Tu as été insolent avec ton prof de maths, c’est bien ça mon enfant ? »
« C’est un con, oh non je ne voulais pas dire ça pardon Maman  » les mots m’ont échappé et je sens sa fureur monter.
« Quelle impertinence, je vais t’administrer la fessée qu’aurait du te donner ton prof, c’est  dommage que cela soit interdit à l’école, tu mérites d’être sévèrement recadré »
Et la raclée commence, terrible volée, une main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. Maman a décidé de me surprendre et me donne une fessée retentissante aussi forte que possible sur mon pantalon c’est moins douloureux mais après une trentaine de claques, elle me bloque le bras dans le dos et me fait pivoter sur sa cuisse gauche emprisonnant mes cuisses avec son autre jambe. Elle me baisse à la volée pantalon et culotte. Je réalise à ce moment que je suis à sa merci, bloqué et mes fesses bien à la portée de sa main. Quelle honte, d'être ainsi posté sur le canapé. Jai très mal aux fesses et ce n’est qu’un début.
« Mon petit Luca qu’est ce que Maman t’a promise en cas de grosse bêtise ? »
« Heu, non pas…. »
« Non pas quoi mon enfant ? »
« La fessée Maman, vous m’avez promise la fessée déculottée »
Elle me gronde et me donne la plus grosse fessée de la séance, de plus en plus fort et de plus en plus vite, une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, je suis en sanglots alors Maman ralenti le rythme de ses claques, la fessée devient plus légère, elle soulage presque. Elle fait une pause sans doute pour reposer sa main et constater la couleur rouge coquelicot de mes fesses. Je me relève les fesses me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon Jamais je n’avais reçu de fessée aussi forte et longue, Je  me sens honteux. Dans ma tête je suis un sale gosse sévèrement corrigé. Tout docile, je me rends au coin, empêtré dans mon pantalon à mes pieds. Maman m’autorise heureusement à me reculotter. C’est une pause bienvenue pour mes fesses si rouges et brulantes.
« Retourne t’assoir sur la chaise paillasson et écris ce que je vais te dicter »
Me revoilà assis sur la chaise cette fois avec mon pantalon, cela fait moins mal mais je sens quand même les picotements. La dictée dure quelques minutes, il s’agit de bien comprendre les règles de Maman et d’être conscient de ce qui peux arriver en cas de désobéissance, Elle fait un parallèle avec ses grands enfants qui selon elles sont beaucoup plus sages depuis que la fessée sévit à la maison. Elle jette un coup d’œil à mes écrits et fronce les sourcils levant sa main menaçante.
« Tu te moques de moi mon garçon, tu croyais que je n’aurai pas vu. Tu as délibérément copié à la dernière phrase je promets de ne pas obéir à Maman, tu me cherche on dirait »
Maman me demande de me lever, elle approche le banc rouge et me couche en travers. Je suis penché en avant, j’ai les bras tendus, mon ventre repose sur le banc et je suis à genoux. Elle ne prend même pas le temps de me dégrafer la ceinture, elle me baisse à la volée le pantalon et la culotte juste ce qu’il faut pour exposer mes fesses nues. C’est une étrange sensation, c’est beaucoup plus fort comme impression car on s’achemine vers une fessée expéditive comme celle qu’un parent donnerait à son vilain rejeton sous le coup de la colère.
C’est encore pire car Maman Kassandra revient avec le martinet et la strappe. Elle lève la main brandissant le martinet à larges lanières et me cingle les fesses en me demandant de compter les coups. Après 40 coups, je reçois 30 coups de strappe. C’est un instrument très flexible qui claque vigoureusement provoquant un bruit étonnant et Maman sait le manier. Quelle raclée je reçois. Elle finit par une formidable fessée. Je compte jusqu’à 80 et sa main se calme. Je me relève et suis conduit au coin pour ma pénitence. Comme à chaque fois, je dois remonter ma culotte après chaque fessée et me déculotter après chaque mise au coin. Ce cérémonial est le propre de toute bonne correctrice qui impose elle-même à son cher enfant la honte de se faire baisser la culotte, préambule à une bonne volée ,de se laisser guider, de s’abandonner, d’obéir à sa chère Maman qui a l’autorité nécessaire pour gronder, punir, déculotter et fesser en toute impunité. Je suis joueur et je la provoque encore une fois. Très mauvaise idée....Maman fond sur moi me reculotte et me conduit près de sa chaise. Elle pose sa jambe en appui sur la chaise légèrement en hauteur et m’attire penché vers sa cuisse. Elle me baisse pantalon et culotte. Je réalise que je vais payer cher mon insolence.
« Ah mon Lucas, tu continues à me provoquer et bien tu vas le regretter ! Maman va te donner une de ces fessées, tu vas t’en souvenir longtemps, tes fesses vont te cuire mon cher enfant ! »
Je ne fais pas le fier car vu les fessées reçues, j’imagine que celle-là va être encore plus douloureuse. Ce n’est pas la position idéale pour Maman qui a du mal à me placer en équilibre sur sa cuisse. Mes bras tendus sont agrippés au meuble, mes jambes battent dans le vide. A force de bouger ma culotte et mon pantalon ont glissé vers mes pieds. Faisant preuve d’une grande maîtrise elle me colle contre sa hanche m’enroulant le ventre pour me maintenir en position, les fesses bien tendues et prêtes pour leur dégelée. Elle m’annonce la bonne fessée de Maman, la fessée parentale dans toute sa splendeur. Elle lève la main bien haut et me claque rapidement les fesses. Je reçois plusieurs séries de claques, par dizaine, des claques de plus en plus fortes et rapides. C’est sans doute ma dernière fessée, donc Maman doit s’appliquer pour me faire bien mal. Elle fesse son vilain garçon et elle s’attend à ce que je demande pardon, pleurant à chaudes larmes, promettant de ne plus recommencer, d’être poli, sage et obéissant. Ses fessées sont retentissantes, mémorables et très cuisantes. J’ai beau supplier  et  demander pardon. Rien n'y fait quand Maman fesse, elle déculotte et elle fesse longtemps et avec une grande maîtrise. Elle  ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire. Elle termine sa formidable fessée déculottée par 10 claques retentissantes, Une dernière fessée, une fessée magistrale, méthodique, presque académique qui montre que Maman Kassandra a l’habitude de flanquer de bonnes raclées aux vilains garnements.
La correction se termine, je remonte ma culotte et remets mon pantalon.
« Tu as vraiment mérité chacune des fessées reçues mon cher enfant ? »
« Oui Miss Kassandra, ou devrais je dire Maman, je ne pensais pas que vous me fesseriez si fort, j’ai les fesses rouges et je vais supporter la cuisson pendant quelques temps »
 « Mon cher Lucas, tes fesses marquent peu et cela faisait longtemps que tu n’étais pas venu me voir donc tu as eu ce que tu mérites, sache que je peux fesser beaucoup plus fort si besoin est »
« Oui Miss Kassandra, c'est vrai que vous avez été plus sévère, j'ai encore plus mal aux fesses que la première fois. »
« Et puis je dois aussi te punir pour ton retard, une demie heure ! Quelle honte de me faire attendre. C’est la fessée immédiate viens ici mon petit »
Quelle surprise, je ne m’attendais pas à recevoir une autre correction, je suis rhabillé, prêt à partir et me voila de nouveau conduit vers sa chaise ou Miss Kassandra me demande de m’agenouiller. Elle me baisse le pantalon et me couche en travers de sa cuisse gauche, et d’un geste rapide baisse ma culotte et me maintient le bras bien immobilisé dans le dos. La fessée claque, clac, clac, clac. Une terrible fessée. Que Miss Kassandra fesse bien, elle sait doser et prolonger la longue fessée qui se termine par de fortes claques sur mes fesses qui sont rouge tomate.
"Regarde tes fesses dans le miroir, toutes rouges, tu vas penser longtemps à moi et te souvenir de mes mains »
« Oui elles sont bien rouges je vais le sentir pendant plusieurs heures surtout les coups de martinet et de strappe, heureusement que j’ai demandé sans traces, ni marques»
« Tu sais je m’adapte à chaque besoin de mes petits garnements. Pour toi, j’aime bien utiliser mes mains, j’aime bien te fesser, tu sais te montrer si impertinent et joueur. C’est un vrai plaisir de te corriger mon Lucas »
Je me rechausse et nous bavardons en toute amitié. Elle me parle de ses clients réguliers. Elle est beaucoup demandée et elle préfère être sélective, elle se méfie des pervers et des gens un peu bizarre. Moi je repars, ravi de cette séance, les fesses très, très chaudes. 
« Au revoir Miss Kassandra, je me souviendrai longtemps des bonnes fessées de Maman ! »
Le lendemain sentant encore une légère cuisson sur mes fesses, je lui envoi un mail.
Bonsoir Miss Kassandra ou devrais je dire « Maman » si je ne veux pas recevoir une correction.
Lucas est arrivé chez Maman avec beaucoup de retard, et pas très fier de son comportement. Maman l'a bien sermonné en lui lisant la lettre, il a eu honte de ses bêtises et Maman l'a bien corrigé. Maman lui a flanqué de bonnes fessées souvent déculottées et pourtant Lucas s'est montré peu obéissant. Du coup Maman a flanqué quelques bonnes corrections au martinet et à la toise. Lucas est bien calmé, que les fessées de Maman sont cuisantes ! J'ai les fesses encore rouges et me souvient avec délice de mes passages multiples sur vos cuisses, en travers du canapé et penché sur le bureau. Maman Kassandra est une fesseuse experte qui donne de sacrées déculottées. Elles étaient toutes méritées et Maman a bien fait. Maman est aussi aimante, ses câlins sont réconfortants mais Maman est stricte et une fessée annoncée est toujours donnée.
Merci pour cette belle séance.
J'imagine croiser Miss Kassandra  un vendredi après-midi dans un club, ni vu connu, sauf que je suis censé être en classe.
J’imagine que si c'est le cas Maman sera fâché et risque de me flanquer la fessée déculottée en public et de demander à une autre dame de me corriger. Honte à moi et gare à mes jolies p’tites fesses. J'espère que vous avez aimez me corriger 
Bises
Luca
Ps: Oups j'ai oublié de dire Maman......

Quelques minutes plus tard je reçois sa réponse :

Bonsoir  Luca, j'aime te sermonner, te fesser avant tout mais dans le cadre d'un jeu de rôle c'est très plaisant et tu sais te montrer insolent afin de te retrouver en  travers de mes cuisses. ...
J'avoue  que m'imaginer  un jour te croiser  ( croiser  mon garçon qui devrait être à  l'école ) dans un lieu pour adultes me mettrait dans une situation qui ne me laisserai pas d'autres choix que de te prendre sur mes cuisses et de t’humilier en te flanquant la fessée cul nu devant tout le monde ,une fessée royale et expéditive. Le plaisir est total quand je ne te laisse pas le choix  si ce n'est déjà que de subir....Et que tes fesses prenne cette belle couleur rouge coquelicot mon Lucas. 
A bientôt M.K 

La prochaine fois je suis prévenu, je risque une sérieuse correction et peu être devant un public féminin attentif oups…


Lucas a déjà écrit sur ce blog

Il nous a faire par de sa première visitechez Miss Kassandra, il y a quelques temps et plus récemment de la deuxième

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7 commentaires:

  1. Bonjour Lucas,

    Excellent récit. Bien retranscrit. On se voit en spectateur angoissé et muet.
    Madame Kassandra est une grande professionnelle. Une dame d'une forte personnalité. Elle doit être impressionnante.
    Je salue votre exceptionnelle résistance physique. Bravo.
    Merci pour ce moment de tête-à-tête très maternel, qui ne manquera pas de nous rappeler de pareils instants vécus dans notre prime jeunesse. La main qui caresse est aussi la main qui punit...
    Bonne journée. Peter Pan.

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  2. Quelle fessée, ou devrais je dire quelles fessées. Miss Kassandra semble s'être bien identifiée à belle maman. Une maman qui corrige et réconforte. Cela doit être assez émouvant un calin après une bonne fessée. récit précis et bien ressenti. J'espère qu'il y en aura d'autres car c'est passsionnant à suivre.

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  3. Bonjour à tous.
    Ouawww ! Pas d'alternative entre deux implacables fesseuses; Miss kassandra et madame Anne Sophie. L'une qui propose le câlin entre les fessées de plus en plus sévères, l'autre la fessée supplémentaire pour parfaire la leçon... ça claque fort, sec, cuisant et en continu !
    Amusant scénario où la belle mère prend, une nouvelle fois le rôle dominant en relai de la mère ou de l'épouse.
    Remarquables performances des deux côtés. La force de celle qui fesse et l'endurance de celui qui reçoit les fessées!
    Encore faut il avoir un paire de fesses sacrément résistante pour ne sentir le lendemain "qu'une légère cuisson sur les fesses " après un tel traitement!
    Cordialement
    Ramina.

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  4. j'aime bien ce genre de récit qui fait la part belle à la réalité avec un peu de fiction semble t'il. Dans tous les cas, la question qui me tarraude est : vous êtes la pour vous faire fesser pour des motifs liés au scénario (d'ailleurs très bien vu le rapport maternel calin/fessées) mais une fessée reçue comme adulte on la mérite ou on en a besoin ?

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    1. on peu la mériter , rarement , mais on en ressent un besoin, certain, qui apaise , son for intérieur

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  5. Cher lucas,
    la lecture de vos visites et des récits très commentés des sévères corrections qui vous ont été administrés par MK et du parcours que j'ai effectué sur son site m'ont conduit a prendre rendez vous pour me faire corriger
    Le rendez vous a été pris pour le 8 avril à midi.
    je lui ai expliqué les raisons qui m'amène à elle, nottamment la vision des vidéos de spanking et de caning sur internet
    Et que je souhaitais une correction très sévère étant endurant et acceptant les marques durables.
    Arrivé une demi heure en avance, j'adresse un sms a MK pour lui préciser que je suis déja la et que mes fesses blanches sont impatientes d'ètre colorées
    Elle me répond énergiquement que le rdv est a midi pile et qh'elle aimait la ponctualité
    je lui ai demandé si cela méritait une correction elle m'a répondu qu'elle sera sévère d'entrée de jeu
    A midi je monte au 7eme étage, la porte s'ouvre et à cet instant j'admire cette grande MK
    J'aperçois sur la table les instruments de punition
    elle s'assoit sur sa chaise et me demande dans un premier temps de ne conserver que mon pantalon et mon slip
    Elle me demande d me mettre sur ses cuisses et devant ma réticence m'allonge de force.
    je reçois les premières claques sur le pantalon et suis toute de suite relevé afin qu'elle dégrafe ma ceinture et le faire tomber sur mes pieds
    mes fesses encore protégées par mon slip sont de nouveau claquées fortement et de plus en plus cuisantes et meme brulantes et de plus en plus rouges
    Mk ne se suffit pas cette fessée et décide, non pas de descendre mon slip, mais de le tirer jusque en haut des fesses et le transformer en comme un string ficèle et l'on identifie clairement les parties a fesser séparées par le ficèle qu'est devenu mon slip
    DE nouveau sur ses genoux elle recommande taper très fortement et la cuisson augmente a la limite de la brulure.
    de elle nouveau debout elle me montre le banc a fessée et de m'y installer de sorte que mes fesses soit bien présentées
    Elle me descend le slip jusqu'au chevilles et plusieurs claques elle me présente un paddle, une planche en bois épaisse munie de tous avec lequel en prenant de l'élan me frappe 20 coups qui font très mal de sorte que la couleur de mes fesses deviennent de plus en plus foncées
    Ensuite, cu nu je me présente les mains sur une table celle-ci se situant près de la porte d'entrée munie d'un miroir,
    Je peux donc admirer le résultat de cette premire parte de ma correction
    c'est la position choisie par Mk pour m'administrer la partie la plus dure de la punition
    C'est ainsi que sans discontinuer j'ai reçu 50 cps d'un marti net extrafin mais très cinglant mk me précisant qu'il a déja bien servi
    d'ou les traces et le cinglement.
    J'ai ensuite subi 30 cps de martinet à lanières épaisses et carrées mais sans trop de mal
    C'est ensuite qu'elle a sortie la badine en rotin, aussi épaisse qu'une canne anglaise sans la poignée, une tige en bois .
    La, mk m'a demandé de regarder le miroir de sorte que je puisse admirer le bras tendu de MK avec la badine et que je vois s'abattre très fortement sur mes fesses et cuisses devant le miroir
    elle a renouvelé l'opération par plusieurs séries, a savoir 30,40,40 et la dernière très dure de 50 coups de badine soit un total de 160
    elle n'a pas voulu en donner plus mes fesses et cuisses étant violacées et bousouflées et craignant des coulures.. Mk a fait plusieurs photos qui seront sur son site des lundi 15 avril prochain
    J'y retournerais mk devant prendre livraison d'une nouvelle canne anglaise
    elle me promet une correction très sévère avec elle

    M

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  6. Mk ,est une fesseuse extraordinaire , elle sait parfaitement punir , déceler avec son regard , ce que son patient , peut lui cacher , mais après , la , les corrections tombent , et elles sont bien ressenties !

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