Vous connaissez déjà Vincent. Il nous a gratifié de plusieurs récits qui racontent ses différents passages chez Madame Anne Sophie, ainsi que l'histoire d'un stage amer mais profitable. Une production déjà respectable qui se poursuit.
Un pensionnat pour adulte en Angleterre ? Vous vous doutez que la fessée y est au rendez-vous.
Education anglaise (récit de Vincent)
Me voilà au tableau dans mon bel uniforme de collégien anglais en train de
résoudre un problème de calcul.
Miss Jennings, le professeur de maths, fronce les sourcils, sur son bureau j’aperçois le timer qui indique cinq minutes. Bientôt il va sonner et je sais ce qui m’attend, une correction exemplaire devant tous les élèves de la classe. Je sue, je cherche mes mots, je balbutie, Miss Jennings me gronde, me sermonne, j’entends les brouhahas dans la classe, on se moque, on rie, les commentaires fusent et je n’ose tourner ma tête, je suis seul devant ce tableau noir pleins de chiffres et je réalise le ridicule de la situation
Miss Jennings, le professeur de maths, fronce les sourcils, sur son bureau j’aperçois le timer qui indique cinq minutes. Bientôt il va sonner et je sais ce qui m’attend, une correction exemplaire devant tous les élèves de la classe. Je sue, je cherche mes mots, je balbutie, Miss Jennings me gronde, me sermonne, j’entends les brouhahas dans la classe, on se moque, on rie, les commentaires fusent et je n’ose tourner ma tête, je suis seul devant ce tableau noir pleins de chiffres et je réalise le ridicule de la situation
« Alors mon garçon on n’a pas appris sa leçon, tu sais ce que cela mérite ? »
J’entends les élèves qui crie le mot « spanking » je vais
recevoir une fessée devant tous les élèves, je suis si honteux de n’avoir pas
pu résoudre ce problème de maths.
« Mon cher Vincent, je
n’apprécie pas du tout que tu me fasses perdre mon temps, apparemment tu n’as
pas appris ta leçon, je vais te flanquer
une bonne fessée ! »
« Non madame vous ne pouvez pas me fesser, je fais de mon mieux »
Je fus interrompu par une bonne paire de claque qui eut le mérite de calmer
mes plaintes.
« Oui mon garçon tu mérites une
fessée longue et cuisante »
Et joignant le geste à la parole me voila debout tiré par l’oreille, penché
sous son bras.
Puis elle poursuit avec un ton autoritaire
« Et maintenant je te baisse le pantalon et la culotte »
A ce moment je ressens une certain gène, mon sexe en érection, je
bafouille, je rougi, j’ai tellement honte.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».
Elle me dirige vers le bureau et
d'un mouvement énergique me bascule en équilibre sur le bureau bien allongé, je
pose mes mains tendues sur le bureau A ce moment je réalise le ridicule de la
situation. A 21 ans je suis couché sur le bureau mes fesses nues, ma culotte à
mi cuisse, mon pantalon qui boudine à mes pieds. Et je vais recevoir une fessée
déculottée devant toute la classe, fesses bien exposées à la vue de tous, comme
si j’avais 8 ans.
« Je vais t'apprendre ta leçon mon cher enfant, tu vas recevoir la fessée déculottée devant toute la classe »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses
mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie,
me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction
devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Miss Jennings est une redoutable fesseuse, elle doit en donner souvent dans son
école……
Tout cela avait commencé 15 jours plus tôt. Je m’étais inscrit à un stage
de recadrage scolaire pour les adultes en Angleterre. J’avais contacté Miss
Hasting qui dirigeait la
Hampton Boarding School, Academy (HBSA) une école « rôle-play » pour les adultes qui pouvaient revivre leur jeunesse dans une
pension « ambiance année 50 »
Il y avait de nombreuses règles à respecter, des cours à suivre, et des leçons
à apprendre. Si vous étiez un bon élève vous étiez récompensé, si vous étiez un
mauvais élève vous étiez puni très sévèrement.
La HBSA ressemblait aux pensions traditionnelles d’antan dispensant des
cours de langue, de mathématiques, d’histoire, de géographie…selon un cursus
intensif sur 3 jours avec logement sur place dans des dortoirs non mixtes.
Cette institution pour les adultes de toutes nationalités était réputée pour sa
discipline très stricte et l’usage des châtiments corporels. Les fessées
étaient administrées culotte baissée et les professeurs utilisaient
souvent la canne, la strappe, la
ceinture, le martinet ou le paddle Les punitions prévoyaient également des
lignes à copier, des mises au coin, des corvées domestiques ou des dictées
surprises.
Dans cette institution, les maitres et maitresses d’école jouaient leur
rôle à fond et n’hésitez pas à corriger les mauvais élèves pour quelque motif
que ce soit et ils pouvaient se vanter de flanquer des corrections mémorables.
Après de nombreux échanges par mail et par téléphone j’avais pris l’Eurostar
direction la campagne anglaise pour rencontrer Miss Hasting la directrice. .Le
premier entretien s’était déroulé dans son bureau en tenue de ville. Miss
Hasting s’était montré fort aimable et m’avait longtemps questionné sur mes
motivations pour m’inscrire dans son Academy. J’avais choisi le séjour
« Strict tutorial » qui consistait en une immersion intensive pendant
trois jours avec deux nuits sur place dans le dortoir des garçons. Je devais
choisir la tranche d’âge que je souhaitais pratiquer Prep School pour les plus jeunes (4-8 ans), junior pour les moyens (9-13)
et senior pour les plus âgés (14-17). A chaque âge son uniforme, ses
règles, ses cours et ses sanctions.
J’avais souhaité vivre une régression dite « age play » ou je me retrouvais dans la peau d’un petit garçon,
donc j’avais opté pour prep school. Les cours étaient essentiellement composés par l’enseignement
des langues, d’opération de calcul, de
dictée et de nombreux travaux manuels tels que poterie, macramé, collage et
confection.
A La différence des autres niveaux les élèves de la Prep School se
couchaient plus tôt, avaient droit à une histoire, racontée par l’une des
surveillantes de dortoir, et étaient maternés comme des petits enfants,
totalement prise en charge du matin au coucher. Les Prep school portaient un
uniforme rouge et des culottes courtes. Pour le coucher, ils devaient enfiler
un pyjama moulant une pièce sorte de grenouillère
avec une fermeture à scratch dans le dos.
Après m’avoir expliqué l’organisation du cursus, les cours dispensés et les
règles de son école, elle me fit signer le formulaire d’admission.
« Mon garçon, à présent que tu es élève dans mon école, tu vas aller
te changer et mettre ton uniforme de prep school et tu reviens dans mon bureau
au plus vite ! Je ne tolérerai aucun retard de ta part »
« Quand tu reviens, je te traiterai comme un petit garçon et à la fin
de l’entretien, tu devras réciter les règles à connaître par cœur en matière de
discipline et si tu te trompe, tu recevras la fessée déculottée en travers de
mes jolies cuisses, c’est le minimum pour t’apprendre qu’avec moi on ne badine
pas avec la discipline »
Je me change, j’enfile mon nouveau costume : bermuda en flanelle
grise, slip blanc, chemise blanche, cravate rayée bleu et rouge, blazer rouge
avec l’écusson de l’école et la mention Prep school bien en évidence. Je suis
honteux, je n’ose pas revenir, je ne peux pas faire machine arrière, je dois me
rendre à l’évidence, je ne suis plus Vincent 21 ans, étudiant, je suis Vincent petit
pensionnaire à la HBSA convoqué pour un
sérieux recadrage dans le bureau de Miss Hastings.
Sa secrétaire Miss Bra m’introduit à nouveau dans le bureau. Tout de suite
je sens que l’atmosphère a changé. Je réalise à ce moment que je n’avais pas
fait attention à l’allure de Miss Hasting. Se tient devant moi une belle femme,
d’1 m 76, la quarantaine, habillée d’un tailleur prune et d’un joli chemisier
blanc comprimant une poitrine bien avantageuse. Elle porte des bottes montantes
en cuir beige. J’ai vraiment de la chance d’être pris en main par une femme
aussi élégante et sexy.
Miss Hasting a posé sur son bureau plusieurs instruments de correction, un
paddle, une longue canne en rotin et un martinet qui ressemble à celui que mon
grand père utilisait pour punir ses enfants. Je blêmis à la vue de tous ces instruments.
« Viens ici mon garçon et récite moi les cinq règles en matière de
discipline »
Je m’applique à réciter les règles en espérant m’en souvenir
« Quand une punition est donnée, les 5 règles suivantes
s’appliquent :
1)
Je dois me présenter en silence, mains sur la tête devant ma correctrice
2)
seul ma correctrice est habilitée à baisser mon bermuda et ma culotte
3 pendant la fessée, je ne dois ni protester, ni
bouger, ni supplier sous peine de rallonger la correction
4. A la fin de la correction je dois me
rendre au coin, mains sur la tête et demander pardon.
Et heu la…. »
« Et la cinquième règle, mon garçon vous l’avez oublié ?
« Je vais vous rafraichir la mémoire c’est je dois promettre de ne pas
recommencer sous peine d’alourdir la punition. »
« Je suis au regret de vous informer jeune homme que vous méritez une
bonne raclée. Avec moi on ne plaisante pas avec les règles ou c’est la fessée
immédiate ! »
Joignant le geste à la parole, elle me tire vers elle, s'assied sur une
chaise et m’allonge en travers de sa cuisse gauche. Sans perdre de temps, elle
me baisse à la volée pantalon et culotte.
Elle me gronde et me donne une fessée retentissante, de plus en plus fort, sa main a une endurance
que je ne soupçonnais pas. J’ai l’impression d’être corrigé comme quand j’étais
enfant, une fessée déculottée magistrale, c’est comme si maman me corrigeait
quand j’étais plus jeune. Une fessée méthodique,
longue et progressive Je crie, je demande
pardon
Je suis en sanglots, mes fesses me brûlent.
Miss Hastings fait une pause, je
sens la chaleur qui irradie de mon postérieur.
« Mon petit garçon, j’ai ce qu’il faut pour te corriger, un bon
martinet comme les mamans utilisaient pour fesser dans le temps en France. Il a
sévit de nombreuses fois sur les petits
derrières frenchie»
Elle prend un certain élan et me cingle les fesses, je crie de douleur, les
lanières fouettent mes fesses nues. Une série de 30 coups claque mes fesses ;
chaque coup annonce le suivant et cela me semble interminable. J’ai si mal aux
fesses. Elle me reculotte et fais une pause.
« La première fessée c’était pour t’enlever ta fierté et corriger ta
leçon non apprise, la seconde sera préventive, 12 coups de canne que tu va
compter pour que tu n’aies pas envie de désobéir Approche que je te m’occupe de tes petites
fesses »
« Mais Madame… »
.
Et c’est une nouvelle fessée, une raclée mémorable avec la canne anglaise
qui cingle les fesses et provoque une décharge telle que la douleur se propage
sur tout le fessier.
Après de longues minutes elle me reculotte et rajuste ma cravate. Elle me
conduit dans le hall de l’école ou m’attendent l’ensemble des professeurs.
Après m’avoir présenté et raconté dans les détails la correction infligée, elle
me présente à son tour les cinq professeurs qui sévissent dans cette
institution.
Je n’ose pas croiser leur regard, je baisse les yeux, honteux, assis sur
mes fesses qui me font très mal, je n’ose bouger.
Miss Jennings prend la parole en
premier
« Bonjour mon garçon, je suis Miss
Jennings, j’enseigne les mathématiques, j’encourage toujours les bons
élèves pour qu’ils progressent et je puni les mauvais ; Avec moi on
travaille, on récite ses leçons apprises par cœur. Je donne des fessées
retentissantes dans ma classe devant tous les élèves culotte baissée et j’ai
aussi une longue règle qui cingle les fesses comme jamais, »
-Bonjour mon petit, je suis Miss Pimple, professeur d’anglais, j’attends de
vous une obéissance totale en cas de
manquement c’est la fessée immédiate et le martinet familial.
Puis vient le tour de Miss Marple, professeur de géographie qui m’explique
les règles dans sa classe et l’usage fréquent de la fessée et de la fameuse
canne anglaise.
Défile ensuite Miss Crimson professeur de travaux manuels qui fesse souvent
avec sa strappe et pour finir Miss Spaak,
professeur d’histoire et responsable de la surveillance des dortoirs qui a la
terrible réputation d’être la meilleure fesseuse de l’établissement avec des
fessées déculottées administrées en travers de ses larges cuisses.
Miss Spaak me conduit au dortoir
pour me changer et me mettre en pyjama. Elle surveille chacun de mes gestes, et
elle m’enfile mon pyjama grenouillère dans lequel j’ai l’air d’un petit garçon.
Je croise d’autres élèves habillés comme moi, je réalise à présent que j’ai
perdu mon statut d’adulte, je suis traité comme un jeune garçon. J’aperçois
posé sur le lit une couche intégrale décoré avec une bande ornée de motifs enfantin.
Je crie non pas ça, je ne veux pas porter de couche.
Je suis stoppé net par une paire de claque donnée à la volée par Miss Spaak.
« Mon garçon qu’est ce que c’est que ces manières, vous devez portez
une couche la nuit sous votre pyjama, qui est fait pour ça, regardez la fente
dans votre dos, c’est pratique pour vous changer et cela évitera que vous
mouilliez votre lit »
Vous commencez bien, à peine arrivé et vous désobéissez, vous avez tord
cela va vous couter cher sur votre postérieur »
.
« Non Madame pas la fessée, je vous en prie… »
Me tirant par l'oreille, elle se dirige vers le lit. Sans dire un mot elle
me couche sur ses genoux. Elle déboutonne le dos du pyjama à l’endroit de mon
fessier, le rabattant en dessous des fesses,
laissant apparaître mes fesses nues. Elle prend une grande inspiration et
commence sa fessée. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je
trépigne et j’encaisse les claques les unes après les autres ne sachant pas
quand la fessée s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus
appuyée. Elle me fesse pendant de longues minutes, une raclée mémorable, ah que
Madame Large sait bien fesser.
«Vu ton comportement tu mérite un
sacré recadrage, cette fessée sera suivie d’autres raclées demain au petit déjeuner. Tu dois
déjà avoir mal. Tu dormiras probablement sur le ventre vu la rougeur de tes
fesses. En attendant, allonge toi sur le dos et relève bien tes jambes que je
te mette en couche pour la nuit »
Je n’ai pas d’autre choix que d’obéir. Avec une grande dextérité elle me glisse la couche et la rabat sur mon
ventre. La couche est très épaisse et elle la fixe avec les scratchs intégrés.
Elle me borde et me dépose un baiser sur le front.
Je passe une nuit assez agitée, je me tortille dans mon lit et je peine à
trouver le sommeil.
Vient l’heure du réveil oh surprise c’est Madame Jenning qui me réveille et
d’un ton ferme sans équivoque me demande de me lever et de filer dans le
réfectoire prendre mon petit déjeuner.
Je rejoins mes camarades de l’école, nous sommes huit, quatre hommes et
quatre femmes tous adultes et pourtant habillés d’un pyjama une pièce qui
laisserait penser que nous sommes 8 petits enfants attablés pour prendre un
petit déjeuner anglais frugal composé d’œuf en bacon, de porridge et de pain
toasté.
A peine le petit déjeuner entamé j’entends les remontrances de Miss Hasting
envers Marie, ma voisine de table.
« Marie, vous n’avez pas fait votre lit, c’est inadmissible et la
sanction immédiate c’est la fessée devant tout le réfectoire »
« Oh non Miss, je vous en prie, je ne recommencerai plus »
« Ca suffit, vos excuses ne suffisent pas, il faut que je vous
apprenne à respecter les règles »
Miss Hasting s’assoit sur une chaise et fait signe à Marie d’approcher.
Personne n’ose parler, il règne un silence de mort. Marie approche toute timide,
à porté de sa main Miss Hasting la fait basculer sur les genoux et en quelques
secondes, elle lui baisse le rabat du pyjama retenu par des scratchs. Marie
offre à toute l’assemblée sa jolie paire de fesses.
Prenant son élan elle claque vigoureusement les fesses. Marie reçois une
centaine de claques très, très fortes, elle a beau supplier et demander pardon.
Rien n'y fait quand Miss Hasting a
décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par de lourdes claques en
demandant à la punie de compter les claques, une fessée magistrale et
académique.
La correction se termine, Marie est en pleurs et elle est mise au coin
fesses rouges écarlates bien à la vue de tous.
En tant que spectateur j’ai apprécié le spectacle mais en mon fort
intérieur, je suis aussi troublé car je me dis que personne n’est à l’abri
d’une bonne raclée et pour en avoir reçue de bonnes je me dis que je n’aimerais
pas être le prochain.
Pas de chance on vient de citer mon nom, je frémis, je n’ose y croire on me
demande de me lever devant tout le monde.
Je me lève tout penaud, je sens l’humidité qui m’envahit petit à petit. Une fuite comment
est-ce possible, je pensais être à l’abri avec la couche épaisse que je porte.
« Bonjour Vincent, si j’en juge
par la tache qui s’étale sur ton pyjama, il semblerait que tu ai mouillé ton vêtement,
tu devrais avoir honte, un grand garçon qui mouille son pyjama ! »
« Madame je suis désolé, je ne comprends pas ce qui s’est passé »
« Bon de toutes les façons on t’avais promis une fessée au réveil,
j’ai une raison supplémentaire de te punir »
Joignant le geste à la parole elle m’allonge sur ses cuisses et comme pour
Marie, me baisse le rabat du pyjama dévoilant ma couche bien humide, avec une
grande dextérité elle la retire révélant mes fesses mouillées.
« Quand on fait pipi au lit, c’est la fessée immédiate mon garçon ! »
Elle prend son élan et.je reçois une fessée magistrale de plusieurs
minutes, des claques de plus en plus fortes.
Quelle honte d’être fessé comme une petit enfant devant tous mes camarades.
Cette fessée a été marquante à tout point de vue, je la redoutais et elle est
tombée comme une sanction, une punition, une correction comme un parent la
donne à son fils pas sage, une fessée parentale, méthodique et magistrale.
Le reste de la journée s’est déroulé sans heurt, je n’ai pas reçu d’autres
raclées mais je ne peux pas en dire autant de mes camarades. A chaque cours son
lot de punis et à chaque puni la promesse d’un châtiment corporel mémorable.
Dans cette institution, il était fréquent de fesser au martinet, à la strappe
ou même avec la terrible canne anglaise. Dans tous les cas, le puni finissait
en pleurs les fesses striées de larges zébrures rouges.
Pour les fautes les plus graves, l’élève était convoqué dans la
« detention room » sorte de pièce disposant d’un large canapé et d’un
cheval d’arçon. Au mur suspendu tous les instruments servant à fesser :
plusieurs martinets, cannes et autres paddle. Pour le puni c’était l’assurance
d’une séance de recadrage cuisante. Le cérémonial était toujours le même. Après
avoir été longtemps sermonné, l’élève était conduit au coin déculotté pendant
de longues minutes. Je n’en ai pas fait l’expérience mais une de mes camarades
Jessica en a fait les frais. Elle m’a raconté :
J’entends des talons qui claquent dans le couloir les bruits se rapprochent
la porte s’ouvre et se tiens devant moi Miss
Spaak et Miss Pimple elles ont le regard sévère et je baisse les yeux.
« Bonjour Jessica, tu es ici parce que tu as triché, prise en flagrant
délit de copie sur ta voisine. C’est une faute très grave et nous sommes là
pour que tu sois punie comme il se doit. Tu vas recevoir deux fessées de la
part de chacune de nous et tu seras corrigé aux instruments.»
Jessica a beau être âgée d’une trentaine d’année, ravissante et sexy, habillée dans sa tenue de collégienne :
jupe plissée, chemisier blanc cintré et socquettes blanches, elle ressemble
plus à une ado et elle n’en mène pas large devant les deux professeurs.
Miss Spaak la saisit d’une poigne
ferme et la couche avec autorité sur ses larges cuisses.
« Ma fille, tu es ravissante mais tu vas vite comprendre ce qu’il en
coute de tricher »
En quelques secondes, elle relève la jupe bien haute laissant apparaître
une culotte en coton réglementaire de l’uniforme d’écolière qu’elle retourne et
baisse à mi cuisses.
Jessica supplie mais rien n’y fait, fessée promise, fessée due.
« Miss
Spaak, je suis désolé, je ne
recommencerais plus »
-Tu
mérites une bonne fessée comme promis, et me vais m’appliquer à te rougir le
postérieur comme une sale gamine »
-Euh
non Madame… »
Elle
est interrompue par une première claque de Miss
Spaak qui stoppe toute protestation.
Miss Spaak est la meilleure fesseuse
de la pension, ses mains sont larges comme des battoirs et elle fesse très fort.
Elle donne à Jessica 8 séries de 10 claques à la volée. Au bout de la moitié
Jessica est en pleurs et supplie d’arrêter.
Avec une grande maîtrise elle continue de sévir, les fesses de Jessica sont
rouges vives. Elle referme sa cuisse droite emprisonnant la punie, ses fesses
de gamine honteuse sont maintenant à la portée de ses belles mains et pas moyen
d’échapper à son emprise.
Après une mise au coin de quelques minutes, Jessica est prise en main par
Miss Pimple qui lui administre une autre fessée mémorable. Pour Jessica,
recevoir une deuxième fessée sur un postérieur déjà rougi c’est un véritable
supplice.
Le même cérémonial a eu lieu, allongée sur les genoux, culotte baissée et
fessée comme une enfant pendant de longues minutes. Miss Pimple lève la main
très haute et me claque vigoureusement les fesses. Je n’ai pas compté les
claques mais la correction a durée au moins cinq minutes et chaque claque me
semblait plus forte que la précédente. J’ai essayé de supplier et demandé pardon. Rien n'y fait c’est
une correctrice méthodique qui sait donner la fessée et ne s'arrête que quand
elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par dix claques très fortes en
me demandant de les compter.je me relève et suis conduit au coin fesses nues
rougies et bien chaudes, des larmes ont coulé sur ma joue, j’ai si honte de moi
et en même temps je ne peux qu’avouer que je l’ai bien méritée cette raclée.
La pauvre Jessica n’est pas sortie d’affaire, Miss Spaak passe aux choses sérieuses et
administre dans la foulée 20 coups de martinets et 30 coups de paddle. Jessica a
abandonné toute résistance et subit le châtiment des instruments.
Miss Pimple prend la relève et donne 40 coups de paddle. Jessica est
conduite au coin ses fesses rouges et marquées sont enflées par les coups
reçus. Elle a très mal et c’est une Jessica toute en pleurs qui est consolée
par les deux professeurs.
En me racontant cette anecdote, Jessica ne peut dissimuler ses pleurs en se
remémorant sa séance de punition dans la « detention room ».
Après
une journée ponctuée de fessées et de diverses activités scolaire vient l’heure
du coucher dans le dortoir.
Nous
sommes alignés chacun devant son lit, en pyjama cette fois ci deux pièces
attendant la venue des surveillantes de dortoir.
Elles
arrivent au nombre de 3 ; Miss
Spaak, Miss Pimple et Miss
Jennings.
Miss Jennings prend la parole
« Mes
enfants, nous avons dû sévir et beaucoup de fessées ont été administrées et il
est de coutume qu’une fessée donnée l’après-midi soit doublée au moment du
coucher. Nous ne ferons pas dans le détail c’est une fessée collective qui vous
attend et nous sommes trois alors cela va être facile de vous corriger »
Nous
baissons tous la tête, regardant nos pieds, honteux et anxieux de la correction
promise. J’entends mon camarade Martin qui crie
-Oh
non Madame pas ici, pas devant tout le monde »
« Tais
toi et vient ici tu es décidément un vilain garçon et pour avoir osé crier tu
seras le premier »
Le
pauvre Martin est déculotté et prestement corrigé en travers de son lit. La
fessée est retentissante, pas un bruit dans le dortoir, juste le son de la main
de Miss Spaak qui fesse et quelle
fessée !
A
tour de rôle nous sommes convoqué et victime du même cérémonial : allongé
sur les cuisses d’une des trois Miss, le pyjama baissé à mi cuisse attendant la
volée.
Bientôt la pièce n’est rempli que du bruit des claques administrées de
concert par nos fesseuses, un concerto à plusieurs en mode fessée, un festival
de claque qui résonne dans toute la pièce.
Pour ma part j’ai reçu deux fessées. La première administrée en même temps
que mon camarade Jean, tous les deux allongés cul nu, moi respectivement sur
les genoux de Miss Pimple, lui sur ceux de Miss Jennings. Je voyais Jean se
trémousser de douleur sous les claques pendant que moi je recevais la fessée de
concert.
La deuxième fut encore plus humiliante. Miss Spaak m’avait demandé de
m’allonger sur le dos en travers du lit, je ne comprends pas pourquoi. Elle me
lève les jambes et les maintient bien en haut fesses tendues. Je comprends ce
qui m’attend la fessée en position diaper.
Une fessée cul nu c’est toujours douloureux mais cette position est encore
plus à supporter car les fesses sont si tendues que les claques font encore
plus mal. Elle me claque les fesses et très vite cela devient insupportable
pour mon fessier.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».
« Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir
la fessée déculottée comme je la donne
souvent à mes petits élèves »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses
mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie,
me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa
correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Miss
Spaak est si appliquée qu’elle ne tient pas compte de mes pleurs, ni de
mes supplications.
C’est cette fessée que je garderais en mémoire pendant longtemps car elle a
été mémorable tant par sa sévérité que par la honte provoquée.
Les 3 jours sont passés vite. Je me suis fait de bons amis. Nous avons
partagé la joie d’être en classe ensemble et de participer aux activités de
l’institution. Nos professeurs Miss ont été à la fois très pédagogues et
pleinement investis dans leur rôle d’éducatrice. Elles se sont montré strictes
mais justes appliquant à la lettre le règlement et dispensant les châtiments
aux vilains élèves. Durant mon séjour j’ai tantôt assisté à la fessée de mes
camarades, à la fessées de concert de plusieurs punis en même temps, j’ai
moi-même reçus de bonnes corrections en public ou non qui m’ont marqué à tout
point de vue.
Le temps d’un week-end pas de portable, pas de TV, pas d’ordinateur, pas de
statut d’adulte. Mais un tableau noir, des uniformes, des maîtresses en
tailleur strict, des récitations, des interrogations, des leçons, des punitions
et beaucoup de fessées.
Pour la petite histoire, les élèves
aimaient comptabiliser le nombre de fessées données par chaque Miss pour
savoir qui était la plus grande fesseuse de l’établissement. Chacune n’avait
pas à rougir de son score respectif car en moyenne, chaque Miss flanquait une
bonne dizaine de fessées par week-end. Le record était détenu par Miss Spaak
qui avait corrigé 32 fois les jolis derrières des pensionnaires. Miss Spaak
donnait donc 10 fessées par jour, ramené au nombre de claques cela fait des
milliers. Donc mathématiquement chaque élève avait au moins reçu une fessée de
Miss Spaak et s’en souvenait tant ses corrections étaient longues et cuisantes.
Des années plus tard je me souviens qu’un week-end j’ai vécu comme un petit
collégien dans une institution, la fameuse éducation anglaise. Pour ça, les
anglais savent y faire dommage qu’il n’existe pas d’institution semblable en France.
Vincent a déjà commis d'autres récits sur ce blog
Du bon usage des commentaires
C'est un usage immodéré. Vincent vous répondra.
dommage que ce genre de pension n'existe pas en France. En revanche cela existe bien en Angleterre certaines disciplinarian tiennent leur propre boarding school elle font ainsi double emploi. Récit captivant et sans doute proche du réel, l'immersion est totale, bravo continuez à nous raconter des bonnes histoires.
RépondreSupprimerJe rève d'un week-end comme celui que vous avez raconté. j'aime tout l'ambiance, les tenues, les miss fesseuses, les humiliations et bien sur les fessées si sévères, si bien administrées, si méritées. Y Aura t'il une suite?
RépondreSupprimerVotre récit est tout à fait plausible. encore faut t'il oser franchir le pas. En plus c'est assez onéreux mais quand on aime, on ne compte pas. Il n'existe pas de stage de reprise en main en France car les Anglais ont moins de tabous et assument ce genre d'activité. Ils ont aussi compris que c'était un vrai business. Votre récit cher Vincent nous a plongé dans cette institution stricte avec plaisir. Continuez.
RépondreSupprimerBonjour à tous,
RépondreSupprimerje ne sais pas si vous avez remarqué, mais le rythme des fessées augmente considérablement sur le blog et elles sont de plus plus sévères. Pour notre plus grand plaisir évidemment.
Ces Dames, qu'on aime si fortes et autoritaires n'y vont pas de main morte, ça fesse dur, ça claque fort, souvent et longtemps. Je ne vous raconte pas la couleur des fesses de ces messieurs dont la position assise doit se faire vraiment douloureuse.
Après la magnifique "Journée fesses rouges" de Sylvie, les déculottées en pleine rue de JLG, Vincent, qui nous avait gratifié d'un cuisant "Stage amer" qu'ou aurait pu qualifier de stage fessées, Vincent donc récidive avec ce réjouissant récit "Une éducation anglaise "
Ces Dames strictes et très sévères, en tailleur sexy, (précise l'auteur, et ça ne manque pas de charme ) distribuent les fessées à tour de bras, sans modération, déculottent en série et rougissent à loisirs les paires de fesses des stagiaires qui ne sont pas venus pour rien.
On aime particulièrement les longues et cuisantes fessées déculottées de l'implacable miss Spaak ( Contraction de spanking?)la meilleure fesseuse de l'Institution. La femme aux larges cuisses accueillantes et aux mains comme des battoirs. Les autres ne sont pas en reste et savent s'y prendre aussi pour bien faire claquer les derrières en pénitence. Quand elles s'y mettent à trois c'est feu d'artifice! Redoutable.
Le récit est vif, enchaîne les situations sans transition et comble les amateurs.
je ne sais pas si c'est plausible mais ça vaut son pesant de fessées. On ne s'ennuie pas une seconde. Les fesses des pensionnaires non plus!
Merci Vincent.
Cordialement
Ramina.
Bonjour Messieurs,
RépondreSupprimerEn effet, l' "école à l'anglaise" reste toujours particulière avec le rituel de la fessée, l'uniforme des élèves, la tenue des "strict teachers". Récit très réaliste, j'imagine. Et je vois bien les dessins qui illustreraient le texte...
Bon WE. Peter'.
Re-bonjour...
RépondreSupprimerMatch captivant ! Le martinet détrônera t-il la canne ????
En garde !! Et que le meilleur gagne !
Peter'.
Il existe des institutions comme celle décrite. Il y a 3 sites internet qui proposent ce genre de séjour. Votre récit Vincent est parfaitement réaliste. Merci la suite svp
RépondreSupprimerHum l'univers des pensions anglaise pour adulte quelle bonne idée. Il faudrait plus de récits de ce type,cela change des institutions religieuses, c'est plus moderne et plus contemporain. je suis d'accord avec Peter Pan cela aurait mérité d'être illustré.
RépondreSupprimerBonjour Pierre,
SupprimerRavi d'apprendre que vous allez vous lancer dans l'écriture d'un récit qui se passe dans une institution anglaise. Je me ferai un plaisir de le publier. J'attend votre production avec impatience.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
I live in France but was born in England. I was raised with the english discipline and must tell you that your story is not far from the reality. There was actually a discipline room where bad students were caned and severely spanked. I know that some disciplinarians have their own boarding schools and welcome adults from all the world who need education.
RépondreSupprimerC'est la première fois que je regrette de ne pas comprendre l'anglais pour avoir appris d'autres langues. Je crois deviner quand même...
RépondreSupprimerRamina
Chère Ramina la voici:
RépondreSupprimerJe vis en France mais je suis née en Angleterre. J'ai été élevée à l'éducation anglaise et je dois vous dire que votre histoire n'est pas loin de la réalité. Il y avait une salle de punition ou les mauvais éléves recevaient la canne et étaient sévérement fessé. Je sais que certaines disciplinarian ont leur propre pensions et acceuillent des adultes du monde entier qui ont besoin d'éducation.
Merci Mary pour cette traduction bienvenue.
SupprimerAvez vous été, vous même, "bénéficiaire" de cette discipline lors de votre parcours scolaire en Angleterre ? Souhaitez-vous nous en dire un peu plus ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Chers amis du blog, merci pour vos encouragements,j'ai bien envie d'écrire la suite...
RépondreSupprimerUne question me taraude... avez vous réellement fait ce stage ?
SupprimerA votre avis ?
SupprimerNon !
SupprimerMerci Mary d'avoir pris la peine de traduire.
RépondreSupprimerAh ces anglais, insulaires, qui ne font rien comme tout le monde !
Pour une fois faire perdurer une tradition quand il s'agit de stricte discipline ne peut que ravir les amateurs de fessées que nous sommes. On roule à gauche certes , mais on fesse aussi bien des deux côtés. Fesse droite, comme fesse gauche! Pas de jalouse !
Cordialement
Ramina.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerSavez-vous que l'hymne de Sa Gracieuse Majesté doit son existence à une maladie de notre bon Roi-Soleil, Louis le Grand, Quatorzième du nom.
En effet, Louis XIV souffrait d'une maladie et le haut clergé avait demandé à tous les prêtres de du Royaume de faire des prières publiques afin que Sa Majesté recouvre la santé. Et les courtisans entre eux murmuraient " Que Dieu sauve le Roi !". L'ambassadeur d'Angleterre qui assista à cet évènement rapporta à son retour à son souverain ces quelques mots qui devinrent depuis le titre de l'hymne britannique... depuis près de quatre siècles ! Bel héritage, non ?
Amicalement. Peter.