jeudi 15 novembre 2018

Une éducation anglaise


Vous connaissez déjà Vincent. Il nous a gratifié de plusieurs récits qui racontent ses différents passages chez Madame Anne Sophie, ainsi que l'histoire d'un stage amer mais profitable. Une production déjà respectable qui se poursuit.
Un pensionnat pour adulte en Angleterre ? Vous vous doutez que la fessée y est au rendez-vous.


Education anglaise (récit  de Vincent)

Me voilà au tableau dans mon bel uniforme de collégien anglais en train de résoudre un problème de calcul.
Miss  Jennings, le professeur de maths, fronce les sourcils, sur son bureau j’aperçois le timer qui indique cinq minutes. Bientôt il va sonner et je sais ce qui m’attend, une correction exemplaire devant tous les élèves de la classe. Je sue, je cherche mes mots, je balbutie, Miss Jennings me gronde, me sermonne, j’entends les brouhahas dans la classe, on se moque, on rie, les commentaires fusent et je n’ose tourner ma tête, je suis seul devant ce tableau noir pleins de chiffres et je réalise le ridicule de la situation
« Alors mon garçon on n’a pas appris sa leçon, tu sais ce que cela mérite ? »
J’entends les élèves qui crie le mot « spanking » je vais recevoir une fessée devant tous les élèves, je suis si honteux de n’avoir pas pu résoudre ce problème de maths.

 « Mon cher Vincent, je n’apprécie pas du tout que tu me fasses perdre mon temps, apparemment tu n’as pas appris ta leçon, je vais te  flanquer une bonne fessée ! » 
« Non madame vous ne pouvez pas me fesser, je fais de mon mieux »
Je fus interrompu par une bonne paire de claque qui eut le mérite de calmer mes plaintes.

« Oui mon garçon tu  mérites une  fessée  longue et cuisante »
Et joignant le geste à la parole me voila debout tiré par l’oreille, penché sous son bras.
Puis elle poursuit avec un ton autoritaire
« Et maintenant je te baisse le pantalon et la culotte »
A ce moment je ressens une certain gène, mon sexe en érection, je bafouille, je rougi, j’ai tellement honte.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».

 Elle me dirige vers le bureau et d'un mouvement énergique me bascule en équilibre sur le bureau bien allongé, je pose mes mains tendues sur le bureau A ce moment je réalise le ridicule de la situation. A 21 ans je suis couché sur le bureau mes fesses nues, ma culotte à mi cuisse, mon pantalon qui boudine à mes pieds. Et je vais recevoir une fessée déculottée devant toute la classe, fesses bien exposées à la vue de tous, comme si j’avais 8 ans.
« Je vais t'apprendre ta leçon mon cher enfant, tu vas recevoir la  fessée déculottée devant toute la classe »
Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges. Miss  Jennings est une redoutable  fesseuse, elle doit en donner souvent dans son école……

Tout cela avait commencé 15 jours plus tôt. Je m’étais inscrit à un stage de recadrage scolaire pour les adultes en Angleterre. J’avais contacté Miss Hasting qui dirigeait la
Hampton Boarding School, Academy (HBSA) une école « rôle-play » pour les adultes  qui pouvaient revivre leur jeunesse dans une pension « ambiance  année 50 » Il y avait de nombreuses règles à respecter, des cours à suivre, et des leçons à apprendre. Si vous étiez un bon élève vous étiez récompensé, si vous étiez un mauvais élève vous étiez puni très sévèrement.
La HBSA ressemblait aux pensions traditionnelles d’antan dispensant des cours de langue, de mathématiques, d’histoire, de géographie…selon un cursus intensif sur 3 jours avec logement sur place dans des dortoirs non mixtes. Cette institution pour les adultes de toutes nationalités était réputée pour sa discipline très stricte et l’usage des châtiments corporels. Les fessées étaient administrées culotte baissée et les professeurs utilisaient souvent  la canne, la strappe, la ceinture, le martinet ou le paddle Les punitions prévoyaient également des lignes à copier, des mises au coin, des corvées domestiques ou des dictées surprises.

Dans cette institution, les maitres et maitresses d’école jouaient leur rôle à fond et n’hésitez pas à corriger les mauvais élèves pour quelque motif que ce soit et ils pouvaient se vanter de flanquer des corrections mémorables.

Après de nombreux échanges par mail et par téléphone j’avais pris l’Eurostar direction la campagne anglaise pour rencontrer Miss Hasting la directrice. .Le premier entretien s’était déroulé dans son bureau en tenue de ville. Miss Hasting s’était montré fort aimable et m’avait longtemps questionné sur mes motivations pour m’inscrire dans son Academy. J’avais choisi le séjour « Strict tutorial » qui consistait en une immersion intensive pendant trois jours avec deux nuits sur place dans le dortoir des garçons. Je devais choisir la tranche d’âge que je souhaitais pratiquer Prep School pour les plus jeunes (4-8 ans), junior pour les moyens (9-13) et senior pour les plus âgés (14-17). A chaque âge son uniforme, ses règles, ses cours et ses sanctions.
J’avais souhaité vivre une régression dite « age play » ou je me retrouvais dans la peau d’un petit garçon, donc j’avais opté pour prep school. Les cours étaient  essentiellement composés par l’enseignement des langues, d’opération de  calcul, de dictée et de nombreux travaux manuels tels que poterie, macramé, collage et confection.
A La différence des autres niveaux les élèves de la Prep School se couchaient plus tôt, avaient droit à une histoire, racontée par l’une des surveillantes de dortoir, et étaient maternés comme des petits enfants, totalement prise en charge du matin au coucher. Les Prep school portaient un uniforme rouge et des culottes courtes. Pour le coucher, ils devaient enfiler un pyjama moulant une pièce  sorte de grenouillère avec une fermeture à scratch dans le dos.

Après m’avoir expliqué l’organisation du cursus, les cours dispensés et les règles de son école, elle me fit signer le formulaire d’admission.
« Mon garçon, à présent que tu es élève dans mon école, tu vas aller te changer et mettre ton uniforme de prep school et tu reviens dans mon bureau au plus vite ! Je ne tolérerai aucun retard de ta part »
« Quand tu reviens, je te traiterai comme un petit garçon et à la fin de l’entretien, tu devras réciter les règles à connaître par cœur en matière de discipline et si tu te trompe, tu recevras la fessée déculottée en travers de mes jolies cuisses, c’est le minimum pour t’apprendre qu’avec moi on ne badine pas avec la discipline »

Je me change, j’enfile mon nouveau costume : bermuda en flanelle grise, slip blanc, chemise blanche, cravate rayée bleu et rouge, blazer rouge avec l’écusson de l’école et la mention Prep school bien en évidence. Je suis honteux, je n’ose pas revenir, je ne peux pas faire machine arrière, je dois me rendre à l’évidence, je ne suis plus Vincent 21 ans, étudiant, je suis Vincent petit pensionnaire à la HBSA  convoqué pour un sérieux recadrage dans le bureau de Miss Hastings.
Sa secrétaire Miss Bra m’introduit à nouveau dans le bureau. Tout de suite je sens que l’atmosphère a changé. Je réalise à ce moment que je n’avais pas fait attention à l’allure de Miss Hasting. Se tient devant moi une belle femme, d’1 m 76, la quarantaine, habillée d’un tailleur prune et d’un joli chemisier blanc comprimant une poitrine bien avantageuse. Elle porte des bottes montantes en cuir beige. J’ai vraiment de la chance d’être pris en main par une femme aussi élégante et sexy.

Miss Hasting a posé sur son bureau plusieurs instruments de correction, un paddle, une longue canne en rotin et un martinet qui ressemble à celui que mon grand père utilisait pour punir ses enfants. Je blêmis à la vue de tous ces instruments.
« Viens ici mon garçon et récite moi les cinq règles en matière de discipline »
Je m’applique à réciter les règles en espérant m’en souvenir
« Quand une punition est donnée, les 5 règles suivantes s’appliquent :
1)    Je dois me présenter en silence, mains sur la tête devant ma correctrice
2)  seul ma correctrice est habilitée à baisser mon bermuda et ma culotte
3  pendant la fessée, je ne dois ni protester, ni bouger, ni supplier sous peine de rallonger la correction
4. A la fin de la correction je dois me rendre au coin, mains sur la tête et demander pardon.
Et heu la…. »
« Et la cinquième règle, mon garçon vous l’avez oublié ?
« Je vais vous rafraichir la mémoire c’est je dois promettre de ne pas recommencer sous peine d’alourdir la punition. »

« Je suis au regret de vous informer jeune homme que vous méritez une bonne raclée. Avec moi on ne plaisante pas avec les règles ou c’est la fessée immédiate ! »
Joignant le geste à la parole, elle me tire vers elle, s'assied sur une chaise et m’allonge en travers de sa cuisse gauche. Sans perdre de temps, elle me baisse à la volée pantalon et culotte.
Elle me gronde et me donne une fessée retentissante,  de plus en plus fort, sa main a une endurance que je ne soupçonnais pas. J’ai l’impression d’être corrigé comme quand j’étais enfant, une fessée déculottée magistrale, c’est comme si maman me corrigeait quand j’étais plus jeune.  Une fessée méthodique, longue et progressive  Je crie,  je demande  pardon
Je suis en sanglots, mes fesses me brûlent.
Miss  Hastings fait une pause, je sens la chaleur qui irradie de mon postérieur.
« Mon petit garçon, j’ai ce qu’il faut pour te corriger, un bon martinet comme les mamans utilisaient pour fesser dans le temps en France. Il a  sévit de nombreuses fois sur les petits derrières  frenchie»
 Elle prend un certain élan et  me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues. Une série de 30 coups claque mes fesses ; chaque coup annonce le suivant et cela me semble interminable. J’ai si mal aux fesses. Elle me reculotte et fais une pause.

« La première fessée c’était pour t’enlever ta fierté et corriger ta leçon non apprise, la seconde sera préventive, 12 coups de canne que tu va compter pour que tu n’aies pas envie de désobéir  Approche que je te m’occupe de tes petites fesses »
« Mais Madame… »
. 
Et c’est une nouvelle fessée, une raclée mémorable avec la canne anglaise qui cingle les fesses et provoque une décharge telle que la douleur se propage sur tout le  fessier.
 La fessée reprend sur mes fesses déjà bien rouges et marquées par les coups de canne. Cette deuxième fessée est encore plus cinglante, une  fessée de type parentale longue et sévère. Une main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. Jamais je n’avais reçu une telle correction. Je me relève et je suis conduit au coin où je dois me tenir debout culotte baissée Quelle honte, d'être ainsi posté les fesses rougies.

Après de longues minutes elle me reculotte et rajuste ma cravate. Elle me conduit dans le hall de l’école ou m’attendent l’ensemble des professeurs. Après m’avoir présenté et raconté dans les détails la correction infligée, elle me présente à son tour les cinq professeurs qui sévissent dans cette institution.

Je n’ose pas croiser leur regard, je baisse les yeux, honteux, assis sur mes fesses qui me font très mal, je n’ose bouger.
Miss  Jennings prend la parole en premier
« Bonjour mon garçon, je suis Miss  Jennings, j’enseigne les mathématiques, j’encourage toujours les bons élèves pour qu’ils progressent et je puni les mauvais ; Avec moi on travaille, on récite ses leçons apprises par cœur. Je donne des fessées retentissantes dans ma classe devant tous les élèves culotte baissée et j’ai aussi une longue règle qui cingle les fesses comme jamais, »
-Bonjour mon petit, je suis Miss Pimple, professeur d’anglais, j’attends de vous une  obéissance totale en cas de manquement c’est la fessée immédiate et le martinet familial.
Puis vient le tour de Miss Marple, professeur de géographie qui m’explique les règles dans sa classe et l’usage fréquent de la fessée et de la fameuse canne anglaise.
Défile ensuite Miss Crimson professeur de travaux manuels qui fesse souvent avec sa strappe et pour finir Miss  Spaak, professeur d’histoire et responsable de la surveillance des dortoirs qui a la terrible réputation d’être la meilleure fesseuse de l’établissement avec des fessées déculottées administrées en travers de ses larges cuisses.

Miss  Spaak me conduit au dortoir pour me changer et me mettre en pyjama. Elle surveille chacun de mes gestes, et elle m’enfile mon pyjama grenouillère dans lequel j’ai l’air d’un petit garçon. Je croise d’autres élèves habillés comme moi, je réalise à présent que j’ai perdu mon statut d’adulte, je suis traité comme un jeune garçon. J’aperçois posé sur le lit une couche intégrale décoré avec une bande ornée de motifs enfantin. Je crie non pas ça, je ne veux pas porter de couche.
Je suis stoppé net par une paire de claque donnée à la volée par Miss  Spaak.
« Mon garçon qu’est ce que c’est que ces manières, vous devez portez une couche la nuit sous votre pyjama, qui est fait pour ça, regardez la fente dans votre dos, c’est pratique pour vous changer et cela évitera que vous mouilliez votre lit »
Vous commencez bien, à peine arrivé et vous désobéissez, vous avez tord cela va vous couter cher sur votre postérieur »
.
« Non Madame pas la fessée, je vous en prie… »
Me tirant par l'oreille, elle se dirige vers le lit. Sans dire un mot elle me couche sur ses genoux. Elle déboutonne le dos du pyjama à l’endroit de mon fessier, le rabattant en dessous des fesses,  laissant apparaître mes fesses nues. Elle prend une grande inspiration et commence sa fessée. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et j’encaisse les claques les unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elle me fesse pendant de longues minutes, une raclée mémorable, ah que Madame Large  sait bien fesser.

 «Vu ton comportement tu mérite un sacré recadrage, cette fessée sera suivie d’autres  raclées demain au petit déjeuner. Tu dois déjà avoir mal. Tu dormiras probablement sur le ventre vu la rougeur de tes fesses. En attendant, allonge toi sur le dos et relève bien tes jambes que je te mette en couche pour la nuit »
Je n’ai pas d’autre choix que d’obéir. Avec une grande dextérité  elle me glisse la couche et la rabat sur mon ventre. La couche est très épaisse et elle la fixe avec les scratchs intégrés.
Elle me borde et me dépose un baiser sur le front.
Je passe une nuit assez agitée, je me tortille dans mon lit et je peine à trouver le sommeil.
Vient l’heure du réveil oh surprise c’est Madame Jenning qui me réveille et d’un ton ferme sans équivoque me demande de me lever et de filer dans le réfectoire prendre mon petit déjeuner.
Je rejoins mes camarades de l’école, nous sommes huit, quatre hommes et quatre femmes tous adultes et pourtant habillés d’un pyjama une pièce qui laisserait penser que nous sommes 8 petits enfants attablés pour prendre un petit déjeuner anglais frugal composé d’œuf en bacon, de porridge et de pain toasté.

A peine le petit déjeuner entamé j’entends les remontrances de Miss Hasting envers Marie, ma voisine de table.
« Marie, vous n’avez pas fait votre lit, c’est inadmissible et la sanction immédiate c’est la fessée devant tout le réfectoire »
« Oh non Miss, je vous en prie, je ne recommencerai plus »
« Ca suffit, vos excuses ne suffisent pas, il faut que je vous apprenne à respecter les règles »

Miss Hasting s’assoit sur une chaise et fait signe à Marie d’approcher. Personne n’ose parler, il règne un silence de mort. Marie approche toute timide, à porté de sa main Miss Hasting la fait basculer sur les genoux et en quelques secondes, elle lui baisse le rabat du pyjama retenu par des scratchs. Marie offre à toute l’assemblée sa jolie paire de fesses.
Prenant son élan elle claque vigoureusement les fesses. Marie reçois une centaine de claques très, très fortes, elle a beau supplier et demander pardon. Rien n'y fait quand Miss  Hasting a décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par de lourdes claques en demandant à la punie de compter les claques, une fessée magistrale et académique.

La correction se termine, Marie est en pleurs et elle est mise au coin fesses rouges écarlates bien à la vue de tous.
En tant que spectateur j’ai apprécié le spectacle mais en mon fort intérieur, je suis aussi troublé car je me dis que personne n’est à l’abri d’une bonne raclée et pour en avoir reçue de bonnes je me dis que je n’aimerais pas être le prochain.
Pas de chance on vient de citer mon nom, je frémis, je n’ose y croire on me demande de me lever devant tout le monde.
Je me lève tout penaud, je sens l’humidité qui  m’envahit petit à petit. Une fuite comment est-ce possible, je pensais être à l’abri avec la couche épaisse que je porte.
 « Bonjour Vincent, si j’en juge par la tache qui s’étale sur ton pyjama, il semblerait que tu ai mouillé ton vêtement, tu devrais avoir honte, un grand garçon qui mouille son pyjama ! »
« Madame je suis désolé, je ne comprends pas ce qui s’est passé »
« Bon de toutes les façons on t’avais promis une fessée au réveil, j’ai une raison supplémentaire de te punir »
Joignant le geste à la parole elle m’allonge sur ses cuisses et comme pour Marie, me baisse le rabat du pyjama dévoilant ma couche bien humide, avec une grande dextérité elle la retire révélant mes fesses mouillées.
«  Quand on fait pipi au lit, c’est la fessée immédiate mon garçon ! »
Elle prend son élan et.je reçois une fessée magistrale de plusieurs minutes, des  claques de plus en plus fortes. Quelle honte d’être fessé comme une petit enfant devant tous mes camarades. Cette fessée a été marquante à tout point de vue, je la redoutais et elle est tombée comme une sanction, une punition, une correction comme un parent la donne à son fils pas sage, une fessée parentale, méthodique et magistrale.
Le reste de la journée s’est déroulé sans heurt, je n’ai pas reçu d’autres raclées mais je ne peux pas en dire autant de mes camarades. A chaque cours son lot de punis et à chaque puni la promesse d’un châtiment corporel mémorable. Dans cette institution, il était fréquent de fesser au martinet, à la strappe ou même avec la terrible canne anglaise. Dans tous les cas, le puni finissait en pleurs les fesses striées de larges zébrures rouges.
Pour les fautes les plus graves, l’élève était convoqué dans la « detention room » sorte de pièce disposant d’un large canapé et d’un cheval d’arçon. Au mur suspendu tous les instruments servant à fesser : plusieurs martinets, cannes et autres paddle. Pour le puni c’était l’assurance d’une séance de recadrage cuisante. Le cérémonial était toujours le même. Après avoir été longtemps sermonné, l’élève était conduit au coin déculotté pendant de longues minutes. Je n’en ai pas fait l’expérience mais une de mes camarades Jessica en a fait les frais. Elle m’a raconté :
J’entends des talons qui claquent dans le couloir les bruits se rapprochent la porte s’ouvre et se tiens devant moi Miss  Spaak et Miss Pimple elles ont le regard sévère et je baisse les yeux.
« Bonjour Jessica, tu es ici parce que tu as triché, prise en flagrant délit de copie sur ta voisine. C’est une faute très grave et nous sommes là pour que tu sois punie comme il se doit. Tu vas recevoir deux fessées de la part de chacune de nous et tu seras corrigé aux instruments.»
Jessica a beau être âgée d’une trentaine d’année, ravissante et  sexy, habillée dans sa tenue de collégienne : jupe plissée, chemisier blanc cintré et socquettes blanches, elle ressemble plus à une ado et elle n’en mène pas large devant les deux professeurs.
Miss  Spaak la saisit d’une poigne ferme et la couche avec autorité sur ses larges cuisses.
« Ma fille, tu es ravissante mais tu vas vite comprendre ce qu’il en coute de tricher »
En quelques secondes, elle relève la jupe bien haute laissant apparaître une culotte en coton réglementaire de l’uniforme d’écolière qu’elle retourne et baisse à mi cuisses.
Jessica supplie mais rien n’y fait, fessée promise, fessée due.
« Miss  Spaak, je suis désolé, je ne recommencerais plus »
-Tu mérites une bonne fessée comme promis, et me vais m’appliquer à te rougir le postérieur comme une sale gamine »
-Euh non Madame… »
Elle est interrompue par une première claque de Miss  Spaak qui stoppe toute protestation.
Miss  Spaak est la meilleure fesseuse de la pension, ses mains sont larges comme des battoirs et elle fesse très fort. Elle donne à Jessica 8 séries de 10 claques à la volée. Au bout de la moitié Jessica est en pleurs et supplie d’arrêter.
Avec une grande maîtrise elle continue de sévir, les fesses de Jessica sont rouges vives. Elle referme sa cuisse droite emprisonnant la punie, ses fesses de gamine honteuse sont maintenant à la portée de ses belles mains et pas moyen d’échapper à son emprise.
Après une mise au coin de quelques minutes, Jessica est prise en main par Miss Pimple qui lui administre une autre fessée mémorable. Pour Jessica, recevoir une deuxième fessée sur un postérieur déjà rougi c’est un véritable supplice.
Le même cérémonial a eu lieu, allongée sur les genoux, culotte baissée et fessée comme une enfant pendant de longues minutes. Miss Pimple lève la main très haute et me claque vigoureusement les fesses. Je n’ai pas compté les claques mais la correction a durée au moins cinq minutes et chaque claque me semblait plus forte que la précédente. J’ai essayé de  supplier et demandé pardon. Rien n'y fait c’est une correctrice méthodique qui sait donner la fessée et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée par dix claques très fortes en me demandant de les compter.je me relève et suis conduit au coin fesses nues rougies et bien chaudes, des larmes ont coulé sur ma joue, j’ai si honte de moi et en même temps je ne peux qu’avouer que je l’ai bien méritée cette raclée.
La pauvre Jessica n’est pas sortie d’affaire, Miss  Spaak passe aux choses sérieuses et administre dans la foulée 20 coups de martinets et 30 coups de paddle. Jessica a abandonné toute résistance et subit le châtiment des instruments.
Miss Pimple prend la relève et donne 40 coups de paddle. Jessica est conduite au coin ses fesses rouges et marquées sont enflées par les coups reçus. Elle a très mal et c’est une Jessica toute en pleurs qui est consolée par les deux professeurs.
En me racontant cette anecdote, Jessica ne peut dissimuler ses pleurs en se remémorant sa séance de punition dans la « detention room ».

Après une journée ponctuée de fessées et de diverses activités scolaire vient l’heure du coucher dans le dortoir.
Nous sommes alignés chacun devant son lit, en pyjama cette fois ci deux pièces attendant la venue des surveillantes de dortoir.
Elles arrivent au nombre de 3 ; Miss  Spaak, Miss Pimple et Miss  Jennings.
Miss  Jennings prend la parole
« Mes enfants, nous avons dû sévir et beaucoup de fessées ont été administrées et il est de coutume qu’une fessée donnée l’après-midi soit doublée au moment du coucher. Nous ne ferons pas dans le détail c’est une fessée collective qui vous attend et nous sommes trois alors cela va être facile de vous corriger »
Nous baissons tous la tête, regardant nos pieds, honteux et anxieux de la correction promise. J’entends mon camarade Martin qui crie
-Oh non Madame pas ici, pas devant tout le monde »
« Tais toi et vient ici tu es décidément un vilain garçon et pour avoir osé crier tu seras le premier »
Le pauvre Martin est déculotté et prestement corrigé en travers de son lit. La fessée est retentissante, pas un bruit dans le dortoir, juste le son de la main de Miss  Spaak qui fesse et quelle fessée !
A tour de rôle nous sommes convoqué et victime du même cérémonial : allongé sur les cuisses d’une des trois Miss, le pyjama baissé à mi cuisse attendant la volée.
Bientôt la pièce n’est rempli que du bruit des claques administrées de concert par nos fesseuses, un concerto à plusieurs en mode fessée, un festival de claque qui résonne dans toute la pièce.
Pour ma part j’ai reçu deux fessées. La première administrée en même temps que mon camarade Jean, tous les deux allongés cul nu, moi respectivement sur les genoux de Miss Pimple, lui sur ceux de Miss Jennings. Je voyais Jean se trémousser de douleur sous les claques pendant que moi je recevais la fessée de concert.
La deuxième fut encore plus humiliante. Miss Spaak m’avait demandé de m’allonger sur le dos en travers du lit, je ne comprends pas pourquoi. Elle me lève les jambes et les maintient bien en haut fesses tendues. Je comprends ce qui m’attend la fessée en position diaper.
Une fessée cul nu c’est toujours douloureux mais cette position est encore plus à supporter car les fesses sont si tendues que les claques font encore plus mal. Elle me claque les fesses et très vite cela devient insupportable pour mon fessier.
« Non Madame je vous en prie pas comme çà ! ».
« Je vais t'apprendre à m’obéir mon cher enfant, tu vas recevoir la  fessée déculottée comme je la donne souvent à mes petits élèves »

Elle prend tout son élan pour me donner la fessée. Clac, clac, clac, Ses mains claquent mes fesses de plus en plus fort, de plus en plus vite. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses rouges.  Miss  Spaak est si appliquée qu’elle ne tient pas compte de mes pleurs, ni de mes supplications.
C’est cette fessée que je garderais en mémoire pendant longtemps car elle a été mémorable tant par sa sévérité que par la honte provoquée.

Les 3 jours sont passés vite. Je me suis fait de bons amis. Nous avons partagé la joie d’être en classe ensemble et de participer aux activités de l’institution. Nos professeurs Miss ont été à la fois très pédagogues et pleinement investis dans leur rôle d’éducatrice. Elles se sont montré strictes mais justes appliquant à la lettre le règlement et dispensant les châtiments aux vilains élèves. Durant mon séjour j’ai tantôt assisté à la fessée de mes camarades, à la fessées de concert de plusieurs punis en même temps, j’ai moi-même reçus de bonnes corrections en public ou non qui m’ont marqué à tout point de vue.
Le temps d’un week-end pas de portable, pas de TV, pas d’ordinateur, pas de statut d’adulte. Mais un tableau noir, des uniformes, des maîtresses en tailleur strict, des récitations, des interrogations, des leçons, des punitions et beaucoup de fessées.
Pour la petite histoire, les élèves  aimaient comptabiliser le nombre de fessées données par chaque Miss pour savoir qui était la plus grande fesseuse de l’établissement. Chacune n’avait pas à rougir de son score respectif car en moyenne, chaque Miss flanquait une bonne dizaine de fessées par week-end. Le record était détenu par Miss Spaak qui avait corrigé 32 fois les jolis derrières des pensionnaires. Miss Spaak donnait donc 10 fessées par jour, ramené au nombre de claques cela fait des milliers. Donc mathématiquement chaque élève avait au moins reçu une fessée de Miss Spaak et s’en souvenait tant ses corrections étaient longues et cuisantes.

Des années plus tard je me souviens qu’un week-end j’ai vécu comme un petit collégien dans une institution, la fameuse éducation anglaise. Pour ça, les anglais savent y faire dommage qu’il n’existe pas d’institution semblable en France.



Vincent a déjà commis d'autres récits sur ce blog


Du bon usage des commentaires

C'est un usage immodéré. Vincent vous répondra.

19 commentaires:

  1. dommage que ce genre de pension n'existe pas en France. En revanche cela existe bien en Angleterre certaines disciplinarian tiennent leur propre boarding school elle font ainsi double emploi. Récit captivant et sans doute proche du réel, l'immersion est totale, bravo continuez à nous raconter des bonnes histoires.

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  2. Je rève d'un week-end comme celui que vous avez raconté. j'aime tout l'ambiance, les tenues, les miss fesseuses, les humiliations et bien sur les fessées si sévères, si bien administrées, si méritées. Y Aura t'il une suite?

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  3. Votre récit est tout à fait plausible. encore faut t'il oser franchir le pas. En plus c'est assez onéreux mais quand on aime, on ne compte pas. Il n'existe pas de stage de reprise en main en France car les Anglais ont moins de tabous et assument ce genre d'activité. Ils ont aussi compris que c'était un vrai business. Votre récit cher Vincent nous a plongé dans cette institution stricte avec plaisir. Continuez.

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  4. Bonjour à tous,
    je ne sais pas si vous avez remarqué, mais le rythme des fessées augmente considérablement sur le blog et elles sont de plus plus sévères. Pour notre plus grand plaisir évidemment.
    Ces Dames, qu'on aime si fortes et autoritaires n'y vont pas de main morte, ça fesse dur, ça claque fort, souvent et longtemps. Je ne vous raconte pas la couleur des fesses de ces messieurs dont la position assise doit se faire vraiment douloureuse.
    Après la magnifique "Journée fesses rouges" de Sylvie, les déculottées en pleine rue de JLG, Vincent, qui nous avait gratifié d'un cuisant "Stage amer" qu'ou aurait pu qualifier de stage fessées, Vincent donc récidive avec ce réjouissant récit "Une éducation anglaise "
    Ces Dames strictes et très sévères, en tailleur sexy, (précise l'auteur, et ça ne manque pas de charme ) distribuent les fessées à tour de bras, sans modération, déculottent en série et rougissent à loisirs les paires de fesses des stagiaires qui ne sont pas venus pour rien.
    On aime particulièrement les longues et cuisantes fessées déculottées de l'implacable miss Spaak ( Contraction de spanking?)la meilleure fesseuse de l'Institution. La femme aux larges cuisses accueillantes et aux mains comme des battoirs. Les autres ne sont pas en reste et savent s'y prendre aussi pour bien faire claquer les derrières en pénitence. Quand elles s'y mettent à trois c'est feu d'artifice! Redoutable.
    Le récit est vif, enchaîne les situations sans transition et comble les amateurs.
    je ne sais pas si c'est plausible mais ça vaut son pesant de fessées. On ne s'ennuie pas une seconde. Les fesses des pensionnaires non plus!
    Merci Vincent.
    Cordialement
    Ramina.

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  5. Bonjour Messieurs,

    En effet, l' "école à l'anglaise" reste toujours particulière avec le rituel de la fessée, l'uniforme des élèves, la tenue des "strict teachers". Récit très réaliste, j'imagine. Et je vois bien les dessins qui illustreraient le texte...
    Bon WE. Peter'.

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  6. Re-bonjour...

    Match captivant ! Le martinet détrônera t-il la canne ????
    En garde !! Et que le meilleur gagne !
    Peter'.

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  7. Il existe des institutions comme celle décrite. Il y a 3 sites internet qui proposent ce genre de séjour. Votre récit Vincent est parfaitement réaliste. Merci la suite svp

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  8. Hum l'univers des pensions anglaise pour adulte quelle bonne idée. Il faudrait plus de récits de ce type,cela change des institutions religieuses, c'est plus moderne et plus contemporain. je suis d'accord avec Peter Pan cela aurait mérité d'être illustré.

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    1. Bonjour Pierre,
      Ravi d'apprendre que vous allez vous lancer dans l'écriture d'un récit qui se passe dans une institution anglaise. Je me ferai un plaisir de le publier. J'attend votre production avec impatience.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  9. I live in France but was born in England. I was raised with the english discipline and must tell you that your story is not far from the reality. There was actually a discipline room where bad students were caned and severely spanked. I know that some disciplinarians have their own boarding schools and welcome adults from all the world who need education.

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  10. C'est la première fois que je regrette de ne pas comprendre l'anglais pour avoir appris d'autres langues. Je crois deviner quand même...
    Ramina

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  11. Chère Ramina la voici:
    Je vis en France mais je suis née en Angleterre. J'ai été élevée à l'éducation anglaise et je dois vous dire que votre histoire n'est pas loin de la réalité. Il y avait une salle de punition ou les mauvais éléves recevaient la canne et étaient sévérement fessé. Je sais que certaines disciplinarian ont leur propre pensions et acceuillent des adultes du monde entier qui ont besoin d'éducation.

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    1. Merci Mary pour cette traduction bienvenue.
      Avez vous été, vous même, "bénéficiaire" de cette discipline lors de votre parcours scolaire en Angleterre ? Souhaitez-vous nous en dire un peu plus ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  12. Chers amis du blog, merci pour vos encouragements,j'ai bien envie d'écrire la suite...

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  13. Merci Mary d'avoir pris la peine de traduire.
    Ah ces anglais, insulaires, qui ne font rien comme tout le monde !
    Pour une fois faire perdurer une tradition quand il s'agit de stricte discipline ne peut que ravir les amateurs de fessées que nous sommes. On roule à gauche certes , mais on fesse aussi bien des deux côtés. Fesse droite, comme fesse gauche! Pas de jalouse !
    Cordialement
    Ramina.

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  14. Bonjour Ramina,

    Savez-vous que l'hymne de Sa Gracieuse Majesté doit son existence à une maladie de notre bon Roi-Soleil, Louis le Grand, Quatorzième du nom.
    En effet, Louis XIV souffrait d'une maladie et le haut clergé avait demandé à tous les prêtres de du Royaume de faire des prières publiques afin que Sa Majesté recouvre la santé. Et les courtisans entre eux murmuraient " Que Dieu sauve le Roi !". L'ambassadeur d'Angleterre qui assista à cet évènement rapporta à son retour à son souverain ces quelques mots qui devinrent depuis le titre de l'hymne britannique... depuis près de quatre siècles ! Bel héritage, non ?
    Amicalement. Peter.

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