Une fiction de Vincent dont vous découvrez le premier épisode. La suite la semaine prochaine.
Dans les années 2000, j’étais un étudiant à Sciences Po à Paris. Issu d’une famille catholique traditionnelle, j’avais été
élevé par ma mère, une directrice d’école assez stricte et sévère qui pour se
faire obéir levait souvent la main sur ses chers petits garnements au nombre de
quatre dont j’étais l’aîné. Il faut dire que j’étais insupportable et insolent
et cela va valu de recevoir quelques bonnes raclées.
En grandissant, je me suis assagi et les corrections maternelles se font faites plus rares. J’ai gardé depuis longtemps une fascination, voir une obsession pour la fessée telle que les parents l’a donné jadis. Inscrit sur des forums, parcourant les annonces spécialisées sur internet je tombe un jour sur une annonce « d’un couple vivant dans la région normande qui proposait d’accueillir le temps d’un week-end des jeunes adultes ayant besoin d’un recadrage. L’annonce précisait dans un endroit charmant, plein de verdure, avec de nombreuses activités à pratiquer. Prendre contact par mail si vous êtes prêt à jouer le jeu. » Je me sens en totale confiance et j’ai ce désir de vivre mon fantasme qui me hante depuis de nombreuses années.
En grandissant, je me suis assagi et les corrections maternelles se font faites plus rares. J’ai gardé depuis longtemps une fascination, voir une obsession pour la fessée telle que les parents l’a donné jadis. Inscrit sur des forums, parcourant les annonces spécialisées sur internet je tombe un jour sur une annonce « d’un couple vivant dans la région normande qui proposait d’accueillir le temps d’un week-end des jeunes adultes ayant besoin d’un recadrage. L’annonce précisait dans un endroit charmant, plein de verdure, avec de nombreuses activités à pratiquer. Prendre contact par mail si vous êtes prêt à jouer le jeu. » Je me sens en totale confiance et j’ai ce désir de vivre mon fantasme qui me hante depuis de nombreuses années.
Je décidais d’envoyer un mail pour prendre
contact :
Bonjour Madame, Monsieur, je suis Vincent, 22 ans étudiant, je suis très
motivé par votre annonce.
Je reçois la réponse par mail
Bonjour Vincent, je suis Madame VanRieskem, si tu es intéressé je te
recevrais chez nous bien volontiers. Nous avons une prochaine dispo le week-end
du 7 novembre. Dans un premier temps, j’ai besoin de faire connaissance au
cours d’un verre. Si c’est satisfaisant, nous pourrons poursuivre ton éducation
à la maison, j’ai une belle propriété pour t’accueillir.
Education le mot été lâché, pas de doute
qui dit éducation dit règles, apprentissage et éventuellement sanctions.
C'est moi Vincent, je suis disponible à la date indiquée. A quelle heure
voulait-vous qu’on se retrouve ?
Réponse
Viens le 7 à 9h pétantes dans le restaurant Le petit Marie, ils font de
bons petits déjeuners.
Pour plus de commodités je te donne mon numéro, envoi moi un sms de
confirmation.
Je lui envoyais un sms
Ok pour le rdv
Réponse
C’est quoi ces manières, on dit Madame VanRieskem. Tu es assez mal élevé.
Puis un autre
Nous réglerons cela en temps voulu.
Bien Madame VanRieskem.
Le jour J j’ai des papillons dans le
ventre, une certaine appréhension me guète j’hésite à me rendre au rendez-vous.
Finalement je prends le train. Malheureusement il a du retard. J’arrive devant
le café au moment où je reçois un sms
Table du fond à droite, dépêche toi tu es en retard, ma patience a des
limites.
Pas le temps de répondre, je préfère me
hâter de rejoindre Madame VanRieskem.
« Bonjour Vincent, Je suis Magda
VanRieskem, assied toi, comme tu es en retard j’ai commandé pour toi un
chocolat chaud »
« Je préfère le café ».
« Il fallait arriver à l’heure.
Je suis très à cheval sur les principes et la ponctualité en est un. Ne cherche
pas d’excuses, il fallait prendre tes précautions, ça commence mal. Au fait ce
n’est pas un rendez-vous c’est une convocation ce qui veut dire que c’est moi
qui décide ».
Arrive le chocolat chaud dans un
grand bol avec des motifs enfantins. A ce moment je détaille Madame VanRieskem.
C’est une très belle femme, très grande, d’allure sportive, habillée d’un
tailleur chic en cuir. Elle est blonde, cheveux courts et elle porte une
casquette de baseball, elle ressemble à un mannequin. Elle me raconte qu’elle
est d’origine hollandaise et qu’elle a joué dans l’équipe nationale de Basket,
ce qui est commode quand on fait plus d’1,90 m. Je suis impressionné par son allure
et sa prestance. Elle fait bien 15 cm de plus que moi et elle me parle comme si
j’étais un enfant, Je ne suis plus Vincent l’adulte mais le petit garçon
convoqué pour un sérieux recadrage. Elle se montre fort chaleureuse et me
questionne sur mes motivations. Puis son ton change
« Mon cher enfant, ton retard
m’as mise en colère, j’ai failli partir mais comme tu es là, j’accepte de te
recevoir à la maison mais je te préviens il y a des règles, je considère que le
temps du week-end tu as perdu tes privilèges d’adulte et je te considère comme
un enfant de dix ans et sache que je peux être très stricte avec les
enfants. Nous allons passer trois jours au cours desquels je vais refaire
toute ton éducation. Signe cette feuille qui précisent mes règles familiales et
les sanctions qui en découlent, pas la peine de lire, si tu es là, c’est en
connaissance de cause. Il est temps que je reprenne ton éducation en main ».
Je parcours rapidement
la feuille, je vois plusieurs fois la mention « punition » sans
précision, je tarde un peu
« Signe, et dépêche-toi
je n’ai pas de temps à perdre »
Vexé je m’exécute. Plus
on se rapprochait du départ, plus je m'imaginais Madame VanRieskem sévissant
dans son joli tailleur, moulant sa belle poitrine, ses longues jambes gainées
de bas avec ses bottes en cuir beige. Je détaillais ses mains, immenses et
larges propre à corriger les vilains derrières. Nous quittons le restaurant,
elle me conduit en voiture chez elle. Nous roulons depuis 15 minutes, pas un
bruit dans la voiture, je suis intimidé, je regarde mes chaussures. Nous
arrivons enfin dans une magnifique propriété bordée d’un lac. Au loin
j’aperçois un terrain de tennis, de basket, une immense piscine. Au bout d’un
long chemin qui serpente nous arrivons devant une grande bâtisse à colombage
surplombée par une magnifique terrasse en teck. La propriété fait plusieurs
hectares, la maison dispose de six chambres et autant de salle de bain, d’un
immense living room et d’une grande cuisine américaine moderne et chic. Madame
VanRieskem doit avoir les moyens, elle roule en coupé Mercédès et je vois un
gros 4*4 garé devant ainsi qu’une belle moto japonaise.
Madame VanRieskem
s’est changée. Elle porte une élégante robe à fleur cintré sur la taille
par-dessus de jolis jupons de coton blanc, des escarpins fins. Sa haute stature
est relevée par un chapeau à large bord. Elle est vraiment ravissante et ses
seins sont les plus beaux du monde. Je suis en émoi. Elle se montre fort
accueillante n’hésitant pas à m’embrasser comme le ferait une mère avec son
enfant, un câlin très tendre et familial en même temps qu’elle me présente les
autres pensionnaires. Il y a la Marie, la vingtaine, petite rousse bien roulée cheveux
nouée en queue de cheval, Sara, même âge, une blonde sorte de lolita, petite
poupée portant des couettes et Jean, 25 ans d’allure sportive 1m75 coupe au
bol. Ce qui me frappe au premier abord c’est que ces jeunes adultes sont habillés
en tenue d’écolier et ressemblent plus à des collégiens qu’à des adultes. Les
filles portent des jupes plissées bleu marine, un chemisier blanc échancré, des
socquettes blanches et un blazer bleu. Jean porte lui un pantalon en laine bleu
sur une chemise blanche et le même blazer.
« Mon cher Vincent, ce week-end tu fais partie de
la famille. Tu vas partager les joies de la vie en communauté avec tes trois
camarades, eux aussi venus pour le même motif. Je te considère désormais comme
mon propre fils. A cet égard je serai faire preuve de tendresse et d'attention,
tu as le même âge que tes camarades frères et sœurs et Il est normal que je te traite
de la même façon qu'eux. Ton éducation m'importe tout autant que celui de tes camarades. Je te préviens mon garçon, toutes les mauvaises habitudes que tu
as prises, vont devoir disparaître. Il n'est plus question, mon Vincent, que tu
désobéisses, fasse preuve de paresse ou que tu me mentes. Tu devras m’appeler
"Tante Magda», me dire « vous » et de me répondre poliment par
« oui Tante Magda» ou « Non Tante Magda ». Chaque manquement
sera puni d’une gifle, c’est bien compris Jeune homme ?
Elle s’interrompt pour voir si j’ai bien
compris la consigne. Je réponds mais sans doute pas assez vite à son gout.
« Oui Madame mais vous n’êtes pas ma
mère »
Elle s’avance vers moi et me décoche une
volée de claques sur mes deux joues. Mon effronterie est stoppée net par la gifle
reçue.
« As-tu bien compris Vincent, à moins
que tu préfères m’appeler Madame VanRieskem mais gare à toi si tu prononces mal
je pourrais me fâcher »
J’ai compris l’allusion et le risque
encouru sachant qu’il faut prononcer à la hollandaise, le risque de se tromper
est trop grand. Je préfère la première option, Je réponds
« Oui Tante Magda »
« C’est bien, tu vois que tu peux
faire preuve de sagesse »
Nous sommes réunis
tous les quatre dans le living room, assis sagement et confortablement dans le
large sofa en cuir rouge. Je me suis changé, je porte la même tenue que Jean,
je me sens si mal à l’aise dans cette tenue de collégien. Madame VanRieskem
(que nous appellerons Tante Magda pour plus de facilité) se tient debout et
nous fixe avec son regard sévère, personne n’ose bouger, ni prononcer le
moindre mot sous peine d’être puni. Il faut dire qu’assis dans le canapé, cette
grande femme nous impressionne physiquement, elle dépasse chacun de nous de10
cm et dans ma tenue de petit garçon, je me sens tout frêle.
« Mes chers
petits, mon mari est en déplacement, il ne rentrera que demain soir. Nous avons
vendu notre start-up internet à un grand groupe de média. Nous avons une
situation financière qui nous permet d’avoir des revenus très confortables.
Nous avons en permanence avec nous quatre employés : Miss Jane, la
gouvernante (1,72,57 kg), Miss Crumble, notre bonne cuisinière (1,80 m 75 kg)
et Miss Stick (1m62, 50 kg) chargée du ménage, repassage et intendance de la
maison, tous de sexe féminin. Je dirige cette maison et je suis intransigeante
sur les règles familiales à suivre. Je dois faire attention à ce que votre
comportement corresponde à mes exigences. Avec moi pas de discours, pas de
plaintes, je n’élève jamais la voix, je ne crie pas non plus. Pas besoin je
sais me faire respecter.si vous désobéissez, pas d’avertissement, c’est la
sanction immédiate, la punition des enfants comme le décrit si bien Jean Vincent
Rousseau. Pour être plus clair, c’est la fessée immédiate quel que soit
l’endroit et les personnes présentes. Sachez mes enfants que je baisse
toujours la culotte avant de la donner, j’ai un très beau coup droit, je sais
aussi smatcher et quelques secondes me suffisent pour vous allonger fesses nues
sur mes genoux, Mes mains sont larges et redoutables et je ne me fatigue jamais
quand je claque vos derrières c’est bien compris ? »
« Oui Tante Magda » nous
répondîmes tous en cœur.
« Pour moi, la
fessée, est un châtiment qui est réservé aux enfants ou adolescents. Donc si je
dois vous fesser, cela vous ramène au statut d’enfant. La personne punie que je
déculotte perd son intimité devant moi comme pour la petite fille ou le petit garçon
que l’on déculotte pour le punir de ses bêtises. Je suis sûre que la honte qui
en découle fait partie de la chimie d'une bonne fessée peut être même plus que
la chaleur des fesses bien rougies. Une fessée est une punition donc non
progressive dans l'intensité, et suffisamment sévère pour que le gamin qui la
reçois, prenne bien conscience qu'il a fait une grosse bêtise, et qu'il en
subit les conséquences, le degré de sévérité doit être adapté à la
faute. Si la personne punie doit subir par exemple une cuisante fessée
manuelle pour que la fessée ait du sens, elle doit être appliquée jusqu'au
bout »
« Je suis une tante
Magda aimante mais sévère. Chez moi vous pouvez profiter pleinement des
activités de loisirs, que ce soit la piscine, le tennis… et vous passerez un
séjour très agréable. Je vous conseille d’être bien sages. Vous avez tous
signés le formulaire qui fait de vous des enfants à recadrer. En ce qui me
concerne (elle sort une carte de son sac à main et nous la montre) j’ai un
permis de « FESSER » et comme promis je peux vous flanquer de bonnes
déculottées. J’ai habitude de corriger à tout moment de la journée. Une fessée
donnée dans la journée est doublée au moment d’aller au lit. Je délègue parfois
aussi au personnel féminin la tâche de vous claquer les fesses et de vous
mettre au coin, fesses nues pour réfléchir »
« A propos de
bêtise, je dois punir Vincent pour son retard, plus d’une heure ! Quelle
effronterie de me faire attendre. La sanction est claire, c’est la fessée
immédiate mon cher Vincent »
Quelle surprise, je
ne m’attendais pas à recevoir la fessée dès mon arrivée et en plus devant un
public. Je me sens tout honteux, je baisse les yeux, je regarde mes pompes. Tante
Magda me conduit vers le large rocking chair en cuir noir et me demande de m’agenouiller.
Elle me baisse le pantalon, relève sa robe laissant apparaitre ses beaux
jupons, et me couche en travers de sa cuisse gauche, et d’un geste rapide
baisse ma culotte et me maintient le bras bien immobilisé dans le dos. Ses
mains sont si larges qu’elle peut claquer les deux fesses en même temps,
terribles claques qui tombent sur mon séant. La fessée est vite insupportable,
madame est une experte de la fessée, elle alterne les petites et les grandes
claques prolongeant la correction. Elle sait doser, ralentir puis accélérer.
Moi je ne fais qu’encaisser en me trémoussant sur sa cuisse, je sens la chaleur
qui monte. Tante Magda m’a donnée une fessée déculottée devant mes camarades et
le personnel féminin. Je suis mort de honte. Que madame fesse bien, elle sait
doser et prolonger la longue fessée qui se termine par de fortes claques sur
mes fesses qui sont rouges tomate. Je
suis conduit en punition au coin culotte baissée, fesses rouges, je tourne le
dos à mes camarades et j’ai tellement honte de cette situation. Elle enchaine
« Si la faute est plus grave, je fesse avec
mon martinet familial. Quand j'annonce la correction, vous devez vous présenter
debout devant moi, je vous déculotte et ma raclée est immédiate sans
possibilité de l'éviter. Cela ne vous servira à rien de supplier, te tortiller,
ni vos pleurs, ni vos supplications ne m’arrêterons. Quand je fesse c’est moi
qui décide quand la FESSEE démarre et quand la FESSEE s’arrête. »
Je baisse les yeux honteux collé au mur
quand j’entends tante Magda qui sermonne Marie
« Je constate Marie
que ta tenue est un peu froissée, cela n’est pas présentable, c’est une faute
qui mérite punition ! Mon cher
enfant je dois sévir et la correction que je vais t'administrer va te faire
regretter ta mauvaise tenue, vilaine petite fille approche ».
Marie se tient
toute timide devant sa correctrice. Elle a l’air d’une enfant devant cette
femme athlétique qui la dépasse de 20 cm. Sans ménagement, elle la couche en
travers de ses cuisses et relève sa jupe qu’elle maintient avec une épingle à
nourrice. Les spectateurs que nous sommes ont une vue plongeante sur la culotte
blanche en coton et les fines jambes de Marie. Tante Magda donne quelques
claques rapides sur la culotte de Marie qui pousse déjà quelques cris.
« Mon cher enfant cela ne sert à rien de
te débattre, tu risques de prolonger la tannée »
Après une vingtaine de claques, elle
baisse la culotte en la retournant à la limite du fessier. Marie nous présente
ses jolies lunes déjà bien rouges.
« Qu’arrive-t-il quand Tante Magda te
prend en faute ma chérie ?»
« Une…une… fessée » répond une Marie
si hésitante
« Oui ma fille tu mérites une bonne fessée
cul nu » lui répond tante Magda d’un ton autoritaire.
« Tiens-toi
bien tranquille en travers de mes cuisses, si tu bouges je double la
fessée ! »
«
Je vais t'apprendre à m’obéir, tante Magda donne toujours la fessée déculottée.
»
Marie est résignée,
elle attend sa punition. Nous sommes subjugués par la situation. Dans cette
position pas de doute, si quelqu’un rentre, il verra une mère fessant avec
application sa petite fille en pleurs, la culotte baissée, allongée à plat
ventre sur les grandes cuisses de tante Magda. Madame lève la main si haute
qu’elle donne plus d’amplitude à la volée. Ses mains si larges claquent les
deux fesses en même temps provoquant des soubresauts chez la punie qui se
tortille, gesticule pour essayer d’encaisser les claques. Marie essaye de se
dégager alors tante Magda pour la mater fesse encore plus fort. Nous assistons
à une correction maternelle méthodique et très cuisante. Après cinq minutes,
elle relève Marie, lui remonte sa culotte et lui descend sa jupe plissée. Marie
me rejoint au coin mains sur la tête face au mur, la culotte à nouveau baissée.
J’observe les fesses rouges de ma voisine qui sont plus marquées que les
miennes. Tante Magda nous gronde et nous demande de réfléchir à notre punition
en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
Après cette double
fessée, nous sommes autorisés à nous détendre. Pendant que les filles enfilent
leur maillot de bain une pièce, La gouvernante me conduit à ma chambre pour
déposer mes affaires. Sur le lit je vois posé bien aligné, un slip de bain très
court, un survêtement et un pyjama deux pièces bleu et blanc. Je contemple le
dortoir, il est séparé en deux par une cloison amovible disposant chacune de
deux lits. La Gouvernante m’explique que les 2 garçons dorment à droite, les
filles à gauche et que pour éviter tout flirt et protéger l’intimité, la
cloison sert de séparation entre les deux sexes. Je me change en vitesse pour
la séance de piscine. Je rejoins mes camarades qui batifolent dans l’eau. Nous
profitons à fond de la magnifique piscine surplombée d’un plongeoir. Nous
nageons, nous plongeons, nous improvisons une partie de water-polo qui se
termine par un mauvais geste. Malencontreusement, le ballon atterrît dans le
massif de roses anciennes et détruit la plupart des tiges.
« Les enfants
sortez de l’eau immédiatement, tante Magda est furieuse vous avez cassé toutes
ses belles roses, vous pouvez préparer vos fesses, ma main va sévir venez-ici ! »
« Oui tante Magda » nous
répondîmes tous en cœur pas fiers de notre bêtise.
Elle nous aligne
tous les quatre trempés dans nos maillots de bain. En quelques secondes elle
nous met les fesses à l’air. Nous sommes tous les quatre debout devant cette
imposante femme. A tour de rôle elle nous attrape et levant sa jambe pour
prendre appui sur le plongeoir elle nous plie sur sa cuisse en hauteur. Je suis
le premier à subir la terrible correction. A ce moment je me remémore la
terrible tannée maternelle reçue dans mon enfance à la sortie du bain. Si la
fessée fait mal imaginez une fessée reçue sur un fessier mouillé, la douleur
est décuplée. Tante Magda lève la main et m’assène une grosse fessée expéditive
en durée mais forte en intensité. Au bout de quelques claques, je n’en peux
plus mais elle continue à me frapper avec ses mains expertes. Puis vient le
tour de Marie, même cérémonial, même intensité dans les claques, Marie est en
pleurs. Les deux autres camarades de jeu subissent le même traitement. A la fin
nous sommes tous les quatre en sanglots, fesses brulantes et pas fiers de notre
bêtise.
« Je n’en ai pas fini avec vous,
allez en vitesse vous changer en survêtement et présenter vous dans le salon
dans cinq minutes »
Nous filons dans la
chambre, à ce moment pas de problème de nudité, de pudeur, nous nous habillons
en vitesse pour rejoindre le salon ou nous attend Tante Magda brandissant le
martinet familial. Nous baissons les yeux, n’osant affronter le regard de Tante
Magda. Elle décide de déléguer le droit de nous corriger à Miss Crumble et Miss
Jane qui nous menacent déjà de leurs mains respectives.
« Miss Crumble vous vous occupez de
Marie et Vincent et Miss Jane de Sara et Jean »
« Bien Madame »
« Et je compte sur vous pour sévir,
ils méritent tous les quatre une bonne fessée »
Elle s’assoit sur une
chaise, en face de nous pendant que Miss Crumble couche Marie sur ses genoux. A
l’autre bout du canapé Miss Jane a couché Sara sur ses cuisses. A ce moment je
détaille la tenue des deux miss qui portent la tenue autrichienne :
pantalon en peau cintré à bretelles avec un joli chemisier blanc écru
légèrement déboutonné laissant apparaître la naissance des seins, de fortes
jolies poitrines à ce que je voie. Les deux fesseuses de concert ont baissé le
bas de survêt et déculotté les fautives. Elles commencent leur fessée.
J’entends le bruit de leurs mains qui claquent des fesses. Un concert de
claques en mode fessée. Marie et Sara trépignent et encaissent les claques les
unes après les autres ne sachant pas quand la fessée s’arrête, si elle va être
plus rapide, plus forte, plus appuyée. Elles fessent pendant de longues
minutes. Cette deuxième fessée est beaucoup plus cuisante que la première quand
les fesses sont déjà bien rouges. Je constate que les deux Miss sont de sacrées
fesseuses, elles grondent les deux filles en leur filant leur raclée. La fessée
se termine pas 10 grosses claques pour lesquelles elles demandent de compter.
Les deux filles sont conduites au coin fesses nues pour faire pénitence. Cela
va être mon tour. Je ne me fais pas d’illusion sur le moment qui m’attend. Miss
Jane me fait signe d’approcher.
« A
ton tour Vincent »
Pendant que je
m’exécute j’entends Miss Crumble qui appelle à son tour Jean. Je n’ai qu’une
hâte, que la correction se termine. Miss Jane me saisit par le bras debout et
me baisse le survêt. Avec beaucoup de fermeté elle m’allonge en travers de sa
cuisse gauche et me baisse la culotte. J’attends fesses nues ma raclée.
J’observe Jean dans la même position, allongé sur les genoux de Miss Crumble.
Les Deux Miss se regardent et se font un signe. Que la fessée commence. Et
quelle fessée, une fessée longue, appuyée sur des fesses bien rouges. La fessée
a durée cinq minutes, je n’ai pas compté les claques mais j’ai très mal aux
fesses. Je rejoins mes trois camarades au coin en punition mains sur la tête,
bien collé au mur.
Nous devons méditer
en silence et subir un sermon des deux jeunes femmes. Nous devons présenter des
excuses pour avoir détruit le parterre de roses. Pendant que nous sommes debout
au coin, tour à tour tante Magda nous donne une fessée pas longue mais
suffisamment forte avec son martinet pour nous calmer.
La correction
finie, nous sommes autorisés à nous reculotter pour aller prendre l’air. Je
décide d’entamer un jogging pour lutter contre la chaleur qui irradie mon
postérieur. Marie et Sara font de même. Nous parcourons quelques kilomètres
autour du château qui nous font un bien fou. A notre retour notre hôte nous
propose une partie de tennis en double. Je suis en équipe avec Tante Magda
contre Sara et Jean. Je suis un assez bon joueur de tennis mais je constate que
tante Magda est bien meilleure que nous, ses services font mouche et elle
claque ses volées aussi fort que sur nos fesses. C’est une bonne partie, un
moment de détente qui prouve que tante Magda n’est pas rancunière. A la fin du
match ou on les a écrasés 6/1, tante Magda nous prend tour à tour dans ses bras
pour nous consoler. J’avoue que ce moment est bien réconfortant après la double
correction reçue.
« Mes chers enfants, Tante Magda vous
aiment et c’est pour votre bien qu’elle doit se fâcher. Voilà c’est fini,
oublié »
Elle nous
raccompagne à la maison en nous tapotant les fesses, histoire de dire « je
vous ai fessé, je peux recommencer ».
Le deuxième épisode ...
Ce sera la semaine prochaine.
Une autre fiction de Vincent :
A vos commentaires !
Qu'en pensez-vous ? Cela vous évoque d'autres situations ? Faites-nous en part !
Vous racontez bien des histoires de régression familiales. j'aime vos personnages féminins à la fois beaux et attirants mai très sévères. Quelle fessées, les descriptions des émotions vécues du coté du puni sont intéressantes. Et j'aime bien vos dialogues souvent drôles. La suite ?
RépondreSupprimerBonjour Vincent,
RépondreSupprimerVotre récit est captivant. On s'y croirait. Une sorte de pension de famille dans laquelle la maitresse de maison considère ses hôtes comme ses enfants. Un cocon avec ses règles...
J'imagine bien les dessins qui l'accompagneraient...
"De l'effort. De l'originalité. Continuez.".
Bonne journée. Peter Pan.
Comment ne pas avoir envie d'être avec Vincent pour être sous la coupe de tante Magda qui soulève tous les fantasmes : aussi
RépondreSupprimerbelle grande et sexy que caline stricte etet autoritaire. Quelle fesseuse et quelles fessées
Bonjour,
RépondreSupprimerIl n'y a pas que la pluie à tomber en Normandie. Les fessées aussi et en rafales!! L'athlétique Tante Magda possède une force de frappe très dissuasive et garantit des séances de fessées particulièrement performantes.
Elle ne lésine pas sur les déculottées et n'y va pas de main morte qu'elle a suffisamment large pour claquer deux fesses en même temps. Comme si cela ne suffisait pa, le personnel féminin en remet une couche de rouge pour entretenir la cuisson.
Déculottées en règle, fessées musclées, cuisantes à souhait, administrées sans pitié tout au long d'un récit mené tambour battant. Je devrais dire fessiers battant!
Bien sûr, on en redemande!
Cordialement
cela me rappelle tant le pensionnat et les fessées qui tombaient sur nous, cul devant tout le monde....
RépondreSupprimerje donnerai cher pour vivre un tel weekend... me faire déculotter et fesser devant tout le monde, comme avant...
RépondreSupprimerTu sais Julien, moi aussi j’ai été pensionnaire dans un collège. Et des fessées on en distribuait aux élèves dissipés, désobéissants ou paresseux. On ne répétait pas les avertissement deux fois… Un avertissement non suivi d’effet et on était déculotté et fessé. L’éducation qui nous était donnée était stricte, on ne nous laissait rien passer. Des fessées j’en ai reçu pas mal et je n’étais pas le seul. On nous prenait par l’oreille et sous le bras ou en travers des genoux, culotté baissée la correction tombait. Se dandinant maladroitement on repartirait en remontant la culotte en pleurs, les fesses rouges. On avait compris qu’il fallait obéir.
RépondreSupprimerOui au collège la discipline était très stricte. La punition que nous redoutions le plus c’était celle qui nous était administrée en classe sur l’estrade devant tous nos camarades. Lorsque le prof nous baissait la culotte et nous mettait en travers de ses genoux pour nous punir devant tout le monde, on n’en menait pas large. Je peux dire que cette punition nous servait de leçon, pour le puni mais aussi pour toute la classe. En classe de quatrième nous avions un prof principal particulièrement sévère. Avec lui il fallait respecter la discipline et travailler. Peu de temps après la rentrée, il avait grondé un élève redoublant. Se retournant du tableau, il l’avait interrogé pendant le cours : « Dis-moi Cyril, répète ce que je viens de dire. » Comme il n’avait pas écouté le garçon n’avait su que répondre. La suite ne s’était pas faire attendre. Le prof était venu chercher Cyril, l’avait attrapé par une oreille et, direction l’estrade. Et comme il n’allait pas assez vite, lui avait claqué plusieurs fois les fesses sur le culotte courte. « Non non Monsieur, pardon, non je recommencerai pas. Non pas la fessée, pas la fessée… » Le garçon qui était redoublant savait à quoi s’en tenir. Arrivé sur l’estrade, le prof avait installé une chaise pour s’y asseoir et en d’un geste ferme la culotte courte et le slip de notre camarade avait été descendus. Et le gamin s’était retrouvé en travers des genoux du prof pour la fessée magistrale. La main très haut levée et clac clac clac…la fessée était partie en trombe. La puni était ensuite reparti à sa place en se dandinant. Et tout cela s’était terminé par une mise en garde collective pour toute la classe. On savait à quoi s’en tenir.
RépondreSupprimer