Cela reste dans le cercle familial

Je vous prie de m'excuser, je me trouve dans l'obligation de devoir faire une parenthèse dans la fête qui rassemble toute la famille. Il y a des choses qui ne peuvent pas attendre et je crois que nous sommes dans l'une de ces situations. Il y a là un jeune homme qui, sans attendre, a besoin de toute mon attention.

Vous devriez pourtant avoir compris, mon gendre, depuis plus de quinze ans que nous nous connaissons, que je tiens toujours mes promesses. Vous ai-je déjà annoncé quoique ce soit sans que cela soit suivi d'effet ?

Je vous ai prévenu, hier, que si j'avais quelque chose à vous reprocher lors de notre rassemblement familial, vous en seriez puni immédiatement et quelles que soient les personnes présentes. Après tout, cela ne sort pas de la famille dans laquelle vous êtes entré en épousant ma fille.

Soyez rassuré, chacun, ici, se doute que je vous corrige quand vous en avez besoin. J'ai toujours procédé ainsi avec tous mes enfants et également avec mes neveux et nièces. Votre mariage vous a inclus dans ce groupe. Ce n'est pas une question d'âge. Trente-quatre ans, ce n'est pas trop vieux pour recevoir une bonne fessée déculottée quand on en a besoin.

Ne craignez rien, vous n'êtes pas le premier que je punis ainsi. Demandez au cousin de votre femme, il a déjà eu l'occasion de venir faire un tour à plat-ventre sur mes genoux, la culotte baissée. La dernière fois, c'était l'année dernière. Vous voyez, il a presque le même âge que vous.

Vous n'avez, jusqu'alors, reçu que des fessées dans un cercle restreint, en présence de ma fille et de mon mari. Je n'ai jamais hésité à vous déculotter et à vous corriger devant eux. C'est tout à fait normal puisqu'ils sont également fessés tous les deux devant vous. C'était affaire de circonstances. Vous n'aviez jamais, jusqu'à aujourd'hui, mérité une correction alors que d'autres personnes étaient présentes.

Cela ne pouvait durer au vu de votre comportement. Vous ne pouvez vous empêcher de vous mettre dans des situations scabreuses. J'ai bien vu, hier quand je vous ai averti, que vous aviez un doute quant à ma résolution à vous punir en public. Vous avez eu tort de ne pas le prendre pour argent comptant.

Après un tel comportement en public, une fessée déculottée devant toute la famille s'impose !

Vous devriez pourtant savoir, mon gendre, que je ne tolère pas la vulgarité. Ce n'est pas la première fois que je vous punis pour cette raison. Je croyais vous avoir fait passer l'habitude de tenir des propos déplacés aux femmes de votre entourage. Apparemment, je n'ai pas été assez convaincante.
Je vais donc faire un effort pour être bien plus persuasive. Cela se verra à la couleur de vos fesses, mais je laisserai juger ces dames qui assistent à votre correction. Je ne m'arrêterai  que quand elles seront satisfaites de votre châtiment.

Vous irez alors présenter vos excuses à votre cousine de vos propos déplacé et de l'avoir mise ne difficulté en flirtant ouvertement avec elle. Je sais que vous aviez un peu trop bu, mon gendre, mais cela ne justifie pas votre comportement. Cette fessée va vous dégrisez aussi sûrement qu'une bonne nuit de sommeil.
Vous irez ensuite passer la fin de l'après-midi au coin. Cela vous donnera le temps de réfléchir aux inconvénients qui résultent de comportements inadmissibles, dans notre famille. Je tiens à ce que chacun sache que vous avez reçu une bonne fessée déculottée. vous laisserez donc votre culotte et votre pantalon là où ils sont. La belle couleur rouge de vos fesses donnera à réfléchir à quelques autres qui, compte tenu de leur âge, pourraient se croire à l'abri d'une bonne correction.

Puisque, mon gendre, vous ne semblez pas capable de vous comporter autrement qu'en un vilain garçon irrespectueux, je vais vous placer sous l'autorité de toutes les femmes de la famille qui sont plus âgées que vous.
Elles auront toutes le devoir de vous surveiller et de vous punir quand ce sera nécessaire. Je peux vous assurer que pas une d'entre elles n'hésitera à vous déculotter et à vous fesser. Vous allez apprendre ce que c'est que d'obéir !

Grand merci à Nate à qui j'ai emprunté le dessin !

Il y en a déjà eu une autre de ses œuvres publiées sur ce blog : de la lecture à la réalité

Les règles familiales peuvent être parfois très strictes

                                                   

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