Si Tatie Nathalie m’avait emmené
en courses, c’était pour l’aider à porter son panier. Nous avions pris le temps
de faire le tour du marché et je songeais à Florence et Jeanne exposant au coin
leurs fesses nues, sachant qu’on pouvait les apercevoir depuis la rue. C’était
une terrible punition. Je crois que j’en serais mort de honte.
Notre chemin de retour nous fit
passer devant la maison des Moreau. Tatie s’y arrêta.
« Si on regarde bien à
travers la haie, on peut voir qu’il y a deux personnes au coin, mais on ne peut
pas distinguer qui c’est. Ce n’est pas si terrible. Je crois que je vais
prendre l’habitude de les mettre au coin à cet endroit. Voyons ce que ça donne
depuis chez moi. »
Julie, Mamie, Tatie Nathalie et
moi, nous retrouvâmes devant la fenêtre de la cuisine pour commenter la vue que
nous avions.
« Ont-elles été sages,
demanda Tatie Nathalie ?
– Parfaitement, je ne les ai pas vues
bouger d’un poil.
– D’ici on voit mieux que depuis
le trottoir, bien qu’elles soient un peu dans l’ombre. »
La maison de Tatie Nathalie était
un peu surélevée, comme celle des Moreau. Notre angle de vue chez les voisins était à
l’horizontal.
« On voit bien qu’elles se
tiennent au coin et qu’elles ont la culotte baissée, mais je ne saurais dire
qui est qui si je ne le savais d’avance. C’est très pratique pour les
surveiller.
– Evidemment, de nuit avec la
lumière allumée dans leur séjour, on les distinguerait parfaitement et ce
serait pareil depuis la rue.
– Cela fait presque trois-quarts
d’heure qu’elles sont en pénitence, je vais aller les délivrer. »
Quand elle entra dans le séjour,
Tatie Nathalie sentit la tension chez ses deux punies. Elles raidirent leurs
muscles malgré l’engourdissement que les avait gagnées. Tatie Nathalie passa sa
main sur leurs fesses pour en estimer la chaleur. Comme elle s’y attendait, les
fesses des deux femmes avaient retrouvé leur température et leur couleur normales.
Les effets physiques d’une fessée donnée à main nue, ne durent pas aussi
longtemps que cela. Psychologiquement, c’est autre chose.
Jugeant que cela renforcerait son
autorité de laisser les deux punies au coin encore quelques minutes alors
qu’elle déambulait dans la maison dans leur dos, Tatie Nathalie monta à
l’étage. Sans s’annoncer, elle entra dans la chambre d’Anthony. Il était avachi
sur son lit, des écouteurs sur les oreilles.
Comme il tournait le dos à la
porte, il ne s’aperçut pas tout de suite de la présence de Tatie Nathalie. Il
sursauta quand elle entra dans son champ de vision, après qu’elle eut contourné
le lit. Anthony enleva promptement le casque qu’il avait sur les oreilles et se
redressa.
« Je constate que tu as
achevé le rangement de ta chambre, puisque tu écoutes de la musique. Tout doit
être parfaitement en ordre, n’est-ce pas ? »
Anthony bredouilla une réponse
hésitante.
« Et bien nous allons voir
cela. »
Tatie Nathalie fit le tour de la
pièce du regard. L’aspect de la chambre avait changé depuis son dernier
passage. Il ne traînait plus rien que pouvait apercevoir. Les vêtements sales
avaient disparu, la poubelle qui débordait sur le sol avait été vidée, plus de basquettes
dans le milieu de la pièce, le bureau était rangé, … au premier regard, cela
donnait une sensation d’ordre qui pouvait impressionner le visiteur.
Tatie Nathalie avait un niveau
d’exigence plus pointilleux. Elle sa baissa pour regarder sous le lit.
« Je vais lancer un grand
ménage de cette maison dès demain. Tu n’oublieras pas de passer l’aspirateur
sous le lit. C’est rempli de mouton de poussière. »
L’inspection continua. Elle
passait dans tous les coins et l’angoisse d’Anthony montait à chaque fois où
elle mettait son nez là où il n’avait pas regardé. La chance lui sourit pendant
plusieurs minutes. Rien ne traînait. Cela ne pouvait durer. Tatie Nathalie
referma la porte de la chambre. Sur le sol, juste dans le coin, il y avait un
ticket de bus usagé.
Quand Anthony eut jeté l’objet du
délit à la poubelle, Tatie Nathalie lui administra trois claques sur le fond du
pantalon. Elles ne pouvaient lui avoir fait de mal, mais elle marquait son champ
d’autorité.
« La prochaine fois, je ne
me contenterai pas de quelques claques sur tes vêtements. Ton travail de
rangement a été superficiel. Je veux qu’à partir d’aujourd’hui, tu ranges ta
chambre chaque jour, sans y rien y laisser traîner. Encore un papier oublié et
ce sera la fessée déculottée ! »
Anthony ne moufta pas. Il confirmait
ainsi que la menace était réelle et que Tatie Nathalie avait les moyens de la
mettre en application. Elle se dirigea vers l’armoire. Anthony devint
tout pale. La raison en fut évidente quand les portes furent ouvertes.
Le désordre qui envahissait sa
chambre ce matin, avait juste été déplacé de quelques mètres. Il se trouvait
maintenant derrière les portes de l’armoire. Les vêtements chiffonnés avaient
été fourrés sur les étagères. Tout cela tenait à l’intérieur de l’armoire, mais
dans un équilibre précaire que l’ouverture des portes avait déstabilisé.
Maintenant que la porte ne le comprimait plus, le tas de vêtement reprit du
volume et lentement, comme dans une séquence au ralenti, il se déversa au sol
sur les pieds de Tatie Nathalie.
« Je crois que tu t’es moqué
de moi. Je ne sais pas si cela fait partie de tes habitudes de ne pas prendre
au sérieux les demandes qui te sont faites, mais avec moi, il y aura à chaque
fois des conséquences. »
Tatie Nathalie prit son oreille
entre ses doigts. Elle tira vers le bas pour la ramener à hauteur de son
bassin. Anthony dut marcher courbé en deux, tiré par l’oreille. Tatie Nathalie
le ramena dans le séjour. Elle s’assit sur le canapé après avoir rangé une pile
de magazines qui s’y trouvait, puis elle le rapprocha entre ses jambes.
Anthony savait ce qui
l’attendait, mais il est toujours difficile de ne pas faire quelques tentatives
pour y échapper, même quand on sait d’avance qu’elles seront vaines. Elles ne
pouvaient prendre la forme d’une résistance physique. Cela était exclu. Il
tenta de plaider sa cause.
« Je vous promets que je ne
le ferai plus. Je vais ranger ma chambre et mon armoire tous les jours. Vous
pourrez venir … »
Tatie Nathalie était imperméable
aux excuses. Elle avait pris la décision d’administrer une fessée à Anthony,
rien ne pourrait l’empêcher. Tandis qu’il continuait sa litanie …
« … je vous demande pardon,
je ne le ferai plus … »
Tatie Nathalie lui baissait le
pantalon, puis la culotte. Il ne semblait pas avoir pris conscience qu’il était
déculotté, prêt pour la fessée. Il ne faisait rien pour retarder le moment de
sa punition. Ses implorations continuaient encore, alors qu’il avait été placé
à plat-ventre, laissant ses fesses à disposition pour la fessée.
Son flot de parole ne
s’interrompit que suite à la première claque que Tatie Nathalie lui administra.
Il ne se tint silencieux que quelques secondes, puis passa directement à des
sanglots continus. Il tenait ses mains jointes devant sa bouche et mordait dans
une phalange, ce qui étouffait un peu ses cris. Il restait immobile sur le
genou de Tatie Nathalie. Ses pieds battaient dans l’air mais leur mouvement
était limité par son pantalon tombé sur ses chevilles.
Tatie Nathalie faisait de
l’administration d’une fessée, une tâche très sérieuse qui demandait une grande
attention. Ses sourcils froncés montraient sa concentration. A peine avait-elle
appliqué sa main sur les fesses d’Anthony, qu’elle choisissait l’endroit où
elle frapperait la prochaine fois. Elle surveillait également la couleur du
postérieur qui reposait sur ses genoux et les réactions d’Anthony.
Il fallait que le jeune homme
quelle punissait, réagisse vivement à chaque fois que sa main augmentait la
cuisson de ses fesses. Cela demandait de varier les endroits qui étaient
l’objet de son attention afin que le puni ne puisse anticiper l’emplacement
d’où viendrait la prochaine souffrance. Sa main devait s’adapter à la forme
qu’avait les fesses d’Anthony, là où elle frappait. Cela demandait une certaine
technique, Tatie Nathalie n’en manquait pas.
Elle estima que cette première
partie de la punition avait fait son effet. Alors elle se pencha et ôta la
ceinture d’Anthony des passants qui la retenaient à la taille du pantalon. Elle
l’entoura l’extrémité où il y avait la boucle et laissa l’autre pendre entre
les jambes du jeune homme.
« La fessée que tu viens de
prendre, c’était pour le rangement négligé de ta chambre. J’espère que tu as
compris que ce ne sera plus toléré. Je vais demander à ta Maman, Jeanne
j’espère que tu m’écoutes, de sanctionner tout désordre dans ta chambre, d’une
bonne fessée. Si elle ne le fait pas, je viendrai m’en charger et elle aura
alors sa part de punition. Est-ce compris ?
– Oui, Tatie Nathalie, répondit
Anthony.
– Jeanne ?
– Oui, oui, j’ai compris !
– Oui qui ?
– Oui, Tatie Nathalie !
– Je prends ce que vous venez de
promettre pour un engagement ferme. Je compte bien ne pas être déçue. »
Les deux interlocuteurs de Tatie
Nathalie soupirèrent, prenant conscience des exigences qui s’accumulaient
devant eux et qui allaient changer leur vie.
« Voilà une bonne chose de
réglée. Il reste maintenant à solder les comptes de ta désinvolture à ranger ta
chambre, alors que je te l’avais explicitement demandé. Tu as osé traiter avec
plus que de la légèreté les consignes que je t’avais données. C’est de
l’impertinence qui mérite une fessée exemplaire. »
Anthony poussa un cri et tenta de
se débarrasser de la prise de Tatie Nathalie. Il venait de comprendre quel
usage Tatie Nathalie entendait faire de la ceinture. Comme il poussait sur ses
deux bras pour se relever, Tatie Nathalie lui attrapa le poignet droit et le
remonta dans son dos puis elle posa son coude au creux des omoplates.
« Pour une première fois, je
n’avais l’intention que de te donner une dizaine de coups de ceinture sur
chaque fesse. Ta rébellion t’en coûtera le double. Ce sera vingt, et si tu
continues, tu auras une autre fessée ce soir, ce sera toujours avec la ceinture,
mais je doublerai la dose. »
Soit ce fut la menace, soit ce
fut le premier coup de ceinture qui barra ses fesses, mais Anthony cessa de se
débattre pour recommencer le ballet de ses jambes et les vocalisations
désordonnées qui avaient accompagné sa première fessée.
La ceinture laissait des marques
sombres qui commençaient sur le sommet des fesses du jeune homme et s’étendaient jusqu’au haut de ses cuisses.
Tatie Nathalie visait le centre des fesses et c’était là où le plat de la
ceinture claquait en premier. Puis, en se déployant, la lanière de cuir
poursuivait sa route et son extrémité, légèrement biseautée, finissait sa
course sur le haut des cuisses, le plus souvent à l’intérieur, là où la peau
est la plus tendre.
Quand Tatie Nathalie relevait la
ceinture pour préparer son application suivante, apparaissait rapidement une
longue bande rouge sombre grossièrement parallèle à celles qui l’avaient
précédée. Elle se finissait, à l’intérieur de la cuisse par un petit triangle
encore plus sombre que le reste.
Vingt coups. Sur chaque fesse.
Quarante fois la ceinture laissa sa marque. Anthony aurait probablement dit
qu’il en avait reçu le double. Il n’en était rien, mais une correction
administrée avec une ceinture semble toujours interminable.
Tatie Nathalie, arrivée au bout
de la punition qu’elle voulait infliger, posa la ceinture à côté d’elle. Elle
n’avait pas vraiment relâché sa prise sur le corps du jeune homme qui gisait
toujours sur ses genoux, mais elle était moins ferme. Anthony se calma, reprenant
le contrôle de ses gestes. Comme elle le faisait à chaque fois, Tatie Nathalie
posa sa main sur les fesses d’Anthony. Ce geste avait plusieurs sens.
Il signifiait en premier qu’elle
avait toute autorité sur le territoire où reposait sa main. Cet endroit était
sous son contrôle et elle pouvait le dénuder quand elle le jugeait utile, s’en
emparer quand elle le souhaitait, soit pour une caresse, soit pour une fessée.
Elle avait posé sa main là où personne ne pouvait lui contester ce droit,
malgré l’intimité que cela supposait.
Par ce geste, elle disait
également que sa main pouvait tout autant apporter de la consolation, que de la
douleur. Après une fessée donnée avec un instrument, les premiers attouchements
n’avaient rien d’une partie de plaisir. La main, en touchant la peau enflammée
par l’application de la ceinture, ravivait la douleur qui venait tout juste de
s’atténuer. Puis, la caresse avait tendance à diffuser la douleur uniformément,
ce qui la rendait moins aiguë.
Et enfin, c’était le signal de la
fin de la punition, le début du pardon. Le plus dense de la douleur était
passé. Elle ne ferait plus que diminuer, plus ou moins rapidement selon la
fessée reçue. Le puni pouvait alors graduellement changer de bord, passer de
celui d’enfant désobéissant à celui d’enfant sage. C’était un processus qui
prenait du temps et qui passait souvent par un long temps en pénitence, mais le
chemin était entamé, c’est ce qui importait.
Anthony réagit par un grognement
et il gigota quelques secondes sur les genoux de Tatie Nathalie, puis il la
laissa faire. Les premières fois, j’avais également trouvé cette caresse
étrange, plutôt dérangeante, d’autant plus que la main, en parcourant la
surface de mes fesses, frôlait mes testicules. Cela provoquait un petit choc
électrique qui parcourait mes organes génitaux et qui se diffusait dans tout
mon bas-ventre et un frisson qui remontait le long de mon dos.
J’en avais maintenant l’habitude.
Mes fesses et mes organes génitaux, en principe zone intime par excellence pour
un adulte, ne l’était plus complètement pour moi. Depuis un peu plus de deux
mois, j’avais exposé ces parties que, habituellement, on cache précieusement
quand on a mon âge, à un nombre de personnes dont j’avais perdu le compte.
Celles qui avaient manipulé mon
sexe étaient moins nombreuses, mais elles m’imposaient quotidiennement ces
attouchements, en particulier pour me faire ma toilette. C’était toujours fait
avec une simplicité qui excluait toute équivoque, celle d’une grande personne
qui s’occupe d’un enfant. Anthony devrait lui aussi s’y habituer, il n’aurait
pas plus le choix que je l’avais eu.
Pour être honnête, cette
situation n’avait pas que des désavantages. Si je mettais d’un côté de la
balance les fessées, les déculottages surtout quand ils se faisaient en public,
les longues stations passées au coin, et les moments où on me lavait, je
rétablissais l’équilibre avec les câlins dans les bras des grandes personnes
qui s’occupaient de moi, l’absence totale de décisions à prendre, et les
progrès que je faisais dans tous les domaines, en particulier sur le plan
professionnel. Par-dessus tout, je crois que c’était la sécurité que je
ressentais sous l’autorité de ces femmes, qui me permettait
d’accepter le reste.
« Anthony, tu vas te mettre
au coin. Va prendre la place de Florence ! »
Anthony n’avait plus qu’une
ambition : obéir à Tatie Nathalie le plus diligemment possible afin
d’éviter de remettre ses fesses en ligne de mire de la ceinture que manipulait
si efficacement Tatie Nathalie. Le coin apparaissait comme une alternative
préférable. Il s’y rendit sans hésiter.
« Florence, laisse la place
à ton frère et viens me voir. »
Les deux jeunes gens échangèrent
leur place. Et Florence traversa la pièce avec difficulté. Sa culotte de
pyjama, tombée sur ses chaussons, gênait son déplacement. Tatie Nathalie
l’arrêta à mi-chemin.
« Tu n’as plus besoin de ce
bas de pyjama pour aujourd’hui. Je vais te l’enlever. »
Tatie Nathalie se baissa et récupéra
le pantalon de pyjama qu’elle plia sur son avant-bras. La veste du vêtement de
nuit arrivait à peine en dessous de la taille de Florence. Ses fesses étaient
apparentes et elle ne portait rien en dessous, si on ne tenait pas compte de
ses chaussons.
« Viens par ici que je
vérifie où tu en es après cette fessée. »
Tatie Nathalie poussait Florence
devant elle, tout en l’encourageant par de petites tapes sur les fesses. Elle
la conduisit vers la baie vitrée dont les rideaux étaient toujours
grands-ouverts. Quand elle comprit où Tatie Nathalie l’emmenait, Florence
ralentit, mais une forte claque sur les fesses relança sa marche en avant.
« Pas de comédie avec moi, sauf si tu
veux une autre fessée ! »
Tatie Nathalie plaça Florence en
pleine lumière, juste au milieu de la baie. Il était évident que chaque passant
dans la rue qui tournerait la tête vers la maison, ne pourrait manquer les
fesses nues qui s’exposaient à la vue de tous. Avec la dextérité qui lui était
habituelle, Tatie Nathalie courba la jeune femme sous son coude, les fesses
tournées vers la lumière.
« Non, s’il vous plait, pas
ici ! »
Ce n’était pas une protestation,
mais plutôt une supplication dite avec une voix faible dans laquelle perçait le
désespoir.
« Que t’arrive-t-il, ma
chérie ? Tu as peur que les voisins sachent que je te fesse ? De
toute façon, cela arrivera à un moment ou à un autre. Je n’ai pas l’intention
que cela reste un secret. Il y aura bien un moment où tu mériteras une fessée
alors que d’autres personnes seront présentes. Je veux dire d’autres personnes
que celles de ton cercle familial. Tu seras alors punie devant ce public. Tu
prendras ce risque tant que tu te comporteras comme une gamine.
– J’ai compris la leçon, Tatie
Nathalie. Je vais me comporter comme une grande. Il ne sera plus nécessaire de
me donner la fessée.
– Ça, ma grande fille, c’est moi
qui en déciderai et je suis persuadée que tu auras besoin d’être accompagnée
par la fessée pendant de nombreux mois, certainement quelques années ! »
Florence émit un gémissement
prolongé mais elle ne chercha pas à se dégager de la position qui montrait sans
équivoque à qui passerait dans la rue que la fessée était en vigueur dans cette
maison. Tatie Nathalie lui donna une claque sur chaque fesse.
« Cesse ce bruit tout de
suite ! Si tu veux gémir, je peux te donner une très bonne raison de le
faire ! »
Le bruit cessa immédiatement.
Tatie Nathalie passa alors sa main sur les fesses de la femme qu’elle tenait
sous son coude. Elle testait la température de la peau et vérifiait, en
cherchant les zones sensibles au toucher, que des hématomes n’étaient pas en
formation sous la peau.
« Parfait, cette première
fessée de la journée n’aura pas de conséquence … du moins sur l’état de tes fesses. »
Elle allait relâcher Florence,
mais elle la replaça dans la position de départ.
« Attends une seconde que je
vérifie … Il m’a semblé que … »
Tatie Nathalie se pencha pour
prendre un mouchoir en papier dans la boite qu’il y avait sur la table basse
juste à côté d’elle. Elle passa le mouchoir dans la raie des fesses de la jeune
femme qui contracta instinctivement ses muscles fessiers.
« Laisse-moi faire ou c’est
la fessée ! »
Florence se détendit, laissant
Tatie Nathalie introduire le mouchoir jusqu’à son anus.
« Dis-moi, ce n’est pas très
propre ! As-tu pris une douche ce matin ?
– Pas encore, Tatie, j’étais au
coin …
– C’est vrai qu’avec l’heure à
laquelle tu t’es levée, ce n’était pas possible avant ta fessée. Il va être
temps d’y aller. Laisse-moi vérifier … »
Tatie Nathalie releva Florence
mais elle la maintint face à elle. Elle passa le mouchoir dans le vagin de la
jeune femme et le lui mit sous le nez.
« Regarde, des traces !
Ce n’est pas très propre non plus ! Ton programme de la matinée est donc
très clair : Tout d’abord une douche. Ta Maman vérifiera que tu t’es bien
lavée. Ensuite, tu t’habilles. Tu mettras des vêtements de travail, tu as de
quoi faire pour toute la journée et cela risque d’être salissant. J’attends de
toi que tu prennes ta part du rangement de la maison. Tu commenceras par tes affaires
qui traînent un peu partout, puis tu demanderas à ta Maman ce que tu dois faire
et tu lui obéiras. Nous reparlerons plus tard de ton insolence de ce matin. »
Tatie Nathalie fit pivoter Florence pour la mettre
face à l’escalier. Elle mit la culotte de pyjama dans ses mains et d’une claque
sur les fesses, lui donna le signal du départ.
Avec les dessins originaux de Peter Pan.
Grand merci pour ces illustrations qui agrémentent le récit.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
L'épisode précédent : chapitre 69
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 71
Vous cherchez un chapitre en particulier ?
C'est par ici
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Mon commentaire d'hier n'a pas pu être expédié... à cause d'un caprice informatique!
RépondreSupprimerRamina
Après cet essai transformé,têtu, je recommence.
RépondreSupprimerChers amis, bonjour,
Tatie Nathalie ne lésine pas sur les moyens et ne ménage pas son énergie. Elle fesse tout azimuthe et ça déménage ménage sur les fesses de ceux qui ne le font pas...le ménage. Une chambre mal rangée, un papier qui traîne ça déculotte et ça claque sec aussitôt! Et pour renforcer l'humiliation des fessées on les administre devant la baie vitrée. Toujours plus marquant en public? Elle est comme ça tatie Nathalie, elle aime le travail bien fait. La main ferme sur les prix... à faire payer !
Il n'empêche notre amis JLG est en passe de dépasser les 70 épisodes! Et ce n'est pas fini! Il y a encore des paires de fesses d'indisciplinés à corriger avec des Dames tout à fait disposées à le faire. On ne se rend pas compte!
Cordialement
Ramina
On lit, on lit et on ne se rend pas compte
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerJe suis bien d'accord avec vous.
Soixante dix épisodes à ce jour avec une moyenne de sept pages par récit, le compteur arrive à... à.... voyons... à quelques deux cents cinquante pages ?? L'épaisseur d'un best-seller (?) !
J'en conclue que Tonton Peter' a encore du pain sur la planche !!! Rires. Bonne soirée.
Peter'.
Peter,
SupprimerVous ne calculez pas comme il convient. En fait, une page publiée dans un livre fait, en moyenne, 250 mots. C'est beaucoup moins qu'une page écrite sur un ordinateur.
Cela fait donc plus de pages que ce que vous avez calculé. Il y en a encore quelques-unes à venir.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG,
SupprimerEn effet, j'ai pris comme référence une page dactylographiée à l'écran d'un ordinateur. Ca fait une certaine différence.
Toutefois, ça mérite d'être salué, comme tout effort fourni.
Bonne journée. Peter.
Messieurs
RépondreSupprimerje crois bien que notre ami JLG est en train de s'attaquer à "la comédie humaine" version fessée. Nous avons notre Balzac de la déculottée! Personne ne s'en plaindra...
* je viens de relire mon lamentable saucissonnage dans mon courrier ci-dessus traficoté après la défaillance informatique!
Il y a des fessées qui se perdent dans la nature!
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerHum, la référence est plaisante et flatteuse ! Qui l'eut crû ?
Quant à votre maladresse, mon ami, je dirais tout simplement :
"Errare humanum est".
Bonne journée. Peter'.
Chers amis,
SupprimerJe vous remercie de la comparaison. Elle est tellement flatteuse qu'elle apparaît largement démesurée quant à la qualité d'écriture et le passage à la postérité de la production.
Quand à la longueur du récit, nous jugerons à l'usage. Vous verrez que plusieurs des récits se recoupent, mais il faut attendre encore un peu pour s'en rendre compte. Tout vient à point à qui...
Au plaisir de vous lire,
JLG.