lundi 12 novembre 2018

Une éducation à reprendre

Je sais, ma chérie que je ne suis pas ta mère, je suis bien trop jeune pour cela. Je n'ai que cinq ans de plus que toi, Mais il n'empêche, je suis maintenant la femme de ton père. Cela fait de moi ta belle-mère, ce qui s'approche le plus d'une Maman. Puisque ta mère biologique a quitté ton père, te laissant à sa garde, il faut bien que je la remplace au mieux.
On pourrait croire, qu'à vingt-huit ans, que tu n'aurais plus besoin d'une mère pour surveiller ce que tu fais. C'est le cas pour la plupart des grandes filles de ton âge, apparemment pas pour toi. Cela fait trois mois que nous vivons sous le même toit, j'ai l'impression d'avoir à m'occuper d'une gamine de dix ans qui ne cesse de faire des caprices.
J'en ai longuement parlé avec ton père. J'ai dû le convaincre, mais j'y suis arrivée. Il a parfaitement conscience que tu te comportes comme une petite fille à qui tout est dû. "Sa princesse", comme il dit. Il t'a passé toutes tes colères, Il te laisse faire tout ce que tu veux, y compris les pires bêtises, sous prétexte qu'il y a vingt-cinq ans, ta mère t'a abandonnée.
Il a compris que si personne n'y mettait le holà, tu te mettais en danger  et que l'irresponsabilité dans laquelle on t'a maintenue depuis que tu es petite, risquait de faire de toi une adulte immature pour tout le reste de ta vie.

Tu es devenue une jeune fille incontrôlable que plus personne ne veut côtoyer, à part ta bande de copains avec qui tu fais la fête au point de rester ivre morte et de nous obliger à aller te chercher, chez tes amis, en pleine nuit.
Et je ne parle pas de tes insolences répétées envers moi : quand tu refuses de dire bonjour, quand tu feins d'ignorer que je suis dans la même pièce que toi, quand tu laisses un désordre derrière toi en me disant que "si je ne suis pas contente, je n'ai qu'à ranger", quand tu n'acceptes pas de faire ta part des tâches ménagères de la maison en prétendant que, moi, "je suis là pour ça"... et je pourrais en faire une liste qui n'aurait pratiquement pas de fin.

Quand ton père et moi nous nous sommes mariés, je savais qu'il avait une grande fille de ton âge. Je pensais trouver une amie, voire une confidente. A la place, j'ai trouvé une petite fille impolie, insolente, capricieuse, coléreuse, vulgaire, désobéissante... mal élevée, en un mot.
Afin que nous puissions continuer à cohabiter tous les trois sous le même toit, j'ai exigé d'avoir toutes les prérogatives d'une mère à ton encontre. J'ai prévenu ton père que je te punirai dès que ce serait nécessaire. Je ne te cache pas qu'il a hésité. "N'est-elle pas trop grande, a-t-il objecté ?" Mais il a fini par céder et me donner le feu vert pour reprendre en mains ton éducation.

Nous allons tout recommencer à zéro. Je vais exiger de toi que tu te comportes comme une grande fille obéissante et respectueuse des personnes qui l'entourent. Je vais te réapprendre la politesse, à ranger tes affaires... toutes choses que tu devrais savoir faire toute seule.
Si je ne suis pas contente de ton attitude, je te gronderai. Il est normal que tu puisses te tromper de temps en temps. Par contre, si je constate que tu ne fais pas les efforts nécessaires ou que si tu y mets de la mauvaise volonté, je te donnerai la fessée déculottée. Tu vas voir comme le martinet rend une petite fille sage et obéissante, y compris quand elle a vingt-huit ans.

Fessée déculottée au martinet par belle-maman

Après cette fessée, tu vas aller au coin. Tu y resteras jusqu'au dîner. Bien sûr tu garderas ta culotte là où elle est en ce moment. Je veux que tes fesses, et les traces des lanières du martinet qu'elles portent, soient bien visibles.
Je sais que ton père ne va pas tarder. Evidemment qu'il va te trouver au coin, la culotte baissée. Comme cela, il n'y aura de doute pour personne que tu as été punie avec une bonne fessée au martinet sur tes fesses nues.
Tu sais que maintenant cela va t'arriver régulièrement. Il n'y aura pas que ton père qui sera présent quand je te fesserai. Je sévirai dès que tu en auras besoin quelles que soient les personnes présentes. A toi d'être sage et obéissante, particulièrement quand il y aura du monde à la maison. Autrement, tu sais ce qui t'attend !

Tu vas apprendre à m'obéir sans discuter. Je vais t'inscrire dans un lycée, chez les Sœurs à St Marie. Tu vas reprendre tes études là où tu les as interrompues quand tu avais seize ans, en classe de seconde. Entre les Sœurs et moi, nous arriverons bien à te faire travailler correctement. Nous viserons d'abord le bac, ensuite j'aviserai.
Tu vas apprendre combien c'est gratifiant d'obtenir de bons résultats quand on a fait de gros efforts pour y arriver... et combien une punition aide à remotiver une jeune fille paresseuse.

Pour le moment, je ne te considère pas assez grande pour pouvoir prendre des décisions par toi-même. C'est donc moi qui déciderai de tout ce qui te concerne. Tu vas apprécier de redevenir une petite fille qui doit obéir à ce que lui disent les grandes personnes et qui n'a plus rien à se préoccuper d'autre.
Ce ne sera probablement pas très agréable de recevoir la fessée, mais il faut en passer par là. Tu en as besoin pour grandir.


Grand merci à Bruce Morgan à qui j'ai emprunté ce dessin !


Etre Belle-Maman, ça donne des obligations


      les fesses rougies par la fessée                                             attente de la fessée par sa belle-mère


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