Florence était au coin depuis
quelques minutes. A la couleur de ses fesses, on se rendait vite compte qu’elle
avait eu une fessée dont elle se souviendrait. C’était la première véritable
correction qu’elle avait reçue de la main de sa mère.
Bien que son expérience de jeune
femme fessée soit courte, cette punition ferait date dans sa vie : sa mère
venait de lui montrer sa compétence pour administrer la fessée. Une fois
partie, Jeanne n’avait pas hésité jusqu’à ce que Florence n’en puisse plus. Cela
présageait d’autres moments où ses fesses paieraient le prix de ses
désobéissances.
Dans son coin, Florence se disait
qu’elle n’avait aucune chance d’échapper désormais aux corrections qu’elle
mériterait, tant que Tatie Nathalie tiendrait la haute main sur le régime
disciplinaire qui prévalait à la maison. Il restait une boule d’angoisse dans
le fond de son ventre : qu’avait voulu dire Tatie Nathalie quand elle
avait annoncé qu’elle s’occuperait de son insolence plus tard. La fessée
qu’elle venait de prendre ne serait peut-être pas la dernière de la journée. Une
fessée donnée par Tatie Nathalie. A cette pensée, elle frissonna.
Tatie Nathalie n’avait pas laissé
beaucoup de temps à Jeanne pour remettre ses idées en ordre suite à la fessée
qu’elle avait administrée à sa fille.
« Regardons les choses en
face, Jeanne, Florence aurait dû recevoir une fessée bien plus tôt. Tu aurais
dû sévir quand tu as constaté qu’elle avait laissé la table en l’état après
avoir pris son petit-déjeuner. Ai-je raison ?
– Oui, Tatie Nathalie, mais
j’allais le faire.
– Veux-tu que je te montre ce qui
arrive à ceux qui inventent des mensonges ?
– Non, non, pardon ! C’est
vrai j’aurais dû la punir !
– Effectivement, tu aurais dû …
et tu ne l’as pas fait. »
Jeanne baissait la tête. D’être
mise face à ses insuffisances par son autoritaire voisine la mortifiait. Elle
sentait la honte monter en même temps que le rouge qui s’emparait de ses joues.
Habituellement, quand elle sentait venir des reproches, elle fuyait la
situation en changeant de conversation ou même en laissant en plan ses
interlocuteurs.
Aujourd’hui, il n’était pas
question d’éviter les critiques. Tatie Nathalie veillait et le doute planait
toujours : sa voisine passerait-elle des menaces de fessées à leur
concrétisation ? Les corrections que Florence et Anthony avaient reçues,
depuis la veille au soir, sous la tutelle de la voisine, incitaient à la
prudence.
« Maintenant que Florence a
débarrassé la table, je n’ai pas l’impression que cette cuisine est en ordre,
elle semble toujours négligée. Qu’en penses-tu ?
– Non, je ne crois pas, … je ne
sais pas, … euh, … peut-être un peu, …
– Eclaire-moi, Jeanne : à
qui sont ces chaussures jetées dans le coin, là-bas ? Sont-elles à leur
place normale ?
– Elles sont à moi, mais j’étais
pressée hier et je n’ai pas eu le temps …
– Pas eu le temps … depuis hier ?
Pas eu le temps de mettre à leur place une paire de chaussures ? Surprenant !
Où se rangent-elles ?
– Dans le placard de l’entrée.
– Va les mettre à leur
place ! »
Quand Jeanne revint, Tatie
Nathalie examinait la plaque de cuisson.
« Dis-moi, Jeanne, hier,
vous avez mangé un plat dans lequel il y avait de la sauce tomate, non ?
– Ce n’était pas hier, mais
avant-hier, rectifia étourdiment Jeanne.
– Est-ce toi qui avais fait la cuisine ? »
Jeanne hésita. Elle percevait
bien que le chemin emprunté par Tatie Nathalie présentait des risques pour
elle.
« Attention aux mensonges,
Jeanne !
– Oui, c’est moi.
– Voilà comment je vois les
choses : tu as fait la cuisine, tu as renversé de la sauce mais tu ne l’as
pas essuyée. Elle est là depuis deux jours. Est-ce bien cela ?
– Oui, répondit Jeanne d’une voix
faible.
Tatie Nathalie attrapa le coude
de Jeanne et la planta devant le lave-vaisselle.
« Et cela, si je ne me
trompe pas ce sont les couverts sortis du lave-vaisselle et qui ont été lavés
hier, … avant-hier ? Peu importe. Et bien évidemment, Tu n’as pas eu le
temps de les ranger dans le tiroir. Et là, une boite de conserve vide que tu
n’as pas pu mettre dans la poubelle, ou encore ce papier d’emballage qui n’est
pas dans la poubelle. »
Jeanne ne disait plus rien.
« Comment pourrais-je être
étonnée que Florence ne range pas derrière elle ? Sa mère, toi, ne le fait
pas. Florence n’a jamais eu un modèle qui lui montrait qu’on range après avoir utilisé
un objet. C’est une exigence à laquelle elle n’a jamais été confrontée. Il est
temps qu’elle apprenne à le faire, et compte tenu du retard qu’elle a, il
faudra probablement lui administrer plusieurs fessées avant que ça ne devienne
un réflexe. »
L’indignation de Tatie Nathalie
était palpable.
« Je suppose que ton mari
n’est pas mieux, il n’a pas dû faire sa part de travail, sinon la cuisine ne
serait pas dans cet état. Il serait intervenu. Je commence à me faire une
meilleure idée de ce qui se passe dans cette maison. Les deux adultes qui sont
censés montrer à leurs enfants comment se comporter, sont totalement
défaillants. »
Jeanne leva la tête, cherchant un
appui autour d’elle, mais il n’y avait personne, sauf moi, mais je n’étais
qu’un poids mort face à la résolution de Tatie Nathalie.
« Je ne regrette pas d’avoir
imposé une fessée à Florence et c’était bien à toi de la lui donner, malgré
toutes tes insuffisances en tant que mère. Mais elle n’est pas seule à avoir
besoin d’une fessée, je crois que tu en as également largement mérité
une. »
Tatie Nathalie s’assit sur la
chaise où Florence venait prendre une fessée.
« Viens ici,
Jeanne ! »
Jeanne fit une moue de
mécontentement. Elle fit trois pas qui la rapprochèrent de Tatie Nathalie, mais
elle resta hors de sa portée.
« Plus près !
– Que … que va-t-il se
passer ?
– A ton avis ? Tu vas
recevoir ce que tu as mérité et dont tu as grandement besoin : une bonne
fessée !
– Non, vous ne pouvez pas !
Je ne suis pas une gamine !
– Tu agis exactement comme si tu
en étais une, tu seras donc punie comme une gamine.
– Mais, mais …
– Jeanne ne m’oblige pas à aller
te chercher ! »
Jeanne ne se décidait pas à
franchir les deux derniers pas qui la mettraient sous la coupe de sa voisine.
« Je vais compter jusqu’à
trois. Si, à ce moment-là, tu n’es pas debout devant moi, je vais te chercher,
mais alors tu auras deux fessées, dont la deuxième te sera donnée avec la
brosse. »
Jeanne fit une grimace. Cette
perspective ne l’enchantait guère.
« Un … deux … »
Tatie Nathalie n’eut pas besoin
d’aller plus loin. Jeanne s’était avancée. Ses genoux touchaient presque ceux
de sa voisine. Celle-ci écarta les jambes et, prenant Jeanne par le coude, elle
lui fit faire un pas en avant.
« C’est votre rôle, à ton
mari et à toi, de fixer des règles dans cette maison et de les faire respecter.
Je dois constater qu’il n’en est rien. Je vais donc y palier. Quand vous ne les
respecterez pas, vous serez punis. Tu vas voir comment ranger et nettoyer
derrière soi va devenir une priorité. Ce sera moins ennuyeux que de prendre une
fessée.
– Pas ici, s’il vous plait !
Pas devant Florence !
– Ce ne sera pas devant Florence,
mais derrière elle ! Je ne crois pas qu’elle osera bouger son nez du coin
où elle est. De toute façon, désormais, ce sera moi qui déciderai à qui, quand
et où je donnerai la fessée. Je n’ai pas l’intention de m’occuper de savoir si
l’un d’entre vous peut entendre ou voir quand un autre recevra une correction.
Au contraire, je compte sur l’effet préventif que peut constituer le spectacle
d’une fessée tout en sachant que pour une bêtise équivalente la même punition
sera administrée. »
Tatie Nathalie passa ses mains
sous la robe de Jeanne et elle saisit l’élastique de la culotte. Elle commença
à tirer vers le bas. Jeanne plaqua vivement ses mains sur le haut de ses
cuisses, empêchant Tatie Nathalie de finir son geste.
« Je sais que c’est difficile
la première fois qu’on se fait déculotter pour recevoir une fessée. Je ne te
demande pas d’être d’accord, j’exige que tu me laisses faire. C’est un mauvais
moment à passer, mais il te sera profitable. Ne t’inquiète pas, tu en auras
bientôt l’habitude. Tu vas ôter tes mains de mon chemin. Je ne veux plus avoir
à te le dire, jamais plus. N’oublie pas que si je n’ai pas de brosse sous la
main, je peux aller en chercher une ou utiliser autre chose. Il doit bien y
avoir une bonne ceinture quelque part dans cette maison. »
Jeanne ne bougeait toujours pas.
« Jeanne, les
mains ! »
Le ton glacial fit céder Jeanne.
Elle écarta ses mains. Tatie Nathalie acheva de lui baisser la culotte qu’elle
abandonna quand elle fut arrivée au creux des genoux. Sans laisser le temps à
Jeanne de tirer les conséquences de ce qui lui arrivait, elle la bascula sur sa
cuisse gauche, puis elle entoura la taille de Jeanne de son bras et la serra
contre sa hanche. Enfin, elle releva l’arrière de la robe jusqu’au milieu du dos
de la femme qu’elle tenait sur ses genoux et qu’elle finit d’immobiliser en
refermant ses genoux sur les cuisses qui pendaient entre ses jambes.
Jeanne poussa un couinement aigu
mais étouffé. L’air frais sur ses fesses ne laissait plus de doute. Elle
n’avait plus une chance d’échapper à une sérieuse fessée déculottée.
« Rappelle-toi, Jeanne, pas
de main pour protéger tes fesses, même quand elles seront brûlantes !
C’est moi qui déciderais quand tu auras été suffisamment punie. »
Placé où j’étais, je voyais
Jeanne de face. Ses pieds reposaient par terre entre ceux de Tatie Nathalie et
son buste était posé de trois-quarts sur la cuisse de sa voisine. Elle était en
équilibre et la prise sur ses reins la maintenait en place. Elle ne savait pas
quoi faire de ses mains et elle finit par se saisir du pied de la chaise. Il y
avait de l’effroi dans son regard, elle avalait sa salive avec peine. Elle
tourna la tête pour tenter d’apercevoir ce que faisait Tatie Nathalie mais la
majeure partie de ce qui se passait lui était dissimulé par le bras qui
entourait sa taille et le coude qui pesait entre ses omoplates et qui rendait
son observation malcommode.
« Non, cria-t-elle, quand
elle vit la main de Tatie Nathalie se diriger avec célérité vers ses fesses.
Aah ... »
Son cri avait répondu au bruit de
la main de Tatie Nathalie sur ses fesses. La fessée venait tout juste de
commencer et elle produisait déjà l’effet recherché. Il ne fallut pas plus de
quelques dizaines de claques sur ses fesses pour que Jeanne perde toute la
retenue qu’on aurait pu attendre d’une adulte, même si on tient compte de la
correction magistrale qu’elle recevait.
Tatie Nathalie avait apparemment
décidé de lui infliger une leçon dont elle se souviendrait. Sa première fessée
devait être mémorable. Elle le fut. Le rythme que maintenait Tatie Nathalie
était endiablé. Il ne laissait pas une seconde de répit entre chaque claque.
Elle procédait par longue série au même endroit jusqu’à avoir obtenu une
couleur rouge cramoisi. Elle passait alors à un autre endroit pour lui faire
subir le même sort.
Passé la surprise de la première
claque qui lui avait arraché un hurlement, Jeanne cherchait à modérer la
vocalisation à laquelle la fessée l’obligeait. C’était sans doute un reste de fierté
d’adulte. Cela ne dura pas. J’aurais pu lui expliquer que c’était se donner une
peine inutile, mais elle n’était pas en position d’écouter mes conseils.
C’est toujours étonnant de voir
comment le premier réflexe d’un adulte, alors que, culotte baissée, il est
couché, pour la première fois sur les genoux d’une personne qui le corrige, consiste
à essayer de conserver un bout de son statut de grande personne. Bien
évidemment, c’est impossible. La position, en soi, est infantilisante. Puis,
quand la douleur nous contraint aux cris et aux pleurs, il n’y a plus aucun
doute.
Jeanne passa par tous ces stades,
mais elle ne réussit que peu de temps à rester stoïque. Tatie Nathalie ne le
lui permit pas. Jeanne se comporta très vite comme une gamine recevant une
fessée : elle battait des pieds, la seule partie de son corps dont elle
avait encore la maîtrise ; elle maintenait son bras libre hors du chemin
de la main de Tatie Nathalie, comme si elle ne pensait pas à l’utiliser pour
faire cesser la punition ; ses cris et ses larmes interrompirent
rapidement les promesses d’obéissance et les supplications visant à convaincre
sa fesseuse qu’elle avait compris la leçon.
Vint le moment où Jeanne, les
fesses colorées d’un rouge sombre, ne réagissait plus beaucoup à la fessée qui
lui était donnée. Tout au plus, certaines claques, administrées sur un endroit
qui avait été relativement épargné, relançaient elles un peu ses cris. La
cuisson était maintenant au-delà de ce qu’elle pouvait supporter et la main de
Tatie Nathalie, n’augmentait plus la fournaise qui embrasait les fesses de
Jeanne.
Tatie Nathalie savait qu’elle
avait atteint le maximum d’effets que sa main pouvait provoquer. Pour aller
plus avant, il aurait fallu se munir d’un instrument punitif, ce qui n’était
pas au programme d’aujourd’hui. Elle posa sa main sur le sommet des fesses de
Jeanne et elle la laissa se calmer un peu.
« Axel, va voir s’il n’y a
pas possibilité de mettre ces deux chipies au coin dans la même pièce. Elles
seront plus faciles à surveiller. Ici ce n’est pas possible. »
Le séjour répondait parfaitement
à ce que voulait Tatie Nathalie. J’ai dû déplacer une plante pour obtenir deux
coins libres où Tatie Nathalie amena ses deux punies en les tenant chacune par
une oreille.
Un regard circulaire dans la
pièce relança la colère de Tatie Nathalie.
« Je vois que cette pièce
n’est pas mieux tenue que la cuisine. On dirait un débarras ! Tu devrais
avoir honte de laisser ta maison dans cet état. »
Une claque sur les fesses de
Jeanne ponctua cette réprimande, ce qui relança ses pleurs.
« Tais-toi ! A moins
que tu ne veuilles une autre fessée ! »
Jeanne ravala ses sanglots qui
soulevaient de temps en temps sa poitrine mais sans qu’un bruit ne passe ses
lèvres.
« A qui sont ces
vêtements ?
– A moi, souffla Florence.
– La première chose que tu ferras
quand je t’autoriserai à quitter le coin ce sera de les ranger ! »
Tatie Nathalie claqua les fesses
de la jeune femme qui se contenta d’un petit cri vite réprimé.
« Je vais vous laisser un
petit moment au coin pendant que je vais faire quelques courses. Je vais
demander à Mamie et à Julie de vous surveiller. Cette grande baie vitrée est
bien pratique. En ouvrant les rideaux, … »
Tatie Nathalie écartait les
voilages tout en parlant.
« … on devrait pouvoir vous apercevoir
depuis la fenêtre de la cuisine de notre maison. »
Jeanne émit un gémissement auquel
Tatie Nathalie mit fin d’une série de claques sur ses fesses.
« Je me suis bien rendu
compte qu’en ouvrant les rideaux, un passant attentif pourrait vous apercevoir
alors que vous serez au coin. Si vous ne bougez pas, vous ne devriez pas
attirer son attention. Comme vous êtes au fond de la pièce, le risque est
faible, même s’il n’est pas inexistant. Par contre, depuis notre maison de
l’autre côté de la rue, nous verrons suffisamment pour savoir si vous êtes
toujours au même endroit. Je demanderai à Mamie de venir vous fesser si elle
vous voit remuer ne serait-ce qu’un petit doigt. »
Pour Tatie Nathalie, le sort des
deux femmes était réglé jusqu’à ce qu’elle décide de les autoriser à quitter le
coin où elle les avait mise en pénitence.
Elle fit le tour de la maison
pour constater qu’elle était dans un état de désordre général et de propreté
approximative. Je l’entendais fulminer à chaque fois qu’elle entrait dans une
pièce ou qu’elle découvrait la preuve du laxisme qui régnait dans cette maison.
« Hors de question que cela
continue comme cela. Maintenant que j’ai mon mot à dire, cela va changer bien
plus vite que ces irresponsables ne l’imaginent. »
Toutes les pièces du
rez-de-chaussée ayant été visitées, elle monta à l’étage où devaient se trouver
les chambres. Elle ouvrit chaque porte, ce qui n’améliora pas son humeur.
Je ne l’avais pas suivie. Je
commençais à m’inquiéter que mes fesses soient à portée de sa main alors que
son humeur s’assombrissait. Je restais prudemment à l’écart, mais je ne pouvais
m’empêcher d’écouter ce qu’elle faisait à l’étage.
Je l’entendis ouvrir une porte
derrière laquelle elle trouva un interlocuteur.
« Ah, c’est là que tu te
cachais. »
C’était probablement Anthony qui,
entendant l’écho des fessées que sa sœur
et sa mère avaient reçues, s’était réfugié le plus loin possible de
Tatie Nathalie. Cela n’avait pas suffi pour qu’il soit réprimandé. Je
n’entendais pas ses réponses émises depuis l’intérieur de sa chambre. Seul le
discours de Tatie Nathalie était audible.
« …
– Cela ne me semble pas une
raison valable.
– …
– Ta chambre n’est pas en
meilleure état que le reste de la maison.
– …
– Il serait temps de s’y mettre.
Tu mériterais la même correction que les deux punies qui sont au coin dans le
séjour.
– …
– Tu vas ranger cette chambre
tout de suite ! Quand je reviendrai, je ne veux plus rien y voir traîner
et tu vas … »
Tatie Nathalie était entrée dans
la chambre d’Anthony, je n’entendais plus ce qu’elle disait, par contre, je
perçus clairement une claque résonner, mais ce n’était pas sur de la peau nue.
Anthony s’en sortait plutôt bien si on comparait avec ce qui était arrivé à sa sœur
et à sa mère. Il bénéficiait d’une deuxième chance. J’espérais, pour lui, qu’il
saurait la saisir.
« N’oublie pas : quand
je reviendrai, j’inspecterai ta chambre. Je la veux impeccablement
rangée. »
Sur ce, Tatie Nathalie rassembla ses affaires et sortit
en laissant les deux femmes au coin et Anthony au rangement de sa chambre.
Avec les dessins originaux de Peter Pan.
Grand merci pour ces illustrations qui agrémentent le récit.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
L'épisode précédent : chapitre 68
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 70
Vous cherchez un chapitre en particulier ?
C'est par ici
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour à tous,
RépondreSupprimerAprès l'arroseur arrosé, la fesseuse fessée! Jeanne en fait "chaudement" les frais ( Sourires) Tatie Nathalie fait le ménage que les autres ne font pas et déculotte à tour de bras les fautives. Les fessées pleuvent sur toutes les paires de fesses à portée de main tant et si bien qu'il faudrait inventer des pièce à six coins pour y mettre tous les corrigés en pénitence! On s'interroge sur l'identité de la prochaine victime ! Les fesses d'Axel, au chômage depuis peu, vont elles reprendre de la couleur?
Pendant combien d'épisodes JLG,( qui en est quand même à 69 !!!) va t- il continuer à tenir la cadence... Suspense!!!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerVotre retour sur le blog se remarque !
Il y a encore quelques punis à placer dans les coins lors des prochains épisodes... et quelques épisodes avant la fin des aventures d'Axel. Vous n'en avez pas encore fini avec lui, ni lui avec vous !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG,
RépondreSupprimerMerci et bravo mon cher. Vous tenez la distance en parvenant à entretenir l'intérêt. ça se remarque aussi !
Bonjour chers amis,
SupprimerJ'approuve vos remarques respectives.
Débuter une suite de récits exige un plan, une idée durable dans le temps, des personnages, le tout ordonné pour que l'intérêt pour l'histoire ne s'essouffle pas au bout de quelques récits.
C'est une prouesse littéraire que je salue en chacun de vous.
C'est aussi la raison pour laquelle je ne me suis jamais lancé dans un tel projet. Je ne suis pas certain de tenir la distance.
Je préfère m'en tenir à mes saynètes courtement légendées. Qui exigent elles aussi de l'effort et de l'organisation.
A chacun donc son style et cela enrichit cet excellent Blog.
Pour le plus grand plaisir de notre cercle de passionnés.
Bonne journée. Peter'.
Peter Pan,
SupprimerChacun sa spécialité. Je serai bien incapable de proposer un dessin qui tienne la route. J'en reste donc aux récits.
Ramina sait faire les deux... c'est rare !
Au plaisir de vous lire,
JLG.