Aujourd'hui, nous sommes avec Henriette qui vient, par devoir, d'hériter
d'un petit-cousin de 18 ans, Jean-Jacques, qui vient habiter chez elle
pour entamer ses études. Ces premiers pas dans une nouvelle indépendance ne
sont pas sans difficulté. Comment contrôler les débordements de ce jeune homme
?
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les
détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui
permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.
"jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Dimanche 21 Octobre 2018 09:42:07
Objet: conseil
Bonjour, Docteur,
J'aurais besoin de quelques conseils à propos d'une situation qui m'a été en partie imposée par le devoir familial. Je me présente : j'ai 60 ans, je vis à N*****,
je suis veuve depuis l'âge de 30 ans et je ne me suis jamais remariée. J'ai
un petit-cousin de 18 ans, Jean-Jacques, qui vient de passer son bachot et va
commencer des études de médecine à l'Université de N*****. Vous connaissez le
problème de logement pour les étudiants. Il logera donc chez moi le temps
d'avoir son doctorat, l'appartement est assez grand pour cela.J'aurais besoin de quelques conseils à propos d'une situation qui m'a été en partie imposée par le devoir familial. Je me présente : j'ai 60 ans, je vis à N*****,
Jean-Jacques est rentré à plusieurs reprises très tard dans la nuit, la
démarche mal assurée et l'haleine empestant l'alcool. Je lui ai fait des
remontrances le lendemain, après qu'il eut passé une nuit réparatrice, mais il
semble que cela ne suffise pas.
Quand il était enfant, Jean-Jacques a passé plusieurs fois les vacances de Pâques chez moi et il m'est arrivé de lui donner la fessée, mais pas après l'âge de 12 ans. Aujourd'hui, à 18 ans, c'est un beau jeune homme qui me dépasse d'une tête, bien musclé par la pratique du sport. Autrement dit, je voudrais bien sévir, mais je ne sais pas trop comment m'y prendre.
Merci à l'avance pour les conseils que vous voudrez bien me donner.
Salutations distinguées,
Henriette P.
Quand il était enfant, Jean-Jacques a passé plusieurs fois les vacances de Pâques chez moi et il m'est arrivé de lui donner la fessée, mais pas après l'âge de 12 ans. Aujourd'hui, à 18 ans, c'est un beau jeune homme qui me dépasse d'une tête, bien musclé par la pratique du sport. Autrement dit, je voudrais bien sévir, mais je ne sais pas trop comment m'y prendre.
Merci à l'avance pour les conseils que vous voudrez bien me donner.
Salutations distinguées,
Henriette P.
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 21 Octobre 2018 10:23:43
Objet: Re : conseil
Objet: Re : conseil
Bonjour Henriette,
La situation est délicate, mais votre volonté de contrôler les dérives de
votre petit-cousin, démontre votre empathie à son égard. Cela vous donne
d'autant plus de responsabilité maintenant que vous l'avez accueilli chez vous.
Nous devrions peut-être pouvoir avancer sur votre situation.
Il est évident que vous ne pourrez le contraindre physiquement à recevoir
une fessée, comme vous l'avez probablement fait quand il avait douze ans. Vous
devez l'amener à reconnaître votre autorité et, peu à peu, à accepter votre
légitimité à le punir pour son bien. N'y allez pas trop directement dans les
premiers temps. Cela provoquerait un rejet sur lequel il sera difficile de
revenir ensuite.
Avant de me lancer dans des conseils, j'ai besoin de mieux comprendre la
situation. Pouvez-vous m'y aider en répondant aux questions qui suivent.
- Savez-vous quel type de
discipline ses parents lui imposaient, en particulier ces dernières années
? La fessée fait-elle partie de la culture familiale ?
- Savez-vous si, à part de votre
main, il a reçu d'autres fessées et jusqu'à quel âge et de la part de
quelles personnes ?
- Vous dites que vous l'avez
fessé quand il était plus jeune, la dernière fois à l'âge de douze ans.
Est-ce arrivé une fois, deux ou trois, régulièrement ? L'aviez vous
déculotté pour ce faire, mis au coin ou au piquet ? Quelle avait été sa
réaction sur le moment (juste avant, juste après la fessée), puis dans les
quelques jour qui ont suivis ?
- A-t-il continué à venir
séjourner, de temps en temps, chez vous depuis l'âge de douze ans, sans
que vous lui ayez donné la fessée ? Si oui, y aurait-il eu des motifs de
le corriger, l'en avez-vous menacé ?
- Comment a-t-il réagi à vos
récentes remontrances, suite à ses retours tardifs et alcoolisés ?
Répondez même brièvement dans un premier temps. Si nécessaire, quand nos
échange avanceront, je vous demanderai plus de précision sur l'un des points
que j'ai évoqués. J'attends vos retours pour aller plus loin.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
----- Mail d'origine -----
De: jean-jacques <j******@wanadoo.fr>
À: jeanine legendre <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Sun, 21 Oct 2018 14:19:28 +0200 (CEST)
Objet: conseil (suite)
De: jean-jacques <j******@wanadoo.fr>
À: jeanine legendre <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Sun, 21 Oct 2018 14:19:28 +0200 (CEST)
Objet: conseil (suite)
Bonjour, Docteur,
Voici mes réponses à votre questionnaire :
– les dernières années, je ne crois pas que les parents
de Jean-Jacques lui aient imposé une discipline très stricte. Il était assidu
et travailleur, sans doute un peu désordonné car sa maman rangeait sa chambre à
sa place et lui cirait même ses chaussures ! S'il a reçu des fessées, il n'a
pas dû en recevoir souvent et c'était sur la culotte, quand il était
petit.
– par contre, je sais qu'il en a reçu une ou deux à
l'école par un instituteur et une en colonie de vacances, car il me les a
racontées en rougissant alors que je surveillais sa toilette. C'était avant
qu'il ait eu 12 ans.
– il venait chaque année aux vacances de Pâques, depuis
l'âge de 8 ans. Je lui ai donné peut-être trois fessées, en tout, en baissant
la culotte, notamment une fois devant une petite cousine qu'il avait bousculée.
Par contre, je le menaçais régulièrement de le déculotter devant tout le monde
et cela suffisait à le calmer. Je ne le mettais pas au piquet après la fessée,
je l'envoyais dans sa chambre. Il a été comme stupéfait la première fois que je
l'ai déculotté et s'est laissé faire comme une poupée de chiffons. Juste après,
il a boudé un moment puis je l'ai appelé une heure après pour qu'il me fasse un
câlin. La dernière fois, à 12 ans, il semblait accepter la fessée comme faisant
partie de la règle du jeu quand il venait en vacances.
– les années suivantes, je me suis contentée de le
gronder et de lui dire que, plus jeune, il aurait été déculotté et fessé. Il
devenait tout rouge et me faisait des excuses.
– enfin, après ses sorties alcoolisées, je l'ai
simplement sermonné, sans parler de fessée. Il a simplement détourné le regard.
Je vous avoue que j'avais la main qui me démangeait. En même temps, vu la différence de taille, je ne me vois pas le prendre sous mon bras comme autrefois !
Bien à vous
Henriette P.
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 21 Octobre 2018 14:54:28
Objet: Re : Re : conseil
Henriette,
Si je comprends bien, la fessée ne fait pas partie des habitudes
familiales, mais quand Jean-Jacques était chez vous, à l'école et en colonie de
vacances, elle faisait partie des règles jusqu'à douze ans et des possibilités
symboliques après. Il a eu une mère qui était à son
service, plutôt qu'une personne qui lui fixait des limites.
Quand il était chez vous, il acceptait les sanctions dont vous décidiez, y
compris quand elle aboutissaient à une fessée déculottée. il dois donc vous
associer à cette autorité et je fais l'hypothèse que sa mère ayant été
défaillante du point de vue de l'instauration des règles, vous avez constitué
une sorte de substitut maternel représentant l'autorité.
J'ai encore besoin de quelques précisions :
- Venait-il chez vous volontiers pendant
les vacances de pâques, tout en sachant que recevoir la fessée était une
possibilité ?
- Comment a-t-il réagi quand il a
su qu'il viendrait habiter chez vous durant le temps de ses études ? Cela
a-t-il semblé lui convenir ou a-t-il cherché d'autres solutions ?
- Quand vous lui avez fait des
remontrances, lors de ces retours à la maison tardifs, a-t-il protesté,
s'est-il insurgé contre votre ingérence dans sa vie privée de jeune adulte
?
Enfin, je voudrais aborder un dernier point. Nous échangeons sur une
adresse courriel qui appartient à Jean-Jacques (jean-jacques
<jijiere@wanadoo.fr>). Je ne suis pas certain que ce soit très pertinent.
Etes-vous certaine qu'il ne puisse pas lire notre correspondance ? Nous avons
des choses à nous dire qu'il ne doit ps savoir et qui doivent rester
confidentielle. Ne serait-il pas plus pertinent que nous conversions, en privé,
à partir d'une adresse à laquelle il n'aurait accès en aucun cas ?
J'attends vos réponses.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
----- Mail d'origine -----
De: jean-jacques <j******@wanadoo.fr>
À: jeanine legendre <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Sun, 21 Oct 2018 15:59:47 +0200 (CEST)
Objet: adresse
De: jean-jacques <j******@wanadoo.fr>
À: jeanine legendre <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Sun, 21 Oct 2018 15:59:47 +0200 (CEST)
Objet: adresse
Docteur,
Le compte que j'ai utilisé, sur l'ordinateur de mon petit cousin,
n'est plus employé par celui-ci, du moins c'est ce qu'il m'a dit quand je
lui ai demandé si je pouvais utiliser son ordinateur pour mes courriels.
Mais vous avez raison, je vais l'assortir d'un mot de passe. Je lui dirai
que, de son côté comme du mien, nous n'avons pas forcément envie
d'être lus par un tiers.
Je crois que vous avez parfaitement résumé la situation en écrivant :
si je comprends bien, la fessée ne fait pas partie des habitudes familiales, mais quand Jean-Jacques était chez vous, à l'école et en colonie de vacances, elle faisait partie des règles jusqu'à douze ans et des possibilités symboliques après. Il a eu une mère qui était à son service, plutôt qu'une personne qui lui fixait des limites.
si je comprends bien, la fessée ne fait pas partie des habitudes familiales, mais quand Jean-Jacques était chez vous, à l'école et en colonie de vacances, elle faisait partie des règles jusqu'à douze ans et des possibilités symboliques après. Il a eu une mère qui était à son service, plutôt qu'une personne qui lui fixait des limites.
Quand il était chez vous, il acceptait les sanctions dont vous
décidiez, y compris quand elle aboutissaient à une fessée déculottée. il
dois donc vous associer à cette autorité et je fais l'hypothèse que sa
mère ayant été défaillante du point de vue de l'instauration des règles,
vous avez constitué une sorte de substitut maternel représentant
l'autorité.
Je m'empresse de répondre aux autres questions que vous m'avez posées.
– oui, il venait volontiers chez moi pour les
vacances. Je l'attendais à la descente du train et il me sautait
au cou, sans équivoque.
– ce sont ses parents qui ont suggéré que je pourrais
le loger. Mais il s'est immédiatement rallié à cette solution quand
j'ai accepté.
– quand je lui ai fait des remontrances, comme je
vous l'ai dit, il n'a rien répondu mais a détourné les yeux pour ne
pas me regarder en face.
Je voudrais mentionner un incident qui s'est produit il y a un an.
Jean-Jacques s'était blessé en faisant du sport, un claquage au muscle
fessier droit. Je lui ai proposé une friction au synthol. Il a rougi, j'ai
dû insister pour qu'il s'étende sur le canapé et que je baisse son pyjama.
Puis il s'est laissé frictionner, tous les soirs, jusqu'à la fin
des vacances.
Bien à vous,
Henriette P.
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 21 Octobre 2018 17:58:13
Objet: Re : Re : Re : conseil
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 21 Octobre 2018 17:58:13
Objet: Re : Re : Re : conseil
Henriette,
La situation me semble de plus en plus claire.
A l'évidence, ce jeune homme est en manque de repère d'autorité. Vous êtes
ce qui, pour lui, en est le plus proche. Il n'en est pas forcément conscient,
mais vous représentez certainement ce qui lui a manqué durant toute son
enfance, qu'il retrouvait, malgré le risque de recevoir une fessée, avec
bonheur chez vous pendant les vacances.
Son nouveau séjour chez vous, bien plus prolongé que les premiers,
puisqu'il doit y rester en permanence et pour plusieurs années, ne
pouvait que le réjouir. Il a donc accepté la proposition avec empressement,
même si cela voulait dire cohabiter avec une vielle dame (excusez-moi pour le
qualitatif que j'emploie, mais c'est souvent comme cela qu'une jeune personne
de moins de vingt ans, voie ceux qui en ont cinquante) qui, de plus, a
d'anciennes habitudes d'autorité vis à vis de lui. Habituellement, les jeunes
gens sont plutôt friants de liberté, donc ils cherchent à s'éloigner au plus
vite de la tutelle des grandes personnes. Cela passe par un éloignement
physique dont l'entrée à l'université leur ouvre souvent la porte.
Jean-Jacques a eu un comportement bien différent. Il est venu se placer
sous votre tutelle. C'est donc qu'il espère que son séjour chez vous va combler
un manque qu'il ne sait probablement pas exprimer. Son absence de protestation
quand vous l'avez grondé pour ses rentrées tardives en est une preuve assez
convaincante.
Toutes les conditions sont donc réunies pour qu'il accepte votre autorité
et les punitions qui iront avec. J'irai même plus loin. Je pense qu'il attend
de votre part que vous preniez en mains la discipline le concernant et qu'il
serait inconsciemment très déçu si vous ne le faites pas. Si vous vous y prenez
adroitement et progressivement, la relation d'autorité qui vous unit va se
concrétiser sans difficulté.
Vous allez entamer une phase d'approche symbolique. Je la qualifie de
symbolique car les fessées que vous lui donnerez ne seront pas vraiment des
punitions, sauf symboliquement à ses yeux et peut-être aux vôtres. Cette
première approche vise à renouer le lien entre vous, celui qui l'avait amené à
considérer que vous aviez toute légitimité, alors qu'il était plus petit, pour
le déculotter et le fesser.
A partir d'aujourd'hui, ne lui passez rien. Le plus petit écart doit se traduire par une
réprimande bien sentie. Ne criez pas, soyez calme, mais ferme. Expliquez-lui
comment son attitude est irresponsable, indigne d'un jeune adulte, et que vous
avez l'impression de vous retrouver face au gamin, parfois désobéissant, qu'il
a été.
Exigez qu'il vienne se mettre debout devant vous être grondé. Finissez
votre semonce par une claque sur le fond du pantalon en lui expliquant que vous
avez le sentiment qu'il mériterait une vraie fessée. Utilisez les mots auxquels
vous faisiez appel quand il était plus petit : désobéissance, bêtise, fessée,
gronder, ... Il va de soit qu'à travers le pantalon, la fessée n'aura qu'une
portée limitée. Elles ne saurait lui rougir les fesses, mais symboliquement,
elle fera son chemin, lui rappelant que vous avez toute légitimité pour y
recourir.
Ne loupez pas les occasions de lui asséner une "petite fessée"
quand il sera plus légèrement vêtu, en pyjama, par exemple. Il devrait sentir à
travers l'étoffe plus fine la fessée que vous lui donnerez à ce moment-là. Elle
le rapprochera de son souvenir de l'époque où vous sévissiez plus franchement.
Observez ses réactions. Peut-être protestera-t-il, mais j'en prends le
pari, probablement très mollement. Augmentez progressivement le nombre de
claques concluant un reproche : passez à deux, puis trois, puis quatre. Quand
il aura reçu quelques fessée symboliques et qu'il commencera à s'y habituer, passez
à l'étape suivante.
Prenez alors l'habitude d'être présente et de le gronder dans ses espaces
d'intimité : dans la salle de bain quand il fait sa toilette (n'essayez pas
dans un premier temps d'être présente quand il prend sa douche, ce serait trop
direct, mais plutôt quand il se lave les mains ou les dents) ou dans sa chambre
quand il s’habille ou se déshabille. Imposez-lui des règles d'hygiène
et de propreté plus exigeantes que celles dont il a l'habitude et prenez le
prétexte de les contrôler pour être présente à ces moments-là. N'insistez pas
encore pour être présente quand il se dénudera, mais banalisez le fait qu'il
puisse être nu en votre présence : "je t'ai souvent vu tout nu quand tu
étais plus petit", "si tu y tiens, met une culotte, mais tu me
laisses entrer tout de suite !", "tu faisais moins de manière quand
je te soignais ton claquage l'année dernière". Prenez l'habitude de
pénétrer dans ces pièces quand il y sera, sans vous annoncer et traitez comme
négligeables ses gestes de pudeur. Compte tenu de l'épisode du claquage que
vous avez racontée dans votre dernier courriel, je serai surpris qu'il ne
l'accepte pas.
Grondez-le sans tenir compte de son âge, comme vous le faisiez quand il
était un enfant. Chaque fois que vous en aurez l'occasion, votre main devra
claquer le haut de la cuisse nue. L'effet en sera très différent, autant
du point de vue sonore, cela résonnera dans la pièce, que du point de vue
sensation sur la peau, la douleur sera brève, mais présente. Ce ne sera pas
encore tout à fait une fessée, mais vous vous en approcherez.
N'oubliez pas de le menacer d'une fessée déculottée. Expliquez-lui que
c'est ce dont il a besoin, que vous commencez à être fatiguée de ses
enfantillages et que vous allez finir par lui administrer une vraie fessée.
Il se peut qu'il tente d'interposer sa main pour vous empêcher de claquer
ses fesses ou sa cuisse. S'il ne porte qu'un pyjama ou une culotte, votre main
appliquée fortement quatre ou cinq fois sur ses rondeurs, devrait se faire
sentir. Exigez qu'il enlève sa main et qu'il vous laisse le champ libre.
Recommencez alors la fessée qu'il vous a obligé à interrompre et prolongez-là
un peu plus que de coutume.
Soyez observatrice de ses réactions. Il est très probable qu'il vous laisse
faire en protestant pour la forme. Acceptez de moins en moins ses objections.
prenez-en prétexte pour doubler la fessée sous prétexte qu'il n'a
aucune raison de contester puisque la fessée est méritée.
Cela devrait vous prendre quelques semaines. Tenez moi au courant de la
progression. Quand vous en serez-là, je vous expliquerai comment passer à la
fessée déculottée.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 09:48:32
Objet: Fwd: Re : Re : Re : conseil
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Dimanche 4 Novembre 2018 09:48:32
Objet: Fwd: Re : Re : Re : conseil
Bonjour Henriette,
Voici deux semaines que je vous envoyais mes recommandations quant à la
façon de renouer progressivement avec les fessées dont votre petit cousin,
Jean-Jacques, a besoin.
Depuis, vous ne m'avez pas donné de nouvelles. Avez-vous avancé dans votre
démarche ? Avez-vous rencontré des difficultés ? Pensez-vous être bientôt prête
à passer à l'étape suivante, celle de la fessée déculottée ?
J'attends votre retour.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
De: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 11:38:51
Objet: petit-neveu
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 11:38:51
Objet: petit-neveu
Bonjour, Docteur,
Il y a eu quelques imprévus et donc changements dans mon protocole pour en
venir à la fessée déculottée. En effet, cette semaine, Jean-Jacques a fait une
grosse angine, un phlegmon, en fait, avec beaucoup de fièvre. Le médecin a
prescrit des piqûres de pénicilline pour enrayer l’infection. C’est une
infirmière qui est venue, Madame Moret, une grande femme, un peu chevaline. Je
l’ai conduite à la chambre où Jean-Jacques attendait, un peu dans le cirage.
Elle lui a intimé, je me souviens parfaitement des mots et du ton allègre,
presque joyeux :
– vous
allez me présenter votre train arrière,
tout en rabattant couverture et drap vers le pied du lit. Jean-Jacques
s’est mis à plat ventre. J’ai proposé :
– Attendez,
je vais vous aider !
Et j’ai baissé moi-même sa culotte de pyjama. Naturellement, je suis restée
présente pendant tout le temps qu’a duré l’injection, fixant les fesses du
jeune homme d’un œil professionnel, tout comme l’étaient ceux de Madame Moret.
Il a fallu cinq piqûres, et j’y ai assisté pendant cinq jours. À chaque
fois, elle changeait de fesse, me demandant parfois si je me souvenais laquelle
avait été piquée la veille. Sans écouter ce que tentait de dire l’intéressé,
nous cherchions ensemble la trace de la piqûre si nous avions un doute,
examinant ses rondeurs comme s’il avait été un bébé, alors que lui restait le
visage tourné vers le mur, un peu rouge quand la piqûre avait été faite. À
partir du deuxième jour, en présence de l’infirmière, je lui ordonnai d’aller
faire un brin de toilette, surtout sans oublier ses fesses, pour éviter des
odeurs même légères quand il les montrait. Je me suis appliquée à lui parler à
voix bien haute de ses fesses, surtout quand Madame Moret était là, observant
la gêne qui se lisait sur son visage à la prononciation de ces mots. Raison de
plus pour insister. Il y a un petit cabinet de toilette jouxtant sa chambre. Il
est allé se laver succinctement les fesses pendant que l’infirmière
remplissait des papiers et qu’elle préparait sa seringue. Quand il
s’est dirigé vers le cabinet de toilette, je lui ai dit que ce n’était pas la
peine qu’il prenne sa culotte, qu’il pouvait la laisser sur le lit. Madame
Moret a ri en disant qu’elle savait ce que c’est que des fesses et même l’autre
côté. Nous l’avons regardé quitter la pièce la lune à l’air, visiblement un peu
honteux, mais bien obéissant. Il est revenu s’allonger en cachant son sexe de
ses deux mains. Après la piqûre, je lui ai tendu sa culotte en discutant avec
l’infirmière comme si de rien n’était. Évidemment, j'avais déjà eu l'occasion
de voir ses fesses lors de l'épisode du claquage, mais cette fois c'était en
présence d'une tierce personne. Il m'a semblé davantage infantilisé, honteux
mais parfaitement docile.
Naturellement, avec ce phlegmon, il n’est pas sorti le samedi soir et je n’ai
donc pas eu de motif pour le punir. De toute façon, je ne l’aurais pas fessé
après la piqûre, qui était un peu douloureuse. On verra d’après sa conduite si
je le fesse modérément la semaine prochaine, sur le slip ou le pyjama, tout en
le sermonnant comme vous me l’avez indiqué. Mais, après cet épisode des piqûres
dans les fesses, peut-être puis-je envisager dès à présent de le déculotter
pour la prochaine fessée ? Qu'en pensez-vous ?
Bien à vous
Henriette P********
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 20:20:42
Objet: Re: petit-neveu
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Lundi 5 Novembre 2018 20:20:42
Objet: Re: petit-neveu
Henriette,
Effectivement, cette séquence change bien des choses... ou plutôt non, elle
ne fait que confirmer ce que nous avions déjà entrevu dans nos précédents
courriels.
Vous avez, visiblement, gagné la bataille de la pudeur. Jean-Jacques sait
la mettre entre parenthèse quand vous êtes concernée et il vos accorde le
droit, voire le devoir, de faire passer l'attention que vous avez à son égard
avant des questions de respect de son intimité.
Il reste à vérifier qu'il accepte la fessée comme une méthode pertinente de
réponse à ses écarts, quand c'est vous qui y recourez. Avez-vous eu l'occasion,
avant l'épisode que vous avez raconté; de lui administrer des fessées
symboliques, au sens où je vous en parlais il y a deux semaines ? Il serait bon
que vous lui donniez cette habitude.
Cela dit, c'est vous qui êtes sur place et qui pouvez estimer précisément
la situation. Je n'ai que des indications très partielles, une communication
par internet ne permet pas d'aller tellement plus loin. Ce qui est sûr, c'est
que la première tentative pour lui administrer la fessée déculotte doit être la
bonne. Autrement, vous devriez reprendre à zéro un processus avec tout le côté
aléatoire qu'il comportera alors.
Je vous conseillerais de lui donner une sérieuse fessée dans la tenue dans
laquelle il sera au moment où il commettra l'écart qui lui vaut la punition :
sur le pantalon si c'est le cas, mais ce sera encore mieux si c'est en pyjama
ou en culotte. Prévenez-le alors que la prochaine fois, ce sera culotte
baissée. Tenez votre promesse, à tout prix, à la bêtise suivante.
La première fessée déculottée donnée, les autres devraient suivre
naturellement.
Tenez-moi au courant.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
De: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 7 Novembre 2018 14:31:00
Objet: Jean-Jacques
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Mercredi 7 Novembre 2018 14:31:00
Objet: Jean-Jacques
Docteur,
Je m'empresse de vous informer du déroulement de la reprise en main de Jean-Jacques. Plus le temps passe, et plus je réalise combien il est nécessaire que l'on fesse sans indulgence les jeunes gens de son âge à chaque écart de conduite.
Mercredi matin, nous avons pris ensemble le petit-déjeuner, comme chaque jour. Une fois restauré, Jean-Jacques s'est levé sans façon pour aller se préparer à partir en cours, laissant bol et couverts sur la table pleine de miettes et de traces de café au lait.
Je l'ai rappelé immédiatement et fait venir près de moi, face à la table de la cuisine non débarrassée. Debout derrière lui, je lui ai fait remarquer que je n'étais pas sa bonne et que j'allais faire en sorte qu'il s'en souvienne. Ensuite, je lui ai appliqué une fessée retentissante par dessus sa culotte de pyjama. Une fessée assez longue, dont la force des claques allait crescendo, tout en ponctuant celles-ci de remontrances sur sa conduite. J'ai résisté à l'envie de lui descendre sa culotte de pyjama pour mieux claquer ses rondeurs, mais je l'ai averti formellement :
– à la prochaine incartade, je te déculotte !
ce à quoi il n'a rien répondu, se contentant de garder la tête baissée, le rouge au front et aux joues.
Je dois avouer que je me suis surprise à employer les mêmes paroles que les personnes qui ont jadis assuré mon éducation, mes parents et mes maîtres d'école. Vous en savez certainement beaucoup plus long que moi, Docteur, sur ce sujet, mais j'ai l'intuition que nous avons tendance à reproduire inconsciemment les gestes et les paroles des grandes personnes qui se sont occupées de nous pendant notre enfance. Or, quand j'étais petite et même pendant ma jeunesse, les enfants étaient fessés pour chaque bêtise qu'ils commettaient, que cela soit à la maison ou à l'école. L'une des menaces les plus couramment employées était : Tu veux que je te déculotte ? (devant tout le monde, devant toute la classe, devant toute l'école, devant tes camarades etc.) tant la honte était importante lors de l'application de la fessée. Mes parents n'hésitaient pas à nous déculotter sur le trottoir. Puis les choses ont évolué progressivement, et, à mon avis, pas dans le bon sens. Je n'ai pas du tout le sentiment d'avoir été une enfant maltraitée, ni que mes camarades, filles et garçons, l'ont été. Par contre, j'ai la conviction que les jeunes ne témoignent pas, de nos jours, le respect qui leur est dû à leurs aînés. Toute cette longue parenthèse pour vous dire que la confusion de Jean-Jacques quand j'ai prononcé la phrase :Je te déculotte ! semble indiquer que ces paroles sont toujours aussi efficaces.
Mais il y a un moment où la phrase ne suffit plus et où l'acte doit montrer que ce ne sont pas paroles en l'air. Ce moment s'est présenté deux jours plus tard, quand je me suis rendu compte que Jean-Jacques s'était oublié et dormait profondément alors qu'il aurait déjà dû être en train de faire sa toilette. Je suis entrée dans sa chambre et j'ai tiré les rideaux à fond, avant d'ouvrir en grand la fenêtre et les volets. Mon petit-neveu a ouvert des yeux grands ébahis et n'a pas réagi quand j'ai tiré draps et couvertures jusqu'au pied du lit. Je lui ai ordonné, d'un ton sans réplique :
– à plat-ventre !
et il a obéi un peu mollement, mais sans protester. J'ai ajouté :
– que je te fesse !
et j'ai baissé sa culotte de pyjama jusqu'aux genoux. Et je lui ai donné la fessée, comme je le faisais quelques années auparavant quand, petit garçon, il venait passer les vacances chez moi. Vous m'avez prescrit d'appliquer une fessée sérieuse, et je pense que cela a été le cas. Ce n'était pas une petite fessée pour jouer, vous pouvez me croire. Je l'ai fessé méthodiquement jusqu'à ce que son postérieur soit bien rouge et qu'il commence à se tortiller en émettant de petits gémissements, sans toutefois tenter de se dérober à la correction. J'ajoute que le bruit de cette fessée pouvait certainement s'entendre dans la cour, à cause de la fenêtre grande ouverte. Même s'il y a peu de chance que quelqu'un ait été dehors pour écouter, cette éventualité donnait à la fessée un petit côté public. De fait, après que je sois sortie de la chambre, quand Jean-Jacques, le visage aussi rouge que ses fesses, est venu s'assoir pour partager avec moi le petit déjeuner, il m'a demandé si personne n'avait pu entendre. À quoi j'ai répondu que, si c'était le cas, je n'avais qu'à m'en prendre qu'à moi-même et que j'aurais mérité d'être déculotté et fessé devant la voisine pour être aussi irresponsable à 18 ans passés.
Il m'est arrivé de recevoir la fessée avec un martinet quand j'étais petite, mais je pense qu'une bonne fessée manuelle est bien plus vexante à cause du bruit des claques que tout le monde peut bien entendre et qui sonne comme un avertissement aux amateurs.
Bien à vous,
Henriette P*******
Je m'empresse de vous informer du déroulement de la reprise en main de Jean-Jacques. Plus le temps passe, et plus je réalise combien il est nécessaire que l'on fesse sans indulgence les jeunes gens de son âge à chaque écart de conduite.
Mercredi matin, nous avons pris ensemble le petit-déjeuner, comme chaque jour. Une fois restauré, Jean-Jacques s'est levé sans façon pour aller se préparer à partir en cours, laissant bol et couverts sur la table pleine de miettes et de traces de café au lait.
Je l'ai rappelé immédiatement et fait venir près de moi, face à la table de la cuisine non débarrassée. Debout derrière lui, je lui ai fait remarquer que je n'étais pas sa bonne et que j'allais faire en sorte qu'il s'en souvienne. Ensuite, je lui ai appliqué une fessée retentissante par dessus sa culotte de pyjama. Une fessée assez longue, dont la force des claques allait crescendo, tout en ponctuant celles-ci de remontrances sur sa conduite. J'ai résisté à l'envie de lui descendre sa culotte de pyjama pour mieux claquer ses rondeurs, mais je l'ai averti formellement :
– à la prochaine incartade, je te déculotte !
ce à quoi il n'a rien répondu, se contentant de garder la tête baissée, le rouge au front et aux joues.
Je dois avouer que je me suis surprise à employer les mêmes paroles que les personnes qui ont jadis assuré mon éducation, mes parents et mes maîtres d'école. Vous en savez certainement beaucoup plus long que moi, Docteur, sur ce sujet, mais j'ai l'intuition que nous avons tendance à reproduire inconsciemment les gestes et les paroles des grandes personnes qui se sont occupées de nous pendant notre enfance. Or, quand j'étais petite et même pendant ma jeunesse, les enfants étaient fessés pour chaque bêtise qu'ils commettaient, que cela soit à la maison ou à l'école. L'une des menaces les plus couramment employées était : Tu veux que je te déculotte ? (devant tout le monde, devant toute la classe, devant toute l'école, devant tes camarades etc.) tant la honte était importante lors de l'application de la fessée. Mes parents n'hésitaient pas à nous déculotter sur le trottoir. Puis les choses ont évolué progressivement, et, à mon avis, pas dans le bon sens. Je n'ai pas du tout le sentiment d'avoir été une enfant maltraitée, ni que mes camarades, filles et garçons, l'ont été. Par contre, j'ai la conviction que les jeunes ne témoignent pas, de nos jours, le respect qui leur est dû à leurs aînés. Toute cette longue parenthèse pour vous dire que la confusion de Jean-Jacques quand j'ai prononcé la phrase :Je te déculotte ! semble indiquer que ces paroles sont toujours aussi efficaces.
Mais il y a un moment où la phrase ne suffit plus et où l'acte doit montrer que ce ne sont pas paroles en l'air. Ce moment s'est présenté deux jours plus tard, quand je me suis rendu compte que Jean-Jacques s'était oublié et dormait profondément alors qu'il aurait déjà dû être en train de faire sa toilette. Je suis entrée dans sa chambre et j'ai tiré les rideaux à fond, avant d'ouvrir en grand la fenêtre et les volets. Mon petit-neveu a ouvert des yeux grands ébahis et n'a pas réagi quand j'ai tiré draps et couvertures jusqu'au pied du lit. Je lui ai ordonné, d'un ton sans réplique :
– à plat-ventre !
et il a obéi un peu mollement, mais sans protester. J'ai ajouté :
– que je te fesse !
et j'ai baissé sa culotte de pyjama jusqu'aux genoux. Et je lui ai donné la fessée, comme je le faisais quelques années auparavant quand, petit garçon, il venait passer les vacances chez moi. Vous m'avez prescrit d'appliquer une fessée sérieuse, et je pense que cela a été le cas. Ce n'était pas une petite fessée pour jouer, vous pouvez me croire. Je l'ai fessé méthodiquement jusqu'à ce que son postérieur soit bien rouge et qu'il commence à se tortiller en émettant de petits gémissements, sans toutefois tenter de se dérober à la correction. J'ajoute que le bruit de cette fessée pouvait certainement s'entendre dans la cour, à cause de la fenêtre grande ouverte. Même s'il y a peu de chance que quelqu'un ait été dehors pour écouter, cette éventualité donnait à la fessée un petit côté public. De fait, après que je sois sortie de la chambre, quand Jean-Jacques, le visage aussi rouge que ses fesses, est venu s'assoir pour partager avec moi le petit déjeuner, il m'a demandé si personne n'avait pu entendre. À quoi j'ai répondu que, si c'était le cas, je n'avais qu'à m'en prendre qu'à moi-même et que j'aurais mérité d'être déculotté et fessé devant la voisine pour être aussi irresponsable à 18 ans passés.
Il m'est arrivé de recevoir la fessée avec un martinet quand j'étais petite, mais je pense qu'une bonne fessée manuelle est bien plus vexante à cause du bruit des claques que tout le monde peut bien entendre et qui sonne comme un avertissement aux amateurs.
Bien à vous,
Henriette P*******
De: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Mercredi 7 Novembre 2018 17:15:57
Objet: Re: Jean-Jacques
À: "jean-jacques" <j******@wanadoo.fr>
Envoyé: Mercredi 7 Novembre 2018 17:15:57
Objet: Re: Jean-Jacques
Henriette,
Je vois que les choses avancent à grand pas et dans un sens qui va être
fort utile à Jean-Jacques.
Je crois que votre légitimité à donner la fessée à Jean-Jacques n'est plus
contestable. Il vous reste peut-être encore un test à faire afin de vérifier sa
complète obéissance lorsque vous décidez de le punir. A la prochaine occasion,
faites-le venir debout devant vous, annoncez-lui qu'il va recevoir une fessée,
déculottez-le et prenez le temps de le gronder. Placez-le alors dans une
position disciplinaire que vous utilisiez quand il était plus petit et
fessez-le. Il faut que ce soit une punition sévère, mais elle n'a pas besoin
d'être d'une rigueur extrême. Je ne vois pas pourquoi il se rebellerait contre
cette fessée, mais vous lui aurez donné un caractère encore plus solennel, dont
vous pourriez avoir besoin quand il s'agira de le fesser en présence d'autres
personnes.
Il y a forcément des reliquats de reproduction des situations que nous
avons connues étant enfant, quand nous avons à tenir le rôle d'adulte à notre
tour. Les modèles de comportement parentaux influent sur ce que nous faisons,
c'est une évidence.
C'est pourquoi il faut garder une certaine distance d'analyse quand nous
estimons qu'une fessée est nécessaire. Il ne serait pas juste que Jean-Jacques
reçoive la fessée uniquement parce que vous l'avez reçue quand vous étiez
petite. Il est, par contre, nécessaire qu'il la reçoive parce qu'il en a besoin
et qu'elle va lui être utile.
C'est pourquoi je préconise que chaque tutrice se construise des principes
disciplinaires, après les avoir réfléchi en prenant en compte l'intérêt
supérieur de son pupille, et qu'elle les applique, sans faute, à chaque
occasion. Par exemple :
- Jean-Jacques
fait partie des adultes qui ont des difficultés à assumer le statut
d'adulte. Il se laisse aller à des comportements enfantins à chaque fois
qu'il faudrait exigeant vis à vis de lui même. Il a donc besoin d'une
personne assumant l'autorité à son égard et lui mettant en place des
limites claires et indépassables.
- Il a
besoin que ses écarts lui soient clairement signifiés. La fessée
déculottée en est la méthode principale, ce qui n'élimine pas des
punitions complémentaires (mise au coin, lignes à copier, ...). Elle sera
systématiquement utilisée jusqu'à ce que la repentance soit sincèrement
exprimée.
- La
sévérité de la sanction sera proportionnée à la faute à punir. L'usage
d'instruments punitifs complétera de façon pertinente la fessée à main
nue,
- ...
Vous voyez, ce que cela peut recouvrir ? Quand il a commis un écart, vous
n'avez pas besoin de vous questionner pour savoir si la fessée est utile, si
c'est le bon moyen à utiliser. Vous l'avez déjà décidé.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
Diplômée es fessologie
SOS Urgence Fessée
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Bonjour Docteur,
RépondreSupprimerJe partage votre méthode et votre analyse.
Punir ne veut pas dire détester systématiquement. Tout comme le mot "sévère" ne signifie pas obligatoirement "méchant".
L'autorité fait partie de l'éducation. La caresse est le pendant positif de la claque fessière. Et une maman qui fesse n'est pas pour autant une "mauvaise mère" comme on l'a souvent décrié.
J'ai reçu une éducation simple et bienveillante.
Ma maman, qui était de l'ancienne génération, était très "mère-poule" et elle alternait fessées et câlins.
Elle aimait bien être obéie et avait une pointe d'autorité dans son caractère. Elle ne supportait pas la contradiction très longtemps.
Les fessées reçues étaient acceptées au regard de notre comportement.
Après la punition venait le pardon et le bisou . Geste important pour revenir dans l'amour maternel. L'amour maternel, ce formidable moteur qui nous propulse dans la vie...
Bonne journée. Peter Pan.
Bonjour Peter Pan,
RépondreSupprimerC'est exactement la philosophie qui fonde les consultations que je donne sur la fessée.
Pour beaucoup d'adultes qui n'ont jamais atteint la maturité correspondant à leur âge civil, trouver une tutrice qui les surveillera et les punira quand ils en ont besoin, est une chance dont certains ne bénéficient pas, à leur grand dommage.
Recevoir la fessée en punition d'un écart de conduite ou de comportement est alors une occasion à ne pas manquer, ni pour la tutrice, ni pour le ou la pupille, tant cela, à terme sera profitable.
Je vous remercie d'insister sur le pardon qui doit clore une punition. Le bisou, le câlin, quel que soit l'âge de celui qui a été puni, est une nécessité qui permet de repartir d'un bon pied, en ayant retrouvé la confiance de la tutrice. Indispensable.
Jeanine Legendre