mercredi 21 novembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 59


Madame Schneider et Mademoiselle Roudault arrangèrent les jupes de Camilla et d’Astrid afin qu’elles ne retombent pas lorsque que les deux femmes fraîchement punies se seraient redressées.
« Allons Mesdames, aller prendre la place de Reynold au piquet. Vous avez compris comment vous y tenir, j’espère ! »
Il n’y eut pas de discussion, pas d’hésitation. Ce n’était plus une question ni d’âge, ni de lieu. Les deux femmes avaient retrouvé leurs réflexes d’obéissance qui remontaient à l’enfance. Elles avaient commis une grave bêtise, elles en avaient été punies et maintenant il fallait passer un moment au piquet à méditer et à se promette de ne pas recommencer.

Que ce temps où les fesses rougies par la fessées devaient être exposées à tous les regards, se tienne à l’extérieur provoquait, chez les deux punies, des sentiments contradictoires.
D’un côté une impression d’anormalité. Comment pouvait-on admettre, à quarante ans passés, d’exhiber ses fesses nues dans un lieu public, à la vue de toux ceux qui passaient dans la rue ? D’en acter la légitimité en se tenant sagement en pénitence alors qu’aucune contrainte visible ne le justifiait  et que ni Madame Schneider ni Mademoiselle Roudault ne semblait leur prêter encore attention ?
De l’autre, il y avait une grande continuité avec ce qu’elles et leurs camarades d’école avaient vécu sous la houlette de Mademoiselle Roudault. Le piquet était un passage obligé après une fessée et il se déroulait naturellement dans le lieu où la fessée avait été donnée, le plus souvent devant tous les camarades de classe, mais parfois dans la cour de récréation où un bien plus grand nombre de personnes en était témoin. Le bout de trottoir où elles se tenaient toutes les deux n’était qu’une extrapolation de la cour d’école, adaptée à leur âge. Tout était donc normal.
Le sort de Reynold avait été réglé en quelques minutes. De la démarche traînante à laquelle l’obligeait son pantalon et sa culotte baissés, il vint se mettre sous les ordres de Mademoiselle Roudault.
« Madame Schneider m’a dit, Reynold, que tu n’avais pas été sage pendant que je t’avais laissé au piquet sous sa garde. Elle a dû te donner la fessée. Je trouve ton attitude inadmissible. »
Reynold baissait les yeux. Il savait qu’il avait fait une grossière erreur et que Mademoiselle Roudault ne la laisserait pas passer sans réagir. Il ne fut pas étonné quand elle posa un pied sur l’assise du banc et qu’elle le courba sur sa cuisse placée à l’horizontal. Il fallait une fessée pour sanctionner cette désobéissance.
La main de Mademoiselle Roudault lui rougit de nouveau les fesses et elle en raviva la cuisson. Reynold pleura, autant à cause de la douleur que de honte d’avoir une nouvelle fois déçu Mademoiselle Roudault. Voudrait-elle encore s’occuper de lui comme elle l’avait vaguement évoqué ?
Mademoiselle Roudault n’eut pas besoin d’administrer une longue fessée pour sentir le repentir de Reynold. Elle n’en resta pas, non plus, à une punition symbolique. Il fallait que Reynold comprenne qu’un temps de pénitence était une chose sérieuse qui lui imposait des contraintes dont il ne pouvait s’exonérer en aucune circonstance. Elle était confiante. Reynold, quand elle avait eu dans sa classe, avait parfaitement intégré ces règles et il les respectait à la perfection. Il avait juste besoin d’un rappel, ce qu’elle s’employait à faire à cet instant.
C’est à un Reynold honteux et sanglotant qu’elle remonta la culotte.
« Tu viens avec moi ! »
Il la suivit dans le magasin pendant que Mademoiselle Roudault finissait d’organiser la venue de la mère de Camilla et de la tante d’Astrid pour récupérer les deux femmes et achever leur punition. Elle n’eut aucun mal à convaincre ces deux personnes de reprendre la main sur l’éducation des deux femmes. Il y aurait quelques fessées dans ces maisons-là également dès ce soir.
Mademoiselle Roudault était satisfaite de la tournure des événements. Elle avait créé les cadres pour remettre trois de ses anciens élèves dans le droit chemin. Ce n’était pas une journée perdue, loin de là ! Elle avait fait œuvre utile.
« Allons, Reynold, rentrons chez toi ! J’ai encore une bonne fessée à t’y donner ce soir. »
Le cœur de Reynold se serra de crainte de la punition à venir et de joie de l’attention dont il bénéficiait. Il n’y avait pas de situation qui n’ait que des avantages. Il était également inquiet de la réaction de Justine, sa compagne, celle dont il s’était moqué jadis à l’école et avec qui il passait sa vie. Quelle serait sa réaction quand il arriverait suivit par Mademoiselle Roudault qui avait jadis bien souvent fessée Justine ?

Je n’avais pas assisté à l’aboutissement des événements qui s’étaient déroulés devant la boutique de Madame Schneider qui m’avait rapidement renvoyé chez moi. Dès le lendemain, tout cela avait fait le tour de la ville. L’opinion générale convenait que les quatre personnes punies, l’avait été fort judicieusement.
Que cela ce soit déroulé en public n’offusquait personne, sauf quelques-uns, mais en y regardant de plus près, on se rendait compte que ceux qui s’indignaient avaient plus de chance de se retrouver prochainement du côté des punis que des punisseurs. Ils exprimaient surtout leur crainte de devoir subir une punition semblable au vu et au su de tout le monde.
Bien des adultes envisagèrent d’utiliser désormais la fessée à l’encontre des personnes de leur entourage qui en avaient visiblement besoin. Il y avait un véritable engouement pour cette solution. A compter de ce jour, elle ne cessa de gagner du terrain, entrant de plus en plus explicitement dans les mœurs.
Peu à peu, une hiérarchie assez nette s’installa. Il y avait ceux qui recevaient la fessée en punition de leurs écarts et ceux qui la donnaient. Entre les deux, des personnes au statut changeant en fonction des circonstances, parfois punies, parfois punisseuses selon qui ils rencontraient et des circonstances de leur confrontation.
En ce qui me concerne, tout était limpide. Je faisais partie de ceux qui recevaient régulièrement la fessée, ce qui mettait mes fesses à la merci d’un nombre grandissant de personnes. J’en eus la preuve cuisante le lendemain.

Passer devant la boutique de Madame Schneider m’angoissait. La scène qui s’y était déroulée la veille, se rajoutant à celles des jours précédents, semblait en faire un espace particulièrement favorable à la fessée. Je craignais, en passant devant, d’attirer la malchance et de devoir y subir une punition. Ce n’était que de la superstition, mais je ne pouvais pas m’en défaire.
Ce soir-là, de loin, j’aperçus Madame Schneider sur le pas de sa boutique, prenant l’air et observant les passants. Je sentis ma gorge se serrer. Je n’avais pourtant rien à me reprocher. Plutôt que d’affronter ma peur, je décidais de la contourner. Changer de trottoir me donnerait, me disais-je, une distance de sécurité suffisante.
Fort de cette résolution, je traversais la rue au plus proche. Mal m’en prit ! A peine m’étais-je engagé sur la chaussée qu’un coup de klaxon rageur me fit remarquer le risque que je prenais. La voiture dut freiner en urgence pour ne pas me heurter. Le crissement des pneus sur la chaussée attira tous les regards.
« Moi qui voulait être discret, pensais-je, c’est raté ! Pourvu que Madame Schneider n’ait rien remarqué ! »
Alors que je regardais du côté où se trouvait Madame Schneider, j’obligeais un autre automobiliste pour m’éviter à donner un coup de frein au dernier moment, ce qui faillit provoquer un accident. Un nouveau regard vers la boutique … ouf, Madame Schneider avait disparu, je l’espérais sans avoir remarqué mes exploits. Je pris la direction de la maison de Madame Tolbois.
« Ah vous pouvez être fier de vous, mon garçon ! »
Je me retournais pour voir d’où venait cette voix que je ne connaissais pas. Mes déboires avec Madame Mercier m’incitaient à la prudence. Son visage me disait vaguement quelque chose. C’est grâce à son landau que je l’ai reconnue. C’était la Dame à qui j’avais envoyé un caillou, ce qui m’avait valu une fessée en pleine rue, par Madame Tolbois. Il fallait donc être prudent…
« Bonjour Madame ; »
… et poli !
« Qu’est-ce que c’est que ces façons de faire ? On ne vous a jamais appris à traverser une route ? Vous avez vu ? Vous avez failli provoquer deux accidents !
– Mais, Madame, mais… je… je ne…
« Ne répondez pas effrontément, mon garçon ! »
C’était assez baroque de se faire appeler « mon garçon » par une femme qui avait bien vingt ans de moins que moi. Mais je ne pouvais pas prendre le risque de le rembarrer.
« Mais non Madame je ne…
« Taisez-vous ! Vous n’avez jamais appris à traverser dans les passages pour piétons ?
– Si Madame, mais s’il…
– Taisez-vous, vous ai-je dit ! Vous êtes totalement inconscient de ce que vous risquez en traversant de cette façon, pour vous et pour vous et pour les automobilistes. J’attends vos explications ! »
Ses manières intrusives m’avaient un peu échauffé. Je vérifiais d’un dernier coup d’œil que Madame Schneider n’était plus visible dans le paysage.
« Mais, Madame, je les avais vus et ils avaient le temps de freiner ! »
Je vis ses yeux s’arrondir, puis ses sourcils se froncer et ses traits se fermer. Ma réponse ne lui avait pas plu.
« Affligeant ! Vous êtes un garçon irresponsable. Je dois m’assurer que vous ne recommencerez plus ce genre d’exercice. Venez ici ! »
Elle s’était assise sur le banc qui était à côté d’elle. Je fis deux pas, puis je m’arrêtais.
« Mais pour quoi faire ?
– Mon garçon je vais faire en sorte que vous vous souveniez longtemps de ce qui arrive à ceux qui traversent les rues sans se soucier ni des risques qu’ils courent, ni de ceux qu’ils font courir aux autres. Il faut que vous receviez une leçon qui se gravera durablement dans votre cerveau, puisque vous n’avez pas réussi, jusqu’à maintenant à apprendre des choses aussi simples que traverser sur les passages réservés à cet effet ou au minimum regarder s’il vient des voitures avant de s’engager.
– Mais, mais, que… que voulez-vous dire ? »
Je voyais très bien où elle voulait me conduire, d’autant plus que Madame Tolbois lui avait montré la voie quelques jours auparavant.
« Je vais te donner une bonne fessée. Je suis certaine que cette punition, tu la retiendras !
– Mais, mais, vous ne pouvez-pas ! Je… je… je ne suis pas…
– Je crois que je peux le faire et que tu vas me laisser le faire. Si tu continues à discuter, non seulement j’informerai Madame Tolbois de la façon dont tu traverses la rue, mais en plus je lui expliquerai comment tu refuses d’obéir. Je pense qu’elle va être ravie d’apprendre tout cela.
– Je n’ai pas désobéis ! Vous n’avez pas, vous, me donner la fessée !
– Crois-tu ? Il me semble que la dernière fois que nous nous sommes rencontrés, Madame Tolbois m’a encouragé à te fesser et qu’elle m’a autorisé à le faire quand je le souhaitais. C'est-à-dire maintenant ! T’en rappelles-tu ? »
Je restais sans voix. Elle avait raison.
« Je t’ai dit de venir ici ! »
Comme je ne réagissais toujours pas, elle monta d’un cran.
« Si tu crois que je ne saurai pas trouver comment joindre Madame Tolbois, je préfère te prévenir que j’ai une cousine qui habite juste à côté de chez elle. Je n’aurai donc pas de mal à aller frapper à sa porte, ce soir si nécessaire. »
A quoi bon nier l’évidence ? Je connaissais par avance la réaction de Madame Tolbois. Je fis un pas en avant. Cela suffit pour qu’elle attrape ma main et qu’elle me fasse faire le dernier mètre qui restait pour que je me retrouve genoux contre genoux avec elle.
Elle ne perdit pas de temps et elle déboucla ma ceinture. Il n’y avait plus de doute sur ce qui m’attendait.
« Non, non, pardon Madame, je ne le ferai plus. Pas ici, s'il vous plait, pas ici !
– C’est typique d’un garçon qui a fait une grosse bêtise quand arrive le moment d’en payer le prix. Vous pleurez, vous suppliez, mais c’est trop tard. Pourquoi ne devrais-je pas vous fesser ici ? Vous avez besoin de cette fessée au plus vite, là où vous venez de commettre cette énorme imprudence. Je me doute qu’être déculotté et fessée dans la rue n’est pas agréable, surtout à votre âge, mais vous n’en apprendrez que plus vite à ne pas recommencer. »
Elle accompagna mon pantalon pour le descendre en-dessous de mes genoux.
« Imaginez, mon garçon, la prochaine fois qu’il vous viendrait à l’esprit de traverser une rue aussi imprudemment. Vous ne saurez pas s’il n’y a pas une dame, sur le trottoir d’en face, prête à vous administrer une fessée déculottée. Je pense que vous y réfléchirez à deux fois. Dissuasif, non ? »
De ses pouces, elle étirait l’élastique de ma culotte, puis elle la fit glisser vers le bas.
« Je compte bien que vous vous souviendrez de ce moment où je vous ai puni. Bien que ce ne soit pas la première fois, de faire baisser la culotte et être fessé sur le bord d’un trottoir par une dame que vous ne connaissez presque pas, y aidera grandement. »
J’étais incapable de dire si sa prédiction se révélerait exacte, mais si j’avais pu remonter le temps tout en sachant ce que je savais maintenant, il est certain que je n’aurai pas agi de façon aussi impulsive. Je ressentais une honte qui mêlait de la déception envers moi-même suite à mon attitude irréfléchie, l’envie de dissimuler au plus vite mes fesses et mon sexe exposés et la sensation d’étrangeté en sentant ses mains inconnues toucher, sans que cela fût impudique, ma peau, là où, à mon âge, ne le faisait normalement que les personnes que j’avais admises dans mon intimité.
Je n’avais plus d’intimité dont je maîtrisais l’usage. Je sentais, confusément encore, que cette fessée annonçait un nouveau tournant dans ma vie. Désormais, une dame qui savait que j’étais régulièrement fessé, pourrait s’arroger le droit de me déculotter pour m’administrer une correction. En rencontrer l’une d’elles dans la rue, pourrait suffire pour recevoir une fessée, sans que je n’y puisse rien. C’était toute une ville qui surveillerait mes faits et gestes et chacun pourrait me punir quand je l’aurais mérité.
« En place ! »
La dame au landau me guida en travers de ses genoux. Je ne sais pas si je préférais cette position qui, d’un côté, mettait mes fesses à portée de sa main mais de l’autre, dissimulait au regard public mes attributs sexuels. Je n’eus pas le temps de choisir entre ces deux inconvénients.
Je renonçais à retenir mes cris et mes pleurs. J’étais fatigué de toutes mes tentatives, toutes soldées par un échec. De plus, les circonstances de cette punition étaient venues à bout de toute ma résistance. Je n’étais pas vraiment désespéré. J’étais plutôt fataliste. Cette nouvelle donne était à prendre en compte, je ne la trouvais pas forcément déplacée, plutôt désagréable par certains côtés, mais facilitante par d’autres.
Malgré mes dénégations, je savais que j’avais commis une erreur en traversant inconsidérément la route. Dans un autre monde, puisqu’il n’y avait pas eu d’accident, on aurait pu imaginer que j’en sois quitte avec les récriminations des automobilistes concernés… que j’aurais oubliées en quelques minutes. C’est ce qui arrivait normalement aux adultes qui enfreignaient les règles sociales.
Mais dans le monde où je vivais depuis mon arrivée chez Madame Tolbois, les effets en étaient bien plus durables. Les effets physiques, d’abord, avec la cuisson sur mon postérieur que je prévoyais difficile à supporter, et les conséquences psychologiques dues à la honte ressentie suite à mon déculottage public qui feraient connaître à encore plus de monde comment j’étais communément puni et combien c’était d’une efficacité redoutable.
La fessée fut conforme à mes prévisions. Une petite dizaine de claques sur chaque fesse et la cuisson devint difficile à supporter. Je laissais mes cris le confirmer et mes pleurs montrer à tous que j’étais sur le chemin de la rédemption, mais qu’il était difficile à gravir.
Ce ne fut pas non plus l’une de ces corrections mémorables qui me laissaient pantelant, sans force. La Dame au landau savait donner une fessée, mais elle n’avait probablement pas l’intention d’aller au plus sévère pour une première fois. Elle prit cependant la précaution de me faire sentir sa désapprobation … qu’elle jugea grâce à la couleur qu’elle fit prendre à mes fesses et aux cris que je poussais.
Quand elle m’ordonna de me lever, plusieurs passants nous entouraient, commentant la punition que je recevais. Le débat portait sur la sévérité nécessaire. Une ou deux personnes avaient assisté à ma traversée acrobatique de la rue. La raison de ma punition avait donc circulé parmi ces personnes. Certains, certaines devrais-je dire, défendaient l’idée que mon châtiment devrait être bien plus sévère. D’autres, heureusement les plus nombreux, modéraient ce jugement.
Il y eut même une dame assez âgée défendant l’idée que « moi et mes semblables », disait-elle, soyons exposés en place publique, après la fessée, à chaque fois que nous commettions une infraction. L’idée d’une mise au pilori fut évoquée, sur le ton de la plaisanterie, mais j’espérais que cette idée ne trouvât pas une bonne âme pour la reprendre à son compte.
La Dame au landau m’avait une nouvelle fois vertement grondé tout en me reculottant.
« Ce sera une fessée bien plus substantielle la prochaine fois que je te prends à traverser une rue de façon aussi mal opportune ! »
Je l’assurais que je serai désormais de la plus grande prudence.
« N’oublie pas d’expliquer à Madame Tolbois ce qui t’a mis en retard. Je pense qu’elle n’hésitera pas à faire une piqûre de rappel. »
J’acquiesçais. Je pouvais compter sur Madame Tolbois pour ce genre d’exercice. Je dus traverser le cercle des spectateurs pour prendre le chemin de la maison. La plupart me regardaient sévèrement.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?


Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 58

Il y a une suite ... le chapitre 60

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