samedi 24 novembre 2018

Axel en famille - chapitre 71


« Jeanne, viens-ici ! »
En marchant, la culotte de Jeanne qui était restée au niveau de ses genoux, avait tendance à tomber. Elle attrapa son sous-vêtement d’une main ce qui eut pour effet de laisser retomber la robe qui cachait alors ses fesses.
« Jeanne, la robe ! Je ne t’ai pas autorisée à recouvrir tes fesses ! »
Jeanne s’arrêta, considéra la situation quelques secondes, puis elle releva l’arrière de sa robe en la maintenant de ses deux mains. Alors, elle reprit sa marche vers Tatie Nathalie, laissant sa culotte glisser à chaque pas. Quand elle arriva devant Tatie Nathalie, son sous-vêtement était tombé sur ses chaussures.
Tatie Nathalie l’installa dans la même position que celle qu’avait dû adopter Florence quelques minutes auparavant. A son tour, elle se tenait devant la baie vitrée, en pleine lumière, à la merci du regard du premier badaud qui se promènerait sur le trottoir. Plusieurs voitures passèrent, mais leurs passagers ne donnèrent aucun signe laissant supposer qu’ils aient aperçu une situation sortant de l’ordinaire.
« Comme pour Florence, il n’y a plus de trace de la fessée. La prochaine fois je ne serai pas aussi magnanime !
Tatie Nathalie palpa les fesses et en fut satisfaite.
« Parfait, il n’y aura pas besoin de les pommader. »
Tatie Nathalie prit Jeanne par le coude afin qu’elle la suive jusqu’au canapé.
« Je vais commencer dès aujourd’hui à t’apprendre à assumer correctement ton rôle de mère mais aussi celui de maîtresse de maison. Tu es totalement défaillante pour les deux. »
Jeanne, debout devant Tatie Nathalie tenait toujours l’arrière de sa robe relevé. Tournant le dos à la baie vitrée, elle avait conscience que ses fesses nues étaient bien visibles depuis la rue. Plus longtemps elle restait dans cette position, plus le risque d’y être aperçue augmentait. Cependant, elle ne voulait pas montrer la moindre réticence à cette situation, bien qu’elle la mortifiât, afin de ne pas pousser Tatie Nathalie à la menacer d’une fessée publique. Tant qu’elle ne se l’était pas entendu dire, elle avait l’espoir de ne pas y être soumise. C’était bien assez d’avoir été déculottée et fessée en présence de sa fille et que son garçon ait été au courant.
« Afin que tu deviennes une Maman compétente, voici comment les choses se passeront désormais. A chaque fois que l’un de tes enfants fera une bêtise, tu lui donneras la fessée. Elle devra être déculottée et administrée là où elle a été méritée, même si cela veut dire que d’autres personnes y assistent. Tu verras, risquer d’avoir la culotte baissée devant des copains et des copines et recevoir une bonne fessée, amène à une très grande obéissance. »
Jeanne hocha la tête. Elle pensait surtout à la honte qu’elle éprouverait si elle-même se trouvait dans cette situation un de ces prochains jours.
« Si je constate que soit Florence, soit Anthony aurait dû être corrigé et qu’il ne l’a pas été, c’est moi qui lui donnerait la fessée, mais alors tu en recevras une également. Je peux te promettre qu’elle sera bien plus sévère que celle d’aujourd’hui. M’as-tu bien entendue ?
– Oui, Mad … euh Tatie !
– Ne joue pas trop à te tromper, puis à rectifier immédiatement. Je pourrais prendre cela pour une insolence, ce qui te vaudrait des fesses rougies. C’est bien compris ?
– Oui, Tatie !
Il y avait une trace de peur dans la voix tremblante de Jeanne.
« Une chambre impeccablement rangée, des heures de coucher décentes, une hygiène irréprochable, un langage châtié, une politesse sans faille, une obéissance sans discussion et à tous les adultes et un respect ostensiblement marqué à leur égard, des résultats scolaires de haut niveau, … tout ce qui leur a manqué jusque-là. Tu es désormais chargée de faire respecter tout cela et de sévir au plus petit écart. »
Jeanne donnait l’impression que le ciel lui était tombé sur la tête, tant la tâche lui semblait insurmontable. Elle avait pris un ait accablé qui fit sourire Tatie Nathalie bien malgré elle.
« Et si … »
Elle s’était arrêtée, incertaine des conséquences pourrait avoir sa question.
«  Allons, parle, que veux-tu dire ? 
– Et s’ils ne veulent pas et qu’ils ne se laissent pas faire ?
– C’est une question de fermeté. S’ils sont convaincus que tout refus d’obéir les conduira à une punition plus sévère que la première, ils préféreront s’y soumettre, d’autant plus si tu incarnes réellement l’autorité, ce qui devrait être le cas pour ton mari et toi. Vous êtes leurs parents, il est donc légitime que vous les punissiez quand ils l’ont mérité. C’est à vous d’en déterminez la méthode. Si vous avez choisi la fessée, ils doivent l’accepter.
– Oui, mais …
– Ne t’inquiète pas pour cela. J’interviendrai en cas de refus, et, crois-moi, ils s’en souviendront ! Si cela arrive, ce ne sera pas plus d’une ou deux fois. Si ton mari et toi vous faites attention à ce qu’ils reçoivent une fessée à chaque fois qu’ils en ont besoin et qu’elle soit proportionnée à l’importance de la bêtise commise, ils vont en reconnaître le bien-fondé. L’accumulation actuelle d’insolences et de désobéissances est un appel à ce que vous leur fixiez des limites afin de savoir ce qui est permis ou pas. »
Jeanne acquiesça.
« Avoir des enfants bien élevés ne tient qu’à toi. Pour commencer, tu vas intercepter Florence à la sortie de la douche. Tu vérifieras qu’elle est bien propre. Tu feras attention aux endroits que les enfants négligent toujours : derrière les oreilles, entre les doigts de pieds et les fesses. Tu feras pareil avec Anthony. Si, régulièrement, tu constates que ce n’est pas très propre, tu devras leur montrer comment faire en leur donnant toi-même la douche. Si tu ne le fais pas, je le saurai, et alors …
La réaction de Jeanne montrait que le message avait été reçu.
« Ensuite, tu mettras ensuite tout le monde au travail. Je veux voir cette maison parfaitement rangée d’ici ce soir : plus rien ne traînera et chaque chose à sa place. Vous vous y mettrez tous, ton mari également. D’ailleurs, où est-il ? Travaille-t-il aujourd’hui ?
– Non, il est en vacances. Il est allé chez un copain, pas très loin.
– Dès qu’il reviendra, il faudra qu’il prenne sa part et de l’éducation des enfants, et de l’entretien de la maison. S’il ne le fait pas de son plein gré, il le fera de force. J’y veillerai. S’il le faut je le fesserai, comme les autres. J’ai eu l’impression, hier, qu’il était encore plus hésitant que toi. S’il ne s’amende pas, je le placerai sous ta responsabilité.
– Sous ma responsabilité ?
– En fait, je vais observer la façon dont vous vous comporterez tous les deux. Si l’un d’entre vous ne me parait pas apte à assumer ses responsabilités de parent et d’adulte dans cette maison, je le placerai sous la responsabilité de l’autre. Il sera alors normal qu’il soit puni en tant qu'enfant de la maison puisqu’il ne sait pas se comporter comme une grande personne : une bonne fessée déculottée. »
Jeanne resta sans voix un bon moment. S’imaginait-elle tenant son mari sur ses genoux après lui avoir baissé la culotte, ou, au contraire, allongé sur ses genoux et y subissant la rigueur de sa main masculine ? Elle finit par bafouiller ;
« Mais … mais … mais … je ne …
– Tu ne dis rien du tout ! Ce que je t’expose n’est pas négociable. Je sais que ce n’est pas exactement ce dont tu avais rêvé pour tes vacances de Noël, mais tu m’en remercieras plus tard.
Au vu de la tête que faisait Jeanne, la reconnaissance n’était pas pour tout de suite.
« C’est ça, mets-toi à bouder. Je vais te faire passer cette mauvaise habitude très rapidement. »
Effectivement, Jeanne renonça aussitôt à montrer aussi ouvertement son mécontentement.
« Il reste à régler le cas d’Anthony. Tu le laisseras au coin encore un bon quart d’heure, puis il fera un vrai rangement de sa chambre, dont tu iras vérifier la qualité. S’il reste quelque chose à lui reprocher, ce sera une fessée que tu lui administreras. »
Jeanne semblait accablée par la multitude de tâches qui l’attendaient.
« Il faut que la maison soit rangée dès ce soir. Demain je vous ferai en faire le ménage à fond ! »
Tatie Nathalie les laissa sur cette promesse et avec un agenda de la journée bien rempli.

De retour chez elle, elle expliqua à Mamie les dispositions qu’elle avait prises. Les deux femmes se mirent d’accord pour surveiller, depuis la fenêtre de la cuisine, comment se déroulait la remise en ordre de la maison des Moreau.
C’est Mamie qui vint alerter Tatie Nathalie.
« Monsieur Moreau est rentré depuis un petit moment. Il s’est assis dans le canapé et n’en bouge pas. Ne crois-tu pas que cela nécessite une visite de contrôle sans plus attendre ? »
Tatie Nathalie vint se rendre compte de la situation par elle-même.
« Je crois qu’il faut que nous occupions de ce grand garçon. Viens avec moi, je risque d’en avoir besoin. Julie, toi aussi ! Tant qu’on y est, Axel, toi également, tu viens avec nous ! »
C’était un défilé de personnes résolues qui traversa la route. Tatie Nathalie entra chez les Moreau sans s’annoncer. Elle se dirigea tout droit vers le séjour.
« Bonjour, comment allez-vous ? »
Monsieur Moreau sursauta. Il regardait la télévision et ne nous avait pas entendu arriver jusqu’à lui.
« Oh, vous m’avez fait peur. Je ne vous ai pas entendu sonner.
– C’est normal, nous n’avons pas sonné.
– Ah bon, mais c’est surprenant, je ne …
– Là n’est pas le sujet ! Venons-en à ce qui est important.
– Mais enfin, Madame, vous entrez chez les gens sans vous annoncer et …
– Il est en effet temps que quelqu’un prenne cette maison en mains. »
Jeanne qui rangeait un tas de journaux et de magazines qui avaient été jetés par terre dans un coin de la pièce s’était arrêtée pour observer la confrontation naissante.
« Jeanne, la rappela à l’ordre Tatie Nathalie, continue ton travail ! »
Jeanne n’attendit pas qu’on le lui dise une deuxième fois. Monsieur Moreau, qui regardait la réaction de sa femme suite à la remarque de Tatie Nathalie, semblait un peu plus hésitant.
« J’ai vraiment l’impression que vous …
– Je crois qu’il est maintenant temps que tu te taises et que tu écoutes ! »
– Mis enfin, je …
– N’as-tu pas entendu ce que je viens de dire ? Faut-il que je me répète ? »
Monsieur Moreau n’osa pas reprendre la parole après que Tatie Nathalie l’eut interrompu aussi fermement deux fois de suite. Je crois que, dès ce moment, il s’était résigné à subir l’autorité de sa voisine. Sa volonté n’était pas assez forte au regard de celle de la femme qui l’avait réprimandé.
« Quel est ton prénom ?
– Raoul, Madame.
– Dis-moi, Raoul, trouves-tu normal que toutes les autres personnes de ta famille sont au travail autour de toi, et que toi, tu te prélasses sur un canapé en regardant la télévision ?
– Non, peut-être pas, mais j’étais fatigué et je voulais voir l’émission sur la pêche. Je suis pêcheur et j’avais besoin de …
– Fatigué, dis-tu ? A quelle heure t’es-tu couché hier soir ?
– Après le dernier épisode de la série policière, je ne l’avais pas vu. Il devait être minuit, peut-être un peu plus tard …
– Un peu plus tard, c'est-à-dire combien de temps ?
– Pas longtemps. Sans doute quelques minutes.
– Raoul, veux-tu que je regarde le programme de la télévision hier soir et que je rajoute le mensonge à tous les reproches que tu as déjà mérités. Quelle heure exactement ?
– Une heure … trente … un peu plus tard.
– Combien de temps plus tard ?
– … une demi-heure.
– Si je comprends bien, il était plus de deux heures quand tu t’es couché. »
Raoul hocha la tête. Tatie Nathalie était venue à bout de ses confidences. Elle lui avait arraché sa confession mot par mot. Il n’avait pas pu résister, pas plus qu’enfant ne le peut face à un adulte résolu.
« Deux heures du matin ! La moitié de la nuit à regarder la télévision ! Nous en reparlerons. J’ai bien peur que la fatigue ne soit pas une raison recevable pour expliquer ta paresse de ce matin. Jeanne ne t’a-t-elle pas expliqué qu’il fallait que tu te mettes au travail dès ton retour, comme je le lui avais demandé ? »
Raoul regarda du côté de sa femme qui lui tournait le dos. Il était visible que Jeanne écoutait, mais elle n’osait plus interrompre son travail bien que le rythme de celui-ci ait été considérablement ralenti. Raoul hésitait. Il devait mesurer les conséquences d’une nouvelle tentative de mensonge. Finalement, il y renonça.
« Si, elle me l’a dit.
– Et tu ne t’y es pas mis ?
– Non, j’allais le faire, mais après que …
– Résumons : il t’a été ordonné de faire ta part de travail et tu as préféré regarder la télévision. C’est bien cela ? »
Raoul hocha la tête. On aurait dit un garçon que sa Maman grondait.
« Répond, ordonna Tatie Nathalie en élevant la voix !
– Oui, Madame.
– Je crois que cela s’appelle de la désobéissance. Je ne vois pas d’autre mot. Qu’en penses-tu ? »
Face à une question aussi directe, Raoul ne pouvait rester muet. Tatie Nathalie ne l’aurait pas permis.
– Oui, Madame.
– Veux-tu dire qu’il s’agit bien de désobéissance ?
– Oui, Madame. »
Tatie Nathalie laissa le silence s’installer pendant quelques secondes.
« Sais-tu ce qui, dans cette maison, arrive désormais aux garçons qui désobéissent ? »
Raoul secoua la tête. Il était préférable de laisser croire à son ignorance.
« Je vais t’aider. J’ai décidé qu’à partir d’aujourd’hui, toute désobéissance sera sanctionnée par une bonne fessée. Jeanne, Florence et Anthony en ont reçu une ce matin. Tu vas être le suivant. »
Tatie Nathalie prit la main de Raoul et le tira derrière elle vers le canapé. Raoul résistait, mais assez mollement. On pourrait plutôt dire qu’il y mettait de la mauvaise volonté.
« Non, attendez, non ! »
Tatie Nathalie ignorant les protestations, s’assit et attira Raoul entre ses jambes. Elle posa ses mains sur la ceinture de Raoul et commença à la déboucler. Raoul recouvrit les mains de Tatie Nathalie avec les siennes, l’empêchant de poursuivre.


Préparation pour une fessée


« Non, je ne veux pas. Arrêtez !
– Je comprends, mon garçon, que tu ne veuille pas. Peu de personne, sur le point de recevoir une fessée déculottée en guise de punition, le font de gaieté de cœur. Là n’est pas la question ! Tu l’as méritée et tu en as besoin. Tu vas me laisser faire. Ecarte tes mains ! »
Raoul enleva ses mains, mais dès que Tatie Nathalie reprit le débouclage de la ceinture, il les remit à leur place initiale.
« Non, non, s’il vous plait !
– Raoul, c’est une nouvelle désobéissance ! Ôte tes mains de là tout de suite ! »
Malgré l’énergie que Tatie Nathalie mettait dans les ordres qu’elle lui donnait, Raoul ne se résignait pas à se faire déculotter.
« Raoul, si je dois te baisser la culotte de force, je vais le faire, mais alors, tu auras une fessée bien plus sévère que celle que j’avais prévu de te donner. C’est toi qui choisis, mais c’est maintenant qu’il faut le faire. »
Elle laissa quelques secondes à Raoul pour écarter ses mains. Il n’en fit rien.
« Mamie, Julie, aidez-moi ! »
Les deux femmes étaient prêtes à intervenir. Elles fondirent sur Raoul. La surprise joua en faveur de Julie. Elle attrapa le bras et remonta le poignet dans le dos de Raoul avant qu’il ait pu s’y opposer. Il se débattit et Mamie n’arrivait pas à faire la même chose avec l’autre bras. Raoul tenta de se dégager en reculant, mais les cuisses de Tatie Nathalie se refermèrent sur ses jambes.
« Julie remonte le poignet dans le dos ! »
Julie donna une secousse vers le haut, faisant remonter le poignet de Raoul d’une petite dizaine de centimètres. Ce dernier hurla. Son épaule était au maximum de la torsion qu’elle pouvait supporter. Il se pencha un peu en avant pour soulager la douleur, mais Julie le ramena à sa position en tirant sur le poignet. La souffrance obligea Raoul à se redresser. Il concentrait maintenant son attention pour résister à l’étirement dans son épaule, relâchant la force qu’il mettait à résister à Mamie. Celle-ci en profita pour lui tordre le bras à son tour.
Les deux bras tenus dans son dos le contraignaient à se tenir debout. Tatie Nathalie avait toute la place pour s’occuper de sa ceinture. Elle fut vite débouclée et détacher le bouton à la taille du pantalon ne fit pas plus de difficulté. Quand Tatie Nathalie baissa le pantalon sur le haut de ses cuisses, et recommença à se tortiller, mais un ou deux mouvements brusques dans son dos le calmèrent aussitôt.
« Non, non, non, pas ça !
– Sois sage, Raoul, c’est préférable pour toi ! Etes-vous prêtes ? On le couche sur mon genou. »
L’opposition que Raoul avait mise à la première phase de son déculottage aurait pu laisser croire que ce mouvement coordonné aurait été difficile à réaliser. Il n’en fut rien. Mamie et Julie poussèrent dans le dos de Raoul. Ses jambes étant tenues entre les genoux de Tatie Nathalie, il n’avait pas d’autre possibilité que de se courber jusqu’à se retrouver affalé sur la cuisse de Tatie Nathalie. Tout au plus, une fois en position, tenta-t-il une ruade qui fut maîtrisée d’une simple poussée dans son dos.
« Julie, crois-tu que tu pourrais lui maintenir les deux mains dans le dos à toi toute seule ? Je vais avoir besoin de Mamie pour finir de le déculotter.
– Je pense que ce ne sera pas un problème. »
Julie changea de position pour pouvoir poser son genou entre les épaules de Raoul. Elle prit le poignet que Mamie lui laissait. Pesant de tout son poids sur le dos de Raoul et sur ses poignets, il n’avait quasiment plus aucune possibilité de bouger.
– Mamie, tiens lui les jambes. »
Elle enferma les chevilles de Raoul entre ses deux jambes. Tatie Nathalie relâcha sa pression sur les cuisses de Raoul, juste le temps de faire glisser le pantalon en dessous des genoux de l’homme qui était presque prêt pour recevoir la fessée. Achever de baisser la culotte, ne fut pas une affaire bien que Raoul serrât ses jambes l’une contre l’autre. Cela laissait suffisamment d’espace pour que le sous-vêtement glisse jusqu’en bas de ses cuisses.
La main de Tatie Nathalie s’abattit sur les fesses de Raoul. Il accusa le coup. Sans doute ne s’attendait-il pas à la cuisson qui se diffusa instantanément sur ses fesses. Tatie Nathalie y avait mis toutes ses forces. Il en allait de son autorité après un déculottage aussi difficile. Raoul n’avait pas mesuré combien son opposition l’avait mis dans une situation délicate. Il faillait maintenant qu’il en paye le prix et rien ne pourrait plus faire obstacle à ce que Tatie Nathalie s’y employât.
Raoul contractait ses muscles à chaque fois que Tatie Nathalie claquait ses fesses. Il tentait encore, de temps en temps, de se libérer de l’emprise que les trois femmes maintenaient sur ses mouvements. Elles le maintenaient en position disciplinaire sans sembler forcer outre mesure. Puis ses tentatives s’espacèrent.
Il retenait ses cris avec de plus en plus de difficulté. Enfin, comme un barrage qui cède, il éclata en sanglots. Il n’avait pas poussé un cri, pas une supplication. Raoul ne se débattait plus. Tatie Nathalie continua cependant la fessée sans faiblir encore une bonne minute afin de cesser. Elle laissa alors Raoul se calmer un peu.
« Je vous remercie de m’avoir donné la main. Je pense que désormais, je ne vais plus avoir besoin d’aide pour donner la fessée à Raoul, n’est-ce pas mon garçon ? »
Indifférent à ce qui se passait autour de lui, Raoul ne répondit pas. Il se prit une volée de claque qui relança ses pleurs.
« Je t’ai posé une question, j’attends une réponse. Vas-tu encore faire des difficultés pendant la fin de la fessée ?
– Non, Madame, non !
– Tu vas faire comme les autres. Tu m’appelleras Tatie, Tatie Nathalie si tu veux. Cela te sera plus facile de recevoir la fessée si tu me montres en permanence le respect qu’un enfant doit à une grande personne. M’appeler Tatie, cela va aider. As-tu compris ?
– Oui Tatie, oui !
– C’est bien mon garçon, tu apprends vite. »
Tatie Nathalie lui tapotait les fesses, montrant ainsi qu’elle avait autorité sur ce territoire.
« Vous pouvez le lâcher, maintenant, il va être sage. »
Effectivement, Raoul ne fit pas un geste une fois ses bras et ses jambes libérées.
« Passe ton bras gauche derrière mon dos. »
Raoul obéit sans hésiter. Tatie Nathalie le serra contre son flanc.
« C’est bien, tu es obéissant. Dommage que tu ne l’ais pas été toute la matinée. »
Tatie Nathalie tenait Raoul fermement, mais plus qu’elle ne le faisait quand elle donnait la fessée à n’importe lequel d’entre nous. Sa main gauche était plaquée sur la hanche de Raoul tandis que son coude appuyait sur sa colonne vertébrale. Cela suffisait pour indiquer au garçon qui était étendu sur ses genoux, quelle était la petite marge de mouvement qui lui était octroyée. Elle tenait encore entre ses cuisses les jambes de Raoul, mais sa prise s’était détendue.
« Bien sûr, tu sais que ta fessée n’est pas terminée. Le plus dur est à venir, mais tu vas me laisser te la donner sans me gêner. Tu as déjà une deuxième punition sur ton ardoise pour avoir refusé que je te déculotte. J’espère que tu ne vas pas aggraver ton cas. »
Tatie Nathalie leva la main, puis elle administra une formidable claque sur la fesse gauche, puis sur la droite. Elle recommença quatre, cinq fois. Elle claqua ensuite le même côté une bonne dizaine de fois, puis elle passa à l’autre côté. La fessée continua avec la même vigueur tout en variant les rythmes, mais couvrant la totalité des fesses de Raoul.
Celui-ci avait recommencé à pleurer dès que sa correction eut repris. Les mouvements de ses pieds ne montaient pas plus haut que ses genoux. Malgré le peu de force que Tatie Nathalie mettait à immobiliser le haut de ses jambes, il laissait ses fesses à disposition de la main qui le punissait. Son bras droit restait placé sur le canapé, sous son visage. L’idée d’interposer sa main ne lui venait même pas à l’esprit.
Pour nous, Mamie, Julie Jeanne et moi qui assistions au châtiment, il était évident qu’il avait abdiqué, au moins dans l’instant, ses prétentions d’adultes. Il vivait maintenant la fessée comme une juste sanction dont il était à l’origine et qu’il fallait expier.
Le visage de Tatie Nathalie montrait la satisfaction du devoir accompli. Elle souhaitait cependant s’assurer que la rébellion de Raoul lors de son déculottage, ne se reproduise plus. Elle administra une dernière volée de claques.
« Julie, donne-moi la ceinture d’Anthony qui doit être sur la chaise, dans le coin, là-bas. »
A cette annonce, Raoul se raidit, mais il ne bougea pas. Tatie Nathalie prépara la lanière de cuir comme elle l’avait fait pour la fessée d’Anthony.
« Merci, Julie ! Voyons Raoul si la ceinture, saura t’enseigner que refuser de se soumettre à la fessée est une très grosse bêtise qu’il ne faudrait pas refaire une deuxième fois, quelles qu’en soient les circonstances. Fais bien attention à ne pas faire obstacle à la correction que je vais te donner. Tu sais ce qui t’arriverait ! »


Fessée avec la ceinture


Tatie Nathalie leva la ceinture, et elle l’appliqua en travers des fesses de Raoul, aussi fort qu’elle le pouvait si j’en juge par les réactions que cela produisit : une ruade et un cri d’agonie prolongé qui finit par s’étrangler dans la gorge de Raoul. Il n’eut pas le temps de reprendre sa respiration que la ceinture avait laissé une longue marque rouge sombre un peu au-dessus de la première.
Alors, sas que rien ne l’ai laissé présager, Raoul, d’une ruade plus violente que les autres, se dégagea des bras et des jambes qui le retenaient. Il tomba à genoux et se releva aussitôt. Il tenta de faire un pas en arrière, mais il avait compté sans son pantalon qui l’entravait. Il perdit l’équilibre. Tatie Nathalie le rattrapa par la main.
« Raoul, si tu fais encore un pas pour t’enfuir, je te ramènerai ici et la fessée que tu recevras sera bien pire que celle que je te promets. A toi de choisir ! »
Raoul s’arrêta. Il resta immobile un petit moment. Puis, il ravala un sanglot et se tourna vers Tatie Nathalie et il se rallongea dans la position qu’il venait de quitter. Il poussa un grand soupir, puis il attendit.
« Tu es courageux, Raoul ! Mais cela ne te dispensera pas de la punition que tu as méritée. Par contre, je ne tiendrai pas compte de ta toute dernière désobéissance, mais ne recommence pas. C’est la dernière fois que tu peux te permettre un tel comportement. »
La ceinture reprit sa danse sur les fesses de Raoul qui rougissaient à vue d’œil. Je ne pouvais m’empêcher de compatir avec l’homme qui hurlait à chaque fois que la ceinture laissait une nouvelle marque sur ses fesses. Il n’y avait là aucune injustice. Raoul recevait une fessée qu’il avait méritée … selon les critères de Tatie Nathalie dont nous tous présents dans cette maison, reconnaissions la pertinence et l’efficacité.
Raoul, comme nous l’avions tous expérimenté auparavant, découvrait que son indolence le conduirait désormais à plat ventre sur des genoux féminins pour y passer un très mauvais moment. Comme moi, il avait probablement le secret espoir que cela pourrait le guérir de sa paresse et que la certitude de recevoir une fessée à chaque fois qu’il refuserait d’assumer son rôle d’adulte, l’aiderait à devenir plus responsable.
Cet apprentissage ne se ferait pas sans dommage. Ses fesses le lui rappelleraient pendant et après chaque fessée.
Tatie Nathalie posa la ceinture à côté d’elle.
« Cela suffira pour le moment. Je crois que tu as compris le message. Je suis à peu près certaine que tu ne feras plus de difficulté quand il sera décidé de te déculotter pour te fesser. La ceinture a un fort pouvoir préventif. »
Malgré les sanglots qu’il ne parvenait pas à contrôler, Raoul réussit à hocher la tête.
« Malheureusement pour toi, ta punition n’est pas terminée. Tu vas être fessé par toutes les personnes à qui tu as désobéi. »
Raoul rajouta un gémissement plaintif qui s’intercala entre les pleurs.
« Va au coin, je vais laisser un peu de temps à tes fesses pour récupérer. »


Avec les dessins originaux de Peter Pan.

Grand merci pour ces illustrations qui agrémentent le récit.

Pour suivre le fil de cette histoire :

Comprendre le contexte : l'introduction

Le premier épisode : chapitre 1
L'épisode précédent : chapitre 70
Le prochain épisode, c'est le chapitre 72.

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2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Pas cool Raoul! C'est que monsieur ne se laisse pas faire... monsieur regimbe! Motif supplémentaire pour mériter la fessée déculottée qui l'attend. La résistance à la punition la rend plus sévère.
    Ces Dames aux mains de fer, sans gant de velours, finissent par le mettre de force en position. L'ami Raoul commence par s'en prendre une double à la main puis à la ceinture, de la part de Tatie Nathalie toujours prête à rendre service à la discipline.
    Reste les punitions par "...toutes les personnes à qui il a désobéi " Et ça en fait combien? Les fesses de Raoul n'ont pas finit de sauter sous les claques!
    Ramina

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  2. Ramina,
    La justice de Tatie Nathalie est implacable, les leçons sont démonstratives. Je pense que Raoul n'aura plus envie de se rebeller contre son autorité.
    Au plaisir de vous lire,
    JLG.

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