« Jeanne,
viens-ici ! »
En marchant, la culotte de Jeanne
qui était restée au niveau de ses genoux, avait tendance à tomber. Elle attrapa
son sous-vêtement d’une main ce qui eut pour effet de laisser retomber la robe
qui cachait alors ses fesses.
« Jeanne, la robe ! Je
ne t’ai pas autorisée à recouvrir tes fesses ! »
Jeanne s’arrêta, considéra la
situation quelques secondes, puis elle releva l’arrière de sa robe en la
maintenant de ses deux mains. Alors, elle reprit sa marche vers Tatie Nathalie,
laissant sa culotte glisser à chaque pas. Quand elle arriva devant Tatie
Nathalie, son sous-vêtement était tombé sur ses chaussures.
Tatie Nathalie l’installa dans la
même position que celle qu’avait dû adopter Florence quelques minutes
auparavant. A son tour, elle se tenait devant la baie vitrée, en pleine
lumière, à la merci du regard du premier badaud qui se promènerait sur le
trottoir. Plusieurs voitures passèrent, mais leurs passagers ne donnèrent aucun
signe laissant supposer qu’ils aient aperçu une situation sortant de
l’ordinaire.
« Comme pour Florence, il
n’y a plus de trace de la fessée. La prochaine fois je ne serai pas aussi
magnanime !
Tatie Nathalie palpa les fesses
et en fut satisfaite.
« Parfait, il n’y aura pas
besoin de les pommader. »
Tatie Nathalie prit Jeanne par le
coude afin qu’elle la suive jusqu’au canapé.
« Je vais commencer dès
aujourd’hui à t’apprendre à assumer correctement ton rôle de mère mais aussi
celui de maîtresse de maison. Tu es totalement défaillante pour les
deux. »
Jeanne, debout devant Tatie
Nathalie tenait toujours l’arrière de sa robe relevé. Tournant le dos à la baie
vitrée, elle avait conscience que ses fesses nues étaient bien visibles depuis
la rue. Plus longtemps elle restait dans cette position, plus le risque d’y
être aperçue augmentait. Cependant, elle ne voulait pas montrer la moindre
réticence à cette situation, bien qu’elle la mortifiât, afin de ne pas pousser
Tatie Nathalie à la menacer d’une fessée publique. Tant qu’elle ne se l’était
pas entendu dire, elle avait l’espoir de ne pas y être soumise. C’était bien
assez d’avoir été déculottée et fessée en présence de sa fille et que son
garçon ait été au courant.
« Afin que tu deviennes une
Maman compétente, voici comment les choses se passeront désormais. A chaque
fois que l’un de tes enfants fera une bêtise, tu lui donneras la fessée. Elle
devra être déculottée et administrée là où elle a été méritée, même si cela
veut dire que d’autres personnes y assistent. Tu verras, risquer d’avoir la
culotte baissée devant des copains et des copines et recevoir une bonne fessée,
amène à une très grande obéissance. »
Jeanne hocha la tête. Elle
pensait surtout à la honte qu’elle éprouverait si elle-même se trouvait dans
cette situation un de ces prochains jours.
« Si je constate que soit
Florence, soit Anthony aurait dû être corrigé et qu’il ne l’a pas été, c’est
moi qui lui donnerait la fessée, mais alors tu en recevras une également. Je
peux te promettre qu’elle sera bien plus sévère que celle d’aujourd’hui.
M’as-tu bien entendue ?
– Oui, Mad … euh Tatie !
– Ne joue pas trop à te tromper,
puis à rectifier immédiatement. Je pourrais prendre cela pour une insolence, ce
qui te vaudrait des fesses rougies. C’est bien compris ?
– Oui, Tatie !
Il y avait une trace de peur dans
la voix tremblante de Jeanne.
« Une chambre impeccablement
rangée, des heures de coucher décentes, une hygiène irréprochable, un langage
châtié, une politesse sans faille, une obéissance sans discussion et à tous les
adultes et un respect ostensiblement marqué à leur égard, des résultats
scolaires de haut niveau, … tout ce qui leur a manqué jusque-là. Tu es
désormais chargée de faire respecter tout cela et de sévir au plus petit écart. »
Jeanne donnait l’impression que
le ciel lui était tombé sur la tête, tant la tâche lui semblait insurmontable.
Elle avait pris un ait accablé qui fit sourire Tatie Nathalie bien malgré elle.
« Et si … »
Elle s’était arrêtée, incertaine
des conséquences pourrait avoir sa question.
« Allons, parle, que
veux-tu dire ?
– Et s’ils ne veulent pas et
qu’ils ne se laissent pas faire ?
– C’est une question de fermeté.
S’ils sont convaincus que tout refus d’obéir les conduira à une punition plus
sévère que la première, ils préféreront s’y soumettre, d’autant plus si tu
incarnes réellement l’autorité, ce qui devrait être le cas pour ton mari et
toi. Vous êtes leurs parents, il est donc légitime que vous les punissiez quand
ils l’ont mérité. C’est à vous d’en déterminez la méthode. Si vous avez choisi
la fessée, ils doivent l’accepter.
– Oui, mais …
– Ne t’inquiète pas pour cela. J’interviendrai
en cas de refus, et, crois-moi, ils s’en souviendront ! Si cela arrive, ce
ne sera pas plus d’une ou deux fois. Si ton mari et toi vous faites attention à
ce qu’ils reçoivent une fessée à chaque fois qu’ils en ont besoin et qu’elle
soit proportionnée à l’importance de la bêtise commise, ils vont en reconnaître
le bien-fondé. L’accumulation actuelle d’insolences et de désobéissances est un
appel à ce que vous leur fixiez des limites afin de savoir ce qui est permis ou
pas. »
Jeanne acquiesça.
« Avoir des enfants bien
élevés ne tient qu’à toi. Pour commencer, tu vas intercepter Florence à la
sortie de la douche. Tu vérifieras qu’elle est bien propre. Tu feras attention
aux endroits que les enfants négligent toujours : derrière les oreilles,
entre les doigts de pieds et les fesses. Tu feras pareil avec Anthony. Si,
régulièrement, tu constates que ce n’est pas très propre, tu devras leur
montrer comment faire en leur donnant toi-même la douche. Si tu ne le fais pas,
je le saurai, et alors …
La réaction de Jeanne montrait
que le message avait été reçu.
« Ensuite, tu mettras
ensuite tout le monde au travail. Je veux voir cette maison parfaitement rangée
d’ici ce soir : plus rien ne traînera et chaque chose à sa place. Vous
vous y mettrez tous, ton mari également. D’ailleurs, où est-il ?
Travaille-t-il aujourd’hui ?
– Non, il est en vacances. Il est
allé chez un copain, pas très loin.
– Dès qu’il reviendra, il faudra
qu’il prenne sa part et de l’éducation des enfants, et de l’entretien de la
maison. S’il ne le fait pas de son plein gré, il le fera de force. J’y
veillerai. S’il le faut je le fesserai, comme les autres. J’ai eu l’impression,
hier, qu’il était encore plus hésitant que toi. S’il ne s’amende pas, je le
placerai sous ta responsabilité.
– Sous ma responsabilité ?
– En fait, je vais observer la façon dont vous
vous comporterez tous les deux. Si l’un d’entre vous ne me parait pas apte à
assumer ses responsabilités de parent et d’adulte dans cette maison, je le
placerai sous la responsabilité de l’autre. Il sera alors normal qu’il soit
puni en tant qu'enfant de la maison puisqu’il ne sait pas se comporter comme une grande
personne : une bonne fessée déculottée. »
Jeanne resta sans voix un bon
moment. S’imaginait-elle tenant son mari sur ses genoux après lui avoir baissé
la culotte, ou, au contraire, allongé sur ses genoux et y subissant la rigueur
de sa main masculine ? Elle finit par bafouiller ;
« Mais … mais … mais … je ne
…
– Tu ne dis rien du tout !
Ce que je t’expose n’est pas négociable. Je sais que ce n’est pas exactement ce
dont tu avais rêvé pour tes vacances de Noël, mais tu m’en remercieras plus
tard.
Au vu de la tête que faisait
Jeanne, la reconnaissance n’était pas pour tout de suite.
« C’est ça, mets-toi à bouder.
Je vais te faire passer cette mauvaise habitude très rapidement. »
Effectivement, Jeanne renonça
aussitôt à montrer aussi ouvertement son mécontentement.
« Il reste à régler le cas
d’Anthony. Tu le laisseras au coin encore un bon quart d’heure, puis il fera un
vrai rangement de sa chambre, dont tu iras vérifier la qualité. S’il reste
quelque chose à lui reprocher, ce sera une fessée que tu lui
administreras. »
Jeanne semblait accablée par la
multitude de tâches qui l’attendaient.
« Il faut que la maison soit
rangée dès ce soir. Demain je vous ferai en faire le ménage à
fond ! »
Tatie Nathalie les laissa sur
cette promesse et avec un agenda de la journée bien rempli.
De retour chez elle, elle
expliqua à Mamie les dispositions qu’elle avait prises. Les deux femmes se
mirent d’accord pour surveiller, depuis la fenêtre de la cuisine, comment se
déroulait la remise en ordre de la maison des Moreau.
C’est Mamie qui vint alerter
Tatie Nathalie.
« Monsieur Moreau est rentré
depuis un petit moment. Il s’est assis dans le canapé et n’en bouge pas. Ne
crois-tu pas que cela nécessite une visite de contrôle sans plus
attendre ? »
Tatie Nathalie vint se rendre
compte de la situation par elle-même.
« Je crois qu’il faut que
nous occupions de ce grand garçon. Viens avec moi, je risque d’en avoir besoin.
Julie, toi aussi ! Tant qu’on y est, Axel, toi également, tu viens avec
nous ! »
C’était un défilé de personnes
résolues qui traversa la route. Tatie Nathalie entra chez les Moreau sans
s’annoncer. Elle se dirigea tout droit vers le séjour.
« Bonjour, comment
allez-vous ? »
Monsieur Moreau sursauta. Il
regardait la télévision et ne nous avait pas entendu arriver jusqu’à lui.
« Oh, vous m’avez fait peur.
Je ne vous ai pas entendu sonner.
– C’est normal, nous n’avons pas
sonné.
– Ah bon, mais c’est surprenant,
je ne …
– Là n’est pas le sujet !
Venons-en à ce qui est important.
– Mais enfin, Madame, vous entrez
chez les gens sans vous annoncer et …
– Il est en effet temps que
quelqu’un prenne cette maison en mains. »
Jeanne qui rangeait un tas de
journaux et de magazines qui avaient été jetés par terre dans un coin de la
pièce s’était arrêtée pour observer la confrontation naissante.
« Jeanne, la rappela à
l’ordre Tatie Nathalie, continue ton travail ! »
Jeanne n’attendit pas qu’on le
lui dise une deuxième fois. Monsieur Moreau, qui regardait la réaction de sa
femme suite à la remarque de Tatie Nathalie, semblait un peu plus hésitant.
« J’ai vraiment l’impression
que vous …
– Je crois qu’il est maintenant temps
que tu te taises et que tu écoutes ! »
– Mis enfin, je …
– N’as-tu pas entendu ce que je
viens de dire ? Faut-il que je me répète ? »
Monsieur Moreau n’osa pas
reprendre la parole après que Tatie Nathalie l’eut interrompu aussi fermement
deux fois de suite. Je crois que, dès ce moment, il s’était résigné à subir
l’autorité de sa voisine. Sa volonté n’était pas assez forte au regard de celle
de la femme qui l’avait réprimandé.
« Quel est ton prénom ?
– Raoul, Madame.
– Dis-moi, Raoul, trouves-tu
normal que toutes les autres personnes de ta famille sont au travail autour de
toi, et que toi, tu te prélasses sur un canapé en regardant la
télévision ?
– Non, peut-être pas, mais
j’étais fatigué et je voulais voir l’émission sur la pêche. Je suis pêcheur et
j’avais besoin de …
– Fatigué, dis-tu ? A quelle
heure t’es-tu couché hier soir ?
– Après le dernier épisode de la
série policière, je ne l’avais pas vu. Il devait être minuit, peut-être un peu
plus tard …
– Un peu plus tard, c'est-à-dire
combien de temps ?
– Pas longtemps. Sans doute
quelques minutes.
– Raoul, veux-tu que je regarde
le programme de la télévision hier soir et que je rajoute le mensonge à tous
les reproches que tu as déjà mérités. Quelle heure exactement ?
– Une heure … trente … un peu plus
tard.
– Combien de temps plus
tard ?
– … une demi-heure.
– Si je comprends bien, il était
plus de deux heures quand tu t’es couché. »
Raoul hocha la tête. Tatie
Nathalie était venue à bout de ses confidences. Elle lui avait arraché sa
confession mot par mot. Il n’avait pas pu résister, pas plus qu’enfant ne le
peut face à un adulte résolu.
« Deux heures du
matin ! La moitié de la nuit à regarder la télévision ! Nous en
reparlerons. J’ai bien peur que la fatigue ne soit pas une raison recevable
pour expliquer ta paresse de ce matin. Jeanne ne t’a-t-elle pas expliqué qu’il
fallait que tu te mettes au travail dès ton retour, comme je le lui avais
demandé ? »
Raoul regarda du côté de sa femme
qui lui tournait le dos. Il était visible que Jeanne écoutait, mais elle
n’osait plus interrompre son travail bien que le rythme de celui-ci ait été considérablement
ralenti. Raoul hésitait. Il devait mesurer les conséquences d’une nouvelle
tentative de mensonge. Finalement, il y renonça.
« Si, elle me l’a dit.
– Et tu ne t’y es pas mis ?
– Non, j’allais le faire, mais
après que …
– Résumons : il t’a été
ordonné de faire ta part de travail et tu as préféré regarder la télévision.
C’est bien cela ? »
Raoul hocha la tête. On aurait
dit un garçon que sa Maman grondait.
« Répond, ordonna Tatie
Nathalie en élevant la voix !
– Oui, Madame.
– Je crois que cela s’appelle de
la désobéissance. Je ne vois pas d’autre mot. Qu’en penses-tu ? »
Face à une question aussi
directe, Raoul ne pouvait rester muet. Tatie Nathalie ne l’aurait pas permis.
– Oui, Madame.
– Veux-tu dire qu’il s’agit bien
de désobéissance ?
– Oui, Madame. »
Tatie Nathalie laissa le silence
s’installer pendant quelques secondes.
« Sais-tu ce qui, dans cette
maison, arrive désormais aux garçons qui désobéissent ? »
Raoul secoua la tête. Il était
préférable de laisser croire à son ignorance.
« Je vais t’aider. J’ai
décidé qu’à partir d’aujourd’hui, toute désobéissance sera sanctionnée par une
bonne fessée. Jeanne, Florence et Anthony en ont reçu une ce matin. Tu vas être
le suivant. »
Tatie Nathalie prit la main de
Raoul et le tira derrière elle vers le canapé. Raoul résistait, mais assez
mollement. On pourrait plutôt dire qu’il y mettait de la mauvaise volonté.
« Non, attendez,
non ! »
Tatie Nathalie ignorant les
protestations, s’assit et attira Raoul entre ses jambes. Elle posa ses mains
sur la ceinture de Raoul et commença à la déboucler. Raoul recouvrit les mains
de Tatie Nathalie avec les siennes, l’empêchant de poursuivre.
« Non, je ne veux pas.
Arrêtez !
– Je comprends, mon garçon, que
tu ne veuille pas. Peu de personne, sur le point de recevoir une fessée
déculottée en guise de punition, le font de gaieté de cœur. Là n’est pas la
question ! Tu l’as méritée et tu en as besoin. Tu vas me laisser faire.
Ecarte tes mains ! »
Raoul enleva ses mains, mais dès
que Tatie Nathalie reprit le débouclage de la ceinture, il les remit à leur
place initiale.
« Non, non, s’il vous
plait !
– Raoul, c’est une nouvelle
désobéissance ! Ôte tes mains de là tout de suite ! »
Malgré l’énergie que Tatie
Nathalie mettait dans les ordres qu’elle lui donnait, Raoul ne se résignait pas
à se faire déculotter.
« Raoul, si je dois te
baisser la culotte de force, je vais le faire, mais alors, tu auras une fessée
bien plus sévère que celle que j’avais prévu de te donner. C’est toi qui
choisis, mais c’est maintenant qu’il faut le faire. »
Elle laissa quelques secondes à
Raoul pour écarter ses mains. Il n’en fit rien.
« Mamie, Julie,
aidez-moi ! »
Les deux femmes étaient prêtes à
intervenir. Elles fondirent sur Raoul. La surprise joua en faveur de Julie.
Elle attrapa le bras et remonta le poignet dans le dos de Raoul avant qu’il ait
pu s’y opposer. Il se débattit et Mamie n’arrivait pas à faire la même chose
avec l’autre bras. Raoul tenta de se dégager en reculant, mais les cuisses de
Tatie Nathalie se refermèrent sur ses jambes.
« Julie remonte le poignet
dans le dos ! »
Julie donna une secousse vers le
haut, faisant remonter le poignet de Raoul d’une petite dizaine de centimètres.
Ce dernier hurla. Son épaule était au maximum de la torsion qu’elle pouvait
supporter. Il se pencha un peu en avant pour soulager la douleur, mais Julie le
ramena à sa position en tirant sur le poignet. La souffrance obligea Raoul à se
redresser. Il concentrait maintenant son attention pour résister à l’étirement
dans son épaule, relâchant la force qu’il mettait à résister à Mamie. Celle-ci
en profita pour lui tordre le bras à son tour.
Les deux bras tenus dans son dos
le contraignaient à se tenir debout. Tatie Nathalie avait toute la place pour
s’occuper de sa ceinture. Elle fut vite débouclée et détacher le bouton à la
taille du pantalon ne fit pas plus de difficulté. Quand Tatie Nathalie baissa
le pantalon sur le haut de ses cuisses, et recommença à se tortiller, mais un
ou deux mouvements brusques dans son dos le calmèrent aussitôt.
« Non, non, non, pas
ça !
– Sois sage, Raoul, c’est
préférable pour toi ! Etes-vous prêtes ? On le couche sur mon
genou. »
L’opposition que Raoul avait mise
à la première phase de son déculottage aurait pu laisser croire que ce mouvement
coordonné aurait été difficile à réaliser. Il n’en fut rien. Mamie et Julie
poussèrent dans le dos de Raoul. Ses jambes étant tenues entre les genoux de
Tatie Nathalie, il n’avait pas d’autre possibilité que de se courber jusqu’à se
retrouver affalé sur la cuisse de Tatie Nathalie. Tout au plus, une fois en
position, tenta-t-il une ruade qui fut maîtrisée d’une simple poussée dans son
dos.
« Julie, crois-tu que tu
pourrais lui maintenir les deux mains dans le dos à toi toute seule ? Je
vais avoir besoin de Mamie pour finir de le déculotter.
– Je pense que ce ne sera pas un
problème. »
Julie changea de position pour
pouvoir poser son genou entre les épaules de Raoul. Elle prit le poignet que
Mamie lui laissait. Pesant de tout son poids sur le dos de Raoul et sur ses
poignets, il n’avait quasiment plus aucune possibilité de bouger.
– Mamie, tiens lui les
jambes. »
Elle enferma les chevilles de
Raoul entre ses deux jambes. Tatie Nathalie relâcha sa pression sur les cuisses
de Raoul, juste le temps de faire glisser le pantalon en dessous des genoux de
l’homme qui était presque prêt pour recevoir la fessée. Achever de baisser la
culotte, ne fut pas une affaire bien que Raoul serrât ses jambes l’une contre
l’autre. Cela laissait suffisamment d’espace pour que le sous-vêtement glisse
jusqu’en bas de ses cuisses.
La main de Tatie Nathalie
s’abattit sur les fesses de Raoul. Il accusa le coup. Sans doute ne
s’attendait-il pas à la cuisson qui se diffusa instantanément sur ses fesses.
Tatie Nathalie y avait mis toutes ses forces. Il en allait de son autorité
après un déculottage aussi difficile. Raoul n’avait pas mesuré combien son
opposition l’avait mis dans une situation délicate. Il faillait maintenant
qu’il en paye le prix et rien ne pourrait plus faire obstacle à ce que Tatie
Nathalie s’y employât.
Raoul contractait ses muscles à
chaque fois que Tatie Nathalie claquait ses fesses. Il tentait encore, de temps
en temps, de se libérer de l’emprise que les trois femmes maintenaient sur ses
mouvements. Elles le maintenaient en position disciplinaire sans sembler forcer
outre mesure. Puis ses tentatives s’espacèrent.
Il retenait ses cris avec de plus
en plus de difficulté. Enfin, comme un barrage qui cède, il éclata en sanglots.
Il n’avait pas poussé un cri, pas une supplication. Raoul ne se débattait plus.
Tatie Nathalie continua cependant la fessée sans faiblir encore une bonne
minute afin de cesser. Elle laissa alors Raoul se calmer un peu.
« Je vous remercie de
m’avoir donné la main. Je pense que désormais, je ne vais plus avoir besoin
d’aide pour donner la fessée à Raoul, n’est-ce pas mon garçon ? »
Indifférent à ce qui se passait
autour de lui, Raoul ne répondit pas. Il se prit une volée de claque qui
relança ses pleurs.
« Je t’ai posé une question,
j’attends une réponse. Vas-tu encore faire des difficultés pendant la fin de la
fessée ?
– Non, Madame, non !
– Tu vas faire comme les autres.
Tu m’appelleras Tatie, Tatie Nathalie si tu veux. Cela te sera plus facile de
recevoir la fessée si tu me montres en permanence le respect qu’un enfant doit
à une grande personne. M’appeler Tatie, cela va aider. As-tu compris ?
– Oui Tatie, oui !
– C’est bien mon garçon, tu
apprends vite. »
Tatie Nathalie lui tapotait les
fesses, montrant ainsi qu’elle avait autorité sur ce territoire.
« Vous pouvez le lâcher,
maintenant, il va être sage. »
Effectivement, Raoul ne fit pas
un geste une fois ses bras et ses jambes libérées.
« Passe ton bras gauche derrière
mon dos. »
Raoul obéit sans hésiter. Tatie
Nathalie le serra contre son flanc.
« C’est bien, tu es
obéissant. Dommage que tu ne l’ais pas été toute la matinée. »
Tatie Nathalie tenait Raoul
fermement, mais plus qu’elle ne le faisait quand elle donnait la fessée à
n’importe lequel d’entre nous. Sa main gauche était plaquée sur la hanche de
Raoul tandis que son coude appuyait sur sa colonne vertébrale. Cela suffisait
pour indiquer au garçon qui était étendu sur ses genoux, quelle était la petite
marge de mouvement qui lui était octroyée. Elle tenait encore entre ses cuisses
les jambes de Raoul, mais sa prise s’était détendue.
« Bien sûr, tu sais que ta
fessée n’est pas terminée. Le plus dur est à venir, mais tu vas me laisser te la
donner sans me gêner. Tu as déjà une deuxième punition sur ton ardoise pour
avoir refusé que je te déculotte. J’espère que tu ne vas pas aggraver ton
cas. »
Tatie Nathalie leva la main, puis
elle administra une formidable claque sur la fesse gauche, puis sur la droite.
Elle recommença quatre, cinq fois. Elle claqua ensuite le même côté une bonne
dizaine de fois, puis elle passa à l’autre côté. La fessée continua avec la
même vigueur tout en variant les rythmes, mais couvrant la totalité des fesses
de Raoul.
Celui-ci avait recommencé à
pleurer dès que sa correction eut repris. Les mouvements de ses pieds ne
montaient pas plus haut que ses genoux. Malgré le peu de force que Tatie
Nathalie mettait à immobiliser le haut de ses jambes, il laissait ses fesses à
disposition de la main qui le punissait. Son bras droit restait placé sur le
canapé, sous son visage. L’idée d’interposer sa main ne lui venait même pas à
l’esprit.
Pour nous, Mamie, Julie Jeanne et
moi qui assistions au châtiment, il était évident qu’il avait abdiqué, au moins
dans l’instant, ses prétentions d’adultes. Il vivait maintenant la fessée comme
une juste sanction dont il était à l’origine et qu’il fallait expier.
Le visage de Tatie Nathalie
montrait la satisfaction du devoir accompli. Elle souhaitait cependant
s’assurer que la rébellion de Raoul lors de son déculottage, ne se reproduise
plus. Elle administra une dernière volée de claques.
« Julie, donne-moi la
ceinture d’Anthony qui doit être sur la chaise, dans le coin, là-bas. »
A cette annonce, Raoul se raidit,
mais il ne bougea pas. Tatie Nathalie prépara la lanière de cuir comme elle
l’avait fait pour la fessée d’Anthony.
« Merci, Julie ! Voyons
Raoul si la ceinture, saura t’enseigner que refuser de se soumettre à la fessée
est une très grosse bêtise qu’il ne faudrait pas refaire une deuxième fois,
quelles qu’en soient les circonstances. Fais bien attention à ne pas faire
obstacle à la correction que je vais te donner. Tu sais ce qui t’arriverait ! »
Tatie Nathalie leva la ceinture,
et elle l’appliqua en travers des fesses de Raoul, aussi fort qu’elle le
pouvait si j’en juge par les réactions que cela produisit : une ruade et
un cri d’agonie prolongé qui finit par s’étrangler dans la gorge de Raoul. Il
n’eut pas le temps de reprendre sa respiration que la ceinture avait laissé une
longue marque rouge sombre un peu au-dessus de la première.
Alors, sas que rien ne l’ai
laissé présager, Raoul, d’une ruade plus violente que les autres, se dégagea
des bras et des jambes qui le retenaient. Il tomba à genoux et se releva
aussitôt. Il tenta de faire un pas en arrière, mais il avait compté sans son
pantalon qui l’entravait. Il perdit l’équilibre. Tatie Nathalie le rattrapa par
la main.
« Raoul, si tu fais encore
un pas pour t’enfuir, je te ramènerai ici et la fessée que tu recevras sera
bien pire que celle que je te promets. A toi de choisir ! »
Raoul s’arrêta. Il resta immobile
un petit moment. Puis, il ravala un sanglot et se tourna vers Tatie Nathalie et
il se rallongea dans la position qu’il venait de quitter. Il poussa un grand
soupir, puis il attendit.
« Tu es courageux,
Raoul ! Mais cela ne te dispensera pas de la punition que tu as méritée.
Par contre, je ne tiendrai pas compte de ta toute dernière désobéissance, mais
ne recommence pas. C’est la dernière fois que tu peux te permettre un tel
comportement. »
La ceinture reprit sa danse sur
les fesses de Raoul qui rougissaient à vue d’œil. Je ne pouvais m’empêcher de
compatir avec l’homme qui hurlait à chaque fois que la ceinture laissait une
nouvelle marque sur ses fesses. Il n’y avait là aucune injustice. Raoul
recevait une fessée qu’il avait méritée … selon les critères de Tatie Nathalie
dont nous tous présents dans cette maison, reconnaissions la pertinence et
l’efficacité.
Raoul, comme nous l’avions tous
expérimenté auparavant, découvrait que son indolence le conduirait désormais à plat
ventre sur des genoux féminins pour y passer un très mauvais moment. Comme moi,
il avait probablement le secret espoir que cela pourrait le guérir de sa
paresse et que la certitude de recevoir une fessée à chaque fois qu’il
refuserait d’assumer son rôle d’adulte, l’aiderait à devenir plus responsable.
Cet apprentissage ne se ferait
pas sans dommage. Ses fesses le lui rappelleraient pendant et après chaque
fessée.
Tatie Nathalie posa la ceinture à
côté d’elle.
« Cela suffira pour le
moment. Je crois que tu as compris le message. Je suis à peu près certaine que
tu ne feras plus de difficulté quand il sera décidé de te déculotter pour te
fesser. La ceinture a un fort pouvoir préventif. »
Malgré les sanglots qu’il ne
parvenait pas à contrôler, Raoul réussit à hocher la tête.
« Malheureusement pour toi,
ta punition n’est pas terminée. Tu vas être fessé par toutes les personnes à
qui tu as désobéi. »
Raoul rajouta un gémissement
plaintif qui s’intercala entre les pleurs.
« Va au coin, je vais
laisser un peu de temps à tes fesses pour récupérer. »
Avec les dessins originaux de Peter Pan.
Grand merci pour ces illustrations qui agrémentent le récit.Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
L'épisode précédent : chapitre 70
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour,
RépondreSupprimerPas cool Raoul! C'est que monsieur ne se laisse pas faire... monsieur regimbe! Motif supplémentaire pour mériter la fessée déculottée qui l'attend. La résistance à la punition la rend plus sévère.
Ces Dames aux mains de fer, sans gant de velours, finissent par le mettre de force en position. L'ami Raoul commence par s'en prendre une double à la main puis à la ceinture, de la part de Tatie Nathalie toujours prête à rendre service à la discipline.
Reste les punitions par "...toutes les personnes à qui il a désobéi " Et ça en fait combien? Les fesses de Raoul n'ont pas finit de sauter sous les claques!
Ramina
Ramina,
RépondreSupprimerLa justice de Tatie Nathalie est implacable, les leçons sont démonstratives. Je pense que Raoul n'aura plus envie de se rebeller contre son autorité.
Au plaisir de vous lire,
JLG.