mercredi 28 novembre 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 60


Les fessées auxquelles j’avais assisté avaient, à chaque fois, mis en scène une femme qui fessait un autre adulte qui, au plus, avait approximativement le même âge qu’elle. Je m’étais forgé cette certitude au regard de ma situation, bien que je pensasse rarement à Madame Tolbois comme ayant le même âge que moi, tant il était inconcevable, pour moi, de remettre en cause son autorité. Dans ma tête, elle était bien plus mûre que moi et de plus elle me traitait comme un enfant, ce qui me convenait plutôt s’il n’y avait eu les fessées.

C’est pour cela que j’eus du mal à interpréter la scène qui se déroula sous mes yeux un samedi après-midi, alors que j’avais été envoyé porter un paquet à une amie de Madame Tolbois. De loin, j’ai cru tout d’abord à une dispute entre un père et sa fille. En me rapprochant, j’ai trouvé leur différence d’âge un peu juste pour que leurs relations soit de nature filiale. Un homme avec sa jeune compagne ?
C’est en arrivant à proximité que je constatais que seule la jeune femme exprimait sa colère. C’est en arrivant près d’eux que je perçus leur dialogue.
« Je te le demande une dernière fois, Joël : où étais-tu ?
– Je vous promets Mademoiselle Caroline, je viens tout droit de la maison.
– Tout droit de la maison ? Bien ! A quelle heure es-tu parti ?
– Oh, il y a dix minutes, pas plus.
– Dix minutes ? Alors que nous avions rendez-vous ici il y a un quart d’heure et que je t’attends depuis ? Me dis-tu que tu es parti en retard pour venir ici, que tu m’as sciemment fait poireauter ? »
Je vis le visage du Monsieur devenir tout blanc et une lueur d’angoisse passer dans ses yeux.
« Non, Mademoiselle, non, … je suis parti plus tôt, sans doute une demi-heure.
– Et tu as mis tout ce temps pour venir jusqu’ici ? Vas-tu enfin me dire où tu étais ? »
Cela aurait pu passer inaperçu, mais je vis la main de Mademoiselle Caroline, comme le Monsieur appelait la jeune femme, partir vers le fond du pantalon en un geste sec. Une fessée. Elle ne pouvait pas faire grand mal, mis il sursauta tout de même. Il n’y avait pas à se tromper : c’était un avertissement, une promesse à prendre en compte.
Il ne protesta pas contre ce geste qui aurait pu paraître déplacé sur le bord de ce trottoir. Claquer ses fesses devait faire partie des prérogatives de la Demoiselle. Il regarda rapidement autour de lui pour voir si quelqu’un d’autre avait surpris ce geste. Je ne pense pas qu’il avait noté ma présence. J’étais à moitié dissimulé par un abribus derrière lequel j’observais la scène. Il n’eut pas vraiment le temps de procéder à un examen plus complet des alentours.
« Je te préviens que quand j’aurai découvert ce que tu me caches, tu vas le regretter. Tu ferais mieux de tout me dire. Alors ? »
Cette fois-ci, ce furent une dizaine de claques qui furent administrées sur les fesses couvertes du pantalon.
« Mais je vous assure, Mademoiselle Caroline, que je vous dis la vérité.
– Tu sais ce qui va t’arriver si tu me mens. Toujours rien ? D’accord, nous allons en avoir le cœur net. »
Mademoiselle Caroline prit son téléphone dans son sac et elle composa un numéro.
« Bonjour Juliana, c’est Caroline. »
Il y eut quelques préliminaires, puis on en vint à la raison de l’appel.
« Dis-moi, Juliana, as-tu vu Joël, ce matin ? »
Il y eut une réponse.
« Et à quelle heure ? … Pas après quatorze heures trente, donc ... Dans quelle direction ? … Bien, je te remercie. »
La figure de Joël se décomposa. Ce n’était pas de bonnes nouvelles.
« Plus d’une heure ! Cela fait plus d’une heure que tu es parti de la maison. Juliana est formelle. Elle t’a vu sortir. Où as-tu été ? »
Une bonne volée de claques sur les fesses accompagna la question. Joël était de plus en plus gêné de cette fessée donnée en public qui était humiliante à défaut de rougir ses fesses.
« Serait-il possible que … »
Mademoiselle Caroline rapprocha son nez de la bouche de Joël.
« Souffle ! »
Dès qu’il eut exécuté l’ordre qui lui avait été donné, il prit une nouvelle claque sur les fesses dont il sentit la force à travers le pantalon.
« Tu as encore fumé ! »
Elle fouilla une à une les poches de Joël et en sortit un paquet de cigarettes.
« Deux cigarettes, il en manque deux ! C’est donc pour être allé en acheter que tu es en retard. Ce n’est pas au tabac à côté de chez nous que tu as été, je leur ai interdit de t’en vendre. Jusqu’où as-tu été ? »
Je ne sais pas si c’est la nouvelle claque sur les fesses ou la découverte de son forfait qui le décida à parler.
« Au café tabac du quartier Belledonne.
– Tu as traversé toute la ville ! Evidemment, il faut une bonne heure pour faire l’aller-retour. Surtout le samedi, il n’y a que des bureaux, les bus sont rares.
– Je ne le savais pas. J’ai dû attendre vingt minutes que le bus passe.
– Et donc tu es arrivé en retard. Tout était donc prémédité. S’il n’y avait eu le grain de sable avec les bus, tu m’aurais caché ce petit périple! »
Joël baissa les yeux. Il était pris et c’était un cas grave de désobéissance. Les quelques fessées reçues sur le fond de son pantalon laissaient présager l’advenue de quelque chose de plus sérieux.
« Commençons par le paquet de cigarettes. Tu sais ce que tu dois en faire. »
Elle le tendit à Joël qui, après un soupir, l’écrasa entre ses deux mains.
« Poubelle, ordonna Mademoiselle Caroline en désignant le récipient suspendu au poteau de l’abribus où je me tenais ! »
Pendant que Joël y déposait les restes de l’objet délictueux maintenant informe, Mademoiselle Caroline s’était déplacée vers le banc le plus proche.
« Arrive-ici ! »
En le tirant par le bras, Mademoiselle Caroline lui fit faire les deux derniers pas. Elle s’en prit à sa ceinture aussitôt.
« Non Mademoiselle, non ! »
Joël mis ses mains sur celle de Mademoiselle Caroline.
« Serais-tu en train de m’interdire de te donner la fessée ?
– Non Mademoiselle, mais pas ici devant … »
Joël eut un geste du menton vers les personnes qui passaient sur le trottoir et qui ne s’étaient pas encore rendu compte de ce qui se préparait sur ce coin de banc.
« Au contraire ! Je trouve le lieu très bien choisi. Je dois constater que les fessées que je t’ai données pour que tu arrêtes de fumer n’ont pas eu l’efficacité que je souhaitais. Nous allons essayer les fessées en public.
– Mais Mademoiselle, tout le monde va me voir.
– Oui bien sûr ! C’est pour cela que je te la donne ici. Tu sauras désormais que tu seras fessée là où tu l’as mérité. Je pense que cela te fera réfléchir. Ecarte tes mains ! »
Sans doute le poids de l’habitude d’obéir aux injonctions de la jeune fille, Joël enleva ses mains. Mademoiselle Caroline avait l’habitude de déboucler la ceinture et de baisser le pantalon. Elle en vint à bout sans hésiter.
« Resserre tes jambes que je puisse le baisser ! »
Joël avait écarté les jambes, dans une vaine tentative pour garder son vêtement à sa place. Une claque sur le haut de la cuisse le fit obéir plus vite qu’il ne l’aurait souhaité. C’est quand Mademoiselle Caroline posa ses mains sur l’élastique de sa culotte qu’il ne put résister au sentiment d’urgence. Il attrapa sa culotte de ses deux mains et serra l’élastique de toutes ses forces. Ses derniers espoirs venaient de s’envoler. Il fit un pas en arrière.
« Non Mademoiselle, s'il vous plait, pas la culotte. Je ne le ferai plus ! »
Mademoiselle Caroline écarta les jambes et elle amena son puni dans l’espace ainsi ménagé. Elle resserra ses cuisses sur les genoux de Joël, puis saisissant les mains du garçon dans les siennes, elle les amena dans le dos de Joël. D’une seule main, elle immobilisa les poignets de Joël. Il était clair qu’il n’aurait eu aucun mal à se dégager, mais il aurait fallu rajouter de la désobéissance à la désobéissance.
« Le nombre des fessées que je dois te donner monte en flèche, mon garçon. Je te conseille de cesser tes enfantillages et de me laisser faire ! »
Une seule main suffisait pour baisser la culotte que Mademoiselle Caroline descendit jusqu’en haut des cuisses. Le sexe de Joël sembla jaillir de son entrejambe. Il était dressé. Je savais, par expérience, que cela ne durerait pas. Des larmes coulaient sur les joues de Joël. La honte de montrer, à tous vents, ses fesses nues étaient trop forte pour pouvoir la retenir.
« Non, … non, … non, répétait-il sans fin. »
Cette litanie ne changeait rien à la réalité. Des passants ralentirent, puis s’arrêtèrent. La fessée était encore un spectacle rare. Elle attirait la curiosité. Le petit attroupement attirait les regards d’autres personnes qui venaient voir ce qui captivait l’attention de leurs prédécesseurs. Il y eut une quinzaine de personnes qui, en quelques minutes, firent cercle autour de Joël et Mademoiselle Caroline.
Cette dernière libéra Joël de son emprise, mais c’était pour l’amener à sa droite et le coucher en travers de ses genoux. Elle baissa un peu plus la culotte et remonta la chemise. Les fesses étaient prêtes pour la fessée. Mademoiselle Caroline leva la tête, le cercle s’était refermé. Je m’y intégrais en prenant soin de rester au dernier rang. En matière de fessée, il était préférable de rester prudent.
Je fus surpris par le bruit qui en résulta. Mademoiselle Caroline faisait claquer sa main sur la peau nue comme un coup de pistolet brusque et sonore. En écho, un cri de Joël lui répondait. La différence d’âge et de poids ne semblait pas poser souci à la jeune fille. Sa main arrivait sur les fesses avec une grande vélocité ce qui donnait à la correction une grande efficacité.
Personne dans l’assemblée ne semblait trouver la situation étonnante. Cette jeune fille qui fessait, en public, la culotte baissée, un home d’âge mûr qui avait une vingtaine d’année de plus qu’elle, bénéficiait d’une présomption de légitimité. Même l’attitude de Joël le confirmait. Il ne se débattait pas et ne tentait pas de mettre fin à la situation humiliante et forcément douloureuse pour lui, alors qu’il en avait, à l’évidence, les moyens. Ce n’était pas la contrainte physique qui le faisait rester là où il recevait cette correction, mais l’autorité acceptée de sa correctrice.
C’était un grand garçon en pleurs que Mademoiselle Caroline reculotta. Elle le prit brièvement dans ses bras, puis elle l’emmena par la main, là où, si elle mettait à exécution ses promesses de nouvelles fessées l’attendaient. Joël la suivit se résister. De sa main libre, il frottait ses yeux encore embués de larmes.
Je ne savais pas, que quelques jours plus tard, nos routes allaient de nouveau se croiser.

Madame Tolbois était venue me chercher au travail à la demande de Madame Colas. J’avais été, encore une fois, pris dans un moment d’inattention pendant lequel rien ne pouvait m’atteindre. Evidemment, ce n’était pas très propice au travail.
« Tu es encore dans la lune, avait grondé Madame Colas. Je vais te faire passer cette habitude ! »
J’avais reçu une fessée et j’avais passé un moment au coin. Trois fois dans cette journée, Madame Colas avait dû sévir pour la même raison. La troisième fessée, donnée avec la règle, avait été cuisante et j’attendais la fin de la journée au coin.
Tous mes collègues étaient partis depuis un bon moment et j’y patientais toujours. C’était un déroulement inhabituel. J’avais bien compris que j’étais en retenue, mais habituellement, c’était pour rattraper le travail que mes séjours en pénitence ne m’avaient pas permis d’effectuer. Il arrivait que ces moments soient agrémentés d’une fessée, au début ou à la fin, pour marquer le coup.
J’en compris la raison quand je reconnus la voix de la personne qui venait d’entrer.
« Qu’a donc encore fait mon vilain garnement ? »
C’était Madame Tolbois. En quelques phrases, Madame Colas lui conta mes « exploits. » Elles convinrent de s’attaquer conjointement à ce défaut et de ne plus laisser passer aucun moment d’inattention sans le sanctionner immédiatement de la façon la plus sérieuse.
La suite s’imposait. Madame Tolbois me sortit du coin pour me courber sous son bras. Elle m’administra une solide fessée qui me laissa en pleurs. Pendant qu’elle me reculottait, elle me fit une promesse.
« Tu vas aller faire un tour au fond du jardin ! »
C’était une mauvaise nouvelle. Au fond du jardin, il y avait l’arbre sur lequel, quand Madame Tolbois l’exigeait, je devais aller prendre une badine en bois et, tout à côté, c’était le carré d’orties. Les unes comme l’autre laissaient sur mes fesses des séquelles brûlantes que je sentais encore le soir une fois dans mon lit. « Faire un tour au fond du jardin » signifiait aller quérir l’un de ces auxiliaires pour que Madame Tolbois l’utilise sur mes fesses. Elle n’en abusait pas, mais quand elle me faisait cette promesse qu’elle tenait toujours, je savais que ma soirée et ma nuit seraient inconfortables.
« Nous rentrons directement à la maison. Je vais m’occuper un peu plus sérieusement de tes fesses ! »
Madame Colas était vraiment furieuse. Elle m’avait déjà fait la leçon sur mes étourderies et j’avais pris quelques fessées à ce sujet, mais cela n’avait pas été suffisant. J’avais compris qu’elle passait à la vitesse supérieure. Je serrais les fesses à la pensée de ce qui m’attendait.

Je suivais Madame Tolbois qui marchait d’un pas rapide. Elle était apparemment pressée d’arriver à notre domicile, moi pas. Je me gardais bien de laisser plus d’un ou deux pas entre nous, comme elle l’avait exigé. Furieuse comme elle l’était, je savais qu’au moindre prétexte ce serait la fessée et comme nous étions dans la rue, je n’y tenais pas. Madame Tolbois n’hésiterait pas.
Quand son téléphone sonna, elle ralentit le pas, puis elle se plongea dans la conversation avec une amie dont elle n’avait pas eu de nouvelles depuis longtemps. Sa surveillance sur mes faits et gestes se relâcha quelque peu. Je sentis la tension retomber. Madame Tolbois m’ignorais un peu, c’était un soulagement, très provisoire, certes, mais cela ne m’empêcha pas de l’apprécier.
C’est à ce moment-là que mon attention fut attirée par des ouvriers qui, le long de la façade d’un immeuble, montaient un échafaudage. C’était une chorégraphie bien réglée et, sous mes yeux, le fragile enchevêtrement gagnait en hauteur. Chacun savait quel rôle il avait à tenir. Chaque geste de l’un répondait à celui de l’autre. Une barre qui échappa des mains et qui rebondit sur le sol rompit ce bel ordonnancement.
« Daniel ! Que fais-tu ? Viens-ici tout de suite ! »
Madame Tolbois avait continué à avancer alors que je m’étais arrêté. Elle avait pris une vingtaine de mètres d’avance. Quelle poisse ! Encore une désobéissance flagrante ! Une punition s’annonçait. Je pressais le pas pour la rejoindre.
« Pardon, Madame Tolbois, je n’ai pas fait attention, mais j’allais vous rejoindre.
– « Pas fait attention », c’est exactement l’expression que j’allais employer ! Tu viens de te faire punir pour ton distraction chronique et, à la première occasion, tu recommences !
– Je vous assure, Madame, je n’ai pas fait exprès !
– Il ne manquerait plus que ça ! Que je te prenne un jour à ignorer intentionnellement ce que je te dis, tu le regretterais pendant longtemps ! En attendant … »
Tenu par le bras, je dus la suivre jusqu’au banc qui avait été installé là. Je ne sais pas qu’elle idée avait eu la municipalité, mais elle avait disséminé des bancs publics un peu partout, dès que la largeur du trottoir le permettait. C’était une mauvaise idée. Madame Tolbois et quelques-unes de ses comparses en avaient trouvé une utilisation régulière qui n’avait pas été prévue lors de l’installation de ce mobilier urbain.
Il n’y eut aucune surprise. Je regardais autour de moi pour savoir s’il y avait beaucoup de personnes qui assisteraient à la fessée que Madame Tolbois se préparait à me donner. Le moment le plus difficile, ce fut quand elle acheva de me baisser la culotte. J’étais debout devant elle et je voyais toutes les personnes présentes contempler le couple que nous faisions Madame Tolbois et moi. La honte de me montrer dans cette tenue m’empêchait de respirer normalement. J’attendais, presque avec impatience, le moment où elle me placerait à sa convenance afin de pouvoir me fesser commodément. Cela me permettait de rendre un peu moins concrètes toutes les personnes qui m’entouraient.
« Vous permettez ? »
C’était une jeune femme qui tenait par la main un homme bien plus âgé qu’elle. Je les reconnus tout de suite : c’était Joël et Mademoiselle Caroline.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?


Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :

  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 59

Il y a une suite ... le chapitre 61.


Les commentaires, les avis sont les bienvenus

Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas.

3 commentaires:

  1. Bonjour JLG,
    Cet épisode est rondement mené! On pourrait dire à la baguette ! Les situations s'enchaînent sans transition, rythmées par une bonne cadence de fessées en public plutôt émoustillantes.
    Le retour remarqué de madame Tolbois ( Ben oui, forcément c'est ma fesseuse préférée!!)entretien si bien l'intérêt qu'on arrive au terme de l'épisode étonné qu'il s'arrête là... Pour mieux rebondir sur une suite, amorcé par l'arrivée d'autres personnages pour entretenir le suspense.
    Habile procédé des histoires à épisodes.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ramina,
      Si je vous disais que j'ai fait revenir Madame Tolbois rien que pour vous, me croiriez-vous ?
      Un autre (en fait, ils sont deux) personnage qui arrive, cela annonce quelques fessées non ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

      Supprimer
  2. JLG
    L'attention est si aimable que je ne peux qu'y croire. Grand merci de ce retour d'intérêt.
    Madame Tolbois fidèle à sa réputation ne perd pas de temps. A peine arrivée ça commence à claquer sur les fesses de son pensionnaire avec un "solide fessée" sous le bras. Une deuxième est aussitôt en préparation sur le trottoir après en avoir annoncé une autre de retour à la maison accompagnée de la promesse de "s'occuper plus sérieusement " de ses fesses . Quel tempérament! Difficile de faire mieux en si peu de temps!
    On a bien compris que Joël et mademoiselle Caroline sont les 'petits" nouveaux entrant. Ce qui fait une galerie de personnages assez conséquente.
    Maintenant la question évidente : Qui fesse l'autre ?.. On a déjà une petite idée pour la suite. Dans tous les cas, comme dit notre ami Peter , "ça va chauffer!"
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.