Les fessées auxquelles j’avais assisté avaient, à chaque
fois, mis en scène une femme qui fessait un autre adulte qui, au plus, avait
approximativement le même âge qu’elle. Je m’étais forgé cette certitude au
regard de ma situation, bien que je pensasse rarement à Madame Tolbois comme
ayant le même âge que moi, tant il était inconcevable, pour moi, de remettre en
cause son autorité. Dans ma tête, elle était bien plus mûre que moi et de plus
elle me traitait comme un enfant, ce qui me convenait plutôt s’il n’y avait eu
les fessées.
C’est pour cela que j’eus du mal à interpréter la scène qui
se déroula sous mes yeux un samedi après-midi, alors que j’avais été envoyé
porter un paquet à une amie de Madame Tolbois. De loin, j’ai cru tout d’abord à
une dispute entre un père et sa fille. En me rapprochant, j’ai trouvé leur
différence d’âge un peu juste pour que leurs relations soit de nature filiale.
Un homme avec sa jeune compagne ?
C’est en arrivant à proximité que je constatais que seule la
jeune femme exprimait sa colère. C’est en arrivant près d’eux que je perçus
leur dialogue.
« Je te le demande une dernière fois, Joël : où
étais-tu ?
– Je vous promets Mademoiselle Caroline, je viens tout droit
de la maison.
– Tout droit de la maison ? Bien ! A quelle heure
es-tu parti ?
– Oh, il y a dix minutes, pas plus.
– Dix minutes ? Alors que nous avions rendez-vous ici
il y a un quart d’heure et que je t’attends depuis ? Me dis-tu que tu es
parti en retard pour venir ici, que tu m’as sciemment fait poireauter ? »
Je vis le visage du Monsieur devenir tout blanc et une lueur
d’angoisse passer dans ses yeux.
« Non, Mademoiselle, non, … je suis parti plus tôt,
sans doute une demi-heure.
– Et tu as mis tout ce temps pour venir jusqu’ici ?
Vas-tu enfin me dire où tu étais ? »
Cela aurait pu passer inaperçu, mais je vis la main de
Mademoiselle Caroline, comme le Monsieur appelait la jeune femme, partir vers
le fond du pantalon en un geste sec. Une fessée. Elle ne pouvait pas faire
grand mal, mis il sursauta tout de même. Il n’y avait pas à se tromper :
c’était un avertissement, une promesse à prendre en compte.
Il ne protesta pas contre ce geste qui aurait pu paraître
déplacé sur le bord de ce trottoir. Claquer ses fesses devait faire partie des
prérogatives de la Demoiselle. Il regarda rapidement autour de lui pour voir si
quelqu’un d’autre avait surpris ce geste. Je ne pense pas qu’il avait noté ma
présence. J’étais à moitié dissimulé par un abribus derrière lequel j’observais
la scène. Il n’eut pas vraiment le temps de procéder à un examen plus complet
des alentours.
« Je te préviens que quand j’aurai découvert ce que tu
me caches, tu vas le regretter. Tu ferais mieux de tout me dire.
Alors ? »
Cette fois-ci, ce furent une dizaine de claques qui furent
administrées sur les fesses couvertes du pantalon.
« Mais je vous assure, Mademoiselle Caroline, que je
vous dis la vérité.
– Tu sais ce qui va t’arriver si tu me mens. Toujours
rien ? D’accord, nous allons en avoir le cœur net. »
Mademoiselle Caroline prit son téléphone dans son sac et
elle composa un numéro.
« Bonjour Juliana, c’est Caroline. »
Il y eut quelques préliminaires, puis on en vint à la raison
de l’appel.
« Dis-moi, Juliana, as-tu vu Joël, ce matin ? »
Il y eut une réponse.
« Et à quelle heure ? … Pas après quatorze heures
trente, donc ... Dans quelle direction ? … Bien, je te remercie. »
La figure de Joël se décomposa. Ce n’était pas de bonnes
nouvelles.
« Plus d’une heure ! Cela fait plus d’une heure
que tu es parti de la maison. Juliana est formelle. Elle t’a vu sortir. Où
as-tu été ? »
Une bonne volée de claques sur les fesses accompagna la
question. Joël était de plus en plus gêné de cette fessée donnée en public qui
était humiliante à défaut de rougir ses fesses.
« Serait-il possible que … »
Mademoiselle Caroline rapprocha son nez de la bouche de
Joël.
« Souffle ! »
Dès qu’il eut exécuté l’ordre qui lui avait été donné, il
prit une nouvelle claque sur les fesses dont il sentit la force à travers le
pantalon.
« Tu as encore fumé ! »
Elle fouilla une à une les poches de Joël et en sortit un
paquet de cigarettes.
« Deux cigarettes, il en manque deux ! C’est donc
pour être allé en acheter que tu es en retard. Ce n’est pas au tabac à côté de
chez nous que tu as été, je leur ai interdit de t’en vendre. Jusqu’où as-tu
été ? »
Je ne sais pas si c’est la nouvelle claque sur les fesses ou
la découverte de son forfait qui le décida à parler.
« Au café tabac du quartier Belledonne.
– Tu as traversé toute la ville ! Evidemment, il faut
une bonne heure pour faire l’aller-retour. Surtout le samedi, il n’y a que des
bureaux, les bus sont rares.
– Je ne le savais pas. J’ai dû attendre vingt minutes que le
bus passe.
– Et donc tu es arrivé en retard. Tout était donc prémédité.
S’il n’y avait eu le grain de sable avec les bus, tu m’aurais caché ce petit
périple! »
Joël baissa les yeux. Il était pris et c’était un cas grave
de désobéissance. Les quelques fessées reçues sur le fond de son pantalon
laissaient présager l’advenue de quelque chose de plus sérieux.
« Commençons par le paquet de cigarettes. Tu sais ce
que tu dois en faire. »
Elle le tendit à Joël qui, après un soupir, l’écrasa entre
ses deux mains.
« Poubelle, ordonna Mademoiselle Caroline en désignant le
récipient suspendu au poteau de l’abribus où je me tenais ! »
Pendant que Joël y déposait les restes de l’objet délictueux
maintenant informe, Mademoiselle Caroline s’était déplacée vers le banc le plus
proche.
« Arrive-ici ! »
En le tirant par le bras, Mademoiselle Caroline lui fit
faire les deux derniers pas. Elle s’en prit à sa ceinture aussitôt.
« Non Mademoiselle, non ! »
Joël mis ses mains sur celle de Mademoiselle Caroline.
« Serais-tu en train de m’interdire de te donner la
fessée ?
– Non Mademoiselle, mais pas ici devant … »
Joël eut un geste du menton vers les personnes qui passaient
sur le trottoir et qui ne s’étaient pas encore rendu compte de ce qui se
préparait sur ce coin de banc.
« Au contraire ! Je trouve le lieu très bien
choisi. Je dois constater que les fessées que je t’ai données pour que tu
arrêtes de fumer n’ont pas eu l’efficacité que je souhaitais. Nous allons
essayer les fessées en public.
– Mais Mademoiselle, tout le monde va me voir.
– Oui bien sûr ! C’est pour cela que je te la donne
ici. Tu sauras désormais que tu seras fessée là où tu l’as mérité. Je pense que
cela te fera réfléchir. Ecarte tes mains ! »
Sans doute le poids de l’habitude d’obéir aux injonctions de
la jeune fille, Joël enleva ses mains. Mademoiselle Caroline avait l’habitude
de déboucler la ceinture et de baisser le pantalon. Elle en vint à bout sans
hésiter.
« Resserre tes jambes que je puisse le
baisser ! »
Joël avait écarté les jambes, dans une vaine tentative pour
garder son vêtement à sa place. Une claque sur le haut de la cuisse le fit
obéir plus vite qu’il ne l’aurait souhaité. C’est quand Mademoiselle Caroline
posa ses mains sur l’élastique de sa culotte qu’il ne put résister au sentiment
d’urgence. Il attrapa sa culotte de ses deux mains et serra l’élastique de
toutes ses forces. Ses derniers espoirs venaient de s’envoler. Il fit un pas en
arrière.
« Non Mademoiselle, s'il vous plait, pas la culotte. Je
ne le ferai plus ! »
Mademoiselle Caroline écarta les jambes et elle amena son
puni dans l’espace ainsi ménagé. Elle resserra ses cuisses sur les genoux de
Joël, puis saisissant les mains du garçon dans les siennes, elle les amena dans
le dos de Joël. D’une seule main, elle immobilisa les poignets de Joël. Il
était clair qu’il n’aurait eu aucun mal à se dégager, mais il aurait fallu
rajouter de la désobéissance à la désobéissance.
« Le nombre des fessées que je dois te donner monte en
flèche, mon garçon. Je te conseille de cesser tes enfantillages et de me
laisser faire ! »
Une seule main suffisait pour baisser la culotte que
Mademoiselle Caroline descendit jusqu’en haut des cuisses. Le sexe de Joël
sembla jaillir de son entrejambe. Il était dressé. Je savais, par expérience,
que cela ne durerait pas. Des larmes coulaient sur les joues de Joël. La honte
de montrer, à tous vents, ses fesses nues étaient trop forte pour pouvoir la
retenir.
« Non, … non, … non, répétait-il sans fin. »
Cette litanie ne changeait rien à la réalité. Des passants
ralentirent, puis s’arrêtèrent. La fessée était encore un spectacle rare. Elle
attirait la curiosité. Le petit attroupement attirait les regards d’autres
personnes qui venaient voir ce qui captivait l’attention de leurs prédécesseurs.
Il y eut une quinzaine de personnes qui, en quelques minutes, firent cercle
autour de Joël et Mademoiselle Caroline.
Cette dernière libéra Joël de son emprise, mais c’était pour
l’amener à sa droite et le coucher en travers de ses genoux. Elle baissa un peu
plus la culotte et remonta la chemise. Les fesses étaient prêtes pour la fessée.
Mademoiselle Caroline leva la tête, le cercle s’était refermé. Je m’y intégrais
en prenant soin de rester au dernier rang. En matière de fessée, il était
préférable de rester prudent.
Je fus surpris par le bruit qui en résulta. Mademoiselle
Caroline faisait claquer sa main sur la peau nue comme un coup de pistolet
brusque et sonore. En écho, un cri de Joël lui répondait. La différence d’âge
et de poids ne semblait pas poser souci à la jeune fille. Sa main arrivait sur
les fesses avec une grande vélocité ce qui donnait à la correction une grande
efficacité.
Personne dans l’assemblée ne semblait trouver la situation
étonnante. Cette jeune fille qui fessait, en public, la culotte baissée, un
home d’âge mûr qui avait une vingtaine d’année de plus qu’elle, bénéficiait
d’une présomption de légitimité. Même l’attitude de Joël le confirmait. Il ne
se débattait pas et ne tentait pas de mettre fin à la situation humiliante et forcément
douloureuse pour lui, alors qu’il en avait, à l’évidence, les moyens. Ce
n’était pas la contrainte physique qui le faisait rester là où il recevait cette
correction, mais l’autorité acceptée de sa correctrice.
C’était un grand garçon en pleurs que Mademoiselle Caroline
reculotta. Elle le prit brièvement dans ses bras, puis elle l’emmena par la
main, là où, si elle mettait à exécution ses promesses de nouvelles fessées
l’attendaient. Joël la suivit se résister. De sa main libre, il frottait ses yeux
encore embués de larmes.
Je ne savais pas, que quelques jours plus tard, nos routes
allaient de nouveau se croiser.
Madame Tolbois était venue me chercher au travail à la
demande de Madame Colas. J’avais été, encore une fois, pris dans un moment
d’inattention pendant lequel rien ne pouvait m’atteindre. Evidemment, ce
n’était pas très propice au travail.
« Tu es encore dans la lune, avait grondé Madame Colas.
Je vais te faire passer cette habitude ! »
J’avais reçu une fessée et j’avais passé un moment au coin.
Trois fois dans cette journée, Madame Colas avait dû sévir pour la même raison.
La troisième fessée, donnée avec la règle, avait été cuisante et j’attendais la
fin de la journée au coin.
Tous mes collègues étaient partis depuis un bon moment et
j’y patientais toujours. C’était un déroulement inhabituel. J’avais bien
compris que j’étais en retenue, mais habituellement, c’était pour rattraper le
travail que mes séjours en pénitence ne m’avaient pas permis d’effectuer. Il
arrivait que ces moments soient agrémentés d’une fessée, au début ou à la fin,
pour marquer le coup.
J’en compris la raison quand je reconnus la voix de la
personne qui venait d’entrer.
« Qu’a donc encore fait mon vilain garnement ? »
C’était Madame Tolbois. En quelques phrases, Madame Colas
lui conta mes « exploits. » Elles convinrent de s’attaquer
conjointement à ce défaut et de ne plus laisser passer aucun moment
d’inattention sans le sanctionner immédiatement de la façon la plus sérieuse.
La suite s’imposait. Madame Tolbois me sortit du coin pour
me courber sous son bras. Elle m’administra une solide fessée qui me laissa en
pleurs. Pendant qu’elle me reculottait, elle me fit une promesse.
« Tu vas aller faire un tour au fond du
jardin ! »
C’était une mauvaise nouvelle. Au fond du jardin, il y avait
l’arbre sur lequel, quand Madame Tolbois l’exigeait, je devais aller prendre
une badine en bois et, tout à côté, c’était le carré d’orties. Les unes comme
l’autre laissaient sur mes fesses des séquelles brûlantes que je sentais encore
le soir une fois dans mon lit. « Faire un tour au fond du jardin »
signifiait aller quérir l’un de ces auxiliaires pour que Madame Tolbois
l’utilise sur mes fesses. Elle n’en abusait pas, mais quand elle me faisait
cette promesse qu’elle tenait toujours, je savais que ma soirée et ma nuit
seraient inconfortables.
« Nous rentrons directement à la maison. Je vais
m’occuper un peu plus sérieusement de tes fesses ! »
Madame Colas était vraiment furieuse. Elle m’avait déjà fait
la leçon sur mes étourderies et j’avais pris quelques fessées à ce sujet, mais
cela n’avait pas été suffisant. J’avais compris qu’elle passait à la vitesse
supérieure. Je serrais les fesses à la pensée de ce qui m’attendait.
Je suivais Madame Tolbois qui marchait d’un pas rapide. Elle
était apparemment pressée d’arriver à notre domicile, moi pas. Je me gardais
bien de laisser plus d’un ou deux pas entre nous, comme elle l’avait exigé.
Furieuse comme elle l’était, je savais qu’au moindre prétexte ce serait la
fessée et comme nous étions dans la rue, je n’y tenais pas. Madame Tolbois
n’hésiterait pas.
Quand son téléphone sonna, elle ralentit le pas, puis elle
se plongea dans la conversation avec une amie dont elle n’avait pas eu de
nouvelles depuis longtemps. Sa surveillance sur mes faits et gestes se relâcha
quelque peu. Je sentis la tension retomber. Madame Tolbois m’ignorais un peu,
c’était un soulagement, très provisoire, certes, mais cela ne m’empêcha pas de
l’apprécier.
C’est à ce moment-là que mon attention fut attirée par des
ouvriers qui, le long de la façade d’un immeuble, montaient un échafaudage.
C’était une chorégraphie bien réglée et, sous mes yeux, le fragile
enchevêtrement gagnait en hauteur. Chacun savait quel rôle il avait à tenir.
Chaque geste de l’un répondait à celui de l’autre. Une barre qui échappa des
mains et qui rebondit sur le sol rompit ce bel ordonnancement.
« Daniel ! Que fais-tu ? Viens-ici tout de
suite ! »
Madame Tolbois avait continué à avancer alors que je m’étais
arrêté. Elle avait pris une vingtaine de mètres d’avance. Quelle poisse !
Encore une désobéissance flagrante ! Une punition s’annonçait. Je pressais
le pas pour la rejoindre.
« Pardon, Madame Tolbois, je n’ai pas fait attention,
mais j’allais vous rejoindre.
– « Pas fait attention », c’est exactement l’expression
que j’allais employer ! Tu viens de te faire punir pour ton distraction
chronique et, à la première occasion, tu recommences !
– Je vous assure, Madame, je n’ai pas fait exprès !
– Il ne manquerait plus que ça ! Que je te prenne un
jour à ignorer intentionnellement ce que je te dis, tu le regretterais pendant
longtemps ! En attendant … »
Tenu par le bras, je dus la suivre jusqu’au banc qui avait
été installé là. Je ne sais pas qu’elle idée avait eu la municipalité, mais
elle avait disséminé des bancs publics un peu partout, dès que la largeur du
trottoir le permettait. C’était une mauvaise idée. Madame Tolbois et
quelques-unes de ses comparses en avaient trouvé une utilisation régulière qui
n’avait pas été prévue lors de l’installation de ce mobilier urbain.
Il n’y eut aucune surprise. Je regardais autour de moi pour
savoir s’il y avait beaucoup de personnes qui assisteraient à la fessée que
Madame Tolbois se préparait à me donner. Le moment le plus difficile, ce fut
quand elle acheva de me baisser la culotte. J’étais debout devant elle et je
voyais toutes les personnes présentes contempler le couple que nous faisions
Madame Tolbois et moi. La honte de me montrer dans cette tenue m’empêchait de
respirer normalement. J’attendais, presque avec impatience, le moment où elle
me placerait à sa convenance afin de pouvoir me fesser commodément. Cela me
permettait de rendre un peu moins concrètes toutes les personnes qui
m’entouraient.
« Vous permettez ? »
C’était une jeune femme qui tenait par la main un homme bien
plus âgé qu’elle. Je les reconnus tout de suite : c’était Joël et
Mademoiselle Caroline.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 59
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 59
Il y a une suite ... le chapitre 61.
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Bonjour JLG,
RépondreSupprimerCet épisode est rondement mené! On pourrait dire à la baguette ! Les situations s'enchaînent sans transition, rythmées par une bonne cadence de fessées en public plutôt émoustillantes.
Le retour remarqué de madame Tolbois ( Ben oui, forcément c'est ma fesseuse préférée!!)entretien si bien l'intérêt qu'on arrive au terme de l'épisode étonné qu'il s'arrête là... Pour mieux rebondir sur une suite, amorcé par l'arrivée d'autres personnages pour entretenir le suspense.
Habile procédé des histoires à épisodes.
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerSi je vous disais que j'ai fait revenir Madame Tolbois rien que pour vous, me croiriez-vous ?
Un autre (en fait, ils sont deux) personnage qui arrive, cela annonce quelques fessées non ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG
RépondreSupprimerL'attention est si aimable que je ne peux qu'y croire. Grand merci de ce retour d'intérêt.
Madame Tolbois fidèle à sa réputation ne perd pas de temps. A peine arrivée ça commence à claquer sur les fesses de son pensionnaire avec un "solide fessée" sous le bras. Une deuxième est aussitôt en préparation sur le trottoir après en avoir annoncé une autre de retour à la maison accompagnée de la promesse de "s'occuper plus sérieusement " de ses fesses . Quel tempérament! Difficile de faire mieux en si peu de temps!
On a bien compris que Joël et mademoiselle Caroline sont les 'petits" nouveaux entrant. Ce qui fait une galerie de personnages assez conséquente.
Maintenant la question évidente : Qui fesse l'autre ?.. On a déjà une petite idée pour la suite. Dans tous les cas, comme dit notre ami Peter , "ça va chauffer!"
Cordialement
Ramina