Une fessée collective en famille

Oh non, je n'ai pas encore fini. Je crois qu'il faut que j'insiste encore un peu pour être certain que ce jeune homme ait bien compris le message.
Ne sois pas inquiet, mon garçon, puisque tu es maintenant membre de notre famille, nous allons prendre soin de toi. Tu as dû comprendre que, depuis que tu t'es marié, nous t'avons accepté comme un de nos enfants... un enfant de trente quatre ans, mais un enfant quand même. Cela nous donne des obligations.

Je vois que la fessée que ta belle-mère t'a donnée hier n'a pas suffi. Tu as sans doute cru que, puisqu'elle n'était pas présente, tu pouvais prendre des libertés avec les règles que nous donnons aux jeunes gens de notre famille ? Comme ma brosse te le fait sentir, il n'en est rien !
Inutile de crier que je n'ai pas le droit de te déculotter et de te fesser. Tu sais parfaitement que si. Ta belle-mère nous en a donné le droit, à nous toutes. Elle nous a recommandé, avant de partir, de ne pas hésiter à te corriger si c'était nécessaire.

Tu devrais cesser de te débattre et accepter la fessée comme tes deux acolytes l'ont fait. Je n'arrêterai pas la correction avant que tu aies renoncé à te sous traire à la correction que tu as méritée. Tu dois comprendre que si je te fesse, c'est pour ton bien.
Si je te fesse, c'est parce que tu n'as pas plus de jugeote que Timothée. Il a quatorze ans, tu en as plus de trente et j'ai bien l'impression que c'est toi qui l'a entraîné à faire ces bêtises. Et je ne parle pas de son grand dadais de père que sa femme a dû fesser bien qu'il ait presque quarante ans ! Tous les trois, vous faites un trio de gamins qui ont besoin d'être régulièrement corrigés.

Je pense que la brosse sur les fesses, à eux comme à toi, va t'aider à réfléchir, la prochaine fois que tu envisageras de te lancer dans une telle entreprise. Puisque tu ne sais pas être raisonnable, malgré ton âge, une bonne fessée déculottée et tu vas comprendre.
Sache que dans ta belle-famille, tu trouveras toujours l'une d'entre nous disposée à te déculotter et à te fesser à la moindre incartade.

Tu vas apprendre à renoncer aux blagues idiotes que tu es le seul, avec tes complices, à trouver amusantes. La pauvre Pamela est effondrée. la farine dans le sèche-cheveux, puis le seau qui lui est tombé sur la tête quand elle a ouvert la porte, c'est vraiment la goutte d'eau qui a fait déborder le vase. Hum, bon, je ne suis pas certaine que l'image soit pertinente, compte tenu de la situation.

Et on vous trouve, tous les trois, hilares dans la chambre, à vous congratuler de la bonne blague que vous avez faite. Avez-vous cru que nous ne vous trouverions pas ici ? J'ai l'impression qu'après une bonne fessée déculottée chacun, vous trouvez la situation bien moins drôle. Je me trompe ?

C'est la culotte baissée que vous irez demander pardon à Pamela. Celui qui n'y mettra pas assez de sincérité reviendra faire un tour sur mes genoux pour une nouvelle conversation avec le dos de ma brosse.

Si elle veut vous fesser elle-même, elle aura ma bénédiction. Cela vous fera le plus grand bien, à chacun d'entre vous, d'être corrigé par une jeune fille de dix-huit ans. Elle n'aura peut-être pas le temps ce soir, puisqu'elle a un rendez-vous. Dans ce cas, nous l'envisagerons de nouveau demain matin.

Dans tous les cas, vous continuerez votre chemin jusqu'au séjour. Il ne comporte pas assez de coins disponibles pour vous y mettre tous les trois, mais il doit y avoir un mur assez long pour vous y placer au piquet, le nez contre le mur, les mains sur la tête, l'un à côté de l'autre. Vous y resterez, la culotte baissée pendant tout le dîner. Celui que je verrai bouger, ne serait-ce qu'un petit doigt, aura le droit à une correction supplémentaire.

Puis, vous irez au lit de bonne heure, sans manger, mais avec une nouvelle fessée. Je me chargerai de la tienne, puisque ta belle-mère n'est pas là.

Ce devrait être ta femme qui s'en charge, mais je ne sais pas où elle est, celle-là. Elle se défile encore devant ses responsabilités. Je vais lui en dire deux mots dès que je la verrai. Il va falloir qu'elle choisisse : passer dans le camp des adultes et assumer ses devoirs et en particulier te donner les corrections que tu as méritées, ou rester dans le camp des enfants, mais il y aura les fessées qui vont avec.

Grand merci à Nate à qui j'ai emprunté le dessin !

Ce texte complète celui de la semaine précédente, cela reste en famille qui était illustré par un dessin de Nate.

Il y en a déjà eu une autre de ses œuvres publiées sur ce blog : de la lecture à la réalité

Les tantes sont souvent des substituts maternels efficaces

                                                   

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