Vous avez raison, Cyril, ces revues sont finalement très intéressantes. Je comprends qu'elles vous aient accaparées bien plus que le travail que je vous avais donné à faire. Je regrette de ne pas les avoir vues plus tôt. J'aurais pu m'en inspirer depuis quelques semaines.
Quand vous êtes arrivé parmi nous, il y a trois mois, je vous avais dit que malgré votre jeune âge je serai très exigeante avec vous. Nous avons ici une équipe très expérimentée, très productive. Je vous avais prévenu que vous seriez obligé de travailler dur pour être au niveau de toutes ces dames.
Cela n'a pas eu l'air de vous stimuler beaucoup. De toutes les personnes qui travaillent dans ce bureau, vous êtes celui qui traite le moins de dossier dans sa journée. Certes, vous avez moins d'expérience que vos collègues, mais il y a des limites à la paresse !
Il y a aussi des limites aux comportements acceptables. Parce qu'il n'est entouré que de dames, Monsieur a décidé de jouer le petit coq de basse-cour. Vous vous comportez comme si tout vous était dû. Non, ce n'est pas à vos collègues de ranger derrière vous. Non, ce n'est pas à vos collègues de réparer les bévues que vous faites. Non, ce n'est pas à vos collègues de vous apporter le café. Tout cela, c'est fini.
Je me doutais bien que vous faisiez autre chose que le travail qui vous est assigné. Hier soir, après votre départ, j'ai donc fouillé dans vos tiroirs. et j'ai consulté l'historique de votre ordinateur Quelle surprise ! Des revues parlant de la fessée que des dames administrent à des jeunes gens désobéissants et un temps conséquent sur des sites internet parlant du même sujet. Vu le temps que vous y passez, je comprends que vous n'ayez plus vraiment de temps à consacrer à votre travail.
Nous allons inverser les choses : passer de la lecture à la réalité. Vous allez pouvoir tester, pour de vrai, ce que cela fait de recevoir la fessée déculottée. Je parie que vous allez y voir une différence.
Le travail que vous avez à faire sera désormais votre préoccupation principale. Mais nous mettrons à profit l'intérêt que vous avez pour la fessée. Désormais, quand je ne serai pas satisfaite de ce que vous avez produit, ce sera la fessée. Si j'ai bien compris, il est préférable, pour que la leçon soit retenue, de baisser la culotte. C'est donc ce que nous ferons.
Le travail que vous avez à faire sera désormais votre préoccupation principale. Mais nous mettrons à profit l'intérêt que vous avez pour la fessée. Désormais, quand je ne serai pas satisfaite de ce que vous avez produit, ce sera la fessée. Si j'ai bien compris, il est préférable, pour que la leçon soit retenue, de baisser la culotte. C'est donc ce que nous ferons.
Vous avez bien entendu. J'ai dit "nous" ! Toutes ces dames ont maintenant l'autorisation... non, que dis-je, l'obligation de vous déculotter et de vous fesser à chaque fois que l'une d'elle constatera un rendement insuffisant ou un comportement insolent, comme vos petites attitudes de macho débutant.
Elles ont presque toute l'âge pour être soit votre mère, soit une tante assez âgée pour vous punir. Même Mademoiselle Julie, qui a le même âge que vous, aura toute autorité pour vous corriger quand vous en avez besoin.
Vous savez, allonger sur ses genoux un jeune homme de vingt-trois ans, après l'avoir déculotté, ne fait peur à aucune d'entre nous. Si j'en crois les confidences qui n'ont été faites, certaines d'entre elles y songeaient fortement depuis plusieurs jours. Votre petite péroraison de la semaine dernière sur la supériorité du genre masculin doit y être pour quelques chose.
Se retrouver à plat-ventre en travers de mes genoux, la culotte en dessous des genoux, amène à plus d'humilité, n'est-ce pas ?
Chaque midi et chaque soir, avant de quitter votre bureau, vous irez montrer, à l'une de vos collègues, le travail que vous avez fait pendant la demi-journée qui a précédé. Si elle juge qu'il est insuffisant ou de médiocre qualité, elle vous donnera une fessée. Je leur recommanderait d'être particulièrement attentives au classement des pièces de chaque dossier. C'est une question qui vous indiffère pour l'instant. Je compte sur elles pour que vous y accordiez désormais toute l'attention que cela mérite.
Bien entendu, si elles constatent que vous retombez dans un moment de paresse dont vous êtes coutumier, elles devront sévir immédiatement. De façon générale, tout comportement qui paraîtra répréhensible par l'une d'elles, se terminera par une bonne fessée déculottée, administrée sur le champ, devant tout le monde.
J'ai vu une photo intéressante dans votre magazine : celle d'un jeune homme qui paraissait à peu près avoir votre âge, qui est envoyé au coin après avoir reçu une fessée. Je trouve que nous devons mettre en pratique toutes les bonnes idées que vous nous suggérez grâce à cette revue. Vous irez donc au coin. Comme le jeune homme dans votre revue, ce sera la culotte baissée.
Il est en effet probable que les collègues des autres bureaux défilent ici pour voir de leurs yeux ce qui vous arrive. Croyez-vous qu'une situation comme celle-là va rester confidentielle ? Je n'en ai aucune intention. Au contraire, je pense que cette correction va donner des idées à d'autres personnes. Je pense que très rapidement vous ne serez pas le seul, dans cette entreprise, à recevoir la fessée déculottée.
Si vous n'y êtes pas absolument sage, si vous ne vous y faites pas oublier, vous retournerez faire un tour sur les genoux d'une de ces dames. Je leur conseille de vous y laisser un bon moment. Il faut que vous ayez le temps de réfléchir aux conséquences de vos actes.
Ce soir, vous serez en retenue pour tout le temps que vous y avez passé. Cela vous permettra de finir le travail que vous n'aurez pas le temps de faire. Madame Bernard est d'accord pour rester à vous surveiller. Je sais qu'elle meure d'envie de vous administrer une correction. Je vous conseille donc d'être irréprochable quand vous serez sous sa garde.
Je préviendrai moi-même votre compagne de votre retard. Je lui expliquerai quelle est est la cause. J'espère qu'elle prendra les choses en mains à la maison.
Encore ne chose. Nous avons dû nous mettre à plusieurs pour vous déculotter. C'est absolument inadmissible. J'exige, quand l'une d'entre nous décidera de vous punir, que vous la laissiez vous baisser la culotte. Toute résistance, toute désobéissance sera sanctionnée d'une nouvelle fessée qui vous sera donnée avec la règle.
Madame Bernard, pouvez vous prendre en charge la correction de ce jeune homme pour avoir tenté de nous empêcher de lui baisser la culotte ? Après qu'il ait fait son premier temps de pénitence au coin ? Vous l'y remettrez ensuite !
Il est en effet probable que les collègues des autres bureaux défilent ici pour voir de leurs yeux ce qui vous arrive. Croyez-vous qu'une situation comme celle-là va rester confidentielle ? Je n'en ai aucune intention. Au contraire, je pense que cette correction va donner des idées à d'autres personnes. Je pense que très rapidement vous ne serez pas le seul, dans cette entreprise, à recevoir la fessée déculottée.
Si vous n'y êtes pas absolument sage, si vous ne vous y faites pas oublier, vous retournerez faire un tour sur les genoux d'une de ces dames. Je leur conseille de vous y laisser un bon moment. Il faut que vous ayez le temps de réfléchir aux conséquences de vos actes.
Ce soir, vous serez en retenue pour tout le temps que vous y avez passé. Cela vous permettra de finir le travail que vous n'aurez pas le temps de faire. Madame Bernard est d'accord pour rester à vous surveiller. Je sais qu'elle meure d'envie de vous administrer une correction. Je vous conseille donc d'être irréprochable quand vous serez sous sa garde.
Je préviendrai moi-même votre compagne de votre retard. Je lui expliquerai quelle est est la cause. J'espère qu'elle prendra les choses en mains à la maison.
Encore ne chose. Nous avons dû nous mettre à plusieurs pour vous déculotter. C'est absolument inadmissible. J'exige, quand l'une d'entre nous décidera de vous punir, que vous la laissiez vous baisser la culotte. Toute résistance, toute désobéissance sera sanctionnée d'une nouvelle fessée qui vous sera donnée avec la règle.
Madame Bernard, pouvez vous prendre en charge la correction de ce jeune homme pour avoir tenté de nous empêcher de lui baisser la culotte ? Après qu'il ait fait son premier temps de pénitence au coin ? Vous l'y remettrez ensuite !
La fessée en public, c'est drôlement efficace
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Bonjour JLG,
RépondreSupprimerLa fessée au travail !!! Revanche ?
Un cuisant programme.
L'auteur de ce "gynécée fesseur " est le dessinateur Nate, me semble t-il. Son œuvre est axée, comme miss O'toole, sur la fessée féminine donnée aux hommes. Dans le même registre, citons l'incontournable Franco et ses "Dames patronnesses", si j'ose dire.
Merci pour ce récit.
Peter'.
Merci Peter Pan,
SupprimerAvec vos indications, j'ai en effet pu confirmer le nom du dessinateur. Il a l'avantage de mettre en dessin des scènes où figurent de nombreux personnages. C'est d'autant plus facile à broder sur ces canevas.
Je pense qu'il y en aura d'autres.
Au plaisir de vous lire,
JLG.