« Julie s’il te plait,
peux-tu m’apporter la brosse ? »
Tatie Nathalie n’avait pas
l’intention d’en rester là. La rébellion de Florence pendant son déculottage ne
pouvait être impunie. Julie tendit la brosse à sa mère.
« Il faut que tu saches, ma
chérie, qu’à chaque fois que tu refuseras de te soumettre à la fessée, tu en
recevras une deuxième qui sera bien plus sévère que la première. Vois-tu, cette
brosse va te faire regretter de ne pas m’avoir laissé faire. »
Tatie Nathalie appliqua
l’instrument qu’elle tenait en main de façon égale sur chacune des fesses de la
jeune fille qui hurla à chaque fois.
« Une toute petite
précision, ma petite, je ne vais plus tenir ta main dans ton dos. Mais si elle
me gêne ne serait-ce qu’une seule fois pour te donner la fessée, tu recevras
une troisième fessée après être allée au coin. À toi de choisir. »
Le ballet de la brosse sur les
fesses de Florence, reprit. A supposer qu’elle en ait eu la volonté, ce dont je
doutais, Florence ne pouvait plus maîtriser ses cris et ses pleurs. La brosse
ne laisse pas ce genre de possibilité.
Ses jambes réagissaient à chaque
contact de la brosse sur ses fesses. C’était des mouvements instinctifs qu’elle
ne contrôlait pas. Elle lançait ses pieds dans toutes les directions possibles,
allongeant ses jambes, puis les repliant, battant des pieds puis les laissant
inertes, écartant les jambes, puis les resserrant. Ménager sa pudeur ne la
préoccupait plus. Elle laissait sa toison pubienne à la vue des cinq personnes
qui l’entouraient. Seul son frère ne pouvait un jeter un œil. A plat ventre sur
les genoux de Mamie, le nez dans les coussins, il avait d’autres occupations.
Tatie Nathalie s’appliquait à
marquer les fesses de la jeune femme, et encore plus, sans doute, son esprit.
Il fallait que Florence, dès sa première punition, reconnaisse son bien-fondé.
C’était en bonne voie. Pas une seule fois, la main de Florence ne se tendit
pour protéger ses fesses, malgré le barrage douloureux qu’elle subissait, pas
une seule fois les mouvements de ses jambes obligèrent Tatie Nathalie à
interrompre la correction.
Quand Tatie Nathalie mit fin à la
fessée, Florence resta en place, continuant un petit moment la sarabande
gestuelle et sonore qu’elle avait donnée. Puis elle se calma progressivement. Ce
fut une fessée respectable, mais somme toute, d’une sévérité plutôt moyenne. Je
ne le savais pas encore, mais Tatie Nathalie avait prévu une suite pour achever
cette séquence punitive.
Elle laissa Florence récupérer,
allongée sur son genou.
« Axel, apporte-moi mon
verre. J’ai bien mérité un petit réconfort après cet exercice auquel je me suis
livrée. »
C’était une scène surréaliste.
L’apéritif continuait comme si de rien n’était. Il y avait pourtant deux jeunes
adultes à plat ventre sur les genoux de deux femmes plus âgées, la culotte
baissée et les fesses rougies.
Mamie et Tatie Nathalie tenaient
leur verre d’une main et de l’autre elles caressaient et tapotaient les fesses
des jeunes gens qu’elles venaient de corriger. La position des deux punis, le visage
plaqué sur le canapé et leurs fesses tournées vers l’assemblée, d’un côté les
excluait du groupe que nous constituions et de l’autre côté, elle mettait leurs
fesses nues au centre du cercle que nous avions formé.
Il n’était pas question qu’ils
prennent part à la conversation. Cela ne changeait pas beaucoup de l’attitude
qu’ils avaient adoptée depuis leur arrivée, mais la raison était tout autre. Il
était encore permis à Florence de faire entendre, de temps en temps, un sanglot
bruyant. Elle n’avait pas encore retrouvé sa respiration normale. D’un
« chut » impératif accompagné d’un tapotement insistant sur ses
fesses, Tatie Nathalie lui signalait clairement que ces manifestations devaient
cesser.
Mamie, d’une bonne claque sur les
fesses, indiqua à Anthony que son gémissement persistant devait cesser.
« Je ne veux plus
t’entendre ! »
Après un « aïe »
sonore, il se le tint pour dit et il resta parfaitement silencieux. Tatie
Nathalie poussa son avantage.
« Alors, ma petite peste
chérie, penses-tu toujours qu’il s’agit d’un abus sexuel ou plutôt d’une punition
bienvenue ? »
Une claque bien sentie fit
comprendre à Florence qu’une réponse était attendue.
« Une punition Madame.
– L’avais-tu méritée ?
– Oh oui Madame !
– Etait-ce nécessaire de te
baisser la culotte ?
– Oui, Madame, bien sûr !
– As-tu bien compris que
désormais il y en aurait d’autres ?
– Oui, Madame, j’ai
compris. »
Tatie Nathalie lui caressa les
fesses pendant quelques secondes.
« C’est bien, tu te
comportes maintenant comme une jeune fille bien élevée. J’espère que cela
continuera, sinon, tu sais ce qui t’arrivera.
– Oh oui, Madame !
– Je trouve que
« Madame », cela fait un peu formel pour quelqu’un qui t’a donné la
fessée et qui aura sans doute l’occasion de recommencer. Cela crée des liens.
Tu feras comme Axel, tu m’appelleras Tatie Nathalie. Et toi aussi Anthony.
– Quand à moi, Mamie me
conviendra très bien pour ces deux enfants respectueux.
– Est-ce bien compris ?
– Oui, Madame ! »
La claque sur les fesses partit
aussitôt.
« Comment as-tu dit ?
– Oui, Tatie Nathalie !
– C’est bien, tu es une grande
fille. »
Les parents Moreau étaient
visiblement mal à l’aise. Ils ne savaient pas trop quelle attitude adopter. La
démonstration de leur incompétence à maîtriser leurs enfants était faite. Qu’on
le veuille ou non, cela remettait en cause leur autorité parentale qui reposait
à cet instant entre les mains de Mamie et de Tatie Nathalie. Ils devaient
s’interroger sur la façon dont ils devraient se conduire quand la discipline de
leurs enfants serait de nouveau entre leurs mains.
Tatie Nathalie ne leur avait pas
vraiment demandé ni leur avis, ni l’autorisation de fesser leurs rejetons. Elle
avait pris cette initiative de son propre chef. Les deux parents n’y avaient
pris aucune part active, tout au plus s’étaient-ils contentés de laisser faire,
ce qui loin de renforcer leur autorité, avait plutôt tendance à l’affaiblir.
Ils ne savaient plus s’ils
devaient, ou même pouvaient prendre des décisions quant au sort de leur
progéniture. Tatie Nathalie vint à leur secours ou plutôt elle leur imposa la
direction à prendre.
« Debout, mes deux
vauriens ! »
Anthony mit ses mains devant son
sexe pour le protéger des regards inquisiteurs. Mamie réagit aussitôt.
« Ôte tes mains de là !
Tout le monde a pu voir tout ce qu’il
avait à voir. Tu n’as plus rien à cacher »
Elle confirma ses propos d’une
tape sur les mains d’Anthony qui les écarta. Il remuait ses doigts le long de
ses cuisses nues. Florence, entre ses mains, de chaque côté de ses hanches,
froissait le tissu de son chemisier. Ni l’un ni l’autre ne savaient quoi faire
de leurs mains. Les gestes dont ils rêvaient leur étant interdits.
« Florence, tu vas aller
voir ton Papa et toi, Anthony, ta Maman. Vous allez leur demander pardon, puis
vous leur expliquerez que vous souhaitez qu’ils finissent eux-mêmes votre
fessée. »
Anthony ouvrit la bouche comme
l’aurait fait un poisson hors de l’eau. Florence émit un gémissement, puis elle
souffla :
« Oh, non, pas
ça ! »
La claque sur le haut des cuisses
arriva sans délai.
« Dois-je comprendre, jeune
fille, que tu refuses d’obéir encore une fois ?
– Oh non Tatie Nathalie. Pardon,
pardon ! J’y vais tout de suite. »
Les deux jeunes adultes furent
déconcertés un bref instant par le pantalon, entourant leurs chevilles et qui
entravait leur déplacement, mais il n’y avait pas long à faire avant de se
retrouver devant leur parent.
« Pardon, Maman et … je
voudrais que tu finisses ma fessée.
– Je te demande pardon, Papa.
Est-ce que tu peux …
– Allons, Florence ! »
Tatie Nathalie grondait face à
l’hésitation qui se prolongeait. La jeune femme n’avait plus le choix.
« … me donner la fin de ma
fessée ? »
Monsieur Moreau prit un air
pensif. Il saisit le coude de sa fille, mais s’arrêta là. Il tourna la tête
vers sa femme pour observer comment elle s’y prenait. Madame Moreau n’était pas
plus à l’aise. Elle avait attrapé le bras de son fils et l’avait couché sur ses
genoux, imitant Tatie Nathalie et Mamie. Mais elle était assise sur un fauteuil
qui avait des accoudoirs. Il était donc tout simplement impossible de placer
Anthony dans la même position que celle dans laquelle il avait été sur le genou
de Mamie.
Courbé sur l’accoudoir du
fauteuil, il ne pouvait reposer sur la cuisse de sa mère. Celle-ci ne pouvait,
de son bras, entourer correctement la taille de son fils et les fesses du
garçon étaient bien trop hautes pour pouvoir lui donner une fessée efficace.
Monsieur Moreau plaça sa fille à l‘identique de ce qu’avait fait sa femme. La
situation frisait le ridicule qui devint évident quand les deux fessées
commencèrent. Les mains des deux fesseurs arrivaient mollement sur les fesses
de leur progéniture.
Tatie Nathalie et Mamie n’en
croyaient pas leurs yeux. Elles ne pouvaient laisser les choses aller aussi mal
sans réagir.
« Arrêtez tout ! Ce
n’est pas comme cela qu’il faut s’y prendre. »
Monsieur et Madame Moreau la
regardaient éberlué.
« Les enfants,
relevez-vous ! »
Interloqué, pensant, sans y
croire, être au bout de leur punition, Florence et Anthony se remirent debout,
interrogeant Tatie Nathalie du regard.
« Vous ne pouvez pas les
installer comme Maman et moi avons fait. C’est à cause des accoudoirs. Il faut
les coucher en travers de vos genoux.
– En travers de mes genoux ? »
Visiblement, ils ne comprenaient
pas, pas plus l’un que l’autre, de quoi il s’agissait. Tatie Nathalie et Mamie
durent prendre les choses en main.
« Asseyez-vous sur le bord
du fauteuil en laissant dépasser vos genoux le plus possible. »
Ils changèrent de position, mais
sans s’avancer suffisamment. Tatie Nathalie qui s’occupait de Monsieur Moreau,
passa son bras derrière le dos de son apprenti en administration de fessée.
Elle le poussait en posant sa main sur le bas de son dos. Monsieur Moreau
bougeait peu.
« Plus que ça, ordonna Tatie
Nathalie ! »
Elle administra une claque sur le
haut des fesses qui étaient sous sa main. Comme Monsieur Moreau ne réagissait
pas assez vite, il eut le droit à une deuxième, plus sèche.
« Je vous en prie,
s’opposa-t-il faiblement. »
Tatie Nathalie lui asséna une
troisième claque encore plus forte.
« Encore,
commanda-t-elle ! »
Monsieur Moreau obéit, sans
s’insurger du traitement qu’il venait de subir. De son côté, Mamie ne fit pas
de cadeau à Madame Moreau. Elle commença par une sérieuse claque sur les
fesses.
« Avancez-vous ! »
Sa méthode avait du bon, car
Madame Moreau se positionna correctement du premier coup, non sans avoir jeté
un regard gêné à Mamie, mais sans oser protester.
Les deux apprentis en place,
Mamie et Tatie Nathalie couchèrent les deux jeunes adultes en travers des
genoux de leurs parents.
« Voilà, Maintenant vous
pouvez y aller. »
On aurait pu croire un instant
que la fessée pouvait maintenant aller à son terme. Cette illusion ne dura pas.
Après la correction que chacun avait reçue, Anthony et Florence ne devaient pas
sentir les mains de leurs parents quand ils entraient en contact avec leurs
fesses bien qu’elles soient probablement encore sensibles. Aussi bien le père
que la mère s’y prenaient comme s’ils avaient sous la main un objet qui
risquait de se briser sous leurs coups.
Tatie Nathalie gronda.
« Soyez un peu
sérieux ! Ce n’est pas une fessée que vous leur donnez, mais une caresse.
Mettez-y un peu plus de conviction et d’énergie. »
Le deuxième essai ne fut pas plus
concluant. Les claques sur les fesses nues s’entendaient à peine et ni Anthony,
ni Florence ne réagissait à ce qui était loin d’être une fessée. Tatie Nathalie
se fâcha.
« Si vous vous y prenez
comme cela pour exercer votre autorité, je comprends que vos enfants soient
aussi mal élevés. Faut-il que je vous fasse une démonstration de ce que c’est
qu’une fessée ? Si vous ne leur administrez pas sur l’heure une vraie correction,
je vous montre en quoi cela consiste, mais ce ne sera pas sur les fesses de vos
enfants ! »
La menace, à peine voilée, dut
faire son effet. Monsieur Moreau s’y mit en premier. Sa main commença à claquer
sérieusement sur les fesses de sa fille dont les réactions changèrent du tout
au tout. Elle commença par de petits cris et on voyait son corps se crisper à
chaque fois que la main de son père frappait ses fesses.
Madame Moreau observa son mari
quelques minutes, puis elle l’imita. Sa main claquait sur les fesses, mais sans
que cela n’approche une fessée donnée par l’une des trois autres femmes qui se
tenaient dans la pièce. Nous en étions loin.
« Allons, exigea Tatie Nathalie,
encore un effort, plus fort ! »
Il y eut une petite différence,
mais elle était à peine perceptible. Tatie Nathalie dut s’en contenter. Après
quelques dizaines de claques, Monsieur Moreau s’arrêta. Sa femme fit pareil dès
qu’elle s’aperçut du changement.
« Sans doute cette fessée
est suffisante après celle que vous lui avez donnée.
– Vous ai-je autorisé à vous
arrêtez ? Reprenez tout de suite ! »
L’hésitation fut brève. Madame et
Monsieur Moreau regardèrent Tatie Nathalie et jugèrent qu’il était préférable
d’obéir. Les deux fessées reprirent. Ce fut Madame Moreau qui craqua la
première.
« Ça me fait mal à la
main ! Je n’en peux plus de donner cette fessée. C’est trop
dur !
– Réfléchis bien pour savoir si
tu préfères ressentir cette douleur sur ta main … ou sur tes fesses. »
Tatie Nathalie n’y allait pas par
quatre chemins. Elle menaçait presque ouvertement, Madame Moreau d’une fessée si
elle ne s’acquittait pas de son devoir de punition envers son fils. Un simple
échange de regards suffit à la convaincre de la résolution de son hôtesse. Elle
continua la fessée qu’elle donnait à son fils, malgré sa main douloureuse.
« Cela suffit pour cette
fois ! »
Les deux fessées s’arrêtèrent en
même temps. Madame Moreau secouait sa main, soufflant dessus pour en atténuer
la cuisson.
« Debout, mes deux
garnements ! »
Chacun obéissait, sans discuter,
aux ordres de Tatie Nathalie. A part Mamie, nous étions tous, dans cette pièce,
soumis à son autorité. Chacun sentait
que la fessée planait au-dessus de sa tête et que toute désobéissance se
finirait à plat ventre sur les genoux de cette femme qui avait l’autorité pour
en décider. Si deux d’entre nous n’avaient pas encore senti la cuisson de sa
main sur leurs fesses, ce n’était que partie remise.
Anthony et Florence gémissaient
sourdement. Les larmes coulaient de leurs yeux. Même si la fessée qu’ils
avaient reçue de leurs parents n’avait pas été formidable, elle venait après un
passage sur les genoux de deux fesseuse très compétentes. L’accumulation avait
fait son effet.
« Conduisez-les au
coin ! »
Monsieur et Madame Moreau se
regardèrent. Pour une fois, ce fut Madame qui se décida. Elle prit le coude
d’Anthony et fit les premiers pas vers l’endroit où j’avais passé plusieurs
minutes un peu plus tôt dans la soirée.
« Pas comme ça : en le tenant
par l’oreille ! Je veux qu’ils comprennent qu’ils seront traités comme des
enfants à chaque fois que leur comportement laissera à désirer. Par
l’oreille ! »
C’était une étrange procession
que ces deux jeunes adultes, la culotte baissée et les fesses fraîchement
rougies, tenus par l’oreille chacun par l’un de leurs parents et conduits au
coin. Tatie Nathalie suivait de près. Le plus étrange, peut-être, c’est que
cela paraissait normal aux yeux de tous ceux qui y assistaient.
Il y avait deux angles de la
pièce qui avaient été dégagés pour nous permettre, Julie et moi, de séjourner
conjointement en pénitence. Ni Florence ni Anthony ne firent de difficulté pour
y placer leur nez, nous offrant une vue imprenable sur leurs fesses.
« Croisez vos mains dans
votre dos ! »
Les deux jeunes adultes prirent
la pause qui leur était indiquée.
« Remontez leur chemise
au-dessus de leur taille. Coincez-la sous leurs mains. Quand un enfant est au
coin après une fessée, on doit pouvoir vérifier si la couleur de ses fesses
correspond à la bêtise qu’il a commise. Montrer ses fesses nues fait partie de
la punition. »
Madame et Monsieur Moreau
adaptèrent la tenue de leurs enfants aux consignes de Tatie Nathalie.
« Vous deux, la prochaine
fois, vous retrousserez votre chemise sans qu’on ait besoin de vous le dire.
Vous restez dans cette position. Interdiction de bouger avant qu’une grande
personne ne vous y autorise quoiqu’il sa passe derrière vous. Le silence est de
rigueur. Ce gémissement doit donc cesser. Je vous donne trente secondes. »
C’était une question de volonté,
Anthony et Florence y réussirent largement dans les temps non sans difficulté.
Puis, passé le temps où chacun, perdu dans ses pensées contempla les fesses des
deux punis qui se tenaient au coin, nous les avons oubliés.
L’apéritif reprit son cours. Il y
avait deux convives de moins autour de la table, ce qui ne semblait un problème
pour personne. De mon côté, j’avais le sentiment que justice était faite.
Peter Pan est revenu. Merci pour ces dessins illustrant le récit.
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
L'épisode précédent : chapitre 66
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour JLG ,
RépondreSupprimerje penses que les parents vont etre fessés aussi , je me trompes ?
Bonjour lecteur anonyme,
SupprimerC'est une hypothèse intéressante. Attendons les prochains chapitre pour avoir la réponse.
Au plaisir de vous lire;
JLG.
mais en attendant les fesses de Julie et d'Axel sont au repos ...
RépondreSupprimerOui, c'est exact. Même en ajoutant les mains de Mamie à elles de Tatie Nathalie, ça ne fait que quatre. Il faut donc faire des choix.
SupprimerGageons que le repos ne durera pas très longtemps.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,chers amis.
RépondreSupprimerNous sommes au bord d'un festival de fessées avec une multiplication de derrières à corriger. Abondance de biens ne nuit pas , paraît -il. Imaginons un instant que Mamie et Tatie Nathalie aient des cuisses assez larges pour accueillir deux punis et corriger deux paires de fesses en même temps... Solution pour un concert de percussion à quatre mains ?
Bon en attendant, la leçon de fessées est bien plaisante. Que ces parents sont maladroits et peu énergiques !!! Ils méritent bien de se faire rougir sérieusement les fesses pour apprendre à s'occuper de celles de leurs enfants.
Cordialement
Ramina
Bonjour,
SupprimerQue les parents soient bientôt fessés ne semble faire de doute pour personne. Est-ce la direction que prendra ce récit ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.