Quand tu es arrivée chez nous, je t'ai promis que tu ferais partie de la famille tant que tu resteras chez nous. J'ai bien l'intention de tenir ma promesse. J'ai toujours procédé ainsi avec les jeunes filles au pair que j'ai accueillies. Il en sera de même pour toi.
Tu vas pouvoir finir ton doctorat de droit international en toute quiétude. J'y veillerai. Ce ne sont pas les quelques minutes que tu consacres à mes deux enfants qui t'en empêcheront. Je ne te demande rien de plus que ce que ferait une grande sœur.
Bien que tu aies vingt-quatre ans, cela ne me gêne pas de te considérer comme ma grande fille. Bien sûr, tu es un peu âgée pour pouvoir être réellement mon enfant. Pour avoir une fille de ton âge, il aurait fallu que je t'aie à moins de quinze ans. C'est un peu jeune. Cela ne m'empêchera pas d'exercer une stricte surveillance sur ton comportement.
Pas plus d'un mois que tu vis avec nous et j'ai déjà dû te reprocher ton comportements plus de deux ou trois fois par semaine. C'est inadmissible ! Rentrer en retard, des gros-mots, des heures de réveil tardives t'empêchant de t'occuper des enfants, une chambre dans un tel état qu'une chatte n'y retrouverait pas ses petits ! Quel exemple tu donnes aux plus petits dont tu es censée t'occuper !
Et maintenant, alors que je te gronde parce que tu es rentrée à la maison à minuit passé, tu te permets de me répondre insolemment ! Et comment peux-tu penser que j'avalerais tes mensonges pour justifier ton retard ? Prétendre que tu étais à travailler avec des condisciples ! Comme si c'était crédible ! Il est exact que je ne suis pas ta mère, mais je suis, ici, ce qui s'en rapproche le plus. Cela me donne des devoirs vis à vis de toi.
Puisque tu ne comprends pas qu'il faut changer de comportement quand on te l'explique raisonnablement, je vais changer de méthode. J'ai plus l'impression d'avoir une adolescente rebelle à la maison qu’une jeune fille adulte. Et bien soit, puisque tu es imperméable à la raison, je pense qu'une bonne fessée déculottée, à chaque fois que j'aurai quelque chose à te reprocher, devrait te rendre plus obéissante.
C'est qui déciderai, dorénavant quand tu as besoin d'une correction. Tu n'est pas la première jeune fille qui se retrouvera à plat-ventre en travers de mes genoux, la culotte baissée.
Tu vas pouvoir finir ton doctorat de droit international en toute quiétude. J'y veillerai. Ce ne sont pas les quelques minutes que tu consacres à mes deux enfants qui t'en empêcheront. Je ne te demande rien de plus que ce que ferait une grande sœur.
Bien que tu aies vingt-quatre ans, cela ne me gêne pas de te considérer comme ma grande fille. Bien sûr, tu es un peu âgée pour pouvoir être réellement mon enfant. Pour avoir une fille de ton âge, il aurait fallu que je t'aie à moins de quinze ans. C'est un peu jeune. Cela ne m'empêchera pas d'exercer une stricte surveillance sur ton comportement.
Pas plus d'un mois que tu vis avec nous et j'ai déjà dû te reprocher ton comportements plus de deux ou trois fois par semaine. C'est inadmissible ! Rentrer en retard, des gros-mots, des heures de réveil tardives t'empêchant de t'occuper des enfants, une chambre dans un tel état qu'une chatte n'y retrouverait pas ses petits ! Quel exemple tu donnes aux plus petits dont tu es censée t'occuper !
Et maintenant, alors que je te gronde parce que tu es rentrée à la maison à minuit passé, tu te permets de me répondre insolemment ! Et comment peux-tu penser que j'avalerais tes mensonges pour justifier ton retard ? Prétendre que tu étais à travailler avec des condisciples ! Comme si c'était crédible ! Il est exact que je ne suis pas ta mère, mais je suis, ici, ce qui s'en rapproche le plus. Cela me donne des devoirs vis à vis de toi.
Puisque tu ne comprends pas qu'il faut changer de comportement quand on te l'explique raisonnablement, je vais changer de méthode. J'ai plus l'impression d'avoir une adolescente rebelle à la maison qu’une jeune fille adulte. Et bien soit, puisque tu es imperméable à la raison, je pense qu'une bonne fessée déculottée, à chaque fois que j'aurai quelque chose à te reprocher, devrait te rendre plus obéissante.
C'est qui déciderai, dorénavant quand tu as besoin d'une correction. Tu n'est pas la première jeune fille qui se retrouvera à plat-ventre en travers de mes genoux, la culotte baissée.
Avec mes enfants, je n'ai pas besoin de sévir. Il suffit de faire les gros yeux et d'élever un peu la voix. As-tu remarqué comme ils sont obéissants; bien élevé et comment ils travaillent bien à l'école ? Je te promets que dans quelques semaines, il en sera de même avec toi. Je m'y prendrai différemment, mais nous arriverons au même résultat.
Encore une chose, ta tentative pour m'empêcher de te déculotter a fait long feu. Ce sera le cas à chaque fois. Je n'aurai aucun mal à te placer en position disciplinaire quand je l'ai décidé. Malgré ta résistance, tu as vu que cela ne me pose aucun problème. Mais je ne te conseille as de recommencer.
Quand j'estimerai qu'une fessée est nécessaire, j'attends de toi que tu la reçoives sans protester. Quand ce ne sera pas le cas, tu auras le droit à une deuxième fessée, bien plus sévère que la première.
Demain, tu vas rentrer dès que tes cours seront finis. tu te mettras au coin. Je veux t'y trouver quand j'arriverai avec les enfants. Je te donnerai alors une fessée pour avoir t'être opposée à ton déculottage. Je ne ferai rien pour que mes enfants ne le sachent pas. Il est probable qu'ils y assisteront. Puis tu les aideras à faire leur devoir, comme d'habitude. Quand ce sera fini, tu retourneras au coin jusqu'au dîner.
Il restera à solder le mensonge que tu m'as servi. Ce sera après le repas que tu en seras punie. Tu sais comment. Tu passeras la soirée au coin à exposer tes fesses rougies à tout le monde. J'espère que ça te fera réfléchir.
Je te mettrai au lit suffisamment tôt pour que tu aies ton compte de sommeil. Plus question de réveils tardifs. Je vais te surveiller bien plus étroitement. La première chose que tu feras, ce sera de ranger ta chambre. Compte sur moi pour qu'elle soit impeccable d'ici la fin de la semaine. Je peux te promettre qu'elle le restera. S'il faut te donner la fessée chaque jour pour y arriver, cela ne me posera bien moins de problème qu'à toi.
Ton langage, ta toilette, ton obéissance, ta politesse... tout sera prétexte à une bonne fessée quand je ne serai pas satisfaite de ce que tu fais. Je ne te passerai rien. Attends-toi à recevoir la fessée déculottée plusieurs fois par semaines. Ce sera un minimum si j'en juge par ce que tu as rectifier au plus vite
.
Tes études, par exemple ! Je ne crois pas que tu aies consacré plus d'une demi-heure par jour à ton travail estudiantin. Ce n'est pas comme cela que tu vas valider ton master. Désormais, chaque soir avant de te coucher, tu viendras me montrer ton travail de la journée. Je te ferai réciter les leçons que je t'aurai données la veille. Tu vas bientôt connaître le droit par cœur.
Quand tu auras mal travaillé, ce sera la fessée. Tu vas découvrir que je suis très exigeante avec les études. C'est vrai pour mes enfants, ce le sera également pour toi.
Finissons cette fessée. Je ne me déclarerai pas satisfaite tant que tu ne montreras pas de signe évident de repentir. Ces quelques larmes qui coulent sur tes joues ne suffiront pas. Puis tu vas découvrir le coin. Je n'ai pas le temps de t'y laisser un long moment ce soir. Il est largement le temps d'aller se coucher, mais il est important que tu saches, dès ce soir, comment s'y tenir. Ce sera un lieu où tu trouveras souvent à l'avenir.
Encore une chose, ta tentative pour m'empêcher de te déculotter a fait long feu. Ce sera le cas à chaque fois. Je n'aurai aucun mal à te placer en position disciplinaire quand je l'ai décidé. Malgré ta résistance, tu as vu que cela ne me pose aucun problème. Mais je ne te conseille as de recommencer.
Quand j'estimerai qu'une fessée est nécessaire, j'attends de toi que tu la reçoives sans protester. Quand ce ne sera pas le cas, tu auras le droit à une deuxième fessée, bien plus sévère que la première.
Demain, tu vas rentrer dès que tes cours seront finis. tu te mettras au coin. Je veux t'y trouver quand j'arriverai avec les enfants. Je te donnerai alors une fessée pour avoir t'être opposée à ton déculottage. Je ne ferai rien pour que mes enfants ne le sachent pas. Il est probable qu'ils y assisteront. Puis tu les aideras à faire leur devoir, comme d'habitude. Quand ce sera fini, tu retourneras au coin jusqu'au dîner.
Il restera à solder le mensonge que tu m'as servi. Ce sera après le repas que tu en seras punie. Tu sais comment. Tu passeras la soirée au coin à exposer tes fesses rougies à tout le monde. J'espère que ça te fera réfléchir.
Je te mettrai au lit suffisamment tôt pour que tu aies ton compte de sommeil. Plus question de réveils tardifs. Je vais te surveiller bien plus étroitement. La première chose que tu feras, ce sera de ranger ta chambre. Compte sur moi pour qu'elle soit impeccable d'ici la fin de la semaine. Je peux te promettre qu'elle le restera. S'il faut te donner la fessée chaque jour pour y arriver, cela ne me posera bien moins de problème qu'à toi.
Ton langage, ta toilette, ton obéissance, ta politesse... tout sera prétexte à une bonne fessée quand je ne serai pas satisfaite de ce que tu fais. Je ne te passerai rien. Attends-toi à recevoir la fessée déculottée plusieurs fois par semaines. Ce sera un minimum si j'en juge par ce que tu as rectifier au plus vite
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Tes études, par exemple ! Je ne crois pas que tu aies consacré plus d'une demi-heure par jour à ton travail estudiantin. Ce n'est pas comme cela que tu vas valider ton master. Désormais, chaque soir avant de te coucher, tu viendras me montrer ton travail de la journée. Je te ferai réciter les leçons que je t'aurai données la veille. Tu vas bientôt connaître le droit par cœur.
Quand tu auras mal travaillé, ce sera la fessée. Tu vas découvrir que je suis très exigeante avec les études. C'est vrai pour mes enfants, ce le sera également pour toi.
Finissons cette fessée. Je ne me déclarerai pas satisfaite tant que tu ne montreras pas de signe évident de repentir. Ces quelques larmes qui coulent sur tes joues ne suffiront pas. Puis tu vas découvrir le coin. Je n'ai pas le temps de t'y laisser un long moment ce soir. Il est largement le temps d'aller se coucher, mais il est important que tu saches, dès ce soir, comment s'y tenir. Ce sera un lieu où tu trouveras souvent à l'avenir.
Grand merci au dessinateur !
Il s'agit, comme vous pouvez le deviner, de LoulouVZ, dont la production se trouve ici.
J'ai repéré quelques dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog (ce n'est pas le cas de tous !). J'aurai donc l'occasion de présenter quelques autres œuvres de son cru.
J'ai repéré quelques dessins qui cadrent avec la ligne éditoriale du blog (ce n'est pas le cas de tous !). J'aurai donc l'occasion de présenter quelques autres œuvres de son cru.
Les Mamans de substitution savant aussi sévir quand c'est nécessaire
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