mardi 27 mars 2018

Une première fessée à vingt-cinq ans

Je t'avais pourtant prévenu que si tu venais vivre chez moi, ta tante, je serai très exigeante et que je ne tenais pas à avoir chez moi un jeune homme qui croit qu'il est libre de faire ce qu'il veut sous prétexte qu'il a vingt-cinq ans.
Je sais que c'est pratique de venir vivre ici. Il n'y a rien de mieux pour suivre ton doctorat. A dix minutes de l'université, le gite et le couvert assuré gratuitement, une chambre tranquille pour pouvoir travailler, tu as tout ce qu'il te faut.
En contrepartie, je te demande juste un comportement irréprochable, d'être un jeune homme bien élevé et obéissant.
Les premiers jours, j'ai cru que c'était juste une histoire de temps, qu'il fallait que tu t'habitues aux règles de ma maison. Ta mère m'a toujours dit que tu étais un garçon irréprochable, à qui il n'était pas nécessaire de redire les choses deux fois.
Je pense qu'elle ne te connait pas bien ou alors c'est que son niveau d'exigence est bien plus bas que le mien. J'ai toujours eu l'impression, même quand tu étais petit, qu'elle était trop coulante avec toi. Elle acceptait tes négligences.
Sans doute passait-elle derrière toi pour ranger tes affaires ? Probablement qu'elle ne te demandait pas de participer aux tâches ménagères de la maison, elle devait ignorer tes écarts de langage. Et je ne parle pas de tes mensonges !

Celui que tu m'as servi mardi dernier m'a définitivement convaincue que cela ne pouvait pas durer. Rentrer à deux heures du matin, sentant l'alcool à plein nez et prétendre, les yeux dans les yeux, que tu avais travaillé toute la soirée ! Quelle impudence ! Et tu as persisté dans tes fables même quand je t'ai mis devant tes incohérences. J'ai songé à te renvoyer.
C'est sans doute ce qui se serait passé s'il n'y avait pas eu les événements de ce week-end. Je m'absente deux jours et j'apprends, en rentrant, que tu as transformé mon appartement en boite de nuit. Musique à fond jusqu'à six heure du matin ! Peu importe ce qu'en disent les voisins.
Pire encore, quand la voisine est venue, à deux heures du matin, te faire la remarque que tu empêchais tout le voisinage de dormir, tu lui as répondu de façon insolente, voire insultante. ça, je ne peux la le tolérer.
Je me suis décidée à te punir comme je l'aurais fait avec ta cousine si elle s'était permis ce genre de choses. Une bonne fessée déculottée !

Une fessée déculottée donnée par la tante

Vois-tu, cette punition va mettre définitivement les choses au point. Je tiens, pour que tout soit désormais très clair, faire impression dès cette fessée. Bien, qu'apparemment, il s'agisse de la première de ta vie, elle se doit d'être démonstrative. Comme je n'étais pas certaine que ma main nue y suffirait, je suis persuadée que la brosse  de bain produira les effets désirés.
Ton petit ego de jeune mâle doit réapprendre l'obéissance et les risques qu'il y a à ne pas suivre les règles que je te donne. A ce sujet, c'est la dernière fois que je dois menacer et batailler pour te baisser la culotte. Tu as vu que, quoique tu fasses, j'arrive à mes fins. Tu as juste gagné une deuxième fessée que je te donnerai ce soir, après le dîner. Une bonne fessée déculottée et la soirée au coin. Tu dois apprendre que, désormais, tes frasques auront des conséquences brûlantes pour tes fesses.
Je sais que ta cousine sera là. Quelle importance ? Ton petit orgueil ne s'en portera que mieux. Je n'ai pas du tout l'intention de faire mystère des fessées que je te donnerai. Tu les recevras quand elle sont méritées, là où te trouveras à ce moment-là. Peu m'importe si c'est en présence d'autres personnes.

A ce propos, dès que j'en aurai fini avec toi, tu vas aller présenter tes excuses à la voisine que tu as insultée. Tu lui expliqueras de quelle manière je t'en ai puni et que, dorénavant, je lui donne l'autorisation de te déculotter et de te fesser à chaque fois qu'elle le jugera nécessaire. Tu lui diras que je lui suggère de t'administrer une correction sur le champ pour ton insolence d'hier soir.
Ce sera ainsi avec chaque personne avec qui tu te permettras d'être désagréable ou à qui tu désobéiras. Je lui donnerai l'autorisation, non, mieux, je lui recommanderai de te donner une fessée déculottée.

Parlons de ta directrice de thèse. J'ai lu le courrier de reproche qu'elle t'a adressé. Tu as beau l'avoir dissimulé sous un tas de papier, je l'ai trouvé malgré tout. A partir de maintenant, je veux que tu m'apportes de toi-même tous les courriers qu'elle t'adressera. Quand il s'agira de remontrances, tu en seras puni. J'espère bien ne plus lire que des éloges, mais quand il le faudra ...
Je vais prendre rendez-vous avec elle. Tu viendras avec moi. Je lui montrerai sur place comment il faut s'y prendre avec toi. Inutile de te dire qu'elle aura toute latitude pour te punir quand elle le voudra.

Je vais surveiller le travail que tu produits. Quand je le jugerai insuffisant, ce sera la fessée. Sois certain que tu vas y consacrer beaucoup plus de temps. Pour commencer, tu es privé de sortie jusqu'à nouvel ordre. Je m'occuperai de te mettre au lit à des heures décentes. Tu auras non seulement le temps de travailler, mais également de faire tout ce que tu négliges : ranger ta chambre et y faire le ménage, prendre une douche tous les matins, faire ton lit, ... Tout ce que font les grands garçons responsables.

Voyons si une bonne fessée réussira à t'apprendre à être le garçon sage et obéissant que tu es censé être.



D'autres premières fois

         Tea time                                                                                  Introspection d'une fesseuse                                 
          
    Déculotté devant tout le monde                                                  Fessée avec une cuillère en bois   

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Merci à Barbara O'Toole pour le dessin que je lui ai emprunté.

2 commentaires:

  1. Bonjour ,

    Excellent récit. On attend la suite des aventures de ce jeune homme, un peu trop sûr de lui. Et puis, franchement, se faire fesser cul nu devant sa cousine, quelle honte !!!
    Quel programme ! C'est pas bien de mentir à sa bonne Tata chérie !! La tante, c'est un peu une deuxième maman quant Maman est absente ! Il faut être gentil et obéissant avec elle. Ne fut-ce qu'en remerciement de tous ces avantages.
    Question principes d'éducation, Tata et Maman, c'est différent: la première gronde, la seconde pardonne. Bien souvent.
    Ca va chauffeeeeer ! Enfin, good luck !
    Peter Pan.

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    Réponses
    1. Désolé Peter Pan,
      Pas de suite prévue pour l'instant ! C'est le lot de ces récits courts, un instantané de fessée, pris sur le vif, comme un clip littéraire.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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