Un texte de Nicolas, nouvel auteur sur ce blog. Visiblement, il connait Madame Anne Sophie. JLG
Pratiquée
jusqu’au début du vingtième siècle dans les prestigieux établissements anglais
de Cambridge et d’Oxford, la fessée va
retrouver ses lettres de noblesse à l’Université de Paris 10 Nanterre dès la
rentrée de septembre 2018.
Les
étudiants et étudiantes indiqueront lors de leur inscription ou réinscription
si oui ou non ils adhèrent à ce projet et acceptent de recevoir ce châtiment si ils l’ont mérité
par leur conduite, leurs manquements et négligences.
Le
consentement à la fessée restera un choix qui entrera dans le cadre d’une reprise
en main qu’ils devraient être amenés à reconnaître comme bénéfique.
Le non
consentement ne dispensera pas d’un recours plus systématique à des sanctions
jusque - là autorisées mais peu appliquées, pouvant aller jusqu’au renvoi pur
et simple.
On sait à
quoi a mené le laisser-faire dans l’éducation et à l’école ; on a à tort considéré l’enfant comme assez mûr pour décider très tôt et trop tôt de tout et on a abouti de façon paradoxale à
de jeunes adultes se comportant comme des gamins ; l’utilisation à grande
échelle du portable en cours par des
étudiants majeurs en est la plus flagrante démonstration.
Se croyant
libres, ils se font du tort à eux-mêmes en courant à l’échec malgré leurs capacités.
Rien n’est
pire que l’indifférence du système qui les laisse se décourager, sombrer dans
la paresse : une bonne fessée marquera la volonté de leur venir en aide.
Accepter le
principe de la recevoir sera assorti d’aides et facilités dans le parcours
d’étudiant :
- Possibilité de compenser une mauvaise note en effectuant un travail de rattrapage
- Exercices supplémentaires mis en ligne et avec le corrigé
- Possibilité de garder plus longtemps les livres empruntés en bibliothèque
- Séance de révisions avec les professeurs ou des étudiants d’un niveau plus avancé
- Entretiens avec les professeurs et avec participation d’un psychologue professionnel pour analyser les causes d’une possible démotivation, ce qui ne sera pas bien sûr pas incompatible avec la fessée, il ne s’agira pas de confondre dialogue et laxisme.
Les
professeurs prononceront la condamnation à la fessée : ce sera sans
délibération et sans appel possible et
porté à connaissance de l’étudiant qui sera convoqué pour la recevoir;
le professeur en indiquera le
motif ; il sera veillé à une bonne harmonisation, à ce que certains n’en
fassent pas un usage immodéré par rapport à leur collègues, ou au contraire
n’utilisent pas suffisamment ce recours contre l’insouciance, la paresse, le
laisser-aller, le manque de concentration.
Les fessées
seront données dans la salle de spectacles de l’espace culturel Pierre Reverdy,
bâtiment L, par Madame Anne-Sophie.
Cette
spécialiste a déjà fait les preuves de
son savoir-faire, de sa détermination, de sa juste sévérité, de son autorité naturelle.
Rappelons que cette enseignante encadre
efficacement de jeunes élèves des banlieues reconnues difficiles et bien sûr
sans leur donner la fessée ; elle
agit par ailleurs et en privé à la demande d’adultes ; le consentement des
étudiants, majeurs et en ayant fait part lors de leur inscription, ne fera
aucun doute.
Madame
Anne-Sophie officiera le mardi entre 12 :30 et 14 :00 ; elle
arrivera à la fac dès 11 :00 afin d’étudier au secrétariat les dossiers
des étudiants et bien sûr étudiantes à corriger
et de prendre connaissance des motifs leur ayant valu cette punition.
Elle sera
remplacée dans sa classe toute la journée du mardi, sans perte de salaire, et
percevra une indemnité de 300 euros par mois.
Elle restera
après les fessées entre 14 :00 et 16 :00 afin de rendre compte de son activité, de
rédiger de succincts rapports, de
s’entretenir avec des professeurs et des responsables, avec des étudiants qui
le demanderaient.
Son repas
lui sera assuré et offert.
Des séances
supplémentaires auront lieu si besoin est certains samedis matin pour les étudiants et bien sûr étudiantes
n’ayant réellement pas pu venir
le mardi.
Une chaise et
une table seront disposées sur l’estrade de la salle de spectacles afin de
répondre aux choix le choix de Madame Anne-Sophie pour ce qui est des positions :
accoudé à la table, penché au-dessus de la chaise, allongé en travers des
genoux, perché au-dessus d’un genou, etc. Ou simplement sous le bras sans
recours à aucun mobilier ; fonction
entre autres de la taille et la corpulence du puni ; ou de la punie.
Les fessées
seront données selon l’ordre d’arrivée dans la salle, un distributeur de tickets
numérotés sera à disposition à l’entrée
Il se
constituera une petite file d’attente de trois au pied de l’estrade. Les
étudiants et étudiantes en pantalon se dégraferont, se déboutonneront, se déboucleront.
Ils monteront les marches à l’appel de leur nom.
Madame
Anne-Sophie leur rappellera et à voix haute pour l’assistance le motif de la
correction, aura toute latitude pour sermonner le puni, ou la punie, puis
procèdera à la mise à nu des fesses.
En recevant
sa convocation il sera possible de demander et seulement pour une première fessée à la
recevoir par-dessus les sous-vêtements, le professeur aura alors donné son avis
et la décision d’accorder cette clémence
reviendra au final à Madame Anne-Sophie et au dernier moment. Le slip ou la
culotte devront être alors assez fins. Les fessées complètement déculottées devront rester majoritaires dans une proportion de deux tiers au
cours d’une séance.
Madame
Anne-Sophie usera de son pouvoir discrétionnaire, le nombre et la force des
impacts seront de son seul ressort. Elle jugera d’elle –même, saura distinguer
les résistances à la douleur menant à une fessée plus appuyée et prolongée, ne
se laissera pas apitoyer parles faux douillets.
Sans
humilier, elle mettra en valeur le ridicule de la situation.
Le public ne
sera pas constitué des seuls punis, garçons et filles fessés les uns et les
unes devant les autres : mais aussi de tout étudiant ayant adhéré au
projet ; on refusera les voyeurs qui n’y auraient pas souscrit en
acceptant l’éventuelle fessée.
L’information
sera assurée, la publicité sera faite autour de ces fessées publiques.
Deux membres
de l’Administration y assisteront systématiquement, et si ils sont disponibles
des professeurs, entre autre celui qui aura prononcé la peine.
Une fois sa
fessée reçue le ou la punie se rhabillera, se réajustera, et descendra
l’estrade ; et assistera aux suivantes tant que ses horaires de cours le
lui permettent.
Outre les
professeurs qui auront prononcé cette peine
pour bavardage, usage du portable en cours, travail non fait, retard, absence, les
agents d’entretien seront aussi amenés à le faire : on voit trop et
surtout au beaux jours le campus dégradé par des détritus divers résultant d’un
pique-nique ou de dégustation de boissons, alors que des poubelles sont à
disposition.
Ce projet
devrait être reconduit d’année en année ; une étude chiffrée de
l’amélioration espérée de la conduite des étudiants sera menée et publiée.
Les fessées
seront données à la main. Si toutefois un étudiant y prenait plaisir, et
faisait en sorte d’en recevoir de nouvelles, Madame Anne-Sophie à qui on ne
cache rien se chargerait de passer au stade supérieur et userait de la
douloureuse badine.
Ressources pour compléter la lecture
Si vous ne connaissez pas Madame Anne Sophie, voici le dernier texte d'un de ses patients
Etre à la fac ne dispense pas de la fessée. Certains l'ont appris à leur dépens au sein de leur famille. Y avoir de mauvaises notes peut conduire à une sanction.
Si vous croyez que Madame Anne Sophie va se contenter de fesser sur la culotte c'est que vous la connaissez mal, elle donne toujours la fessée déculottée, de plus elle est institutrice et fesse à mi temps chez elle. donc ce récit est du domaine du fantasme. mais bon pourquoi pas.
RépondreSupprimerLa fessée complètement déculotté ou déculottée restera la règle générale ; cette relative clémence consistant à ne pas aller jusqu'au bout des préparatifs vestimentaires sera peu pratiquée .
SupprimerMadame Anne-Sophie corrigeant par-dessus la culotte ou le slip, c'est déjà bien cinglant !
Le ou la punie aura quoi qu'il en soit cette appréhension de se voir mis à nu en montant sur l'estrade,il ou elle n'en mènera pas large, la décision finale en incombant à Madame Anne-Sophie.
Par-dessus les sous-vêtements : clémence suggérée par le ou la prof ! Si rien n'est précisé, ce sera à coup sûr sur les fesses nues !
La maîtresse de CP, début années soixante,dans mon école, baissait systématiquement le pantalon pour donner la fessée, mais il y avait toujours cette appréhension que cela aille plus loin ! Il arrivait que l'on attende, déjà en position et pantalon aux genoux, de savoir ce qu'il en serait ! C'était terrible, et en général on pleurait alors déjà !
Mais 'était autrefois, déjà interdit mais...toléré ! Nicolas auteur de ce texte
Bonjour,
RépondreSupprimerEffectivement! Plutôt amusant ce récit fiction. Surtout à l'heure où beaucoup de facs se mettent en grève, sans doute pour protester contre ces mesures disciplinaires.( rires) Par contre, c'est vrai que madame Anne Sophie n'a pas l'air de se contenter de fesser à travers le slip, et à ce rythme là elle ne va bientôt plus savoir ou donner de la fessée!
Par -dessus le sous-vêtement ou fesses nues ?
RépondreSupprimerCela peut créer une certaine émulation dans le public, et quelque angoisse au puni ou à la punie.
Cela peut pimenter l'attente de la fessée.
Pour la fessée en slip ou en culotte Madame Anne -Sophie s'arrangera pour positionner de façon à ce que l'on voie alors bien les mimiques, cela changera de fixer son attention sur les postérieurs.
Et la règle générale reste "cul nu".