dimanche 4 mars 2018

Chez Madame Anne Sophie - 2ème récit de Vincent

Après une première visite chez Madame Anne Sophie, marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.
Les choses ont été un peu différentes car la première fois j'ai découvert, à mes dépends, le plaisir d'être fessé par une institutrice que je découvrais en franchissant la porte et qui m'a  allongé sur ses cuisses alors que cette fois-ci, j'étais en terrain connu et elle aussi. En effet elle avait pu tester ma résistance aux claques et connaissait parfaitement le degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. De mon coté, j'avais toute confiance en elle car elle m'avait bien puni et je connaissais bien ses cuisses pour y avoir fait quelques aller-retour.


Il fut décidé que je serai convoqué dans son pensionnat où, en tant que directrice, elle corrigeait les vilains garnements. A cet effet je reçus la veille un mail assez explicite sur notre prochain rendez-vous :

Tu es convoqué jeudi chez la directrice du pensionnat. Tu seras corrigé comme tu le mérites. Ton professeur de français a rapporté à la directrice que tu étais insolent et que tu n'apprenais pas tes leçons. Tu recevras alors la fessée déculottée dans le bureau de Madame la directrice. Tu iras ensuite au coin. Après la correction tu iras au dortoir et tu t'expliqueras sur les bêtises qui te sont reprochées. Tu recevras la fessée le pyjama baissé et tu iras ensuite au coin à genoux devant toute la chambrée.
A jeudi
Madame Anne Sophie. 

Puis dans la foulée un autre mail sur mes leçons à apprendre :

Bonjour Vincent.
Je te demande de revoir la conjugaison des verbes du deuxième groupe à l'imparfait et au présent. Revois également les règles sur a/à, et/est, ou/oú et ont/on. Si jamais tu défailles tu recevras la fessée jeudi.
N'oublie pas de venir avec ton pyjama car le pensionnat n'admet pas que les élèves dorment en slip et encore moins tout nu.
Bonne journée 
Madame Anne Sophie

On peut dire que les mails reçus ne laissaient pas le moindre doute sur la sévérité des corrections que Madame Anne Sophie avait prévues pour moi. Tout fébrile je lui répondis :
Madame,
Je vais réviser ma conjugaison pour jeudi et je n'oublierai pas mon pyjama. On m'a libéré entre 15H et 18H. Dites-moi l'horaire qui vous convient le mieux.
Au plaisir de vous revoir dans votre pensionnat.
Bonne fin de journée
Vincent

Plus on se rapprochait de la convocation plus je m'imaginais Madame Anne Sophie avec son tailleur chic et son air sévère me menacer avec sa main d'une bonne rossée. J'avais besoin qu'elle me gronde, me menace. C'est bizarre, plus on se rapproche de la correction et plus on veut qu'elle soit méritée, annoncée et promise. Je lui envoyais un mail la veille au soir :

Chère Madame,
Vous m'avez convoqué demain dans votre pensionnat.
A cause d'une mauvaise note, le professeur de Français m'a prévenu de votre grande sévérité. Sur mon carnet de correspondance il a été noté que j'étais un élève dissipé, insolent et pas toujours appliqué. Je redoute ma visite dans votre pensionnat, il parait que vous grondez et donnez de bonnes fessées.
D'autres élèves m'ont raconté que vous donnez de sévères fessées déculottées. Pas sûr que vous puissiez me déculotter, j'aurai trop honte de vous exposer mes fesses. En plus je n'ai pas assez révisé, je redoute vos dictées et je vais probablement être corrigé. On m'a dit que vous donniez le martinet, cela doit faire mal sur des fesses dénudées. Et en plus je suis assigné à la sieste, je devrai mettre mon pyjama. Comme un petit garçon je vais redouter la fessée déculottée en travers du lit.
Je vais devoir demander pardon, vous supplier de ne pas me baisser ma culotte.
Mais je ne me fait pas d'illusion je vais l'avoir ma déculottée et mes fesses vont bien déguster.
Sur ce, je vais me coucher, avec une envie de vous retrouver. Rouge de honte et bien sermonné, je vais recevoir de sacrées fessées déculottées comme vous savez les donner à un garnement insolent.
Bonne soirée et à demain Madame Anne Sophie, la Directrice du pensionnat.

Le jour J arrive. Je sonne à sa porte. Madame Anne Sophie me reçoit aimablement et me demande de déposer mon manteau et d'enlever mes chaussures. A la différence de la dernière fois, elle se montre tout de suite très sévère et en entrant dans le salon se met à me gronder sur ma conduite impardonnable à l'école.
« Alors comme ça tu fais le pitre en classe, tu as de mauvaises notes et tu es insolent avec les professeurs, tu sais ce que cela mérite ? »
– Non Madame, je ne sais pas, dis-je tout penaud »
– Tu mérites une bonne fessée »
– Non pas question »
Je suis interrompu par une volée de claques sur mon pantalon. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton encore plus sévère
«  Baisse ton pantalon que je corrige tes mauvaises manières"
A ce moment je décide de me rebeller je refuse de me déculotter. Madame Anne Sophie me menace plusieurs fois d’un châtiment exemplaire. Je ne bouge pas. Elle se rue sur moi m’immobilise et me coince sous son bras. Elle me claque les fesses et déboutonnant mon pantalon elle me le  baisse en vitesse. Elle me dirige vers sa chaise et d'un mouvement énergique me bascule en travers de ses cuisses. Je suis surpris par la poigne de la Directrice et je pose mes mains tendues sur le sol.  Elle me donne une bonne dégelée sur mon caleçon.
« Je vais t'apprendre à m’obéir, tu vas recevoir une fessée déculottée des plus cuisantes »
Elle me baisse le caleçon et me donne la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme un sale garnement. Après une trentaine de claques, elle me relève, je remonte mon caleçon et elle me met au coin. Je reste au coin culotte baissée pendant cinq minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.

Pendant que je suis au coin je me montre assez impertinent
-Vous ne pouvez pas faire çà Madame »
-Tais toi, silence, je ne veux pas t’entendre, sinon gare à tes fesses »
-Je refuse de vous écouter »
-Dernier avertissement jeune homme, la prochaine fois c’est le martinet ! »
-Mais Madame… »
La sanction tombe, cela sera le martinet. Madame Anne Sophie me reculotte me tire par le bras me fait agenouiller sur la chaise bras tendu sur le dossier. Elle baisse mon caleçon. J’attends fébrile le cul nu ma correction. Elle brandit le martinet et me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues.
« Puisque tu continues à me désobéir, je te fesse avec mon martinet »
Une trentaine de coups frappent mon postérieur. Je suis rouge de honte et j'ai très mal aux fesses. Elle me reculotte et me dirige vers le canapé. Elle s'assied et m'ordonne de m'allonger en travers de ses genoux. Cette position est très confortable, je repose tout du long sur le canapé, les fesses bien à portée de sa main. Après m'avoir sévèrement grondé, elle me baisse le caleçon et lève bien haut sa main.
«  Décidément tu as du mal à comprendre. Tant pis pour toi, c'est la fessée déculottée »
Et la correction commence, terrible volée, une main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. La fessée déculottée c'est l'abandon total de soi, de ses barrières, on subit la punition et on a hâte que cela se termine. Après une cinquantaine de claques, je me relève et je suis conduit au coin ou je dois m'agenouiller culotte baissée sur le coussin. Quelle honte, d'être ainsi posté les fesses rougies. Jai mal et je me sens comme un enfant sévèrement corrigé.

Vient le moment de m’interroger sur la conjugaison. J’écris sous la dictée, mon caleçon baissé à mi-cuisses. Je tremble je sais que mes fesses nues sont à portée de main et que si je me trompe cela sera terrible pour mon postérieur. Et effectivement je fais des fautes ce qui provoque une magistrale séries de claques sur mes fesses nues. A ce stade, je ne compte plus les volées reçues, ni le nombre de claques, je sautille sur place encaissant les coups.

Comme après chaque correction, je retourne au coin méditer sur ma conduite.
« Tu n'as pas appris tes leçons, je vais encore devoir sévir et les petits garçons qui ne travaillent pas je leur donne une bonne fessée".
Me tirant par l'oreille, elle me bascule en travers de sa cuisse et me déculotte. J’attends résigné ma nouvelle punition.
« Tiens tu vas la prendre ta fessée déculottée mon cher enfant. »
Joignant le geste à la parole elle me donne une volée retentissante. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je trépigne et je ne peux retenir mes larmes. Elle me fesse pendant de longues minutes, je me demande comment elle fait pour avoir une telle endurance.

La fessée se termine, je me relève, elle me conduit au coin. Après quelques minutes, elle me conduit dans la chambre avec mon sac contenant mon pyjama.
« Maintenant tu te mets en pyjama et tu te reposes, je reviens dans cinq minutes et si tu n'es pas allongé je te flanque une bonne correction cul nu, compris? »
– Oui Madame »
Je me change en vitesse enfilant mon pyjama en coton bleu et blanc par dessus mon caleçon. J’ai l'air d'un petit garçon dans un dortoir, je suis rouge de honte. Je m’assois sur le lit, jambes repliées résigné et massant mes fesses endolories.
Madame Anne Sophie arrive sans prévenir et elle explose de colère
« Je t'avais dit de t'allonger sur le lit puisque que c'est comme ça tu vas recevoir une bonne déculottée »
Joignant le geste à la parole, elle me tire vers elle, s'assied sur le lit et me bascule sur ses genoux.
D'un geste précis elle baisse mon bas de pyjama et mon caleçon. Me voilà en travers de ses genoux, les fesses à l'air. Elle me gronde et me donne la plus grosse raclée jamais reçue, de plus en plus fort et de plus en plus vite, une fessée retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon et au bout de longues minutes, n'en pouvant plus je prononce le safe word qui stoppe immédiatement les claques. Je me relève les fesses me brûlent, je rougis d'être puni de cette façon.
« Remonte ton bas de pyjama et cette fois repose toi sur le lit en pensant à ta bonne correction reçue »
– Oui Madame »
Je suis en sanglots, allongé sur le grand lit. J'en profite pour faire une pause.

Madame Anne Sophie revient et me gronde à nouveau. J'ai le malheur de lui répondre. Très mauvaise idée....Madame Anne Sophie fond sur moi me tire en arrière en travers du lit et me baisse à la volée mon pyjama et mon caleçon.
«Tu me cherches et bien tu vas me trouver mon petit ! Je vais te donner la fessée déculottée la plus cinglante de ta vie »
Elle prend son élan et me claque vigoureusement les fesses. Cela fuse sur mon fessier, je reçois une bonne cinquantaine de claques. Je hurle, je demande pardon. Rien n'y fait quand elle a décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Après la raclée, je reçois le martinet, quarante fois. Ça fait très mal, même si elle modère la force de ses coups pour ne pas laisser de marques. Elle termine par une formidable fessée déculottée en travers de sa cuisse.

La correction se termine, je me change et je remets ma tenue de ville.
« Alors cela t'a plu mes bonnes fessées ? »
– Oui Madame, c'était encore plus cuisant que la première fois.
– C’est normal maintenant que je te connais je sais que je peux t'administrer des corrections encore plus sévères.
– Oui Madame, c'est vrai que vous avez été plus sévère, j'ai encore plus mal aux fesses que la première fois.
– Tu vois tu t'habitues vite à mes fessées, je peux fesser encore plus fort !"
Puis son ton change elle redevient charmante et plaisante
"Regarde tes fesses dans le miroir, toutes rouges mais pas de trace, contrat rempli »
– Oui merci heureusement mais vu le nombre de coups de martinet je suis rassuré qu'il n'y ait pas de marque »
« Tu sais j'aime la fessée, j'aime la donner, je la donne régulièrement alors je sais corriger comme il faut les vilains garnements. »
Moi je repars ravi de mon expérience, les fesses bien chaudes justes ce qu'il faut pour que cela soit endurable. Elle me raccompagne sur le palier avec un air espiègle.
« Repose bien tes fesses, sûr que d'ici un mois tu auras envie de me revoir et ce jour-là je te fesserai comme il faut »

« Au revoir Madame Anne Sophie je me souviendrai longtemps de vos bonnes fessées ! »


Comme quoi rien de tel qu'une Madame Anne Sophie, l’institutrice qui donne la fessée pour vous corriger quand vous avez besoin d'être recadré. Si vous y allez, soyez poli et prévenant et laissez-vous guider. Je vous promets que si vous avez besoin d'une bonne correction, Madame Anne Sophie saura vous la donner !


Un récit d'une autre visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent

Pour recevoir ou donner une fessée, déposez une annonce sur rencontres fessée

Suivez le lien pour contacter Madame Anne-Sophie 


N'oubliez pas, quand vous la contacterez, de la saluer de ma part. Je vous conseille de le faire respectueusement. Après un passage chez elle, laissez un commentaire ou proposez un récit pour partager vos impressions.

Des encouragements, des réactions, des appréciations ?

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50 commentaires:

  1. Bonjour Mr Vincent,

    En lisant votre récit, je suis époustouflé par votre endurance mise à rude épreuve. J'imagine que la condition première est d'être de bonne constitution pour "affronter" Madame Anne-Sophie et son programme de "recadrage scolaire".
    Il y a une quinzaine d'années, j'avais envisagé de rencontrer une "Dame fesseuse" pour assouvir ce "besoin de fessée". Mais avec le temps, les choses ont évolué et mon physique ne m'a pas facilité les choses. Bref, cela n'a pas abouti.
    Alors d'une certaine manière, depuis cette époque, mes saynètes me permettent, par l'intermédiaire de mon personnage, Gérome, de vivre "mes " fessées sur papier glacé". Mais rien ne vaut de vivre l'action dans le monde réel, me direz-vous. Certainement.
    Mais comme le dit le proverbe fort justement : "faute de grives, on mange des merles". Alors...
    Bon Dimanche. Peter Pan.

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  2. Mon cher Vincent, quel incroyable récit. je dois dire que le scénario prévu avec votre fesseuse a été bien choisi, vous avez expérimenté la honte d'un puni de 12 ans dans la peau d'un adulte, c'est assez remarquable? mention spéciale à la séquence en pyjama. continuez Vincent de nous raconter vos aventures de fessées.

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  3. Chers amis du Blog,
    Quelles splendides fessées! Un véritable festival! Et quelle belle endurance des deux côtés. Tout y est. La préparation psychologique la formidable séance de fessées, et l'échange d'impressions en conclusion avec la perspective d'une autre séquence encore plus sévère! Oula la!... ça décoiffe! Ou plutôt ça déculotte!
    Pour revenir sur ma fumeuse référence à la chanson de Brassens " Quatre vingt quinze pour cent" ( voir commentaire sur le dernier dessin de Peter Pan) , c'est pour le coup que notre ami se fait sérieusement "dérider les fesses!"
    Il faut être pourvu d'une sacrée paire pour résister à une telle force de frappe. Madame Anne-Sophie décidément, infatigable ( au moins cinq ou six fessées consécutives, je n'ai pas compté)) et impitoyable souveraine en la matière, fait le démonstration d'une puissance de feu ravageuse. Ce que c'est que la passion!
    A se demander comment elle peut fesser encore pus fort, comme elle le promet!
    Mal au fesses pour Vincent rien que d'y penser, mais curieux d'en lire le récit.

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    1. Bonjour Ramina
      si, elle le peut. Il suffit de faire références a une correction qu'elle a administrée en janvier 2018.
      voir "Une visite chez madame Anne Sophie 2e partie", le commentaire de anonyme du 17 janvier 2018.
      J'observe dans la 2eme punition de Vincent des instruments n'ont pas été utilisés.
      Vincent sera moins arrogant quant il recevra plus que les 70 coups de martinet qu'il a recus et qu'il subira la canne... j'espère la prochaine fois
      Jean pierre

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    2. Cher Anonyme, je ne sais pas si vous faites référence à vous dans le commentaire du 17 janvier mais laissez moi clarifier les choses. Libre à chacun de déterminer jusqu'au il veut pousser la douleur mais dans mon cas je ne cherche pas la performance, je recherche avant tout le plaisir du jeu et je suis souvent étonné de pouvoir endurer de telles corrections. Je ne cherche pas à souffrir à avoir des marques, simplement j'estime que je mérite souvent de bonnes fessées pour m'améliorer. Vous semblez etre tenté par des corrections très sévères allez voir une domina ou demander à Madame Anne Sophie de vous tanner le cuir vous verrez elle peut aussi vous faire très mail c'est à vous de voir. Si ce n'est qu'un fantasme comme on peut le supposer alors passer votre chemin cher anonyme?

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    3. Bonsoir,
      N'oublions pas que le "mécanisme de l'humain" est très efficace. Dès que le corps ressent une douleur persistante, il secrète des endorphines, une molécule proche de celle de la morphine, qui atténue la douleur, qui l'endort.
      Quand une fessée monte en sévérité progressive (déculottage progressif, chauffage des fesses à la main avant de passer aux instruments, ...), c'est pour faire monter le taux d'endorphines dans le sang.
      Dans une fessée, tout se joue dans les premières 10 à 15 minutes, avant la sécrétion des endorphines. Après, la douleur provoquée par une fessée est supportable.
      C'est d'ailleurs l'un des inconvénients de la fessées avec des instruments qui peuvent blesser ou créer des contusions importantes. Le ou la puni peut, à la longue, ne plus en ressentir tous les effets, y compris jusqu'à la blessure.
      Une fessée punitive se doit donc d'être brève et intensive et administrée directement sur les fesses nues pour faire monter la cuisson rapidement.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Chère Ramina,merci pour votre commentaire. Oui effectivement j'ai recu de bonnes fessées qui m'ont bien rougi mais étant un homme sportif et d'age mur ce n'était pas insupportable car Madame Anne Sophie savait parfaitement doser les coups et s'adapter. c'est plus facile de supporter 5 petites fessées qu'une fessée de 15 minutes longue et forte c'est la toute la magie du cérémonial avec des sas de décompression au coin pour reposer ses fesses. Au final 3 heures de cuisson ce qui est bien suffisant pour s'en souvenir.

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  5. Cher Vincent, bravo pour votre témoignage, je dois dire que vous nous avez fait vivre des aventures flash back dans un pensionnat très réjouissantes. Vous décrivez assez bien le sentiment de honte et de résignation face à votre correctrice et on s'imagine à votre place cela a du être cuisant.

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  6. Ou la la c'est Vincent au pays de la fessée, magique les corrections de Madame Anne Sophie,elle va devenir célèbre dans tout Paris. Continuez mon cher Vincent de nous régaler de vos aventures car il faut du courage pour accepter un tel châtiment et oser le raconter.

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    1. N'oubliez pas mon cher Jacques, que tout cela est foit sous le sceau de l'anonymat. Parions que Vincent soit un pseudonyme, comme Josip Le Gall l'est.
      C'est l'un des avantages d'internet qui permet d'exposer des situations que la vie normale de chacun de nous n'autoriserait pas. Nous avons tous que cela n'a pas que des avantages, mais dans le cas particulier, si.
      Au plaisir de vous lire/

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  7. Bonjour à Tous,
    J'avoue être très intrigué par cette Madame Anne-Sophie et j'envisage très sérieusement de la rencontrer, aussi j'aimerais beaucoup savoir à qui et à quoi cette Dame ressemble. Vous qui l'avez rencontrée pourriez-vous m'aider ? si joint un lien vers une page contenant moult photos de dames sévères parmi lesquelles vous pourrez faire votre choix.
    je précise ma demande : il ne s'agit pas de dévoiler la personne ou son identité mais juste de nous dévoiler un peu sa personnalité et ce qu'elle dégage.

    salutations
    le lien vers la page :

    https://www.pinterest.com/robertmacki1611/spanking-ladies/

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    1. Bonjour Garnement 36,
      Parmi toutes les phots qui figurent sur la page où mène votre lien, vous enlevez toutes celles qui se présentent en jupe très courte en pantalon moulant ou en décolleté plongeant et celles qui se sont déguisées en professeure à grande toge ou en agent de police. Ce ne sera pas un jeu pré érotique.
      Vous gardez celles qui vous semblent avoir entre 45 et 50 ans qui ne semblent pas amusées par les frasques d'un garçon quel que soit son âge et celles qui ont des lunettes pour en rajouter à l'air sévère.
      Si vous n'avez jamais été déculotté en raison de vos écarts ni senti de coups de canne ou de martinet sur vos fesses, vous serez servi sans que vous ayez votre mot à dire. Rien de votre punition ne sera négocié. C'est elle qui décide, elle qui a pleine autorité sur vous.
      Ce ne sera pas un jeu, mais une punition.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Madame Anne-Sophie6 mars 2018 à 19:42

      Bonsoir les garnements!
      Certains s'interrogent à propos de cette énigmatique madame Anne-Sophie.A quoi ressemble t-elle?Est-elle vraiment institutrice?Est-elle grande,grosse,jolie..?
      Alors je vais vous répondre brièvement.

      Je suis professeur des écoles depuis plus de vingt ans.Je suis une femme élégante,intelligente,franche,simple et sophistiquée à la fois,et suis aussi modeste��.
      Avec les grands garnements je peux me montrer sévère,autoritaire mais toujours juste et bienveillante.
      Pour celles et ceux qui souhaitent voir à quoi je ressemble je les invite à venir chez moi;je les recevrai en toute simplicité c'est à dire en travers de mes genoux!

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    3. Bonjour Madame Anne-Sophie,

      Je suis tout à fait d'accord avec l'avant-dernière phrase de votre commentaire. En particulier avec les mots "sévère" et "bienveillante".
      Il me semble que ces traits de caractère sont la condition essentielle pour mener à bien une punition.
      La sévérité fait prendre conscience de l'ampleur de la bêtise commise, appuyée en cela par la douleur physique.
      La bienveillance, quant à elle, est le cadre nécessaire à son bon déroulement. Elle permet de se montrer autoritaire sans excès. Et la personne qui corrige a le privilège aussi d'accorder son pardon, qui réintègre la personne punie dans son estime. Une étape aussi importante que la punition.
      D'une certaine manière, les compteurs sont remis à zéro jusqu'au prochain excès... de bêtises !
      C'est ma vision d'une punition justement administrée.
      Bonne journée.
      Peter Pan.

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    4. Cher Peter Pan, vous avez bien décrit les mots sévère et bienveillante mais comme vous n'avez jamais rencontré Madame Anne Sophie(sauf à travers mes aventures) Je souhaiterai préciser certaines choses : Madame Anne Sophie est très sévère ,elle ne supporte pas la désobéissance, le mensonge et les bêtises. Elle sait se montrer très autoritaire inutile de résister, de tenter de l'amadouer. Quand une fessée est promise c'est qu'elle est méritée et cette institutrice qui vous a semblé si aimable et sympathique au téléphone fronce les sourcils et vous déculotte si vite que vous n'avez pas le temps de réaliser que la fessée déculottée commence. Ele peut être très claquante et cuisante, ni les cris, ni les pleurs ne la stoppe c'est bien fait pour vous.
      Madame Anne Sophie est aussi bienveillante dans le sens ou elle stoppe la correction une fois le mot de passe prononcé ou elle diminue l'intensité des claques. Elle explique toujours la raison pour vous punir et sais vous consoler à la fin avec beaucoup d'humour. De plus elle sait se montrer juste si une faute avouée n'est pas si grave, elle peut vous pardonner sans donner de fessée. Cher Peter Pan le mieux c'est encore d'aller la voir elle s'adapte à la demande de chaque puni.

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    5. Bonsoir cher Vincent,

      Merci pour vos mots d'encouragement. Mais cela mérite réflexion.
      Il s'agit aussi bien de ne pas décevoir Madame Anne-Sophie que moi-même. Un obstacle de taille pour moi cependant: mon physique. Je ne suis pas sûr de pouvoir "tenir la distance".
      J'ai raté le coche il y a une quinzaine d'années et il me serait très difficile de pouvoir réaliser ce fantasme à présent. Il me reste le côté virtuel, au travers de mes saynètes.
      Piètre compensation, me direz-vous. Certes. Mais c'est moi qui, au final, tient la baguette et fait chanter les instruments ! Alors musique, Maestro !
      Bonne soirée. Peter Pan.

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  8. Cher Monsieur, Avant de vous décider et de la contacter soyez sur que si vous allez la voir, vous devrez avouer vos bêtises et vous devrez être pret à être sévèrement corrigé et cela demande un certain effort pour se projeter dans la peau d'un ado de 12 ans qui mérite une fessée. Madame Anne-Sophie à un air strict et c'est elle qui commande et vous qui devez obéir et pas question de dire stop , d'arrêter la correction. Quand elle vous tire par l'oreille au début de la séance c'est elle qui mène la danse et vous qui devez supporter les fessées, mise au coin.. Soyez donc sur de vouloir être corrigé avant de la contacter , elle est très sévère et gare à vos fesses.

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  9. Encore plus fort Monsieur Vincent, déjà la première fois vous avez osé vous faire corriger pour des bêtises d'adultes et cette fois-ci vous avez pousser le jeu (car nul doute qu'il s’agit d'un jeu de rôle entre adultes consentants) jusqu'à devenir un pensionnaire et tomber sous la férule d'une correctrice experte. On lit beaucoup de textes sur ce blog ou les pensionnaires reçoivent la fessée déculottée mais cela reste des histoires inventées, rien à voir avec votre témoignage poignant. Mais Monsieur Vincent qui a décidé d'un tel scénario vous ou Madame Anne Sophie ?

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    1. Chère Amélie,
      Effectivement, la plupart des textes sont des fictions et il y a quelques histoires vécues. C'est l'origine même du blog : publier des récits de qualité sur la fessée déculottées donnée par des femmes à d'autres adultes de sexes divers.
      il est d'ailleurs facile de repérer les unes et les autres en sélectionnant le libellé "histoire vécue".
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  10. Cher Vincent, je me délecte (et j'avoue être un peu planqué quand je dis cela) de vos aventures fessuesques. j'espère que le blog va publier d'autres récits chez Madame Anne Sophie. Je pense que le fait qu'elle soit une vraie institutrice doit l'aider à asseoir sa légitimité de correctrice.A ce jeu elle semble avoir la main d'une experte de la fessée. A bientôt Monsieur Vincent

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    1. Cher Aristide,
      Il y a huit articles reprenant des visites réelles chez Madame Anne Sophie, plus quelques compte rendus rapides dans des commentaires.
      Dans la barre de recherche "rechercher dans ce blog", presque en haut à droite de cette page, tapez "Anne Sophie", vous devriez les trouver.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  11. Bonjour Vincent,
    Super témoignage qui donne envie d’y aller...
    Petite question pratique cela doit faire un bruit fou, vous avez croisé les voisins en partant ?! Cela peut être une situation assez délicate...
    En tous cas bravo pour ce magnifique récit.

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    1. Cher Henri, c'est marrant que vous posiez la question car c'est la première chose que j'ai demandé à ma correctrice. Elle m'a répondu pas de problèmes de bruit ou de plaintes des voisins. Certains doivent se douter de ses pratiques mais elles n'a pas cherché à s'en cacher. Elle prend quand même soin de choisir des horaires de journée et ne déborde jamais le soir. Non je n'ai pas croisé les voisins, sachant que je me suis fait assez discret.Le moment qui pourrait sembler comique c'est quand j'ai du admirer mes fesses rouges dans le miroir en face de la fenêtre ou il y aurait pu avoir du monde en face. Heureusement non la situation d'être cul nu et fesses rougies était suffisante pour moi. Merci pour votre mail.

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  12. Bonjour les mais du blog, je ne vois pas de récit de fessées de femmes. Madame la fesseuse ne fesse pas les femmes ou les femmes n'osent pas aller la voir ? Vincent lui n'a pas froid au yeux et du coup après il a chaud au fesses hi hi...

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    1. Madame Anne Sophie6 mars 2018 à 18:48

      Bonjour Estelle,
      Rares sont les femmes qui viennent recevoir la fessée.En revanche il m'est arrivé plus préquemment de donner la fessée à des couples.
      Le mois dernier un monsieur est venu avec sa femme et m'a demandé de donner une bonne fessée à son épouse.Ce monsieur est resté assis dans le canapé et n'est pas intervenu au cours de la correction.
      J'accepte de corriger les femmes mais très peu me sollicitent ;peut-être n'osent-elles pas ou préfèrent -elles se retrouver en travers des genoux d'un homme!

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  13. pourquoi n'iriez-vous pas faire une séance chez anne sophie et nous faire part de votre expérience?ca inciterait peut-être plus de jeunes demoiselles a franchir le pas.

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  14. Bonjour à tous, ( parce qu'il y a de plus en plus de monde sur le blog!)
    Très drôle Estelle pour le coup de chaud en plein hiver!
    Les récit des fessées de Vincent ou Anonyme par Madame Anne Sophie,( qui décidément fait un malheur!) font sensation et suscitent de nombreux commentaires. Pour ma part j'en vois de deux sortes qui émanent de deux manières différentes d'appréhender le phénomène de la fessée.
    Il y a ceux qui vont au bout, passent du fantasme à la réalité, franchissent le Rubicon de la fessée pour se faire réellement et sévèrement corriger. Ceux là qualifiés de courageux, attirent le respect pour entamer une démarche peu évidente aux autres (dont je fais partie) restés sur le simple fantasme. Pour ces derniers le passage à l'acte est d'autant plus impressionnant qu'ils n'imaginent pas le vivre autrement que par l'imagination.
    Mais l'expérience du vécu ne détruit-t elle pas le fantasme?

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    1. bonjour Ramina,
      pour avoir depuis longtemps franchi la barrière entre le fantasme et sa réalisation je peux vous dire que non l'expérience du vécu, si il est bien vécu, ne fait qu'enrichir le fantasme. Et dans la vie il ne faut pas avoir de regrets ! c'est en tout cas ma philosophie.
      amicalement
      Georges

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  15. Bonjour Ramina, et vous tous amis du Blog...

    Je suis tout à fait d'accord avec vos propos.
    Chacun (et chacune ?) d'entre nous balance entre fantasme et réalité.
    Le "passage à l'acte" demande du courage, d'outrepasser sa fierté et une bonne résistance physique évidemment.
    J'avoue que l'idée m'a tenté il y une quinzaine d'années mais je ne l'ai pas concrétisée.
    J'ai décidé d'entamer ma propre "thérapie" (bien que ce mot ne me convient pas vraiment mais bon...) et mes " séances de fessées" se déroulent désormais sur papier à dessin.
    J'ai un avantage certain cependant : je réalise ma punition à travers Gérome, mon personnage, et mon alter-ego en quelque sorte. D'une certaine façon, le fantasme est concrétisé. Chacun sa méthode.
    Bonne journée. Peter Pan.

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  16. Bonjour je lis vos commentaires et je tiens à partager avec vous ma petite expérience de la fessée que je pratique depuis un an. Le fait de le vivre a été pour moi une vraie délivrance moi qui était dans le virtuel cela m'a fait beaucoup de bien et bizarrement je n'ai pas ressenti de honte. Ce qui est le plus dur c'est de ne pas pouvoir partager avec son entourage après tout on va chez le masseur, le coiffeur alors pourquoi pas dire chérie je suis allé chez ma fesseuse, entre la poire et le dessert cela risque de jeter un froid.
    A priori en Angleterre, les gens sont plus ouverts il y a même des pensionnats qui vous accueillent pour une nuit ou plus. POur finir je dirai que le plaisir de la fessée vient de de l'inconnu,on ne sait jamais quand cela va s'arrêter, quand est la prochaine, dans quelle position avec quel instrument; se faire prendre par la main et s'abandonner pendant un temps à votre correctrice est un moment unique et en fait une expérience à part.

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    1. Bonsoir Norbert,
      Que diriez-vous de décrire, en vue de publication, un témoignage sur une situation vécue avec votre fesseuse ? Cela illustrerait probablement le propos intéressant que vos avez rédigé ci-dessus.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  17. je ne suis pas à même de vous rédiger un témoignage complet mais je peux vous raconter une annecdote. je suis chef d'entreprise d'une PME, je dirrige une boite de 500 personnes et c'est moi qui commande dans tous les sens du terme; je me déplace souvent en France et à l'étranger et je suis un chef juste mais parfois un peu autoritaire et exigeant. Personne ne peux me contrarier, n'ose me dire des choses donc c'est parfois difficile de rendre du recul. Un jour j'ai décidé d'aller voir une fesseuse professionnelle en Angleterre pour lui expliquer mon problème. Elle m'a proposé de m'améliorer en me prenant en main une fois par mois pendant un an. J'ai accepté et j'ai été ravi car quand je vais la voir je ne suis plus le patron mais un homme qui doit justifier son comportement avec ses collègues et expliquer les fautes commises pendant le mois en cours.Ma fesseuse se montre juste mais extrêmement sévère, elle me corrige comme un enfant, me gronde, me met au coin me donne de bonnes fessées déculottées jusqu'au pleurs et surtout me fesse avec sa canne et son paddle, ce qui fait extrêmement mal. Pendant plus d'une heure je suspend mes activités pro, je connaius humiliation et honte, c'est comme si je sortais de mon corps et que j'observais le petit garçon qu'on déculotte et fesse. C'est un moment magique, je vide mes batteries et à chaque fois je repars avec une grande énergie et je suis beaucoup plus aimable et et compréhensif avec mes employés. Rien de tel qu'une bonne disciplinarian anglaise belle et sexy qui vous recadre dans le bon sens.

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    1. Bonsoir, décidément ce passage chez Madame Anne Sophie déclenche une avalanche de réactions. Je voulais dire qu'ayant un profil très proche de Norbert je le rejoins complètement sur ce qu'il écrit quand au bien que la fessée lui procure. Je suis moi meme chef d'entreprise (et accessoirement auteur de la SFID). Je vous rassure cela ne marche pas comme cela dans mon entreprise meme si parfois cela reglerait bien des problemes. D'ou la bonne connaissance de l'entreprise. Quand je decide de me faire corriger, c'est effectivement comme aller me faire masser. Avec une dimension psychologique en plus. La fessée commence et c'est une douce régression. Le stress s'envole, vous ne pensez plus qu'à la cuisson de vos fesses sans savoir la suite. Vous en sortez vidé mais apaisé.
      C'est donc une vraie therapie du corps et de l'esprit.

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  18. intéressant votre expérience avec une disciplinarian anglaise, plus difficile de pratiquer en France, les anglosaxons semblent plus ouverts.
    Je sais qu'ils organisent des stages ou week end dans des pensionnats mais j'ai l'impression que cela n'existe pas en France, amis du blog vous avez des infos ?

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  19. Votre texte cher Vincent me rappelle un peu l'époque ou j'étais agrégé et prof de maths dans les années 70. Je vivais seule avec mes trois chats dans une grande maison et je louais 2 chambres à des étudiants en math sup à qui je donnais des cours de soutien.
    Ils étaient tous les deux âgés de 19 ans et étaient très brillants mais ils ne travaillaient pas à fond leur exercices. Un jour excédée, je leur aient dit qu'ils gâchaient leur potentiel et je les aient renvoyé chez eux. Leurs parents affolés m'ont appelé et m'ont demandé de les reprendre. Je leur aient mis le marché en main ok pour les reprendre mais maintenant s'ils me désobéissent ou ne travaillent pas assez je les corrigerai comme des gamins. Les parents qui étaient aussi très stricts ont compris et ont accepté. Ainsi j'ai repris les 2 étudiants et les aient fait bosser comme des dingues et à chaque faute commise ou exercice non fait je leur donnaient de très cuisantes fessées déculottées souvent jusqu'au pleurs. et je doublait la fessée le soir avant de se coucher, histoire de leur faire bien comprendre leur intérêt.Ils sont restés 2 ans et ont reçus en moyenne chacun une fessée par semaine. Cela leur a été bénéfiques,ils ont tous les deux intégrés Polytechnique et ils m'ont remerciés plus tard de les avoir bien corrigés. La fessée recadre elle permet de punir et en général l’élève n'a pas envie de recommencer. de nos jours c'est beaucoup plus compliqué de sévir et avec tous ces écrans les jeunes adultes sont en permanence sollicités. Dur dur pour les parents!!

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    1. Dites-moi Marie France,
      Auriez vous le temps et l'amabilité de nous conter plus en détail la situation que vous a=exposez ci-dessus ? Je pense que plus d'un lecteur de ce blog souhaiterait en savoir plus.
      Transformeriez-vous cette brève en un récit ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  20. Depuis que Josip a ouvert la voie, on en apprend chaque fois un peu plus sur la sévère institutrice...
    Les deux excellents comptes-rendus de Vincent nous font vraiment entrer dans l'univers punitif de madame Anne-Sophie. Si elle est réellement institutrice, je comprends qu'elle aime à fesser, et puisqu'elle ne peut pas le faire dans son milieu professionnel, elle soigne les grands enfants, qui paient pour tous ces petits voyous qui mériteraient cela cent fois !...
    Une question m'était venue après le récit de Josip, c'était de savoir le pourquoi des déculottages et reculottages successifs. Il semble bien que ce qu'on peut appeler la "méthode Anne-Sophie", c'est de faire éprouver à son puni la honte, l'humiliation, l'émotion forte qu'éprouve tout garçon à qui une dame baisse le caleçon pour lui claquer les fesses, et ce, un maximum de fois...
    En effet, si l'on considère une séance primaire de punition, le gars arrive, : bonjour madame ; il a été vilain, la dame lui baisse le pantalon et le slip, la fessée commence. La correction terminée, le puni est envoyé au coin. Et il remet sa culotte et prend congé... Résultat, il n'a ressenti l'humiliation de la mise à nu de son derrière qu'une fois. Alors que là, il peut savourer l'instant fatal à X reprises !...

    Je me posais une autre question : est-ce que la maîtresse donne des gifles ?... Il me semble que Paul y a eu droit, qu'il raconte dans son récit en vers. Cela me semblerait approprié pour certains manquements comme, par exemple, quand Vincent refuse carrément de baisser son pantalon. La gifle est un rappel à l'ordre, une sanction immédiate. Et si la fessée est humiliante, la gifle est vexante... Légère nuance, mais qui va vers le même but dans la correction. Gifle ne veut pas dire violence, n'est-ce pas ; elle n'a pas besoin d'être forte pour faire son effet. ( Il est même indispensable qu'elle soit modérée. )

    J'aime aussi beaucoup la remise à sa place de cet "unknown" qui ne veut pas aller au coin, ni ceci, ni cela, par Madame Anne-Sophie en personne !... C'est elle qui décide des modalités de la punition, point-barre !... C'est vrai, quand même : depuis quand les garnements auraient-ils leur mot à dire sur la façon dont la maîtresse va les fesser ?...

    Je trouverais d'ailleurs aussi jouissif qu'effrayant, si je franchis un jour le pas, que Madame me punisse exactement comme elle le veut ; je veux dire, être totalement en son pouvoir. Pas de mot de sûreté non plus... C'est elle qui déciderait de la sévérité de la fessée, de sa durée et de sa force. Et si c'est trop dur, tant pis pour moi !... Quand une dame corrige son gamin, c'est elle qui sait quand la punition est suffisante ou assez sévère. Délicieuse angoisse pour le puni... Vais-je tenir le coup ?... Vais-je m'abaisser à supplier ( inutilement ) vais-je craquer et me mettre à chialer, ajoutant encore à ma honte ?... Faudra-t-il que je demande pardon à genoux et que je remercie pour la fessée ?... Que d'angoisses !...

    En tout cas, depuis que notre hôte a confié son derrière à madame Anne-Sophie, que de nouvelles expériences, et que de courriers !... C'est génial !...

    Georges 1er.

    PS : Je signe comme ça, parce que depuis ma première intervention ici, d'autres Georges sont arrivés, on peut confondre !...

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    1. je suis content que vous faites allusion à moi georges 1er.étant donné que je paie pour une prestation, c'est moi qui décide ce que je veux exactement.comme je l'ai précisé à anne-sophie,seule la cuisante fessée manuelle sur ses genoux m'intéresse.aucun instrument,pas de mise au coin(perte de temps)j'aime être corrigé comme un enfant mais sans mise en scène scolaire.

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    2. Vous avez parfaitement raison, mais le réponse de madame Anne-Sophie ne va pas dans ce sens, on dirait... Cela dit, je comprends bien votre point de vue.

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    3. Madame Anne-Sophie12 mars 2018 à 11:02

      BonjourmonsieurUnknown,
      Je vous conseille de vous acheter une machine à fesser ou de vous administrer vous même vos fessées.Comme vous dites "c'est moi qui décide",vous seriez comblé par votre "prestation"monsieur!

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    4. Réponse à un inconnu.
      Je suis régulièrement corrigé par Madame Anne -Sophie.
      Je confirme qu'elle n'est pas une machine à fessée.
      Compenser ses efforts en payant une prestation,ne nous donne pas le droit de diriger sa pédagogie.
      Méritant amplement mes punitions,de quel droit je lui ordonnerai quoique ce soit.
      Les rapports fesseuse-fessé(e) doivent être dans le plus grand respect mutuel et il l'est entre nous.
      J'écris ce court article pour corriger des propos délétères et insultant à son encontre.
      Pierre

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    5. en réponse à votre réponse pierre,

      j'ai 46 ans et pratique la fessée avec hommes et femmes depuis mes 15 ans.après un bref entretien expliquant précisément à mon fesseur(se)ce que je désire,on passe à l'action.si on est pas en accord,il n'y a pas de session.si il y a une séance c'est qu'on est en parfait accord.je procède tjrs de cette façon!donc aucun ordre de ma part,un parfait respect entre nous deux.j'ai juste exprimé que tout le cinéma qui précède la fessée et les mises au coin ne sont pour moi qu'une perte de temps.je préfère passer à l'action de suite.nous sommes des adultes!je préfère d'autres scénarios plus adultes.tout ceci pour dire,je ne vois pas en quoi j'ai été insultant envers anne-sophie.quand à elle,le fait de me conseiller de me fesser moi-même c'est juste n'importe quoi.

      cordialement

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    6. Mon cher Unknown,
      Je comprends votre façon de pratiquer la fessée et je n'ai pas à avoir d'avis sur vos choix. Il y a autant de façon de donner la fessée que de contexte dans lequel elle se donne.
      Si on replace vos commentaires dans le cadre de ce blog et de sa ligne éditoriale : la fessée punitive, il me semble que vous passez à côté d'éléments essentiels.
      Une fessée punitive, ce n'est pas seulement un châtiment qui embrase les fesses du puni. Cela, on le retrouve dans bien des pratiques.
      La fessée punitive est donnée en réponse à un écart commis. La fesseuse doit alors avoir toute latitude pour corriger en fonction de ce qui en a été le motif. A ce moment-là, l'avis du puni ne compte plus. Il est soumis à une autorité qu'il ne peut pas contester et qui prend les décisions pour lui, pour son bien.
      Les à-côtés de la fessée sont alors tout aussi importants que la fessée elle-même : déculottage, mise au coin, ... et l'obéissance sans condition à la personne qui a pris en charge votre punition.
      Lorsque la fessée a été décidée, le puni se remet entièrement dans les mains de sa tutrice qui a le devoir de lui faire passer l'envie de recommencer. La punition est donc un ensemble dont la fessée déculottée occupe une place centrale, mais accompagnée d'autres moments dont la mise au coin est un passage quasi obligé, à mon sens.
      Sans doute les désaccords exprimés suite à votre intervention sur le site, viennent-ils d'une différence de contexte dans lequel les fessées sont données.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  21. En effet dans ce cas ce n'est pas la bonne fesseuse pour vous, puisqu'elle vous punirez comme une gamin de 12 ans. La mise au coin étant un sas de décompression très agréable après une correction. Si vous pratiquez depuis vos 15 ans vous n'avez pas besoin d'aller voir Madame Anne Sophie qui n'aime pas les hommes trop directifs ou pointilleux. Cela dit je respecte parfaitement votre envie de fessée sans scénario.

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  22. a aucun moment j'ai manifesté un désir d'aller voir Anne-Sophie.j'ai juste exprimé un point de vue.j'aime beaucoup la fessée avec scénario!mais d'autres scénarios,pas scolaires.je ne vais plus à l'école.

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  23. Bonjour Amis du blog, très intéressant vos points de vue sur le cérémonial de la fessée, coin ou pas, scénario ou pas je tiens à apporter mon propre point de vue qui découle de ma petite expérience. Tout d'abord il faut je crois oser la fessée, ce qui veut dire qu'il faut la mériter (pas de fessée gratuite). Pour la mériter on peux soit avouer des fautes réelles liées à notre age d'adulte (je fume trop, je glande, j'ai envie de tromper ma femme...) ou des fautes fictives liées plus en rapport à un statut d'ado de 12ans (mauvais élève, impertinence,mensonge). Libre à chacun de choisir son positionnement. De mon point de vue, il est plus facile de mériter une bonne correction quand on se place dans la peau d'un enfant pas sage car il y a une autorité naturelle qui s'exerce de la part de l'institutrice ou la tante ou la mère...qui fait que l'on ne peux qu’obéir à un adulte référent et donc c'est beaucoup plus facile de lâcher prise et de se laisser punir, gronder et fesser en suivant les ordres de sa punitrice. On se sait pas combien de fessées on va recevoir, dans quelle position, combien de temps va durer chaque correction et c'est donc un formidable moment de temps suspendu ou on ne pense à rien d'autre qu'à la cuisson de ses fesses. Je trouve cela beaucoup plus difficile d'accepter de se faire punir comme un adulte (pour par exemple perdre du poids...) dans ce cas quel intérêt d'aller au coin et d'être traité comme un enfant de 12 ans. Chacun est libre de sa propre pratique mais pour moi l'idéal est de mélanger fautes fictives et fautes réelles ainsi dans sa tête on sais qu'on mérite une bonne correction et on est prêt à l'accepter. Je finirai par souligner, comme le raconte si bien Vincent dans ses récits, que la première fessée déculottée est celle dont on se souvient le plus et que c'est assez magique la fessée surprise non prévue par votre correctrice que vous pouvez demander à la fin cela permet de finir en apothéose.

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    1. Bonjour JP,
      Le débat continue. Vous y apportez votre pierre en argumentant votre point de vue. J'ai des nuances avec ce que vous exposez.
      Je vais le développer de mon côté en début de semaine prochaine dans un article que je finalise et qui sera titré "petit précis de pratique de la fessée éducative."
      Vous me direz, à ce moment-là, ce que vous en pensez. J'espère relancer le débat.
      Au plaisir de vous lire.
      JLG.

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  24. Amis du blog bonjour, j'ai rendez-vous très prochainement avec Madame Anne Sophie pour une nouvelle séance de correction. Elle m'a prévenue que je serai déculotté et fessé dès mon arrivée, je crains le pire pour ma plus grande joie. j'enverrai à JLG le récit de mes nouvelles aventures chez madame Anne Sophie, l'institutrice qui donne la fessée.

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  25. bonsoir à vous tous...intrigué...je suis intrigué et donc je vais prendre rendez vous après avoir pris contact cet après midi...Je dispose d'une assez belle experience SM et surtout education anglaise assez possée..la Dame semble être dotée de belles qualités sur ce plan. J'ai besoin de cerebral pour que ça fonctionne...et suis peu enclin à apprécier le "direct"...Voilà..je vous dirai !

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    1. Cher Anonyme,
      Nous attendons votre avis avec impatience. Sera-t-il conforme à ceux que nous avons déjà sur ce blog ?
      Votre visite se traduira-t-elle par un récit que nous pourrons alors lire ici ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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