Une nécessaire collaboration
Soyons clairs : déculotter et fesser un adulte demande que celui-ci reconnaisse le droit de la correctrice à sévir à son encontre, ce qui signifie un degré certain de collaboration qui sera obtenu grâce à une forte contrainte psychologique, légitimant la fesseuse dans son rôle punitif. A défaut, il est très difficile, pour un adulte seul, d'en déculotter un autre qui a décidé de s'y opposer à tout prix et de le placer dans une position qui permettra de lui donner la fessée. Il faudrait alors une telle différence de poids et de force qu'elle n'est que très rarement présente.
Reconnaître l'autorité de la tutrice et savoir que la fessée imminente lui est nécessaire pour punir un de ses écarts, obligera le puni à laisser la correctrice officier, y compris si la punition est marquante par sa rigueur ou à cause du lieu où elle se déroule (devant des témoins, dans un lieu public, ...).
Le rôle social de la correctrice étant reconnu par le puni, la fessée peut se dérouler sans interférence majeure, ce qui ne veut pas dire qu'il n'y aura pas besoin de maintenir le puni en place, ses gesticulation intempestives et involontaires provoquées par la douleur due à la correction, pouvant l'amener à se débattre. Tout cela doit cependant rester dans des proportions raisonnables. C'est pourquoi la question de la position dans laquelle placer le pupille, est fondamentale.
Notons que l'emploi du masculin, dans ce texte, pour parler de la personne qui reçoit la fessée, ne dit rien sur son sexe effectif. Les réflexions qui figurent ci-dessous sont valables autant pour les hommes que pour les femmes qu'ils soient encore jeunes ou déjà plus âgés. Les correctrices, elles, comme sur l'ensemble de ce blog, sont évidemment de sexe féminin.
Notons que l'emploi du masculin, dans ce texte, pour parler de la personne qui reçoit la fessée, ne dit rien sur son sexe effectif. Les réflexions qui figurent ci-dessous sont valables autant pour les hommes que pour les femmes qu'ils soient encore jeunes ou déjà plus âgés. Les correctrices, elles, comme sur l'ensemble de ce blog, sont évidemment de sexe féminin.
Quelles caractéristiques pour une réelle fessée éducative ?
Rappelons rapidement les caractéristiques que doit avoir une fessée qui vise à parfaire l'éducation de celui qui la reçoit :
- elle doit être explicitement donnée en lien avec un écart commis par le pupille et au plus près possible du moment où il a été constaté,
- elle doit être donnée par la tutrice ou une personne qu'elle a clairement mandatée qui a toute légitimité pour administrer la punition,
- elle doit être décidée et donnée sans que le puni ait son mot à dire ni sur le lieu dans lequel elle se déroule, ni sur le moment, ni sur la personne à qui l'administration du châtiment est confiée, ni, bien entendu, sur sa sévérité et sur sa durée. Il a par contre, une obligation stricte d'obéissance pendant toute la durée de la correction. Tout manquement à cette dernière règle doit entraîner automatiquement l'administration d'une deuxième correction.
- elle doit permettre au puni de sentir physiquement l'emprise de sa correctrice, ce qui impose un contact de proximité,
- elle doit rappeler au puni qu'il est corrigé en tant que personne immature qui doit se soumettre à un châtiment qui lui est imposé pour son bien, elle a donc un caractère infantilisant marqué,
- sa sévérité doit être proportionnée à l'importance de la faute qui l'a motivée. En particulier par le recours à un instrument punitif, si nécessaire.
Nos avons là des éléments qui nous permettront d'avancer dans le choix de la position à adopter.
Dans quelle position placer le puni ?
A la mode anglo-saxonne
Je suis réservé sur les positions distantes qui permettent d'utiliser des instruments demandant du recul : penché en avant au milieu d'une pièce ou courbé sur un meuble (chaise, table, dossier de canapé ou bras de fauteuil, ...). J'ai déjà eu l'occasion de m'exprimer sur le sujet. Je n'y reviens pas.
En travers des genoux
La position pertinente pour donner une fessée punitive, consiste souvent dans les représentations communes, à placer le puni à plat-ventre, couché en travers des genoux de la personne qui administre la punition. Certes, cette position est souvent usitée et elle permet à la correctrice d'avoir les fesses de son ou sa pupille parfaitement sous la main, idéalement disposées pour y recevoir son dû. Le puni, qu'il soit homme ou femme, est placé dans une situation infantilisante qui lui fait bien prendre conscience qu'il est corrigé de cette façon en raison de son immaturité. Il est y donc mis dans de bonnes disposition pour y apprendre une leçon salutaire.
Il est assez facile d'y maîtriser son puni qui, une fois en position, n'a plus beaucoup de points d'appui pour se relever afin de se soustraire à la correction qui l'attend. Son bras replié dans son dos, en cas de besoin, le contraindra encore plus.
C'est une positon qui ne permet que peu de recul et qui limite l'utilisation d'instruments punitifs, la main de la correctrice étant placée trop près des fesses du puni, et ne laissant pas beaucoup de place pour prendre l'élan que nécessite l'administration d'une vigoureuse fessée. C'en est l'inconvénient majeur quand la fessée doit être très rigoureuse.
Commençons par les inconvénients. S'il s'agit de contraindre le puni à rester en place durant l'administration de la fessée, à moins que la tutrice soit considérablement plus forte que son pupille, ce n'est pas la bonne position. Vous ne pourrez alors lui immobiliser que le haut du corps, ce qui laisse trop de latitude si la soumission à la volonté de la fesseuse n'est pas acquise.
Le bras droit du puni bénéficiera encore d'une bonne liberté et il vous sera plus difficile de l'immobiliser que lorsque vous tenez le puni sur vos genoux. Votre bras gauche étant occupé à ceinturer le haut du corps, il ne pourra pas neutraliser le bras de votre pupille.
C'est pourquoi cette position suppose que vous soyez certaine de l'obéissance du puni que vous envisagez de fesser. Cela peut cependant être utile et se révéler, en fait, un avantage. Savoir qu'on aurait la possibilité de faire obstacle à la fessée et ne pas oser le faire, même quand elle devient particulièrement cuisante, est un exercice d'obéissance et d'acceptation de la fessée qui a son intérêt pour montrer le bien-fondé de la fessée que l'on reçoit et la légitimité de la personne qui la donne.
Remarquons simplement, comme évoqué ci-dessus, qu'il n'y a alors pas vraiment de position qui convienne pour contraindre physiquement votre puni à recevoir la fessée. S'il va au bout de ses efforts pour se libérer, il est très probable qu'il y arrivera quelle que soit la position dans laquelle vous le mettrez, mais certainement plus facilement s'il est courbé sous le bras de sa tutrice que s'il est allongé sur les genoux.
Notez que cette position permet d'administrer la fessée en tout lieu et en tout endroit. Il n'y a nul besoin de recourir à des accessoires mobiliers pour s'installer. Vous pourrez ainsi fesser votre puni aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. C'est un facteur à prendre en compte.
Voyons comment il faut s'y prendre.
Notez que les autres vêtements ne nécessitent aucune intervention préalable, tout pouvant se faire par derrière.
Plaquez-le bien contre votre hanche. Son bras gauche se retrouvera alors derrière votre dos sans possibilité de revenir dans le jeu même s'il le voulait. Il sera inutile, lui donnant le sentiment que vous êtes en capacité de le contraindre, y compris s'il lui venait à l'esprit de se rebeller. La portée symbolique de cette première phase est très importante.
Sans quitter la position dans laquelle vous l'avez mis, vous disposez d'une main pour lui baisser la culotte. Cela peut être moins facile que si vous en aviez deux, mais cela offre l'avantage de laisser le temps à votre puni de se rendre compte de l'indignité vers laquelle votre geste le conduit. Abandonnez la culotte au bas des cuisses, voire un peu plus bas.
Je vous assure qu'à ce moment-là, le sentiment d'être un jeune homme ou une jeune femme immature pour qui la fessée est le remède souverain, sera au plus fort. L'infantilisation sera totale.
C'est une positon qui ne permet que peu de recul et qui limite l'utilisation d'instruments punitifs, la main de la correctrice étant placée trop près des fesses du puni, et ne laissant pas beaucoup de place pour prendre l'élan que nécessite l'administration d'une vigoureuse fessée. C'en est l'inconvénient majeur quand la fessée doit être très rigoureuse.
Courbé sous le bras, une position à réhabiliter
Je suis frappé par le peu de situation relatées, récits, photos, dessins, où le puni est courbé sous le bras de sa tutrice, lui laissant ses fesses à disposition. C'est pourtant une position qui offre de nombreux avantages et qui permet de respecter toutes les caractéristiques d'une fessée éducative.Commençons par les inconvénients. S'il s'agit de contraindre le puni à rester en place durant l'administration de la fessée, à moins que la tutrice soit considérablement plus forte que son pupille, ce n'est pas la bonne position. Vous ne pourrez alors lui immobiliser que le haut du corps, ce qui laisse trop de latitude si la soumission à la volonté de la fesseuse n'est pas acquise.
Le bras droit du puni bénéficiera encore d'une bonne liberté et il vous sera plus difficile de l'immobiliser que lorsque vous tenez le puni sur vos genoux. Votre bras gauche étant occupé à ceinturer le haut du corps, il ne pourra pas neutraliser le bras de votre pupille.
C'est pourquoi cette position suppose que vous soyez certaine de l'obéissance du puni que vous envisagez de fesser. Cela peut cependant être utile et se révéler, en fait, un avantage. Savoir qu'on aurait la possibilité de faire obstacle à la fessée et ne pas oser le faire, même quand elle devient particulièrement cuisante, est un exercice d'obéissance et d'acceptation de la fessée qui a son intérêt pour montrer le bien-fondé de la fessée que l'on reçoit et la légitimité de la personne qui la donne.
Remarquons simplement, comme évoqué ci-dessus, qu'il n'y a alors pas vraiment de position qui convienne pour contraindre physiquement votre puni à recevoir la fessée. S'il va au bout de ses efforts pour se libérer, il est très probable qu'il y arrivera quelle que soit la position dans laquelle vous le mettrez, mais certainement plus facilement s'il est courbé sous le bras de sa tutrice que s'il est allongé sur les genoux.
La fessée sous le bras, mode d'emploi
Plaçons-nous dans une situation où l'autorité de la tutrice n'est pas contestée et où le pupille lui reconnait le droit de le corriger quand elle l'a décidé.Notez que cette position permet d'administrer la fessée en tout lieu et en tout endroit. Il n'y a nul besoin de recourir à des accessoires mobiliers pour s'installer. Vous pourrez ainsi fesser votre puni aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur. C'est un facteur à prendre en compte.
Voyons comment il faut s'y prendre.
Un préalable : déboutonner le pantalon
Le premier obstacle à franchir consiste à déboutonner tout ce qui se libère par devant si votre pupille porte un pantalon : ceinture, boutons, braguette... tout cela doit être défait avant de placer le puni en position. Il est possible de le faire plus tard, mais ce sera moins commode, vous n'aurez plus de vision sur ce que vous faites en défaisant le pantalon. Cela ne devrait pas poser de souci si l'obéissance est acquise quand vous devez déculotter votre puni.Notez que les autres vêtements ne nécessitent aucune intervention préalable, tout pouvant se faire par derrière.
Mettre le puni en position
Une fois passé cette première étape, il convient que vous mettiez votre puni en position. Passez votre bras gauche autour de sa taille, si vous comptez lui administrer la fessée de la main droite. Vous aurez ainsi ainsi rejeté ses bras vers l'avant, là où ils ne seront plus d'aucune utilité pour s'opposer à la fessée. Serrez-le fortement contre votre flanc tout en pesant de votre coude sur son dos. Il viendra naturellement se positionner de façon adéquate.Plaquez-le bien contre votre hanche. Son bras gauche se retrouvera alors derrière votre dos sans possibilité de revenir dans le jeu même s'il le voulait. Il sera inutile, lui donnant le sentiment que vous êtes en capacité de le contraindre, y compris s'il lui venait à l'esprit de se rebeller. La portée symbolique de cette première phase est très importante.
Le déculottage
Vous pouvez alors procéder au déculottage. Le pantalon, s'il n'est pas trop ajusté tombera sur les cuisses quasiment de lui-même. Il sera pertinent de le descendre plus bas, en dessous des genoux où il limitera, en enserrant les mollets, les possibilités de mouvement des jambes. Si votre punie porte une robe ou une jupe, il suffira de la retrousser et de la coincer dans son dos, soit dans la ceinture du vêtement, soit directement sous votre brasSans quitter la position dans laquelle vous l'avez mis, vous disposez d'une main pour lui baisser la culotte. Cela peut être moins facile que si vous en aviez deux, mais cela offre l'avantage de laisser le temps à votre puni de se rendre compte de l'indignité vers laquelle votre geste le conduit. Abandonnez la culotte au bas des cuisses, voire un peu plus bas.
Je vous assure qu'à ce moment-là, le sentiment d'être un jeune homme ou une jeune femme immature pour qui la fessée est le remède souverain, sera au plus fort. L'infantilisation sera totale.
Trop grand ? Trop petit ?
Vous pouvez avoir le sentiment que votre pupille est trop grand, je parle en nombre de centimètres, non en âge, pour que vous puissiez le fesser de cette façon. Il va de soi que si, une fois courbé sous votre bras, ses fesses arrivent à hauteur de votre buste, vous ne pourrez jamais lui donner une fessée efficace. Vous manquerez de recul et la position ne serait pas commode pour celle qui sévit.
Il y a une solution des plus simples : mettez-le à genoux ! Il sera ainsi juste à la bonne taille pour que vous puissiez avoir ses fesses à la disposition de votre main. Vous dominerez physiquement la situation, ce qui ne peut pas nuire pour cet exercice où vous êtes la grande personne.
Ordonnez-lui d'écarter un tout petit peu ses jambes, ce qu'il faut pour que vous glissiez votre pied entre ses genoux, plaquez son buste contre votre cuisse. Tout est prêt pour que la fessée commence.
De l'usage des instruments
Il vous arriver de considérer qu'il est nécessaire de laisser, sur les fesses de votre puni, des traces plus durables que celle que vous arrivez à imprimer avec votre main. L'usage d'un instrument punitif s'impose alors.
Votre pupille, courbé sous votre bras, sera idéalement placé pour en bénéficier. Vous disposerez du recul nécessaire pour manier la plupart des instruments s'ils ne sont pas trop longs. Cela exclut l'utilisation de la canne ou d'un fouet, mais tous les autres instruments sont utilisables.
Tout en gardant le contact nécessaire entre le puni et sa correctrice afin qu'il ressente physiquement l'emprise qu'elle a sur lui, facteur indispensable d'une fessée éducative, vous pourrez, à votre choix et selon la rigueur que vous voulez donner à la correction, chauffer les fesses au point de rendre la cuisson insupportable ou même y laisser quelques marques durables.
Tentez l'expérience avec une baguette de bois souple. Choisissez-en une de la grosseur de votre petit doigt, coupez-la à une longueur d'environ quarante centimètres. Si vous la maniez vigoureusement, elle laissera des marques sur les fesses qui n'auront rien à envier à celles que provoque l'usage de la canne.
Si vous choisissez une ceinture pour administrer la fessée, il faudra certainement en réduire la longueur en en enroulant une extrémité autour de votre main jusqu'à obtenir la longueur voulue. Elle sera encore bien assez longue pour barrer les fesses et le haut des cuisses de longues marques rouges, caractéristiques.
Un martinet, une brosse, une règle ? Le geste à effectuer sera des plus naturels.
Un martinet, une brosse, une règle ? Le geste à effectuer sera des plus naturels.
Que ce soit pour une rapide fessée d'avertissement ou pour une longue correction, que ce soit à votre domicile ou en extérieur, il serait étonnant que la fessée sous le bras ne trouve pas place dans l'ensemble des positons dans lesquelles placer votre puni pour parfaire son éducation.
Besoin de conseil pour administrer une fessée ?
Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.
Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog
Vos contributions sont les bienvenues
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Bonjour à tous
RépondreSupprimerOui , la fessée déculottée courbé sous Le Bras a l’ avantage d’orienter les fesses ou le visage larmoyant du fessé vers les personnes voyeuses.ce qui augmente fortement la honte !
Personnellement je trouve cela très efficace
J'adore être dans cette position quand je suis puni
RépondreSupprimerBaby83,
SupprimerN'y aurait-il pas une erreur ? Adorer être dans cette position ? Ce que vous recevez ne doit pas être tout à fait des punitions, autrement vous n'adoreriez pas.
Au plaisir de vous lire,
JLG.