La fessée, avec ou sans instrument punitif ?
Faut-il recourir à l'usage d'instruments punitifs pour administrer la fessée, ou n'est-il acceptable que d'utiliser la main nue ? C'est un débat qui a été lancé par Ramina et auquel je me fais un plaisir de contribuer.
La lecture de ces deux derniers chapitres incite à une sérieuse réflexion sur les méthodes de fessées employées par ces délicieuses femmes à poigne!
En effet, quelle préférence entre les fessée déculottée à la main de Céline et les fessées musclées aux instruments de Madame Simone et Madame Leroy ? Cette question "brûlante" ne mérite t-elle pas un débat argumenté entre les lecteurs de ce passionnant et malicieux blog. Un dialogue contradictoire pourrait contribuer à en développer l'intérêt entre fervents adeptes des fessées déculottées à la main et chauds partisans des fessées déculottées aux instruments? Qu'en pensez vous cher JLG? Peut on considérer ce débat lancé?
+ J'ai déjà un peu exprimé mon point de vue sur cette question mais je suis prêt à le développer.
Cher Ramina,
Considérons que vous avez lancé la débat!
Peut-on commencer par un développement de votre point de vue ? Je me ferai un plaisir d'exposer le mien ensuite. Quiconque le souhaitera, pourra s'insérer dans ces échanges.
J'attends donc, cher Ramina, votre contribution introductive.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
"Merci Cher JLG d'avoir accepté l'idée de ce débat qui, on l'espère intéressera les passionnés de ce blog. Chacun devrait pouvoir s'exprimer librement et élégamment sur le sujet. Les belle femmes autoritaires de vos récits fantasmatiques, si sévères et si efficaces pour rougir les fesses de ces messieurs méritent bien ce retour d' attention.
Oui...Il me semble qu'une fessée administrée d'une main bien ferme sur une paire de fesses déculottée tout aussi ferme, est sans doute plus attrayante, et procure davantage de sensations de part et d'autre qu'une fessée appliquée à l'aide d'un instrument. Qu'elle soit punitive, éducative, préventive, érotique ou d'entretien, la fessée à la main est physiquement plus naturelle et alimente un rapport direct, douloureux (évidement c'est le but !) mais aussi charnel, voir sensuel, entre deux parties du corps humain. Ce contact peau à peau n'existe pas avec un instrument de discipline plus brutal et insensible par nature, contrairement à la main qui fesse."
Ramina
Ramina,
Nous ne partons pas du même postulat. Comme je ne cesse de le proclamer sur ce blog, la fessée doit être une punition. Le reste ne m'intéresse pas.
Tout doit donc être tournée vers ce but : faire admettre au puni qu'il a outrepassé ce qui est admis et lui faire comprendre quelles seront les conséquences en cas de récidive. Toutefois, il est nécessaire que cela soit fait dans une atmosphère de bienveillance, ce qui paraître paradoxal, mais qui ne l'est, en fait, pas.
Donner une fessée à un adulte, c'est lui faire passer un message complexe.
La première partie peut s'exprimer ainsi : "tu n'es pas assez mature et responsable pour t'imposer une autodiscipline et respecter des règles de bon sens, tu as donc besoin de quelqu'un qui s'en charge, même si tu n'es pas d'accord". Il est alors important que la personne qui constate ces manquements, s'assure que notre puni prenne conscience de son comportement enfantin. Cela débute nécessairement par un déculottage. Je pense que cette phase est fondamentale et qu'il ne faille pas la négliger bien que ce soit souvent ce qui est fait. J'envisage bientôt d'y consacrer un article ad hoc. Dès que l'on entreprend de lui baisser la culotte, l'adulte perd ses privilèges de grande personne, pour être soumis, de la façon la plus complète possible, à l'autorité légitime d'une autre personne. "Tu te comportes comme un enfant irresponsable, je te traite donc en conséquence." Exposer les fesses nues ne contrevient plus alors à l'interdit social qui l'empêche généralement pour un adulte.
Ensuite, il faut créer le souvenir de la correction afin qu'elle s'imprime durablement dans l'esprit du puni. En général, le déculottage y a largement contribué, d'autant plus quand il s'est effectué en public. Mais cela ne suffit pas. Il faut une fessée dont les effets se fassent sentir d'autant plus que la faute commise est jugée importante par celle qui se charge de la corriger.
Il est souhaitable qu'une fessée provoque des cris et des pleurs. C'est le gage de son efficacité. Il faut donc se garder des réserves de sévérité, c'est là où un instrument punitif peut être utile. Entendons-nous bien, la main nue, pour peu qu'elle soit correctement utilisée, peut administrer de formidables fessées. Elle a cependant deux limites :
- la vigueur que la fesseuse peut y mettre. Il se peut, en particulier quand le puni est un grand garçon, que la différence de poids et de taille ne permette pas de faire suffisamment impression avec une main nue. Le recours à un instrument s'impose alors.
- la main, si elle peut infliger une cuisante fessée, ne permettra pas de provoquer durablement une cuisson persistante sur les fesses du puni. Ses effets physiques se dispersent en quelques minutes. L'instrument habilement manié laissera des marques douloureuses pour quelques dizaines minutes, pour plusieurs heures, voire pour quelques jours.
Pour finir, il s'agit également de faire comprendre au puni que la fessée lui est administrée par une personne qui prend son rôle au sérieux parce qu'elle est soucieuse de son bien. La proximité, le contact des corps est alors fondamentale. Cela suppose une proximité qui ne laisse possible que certaines façons d'administrer la fessée. Il est donc nécessaire de tenir le puni allongé en travers de ses genoux ou courbé sous le bras, serré contre son flanc. Ces positions limitent les instruments auxquels il est possible de faire appel.
Il n'est donc pas possible de tenir éloigné le puni loin de soi, afin de lui administrer une correction alors qu'il est courbé au milieu de la pièce. Cela ne lui permettrai pas de ressentir la proximité psychoaffective nécessaire à l'intégration du message qu'il est indispensable de lui transmettre.
Comme vous le voyez, l'utilisation d'instruments punitifs ne se résoud pas par un oui ou un non, c'est bien plus complexe que cela.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour JLG
RépondreSupprimerRavi de poursuivre ce débat dans la rubrique ainsi ouverte. J'espère seulement qu'il ne se limitera pas à un simple dialogue entre nous et que d'autre lecteurs y participeront.
Votre position est très claire. Ne vous intéresse que la fessée punitive et les moyens employés pour répondre à la nécessité d'une sanction disciplinaire durablement marquante. A partir de là l'emploi d'instruments se justifie naturellment.
Mais comme vous le dites dans votre conclusion, :
« L'utilisation d'instruments punitifs ne se résout pas par un oui ou non, c'est bien plus complexe que cela »
Je suis d'accord, et c'est pour cela que je n'ai pas souhaité placer ce débat sur le mode « pour ou contre » beaucoup trop simpliste,,, réducteur. J'ai plutôt parlé de préférence, en abordant personnellement le sujet du point de vue du ressenti physique, voire de l'aspect esthétique. Sensations de la femme qui administre la fessée à la main et de l'homme qui la reçoit, déculotté, allongé sur ses cuisses. Esthétique particulière d'une paire de fesses soigneusement enluminée d'un magnifique rouge écarlate sur toute sa surface
Ces messieurs indisciplinés, négligents, régulièrement fessés à la main le sont dans un contact humain physique. Celui du corps de leur fesseuse, les cuisses, le bras, la hanche, la poitrine, selon la position. En premier lieu, bien sûr, la main ! Cuisante certes, (pas assez selon vous pour vraiment punir, je comprends votre argument) mais aussi caressante et enveloppante lorsqu'elle positionne, déculotte et prend possession du fessier à corriger. Quid de ces sensations, à manier à distance un instrument sec et inerte sans autre contact que celui de la dureté d'un battoir en bois ou d'une canne blessante qui abîme les fesses. Bon, je vous entends dire, selon votre raison, que j' oublie l'aspect nécessairement punitif de la correction, Certes non, une fessée doit faire mal aux fesses par nature. Le reste est une affaire de choix de la manière et des moyens employés en rapport avec les objectifs fixés.
Je confirme cependant être sans doute plus réceptif aux cuisantes et humiliantes fessées déculottées à la main ( en public notamment) d'une implacable Madame Tolbois, comme à celles tout aussi sévères, de Geneviève ou Louisa. Un peu moins d'enthousiasme pour les fessées punitives à la règle chez les Sœurs, comme les corrections aux instruments dans les épisode de la SFID. Dures, marquantes, le corps du puni souvent attaché, immobilisé. Châtiments ou fessées? Est la même chose ?( Tiens, un autre sujet de débat!)
Vous postulez pour la meilleure efficacité des instruments dans le cadre de la fessée punitive et dissuasive. C'est juste. Les deux modes de fessée me semblent compatibles, et même complémentaires. Les fessées déculottées à la main pouvant prendre la suite d'un solide préliminaire à travers le slip, dans une progressive montée en puissance de la correction, en préparation de l'intervention des instruments.
Le déculottage jouant, comme vous le dites, un rôle essentiel dans la préparation et l'attente de la fessée. Il en sera question prochainement si j'ai bien compris.
Cordialement.
Bonjour Ramina,
SupprimerNous nous rejoignons sur beaucoup de points.
Je reste dubitatif quant aux châtiments donnés à un puni courbé au milieu d'une pièce, en utilisant à distance un instrument punitif. La canne en est l'exemple emblématique, mais c'est valable pour tous les instruments qui nécessitent une mise à distance de la fesseuse. Je crois que cette tradition victorienne repose sur un interdit du contact physique, ce qui est fort regrettable.
Une fessée, comme vous l'évoquez doit comprendre un contact physique. Il permet de formaliser la nécessaire proximité entre la punisseuse et le puni. Il ne s'agit pas seulement d'infliger une douleur, mais également de transmettre un message d'attention à celui qui est puni.
Il va de soi que celle qui a autorité pour donner une fessée à toute légitimité pour avoir accès à l'intimité du puni. Il ne saurait y avoir de prise en compte de la pudeur alors que la fessée est la règle, surtout quand il s'agit d'adultes.
Le contact entre les deux protagonistes de la fessée, autant durant le déculottage que pendant la fessée elle-même, est donc une obligation afin que la situation de punition aille au bout de ses effets.
Il n'est donc pertinent de n'utiliser que des instruments qui permettent cette proximité, donc une fessée donnée sur les genoux, ou courbé sous le bras. Une règle, un martinet, une ceinture dont la longueur aura été raccourcie, permettent d'augmenter considérablement la sévérité d'une fessée quand la main n'y suffit plus, tout en gardant le caractère intime d'une fessée, y compris quand il peut y avoir des témoins.
Par ailleurs, s'il est nécessaire d'attacher le puni, c'est que quelque chose en fonctionne pas das la relation punisseuse/puni. Il fondamental que ce dernier reconnaisse l'autorité de celle qui le fesse, ce qui n'est pas compatible avec l'utilisation de liens.
Si la fessée est un acte de justice visant à signifier une faute et à la réparer, ce qui est l'intérêt principal d'une punition, il est indispensable que la fessée aille à son terme et seule la fesseuse peut en décider, quelle qu'en soit la rigueur. Le puni doit considérer ce moment difficile comme une étape indispensable à sa rédemption. Il doit donc la souffrir sans chercher à s'y soustraire. Les entraves n'ont donc pas leur place.
Vous remarquerez que dans mes récits, ce n'est jamais le cas.
Enfin, je suis dubitatif sur les fessées progressives que vous évoquez dans la fin de votre commentaire.
J'invite, comme vous, d'autres lecteurs à donner leur avis, en espérant que nous ne seront pas dans un simple échange bilatéral de points de vue.
Au Plaisir de vous lire,
JLG.
Sur le thème de la fessée manuelle ou avec instruments, j'ai une préférence pour la "fessée à l'ancienne", manuelle.
RépondreSupprimerLe contact "peau sur peau" fait communiquer les sensations.
Certes fatigante pour la personne qui punit, mais elle donne une dimension humaine, intime, en un mot irremplaçable.
Les instruments sont très prisés par nos voisins Anglo-Saxons mais cela fait partie de leur culture familiale, je suppose.
Et puis avec un instrument,la fessée semble toujours inépuisable. Personnellement, j'ai l'impression qu'il se profile une sorte d'acharnement( un peu dans cet esprit-là).
A la main, elle revêt un caractère plus cadré, moins "robotisée", plus traditionnelle. Même si la main fatigue plus vite que l'instrument.
Voilà mon sentiment. Et la "fessée maternelle" a naturellement ma préférence.
Peter Pan.
Tout à fait d'accord Peter Pan.
RépondreSupprimerNous sommes bien au coeur du sujet. " Le contact peau sur peau fait communiquer les sensations" Dites vous. Mélange de douleur et d'émotion ( érectile parfois et pas sûr que ce soit le cas avec une canne anglaise!)) pour celui qui sent et entend une main féminine claquer sur ses fesses. Sensation aussi pour la fesseuse de mesurer la montée en chaleur de la paire de fesses qu'elle corrige et évaluer ainsi l'efficacité de la fessée administrée.
je ne suis pas loin de penser aussi à une sorte d'acharnement punitif dans l'utilisation successive de multiples instruments. Plus qu'une bonne fessée,ou même une série de plusieurs. ne serait ce pas dans ce cas un véritable châtiment qui dépasse les cadre de la simple punition?
Mais chacun trouve son compte en fonction de ses désirs. Le récit de Michel sur sa correction chez madame Anne- Sophie, qui n'y va pas de main morte, illustre de manière exemplaire la terrible efficacité des instruments de discipline. Mais loin de la savoureuse et cuisante sensation de la fessée déculottée à la main...
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerJe partage la perplexité que vous évoquez quant aux fessées données avec une succession d'instruments punitifs. Fétichisme à l'égard de ces ustensiles ? Performance de résistance à la douleur ? Je ne sais pas trop comment les qualifier.
Si je reste sur mon postulat : la fessée doit être une punition administrée par une personne soucieuse de l'éducation d'un autre adulte, la main en est l'instrument premier et le contact de la main nue sur des fesses déculottées en constitue la base. La position dans laquelle est tenu le puni en est le deuxième axiome. Je l'ai explicité ci-dessus.
Revenons sur la question de la punition. La fesseuse doit faire passer un message limpide. D'une part "puisque tu n'es pas capable de te discipliner toi-même, je dois m'en charger" et d'autre part "comme tu ne sais pas te comporter comme une personne responsable, tu as perdu tes privilèges d'adultes". A la fin de la fessée, le puni doit regretter le comportement qui l'a motivé et il doit se promettre de ne plus recommencer afin d'éviter une nouvelle correction. Une mise au coin en sera le moment privilégié.
Pour qu'elle soit effective il faut donc que se mêlent trois sentiments : la reconnaissance de l'autorité de la personne administrant la fessée, ce qui suppose de se soumettre à ses décisions quelles qu'elles soient ; la honte d'être déculotté contre son gré, en faisant fi de la pudeur et du respect de l'intimité de l'adulte ; et enfin la douleur de la fessée dont seule la correctrice maîtrisera l'intensité mais qui doit être proportionnée à la faute commise, c'est le principe-même d'une punition. A défaut, nous sommes ailleurs, une fessée érotique peut-être ou alors une séance de sadomasochisme ?
Il reste une question : est-il possible quand il est nécessaire de faire comprendre au puni qu'il vient de commettre une faute grave, à main nue, une cuisson fessière suffisamment salutaire ? Si la réponse est positive, c'est que la main suffit. Si ce n'est pas le cas, le recours à un instrument punitif se justifie.
Vous aurez noté le singulier : UN instrument.
Une fessée, pour être efficace ne peut pas s'éterniser. Elle doit être intense, mais brève. Elle doit être achevée bien avant que la production d'endorphines vienne changer la donne du ressenti du puni.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Chers JLG, Peter pan et autres amis du blog.
RépondreSupprimerAu fil des échanges les argumentaires s'affinent et les prises de position ( je ne parle pas des positions fessées !!)sont plus nuancées.
Nous sommes d’accord pour envisager la fessée sous son aspect coercitif, éducatif, avant tout comme un moyen de punition.
Si je puis me permettre ces commentaires... Vous l’abordez, Josip, sur des critères d’efficacité, d’un point de vue presque technique, rationnel, dans une relation de cause à effet entre celle qui fesse et le puni. Peter Pan évoque un rapport presque affectif en reconnaissance des fessées maternelles et d’autres femmes de son entourage qui ont contribué à son éducation. Pour ma part, j’en vois le côté, charnel, sensuel aussi , et comme vous, psychologique dans le rapport de soumission et de l’acceptation de la correction décidée par la fesseuse. Je ne suis pas non plus indifférent à la plasticité et l’aspect esthétique d’une belle paire de fesses déculottée copieusement rougie sous le feu d’une bonne fessée.
Maintenant, oui, si, effectivement, la fessée à la main suffit à satisfaire les exigences disciplinaires de la fesseuse, l'instrument ( vous faites bien de préciser le singulier) est inutile. Maintenant l'efficacité de la fessée dépend aussi de sa durée et de la force avec laquelle elle est administrée. Les fortes femmes sévère, comme on se plait à les décrire, rompues à l’exercice, peuvent, comme vous l’écrivez, administrer « de formidables fessées » en fessant fort et longtemps. C‘est ce que dit madame Tolbois dans : « Chambre chez l’habitante » ( J’ai décidément une tendresse particulière pour cette pétulante femme qui ne recule devant rien) à la Dentiste à qui elle demande de fesser son locataire :
« Evidemment, vous n'avez pas assez de pratique. Avec le temps, vous verrez, votre paume s'endurcira et vous pourrez fesser beaucoup plus longtemps et plus fort. »
Vous semblez partisan de fessées « intenses mais brèves » sans s’éterniser, pourquoi brève? C’est là que j’évoquais une progressivité dans l’intensité. La sévérité d’une punition ne dépend pas alors uniquement de sa durée mais aussi de la fréquence des fessées.? Ne vaut-il pas mieux plusieurs fessées à la main qu’une grosse avec un instrument?
Dans ce même chapitre « Chez la dentiste » ( plein d‘humour ) le malheureux Daniel en reçoit trois consécutives. Dont la troisième en prime des deux précédentes! ( Implacable et impayable Madame Tolbois!). Dans les chapitres 24/25 « Fessées en public » deux fessées déculottées à la main dont une par une amie invitée, et une au martinet! Bon, je sais, nous sommes dans un récit de fiction… mais qui s’inspire souvent de la réalité. Comme Peter Pan nous le confie dans sa dernière intervention sur ses souvenir de fessées maternelles à la main. ..
Mais, à propos de madame Tolbois et ses fessées d’enfer… à quand le retour ? Ça y est, je fais une fixation!
Pour moi une bonne fessée doit aussi passer par des instruments tel la canne anglaise
RépondreSupprimerBonjour Monsieur Anonyme,
SupprimerJe suis désolé de devoir vous dire que votre argumentaire est un peu court. Croyez-vous convaincre ceux qui ont longuement développé leur point de vue pour l'utilisation uniquement de la main mue, avec une simple phrase affirmant le contraire ?
De grâce, développez un peu votre propos !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour Oui en effet c'est un peu court, En effet pour moi même une fessée à la main ne me serait que peu salutaire pour une fessée dite punitive, donc pas assez fort c'est pourquoi j'avais mis à la canne, bien que je ne l'ai jamais reçut, disons que martinet et paddle serait un plus pour punir un homme comme moi. C'est dommage que je suis assez loin de Paris pour aller voir Anne-Sophie pour me rendre compte de ce qu'i est une bonne et vraie fessée Cordialement
SupprimerBonjour messieurs.
RépondreSupprimerLe problème que je vois avec la canne c'est que l'instrument est blessant, et peut laisser les fesses meurtries parfois presque jusqu'au sang! Celà me fait penser à la discipline du fouet sur les bateaux à voile, avec des marins au dos déchirés...Bon... Non, pas bon! Je n'ai pas d'exclusive. Un martinet,un battoir en cuir habilement maniés peuvent prolonger une fessée quand la main ne suffit pas. On peut cuire et rougir à l'écarlate une paire de fesses en laissant des marques d'instrument, certes, mais sans pour autant profondément l'abîmer comme l'implique l'utilisation de la canne. Maintenant libre à chacun d'en faire le choix.
Maintenant on s'oriente vers un autre type de débat:" La fessée est elle une simple punition ou un véritable châtiment?"
Oula la... On n'a ps fini! passionnant!
Au gré de vous décevoir Ramina j'affirmerais qu'une bonne fessée à la main peut faire beaucoup plus mal qu'une correction avec du "matériel pédagogique"!Tout est une question d'intensité et...de savoir faire.
SupprimerCertains peuvent avoir les fesses très marquées à l'issue d'une fessée manuelle,et d'autres ressortent de chez moi avec aucun stygmate d'une correction appliquée avec la canne et le martinet.
Pour moi ce n'est pas tant la question de l'usage des instruments mais plus de la sévérité de la correction. Si la fessée est soft on peux très bien les utiliser et cela reste assimilé à des corrections de type parentales rougeurs mais sans trace et bleus. Au contraire si les coups sont trop portés et la fessée trop sévère pour moi on sort du cadre de la punition et on bascule dans le BDSM ce qui n'est pas mon truc mais chacun fait comme il veut avec ses fesses !!
RépondreSupprimerBonjour,
SupprimerJe serais assez d'accord avec notre correspondant anonyme.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
SupprimerMoi aussi tout à fait d'accord. le BDSM est plus proche d'une forme de sado-masochisme. Rien à voir avec le "charme" ( parce qu'il y en , à mon avis) disciplinaire et éducatif de la fessée telle qu'on l'entend et peut l'apprécier.
Pour ma première fessée d'adulte (cf mon récit) j'étais plutôt contre l'usage des instruments, je ne voulais pas de marques,ni de zébrures et donc j'étais assez dubutatif sur l'usage des instruments mais Madame Anne Sophie m'a démontré qu'on pouvait corriger sans faire trop mal avec un martinet, une strape ou une canne, c'est une question de dosage appliqué aux nombres de coups et j'ai presque trouvé agréable les coups de martinet donc mon opinion à changer, pourquoi pas les instruments quand cela reste plus ou moins une sévère correction parentale.Pour ceux qui veulent que la cuisson dure plusieurs jours à eux de voir, moi je me contente de quelques rougeurs qui dure quand même quelques heures.
RépondreSupprimerChers internautes,
RépondreSupprimerJ'ai le plaisir de me joindre à vous grace à l'invitation de JLG
Depuis ma tendre enfance ,je n'ai reçu que des fessées à la main et uniquement par la gent féminine , la première administrée par ma génitrice à 9 ans
Agé de 65 ans , j'en reçois encore par ma compagne
Ainsi , j'ai une certaine expérience de la fessée
Vous connaissez tous le dicton " Qui aime bien chatie bien "
Pour moi , la main féminine a deux fonctions
Elle peut caresser ( signe de tendresse envers un enfant et préliminaires amoureux pour un adulte )
Elle peut punir ( gifle ou fessée selon la faute pour un enfant et fessée punitive ou érotique chez l'adulte )
Personnellement , la fessée a été salvatrice durant mon enfance et arrivé à l'age adulte je n'ai pu m'empecher de la réclamer pour toute sorte de raisons ( comportement subversif , préliminaires amoureux )
Lecteur éclectique , j'ai néanmoins un penchant pour "les Confessions de JJ ROUSSEAU " ou le philosophe nous révèle sa prédilection à etre fessé de la main de Mlle LAMBERCIER : " Comme Mlle Lambercier avait pour nous l'affection d'une mère, elle en avait aussi l'autorité , et la portait jusqu'à nous infliger la punition des enfants quand nous l'avions méritée j'avais trouvé dans la douleur, dans la honte meme , un mélange de sensualité qui m'avait laissé plus de désir que de crainte de l'éprouver de nouveau par la meme main . le meme chatiment reçu de son frère ne m'eut point du tout paru plaisant "
Ce passage que j'ai lu à 15 ans a eu une incidence certaine sur ma vie future concernant mes relations féminines
Vous comprendrez aisément pourquoi mon choix se porte sur la fessée administrée à la main
Cordialement
Jean Philippe
J'ai lu avec attention les commentaires et les récits de ce blog. La fessée, au sens propre du terme, est d'abord une punition, ne l'oublions pas, et elle s'inscrit dans un cadre éducatif. Elle n'est pas là non plus pour blesser. Pour aller dans le sens des récits, je trouve que la pratique de Madame Leblanc avec Fabien et ses autres locataires est la plus éducative. Elle sanctionne avec discernement utilisant la main, la règle ou le bon vieux martinet des familles qui a tant fait ses preuves dans le passé. Alors s'il faut un instrument de correction, pourquoi pas le martinet à lanières de cuir qui a éduqué beaucoup de générations ; il était d'ailleurs fabriqué pour cela, cingler les fesses ou les cuisses des récalcitrants. C'était le parfait instrument à la fois éducatif et punitif.
RépondreSupprimerpour ma part une vrai fessée se donne a mains nue pour peut que la personne qui fesse ai de l'entrainement car le but n'est pas que la fesseuse ai plus mal a la main que le puni aux fesses l'usage d"un martinet a lanières courtes peut aussi servir car coucher en travers des genoux ou courbé sous le bras on conserve ainsi le contact physique
RépondreSupprimerJe vais donc apporter ma contribution au débat sur les instruments punitifs. En résumé, je dis "Oui, mais pas n'importe lesquels".
RépondreSupprimerJe pense qu'il faut faire la différence entre fessée (j'aime) et flagellation (quelle horreur).
D'abord, éliminer tous les instruments du genre "flagellation":
- Le fouet
- La cravache
- La canne
- Etc.
Et, dans les instruments du genre "fessée", je distingue les "durs" et les "souples".
Les durs sont à éliminer ou utiliser avec de grandes précautions, comme le paddle par exemple, et la brosse à cheveux, qui n'est qu'un paddle facile à avoir sous la main.
Je fais une exception pour les "durs" qui sont des instruments ménagers, domestiques, culinaires, comme la cuillère en bois, la petite palette, la petite planche à découper. Et, aussi, le tape-tapis.
J'aime les souples:
- Le strap
- La tawse
- Mais aussi la pantoufle ou mule à semelle souple
J'adore les martinets de bazar, mais il ne faut pas un martinet lourd qui se rapprocherait trop du fouet.
Et enfin, tout ce qui peut être ménager, comme le torchon plié ou mouillé
Oui je suis ok avec marie moi j'aime être fessé a la main et a la savate ( mule plate et souple) sur les genoux de la fesseuse.
RépondreSupprimerPladoyer pour l'usage d'instruments ! Le martinet, la palette de cuir ou de bois, la canne anglaise... Ont été conçus spécialement pour la fessée. Ces instruments causeront toujours bien plus de douleur qu'une douce main féminine ! Sans compter le fait que la fesseuse peut se faire mal elle aussi, ce qui n'est évidemment pas le but.
RépondreSupprimerParmi mes favoris, le martinet. Dans un ménage, sa fonction est éviente. Pendu au mur à la vue de tous, il indique d'emblée le mode de vie qui existe dans la maison. Envoyer le puni le chercher est un rituel préparatif aussi précieux que le décullotage. J'aime aussi les verges de bouleau, instrument traditionnel de la discipline. La verge se caractérise par le fait qu'elle n'est douloureuse que sur la peau nue. La canne anglaise fut inventée pour la remplacer et éviter justement la mise à nu, inacceptable dans la putiaine Agleterre victorienne. Et quoi de plus éducatif que d'envoyer le puni cueillir lui-même les brindilles ? Enfin, mention toute spéciale pour le supplice des orties, qui présente l'avantage d'une douleur persistant plusieurs jours. Et là aussi, on peut confier la cueillet au puni...
Merci Jaroslav pour ce long commentaire.
SupprimerVous apportez de l'eau à mon moulin. les instruments sont des accessoires indispensables dans le cadre d'une fessée punitive.
Je suis d’accord avec vous sauf sur une chose : l'usage de la canne dont vous évoquez rapidement l'histoire. Je ne suis pas certain que l'utilisation de la canne supposait des fesses recouvertes par des vêtements. Son utilisation dans les collèges anglais semble montrer le contraire. Les fesses nues montraient le statut supérieur de l'adulte qui pouvait contraindre à cette humiliation et à cette douleur, tout en requérant la collaboration du puni qui, pour l'administration de la canne, doit rester en position disciplinaire alors qu'il n'est pas immobilisé.
C'est, cependant, un instrument fondamentalement puritain, comme vous le dites, qui est destiné à éviter le contact des corps, surtout quand ils sont partiellement dénudés.
Je partage votre sentiment sur le martinet, les verges et les orties. Ce sont des auxiliaires précieux, pour peu qu'ils soient utilisés dans une position qui permet au puni de ressentir physiquement qui le punit.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Oui, la canne anglaise a été utilisée sur la peau nue ! Pour quelle raison ? Parce que les victimes inventèrent toutews sortes de stratagèmes pourrendre la fessée inoffensive ! Par exemple, elles cachaient un livre dans leurs sous-vêtements. Dès lors, les coups s'abattaient sur le cuir de la reliure... Pour éviter celà, on eut recours plus tard aux fesses nues... Paradoxe du puritamisme...
SupprimerJe partage l'avis de Jaroslav en faveur des instruments de correction. Comme il est rappelé la fessée est d'abord une punition et celle-ci doit être suffisamment sévère pour qu'elle joue efficacement son rôle éducatif. Et j'en parle en connaissance de cause puisqu'à l'adolescence ma mère a considéré que sa main ne suffisait plus et qu'il fallait passer au martinet, d'autant plus, comme le rappelle Jaroslav, qu'ils ont été conçus pour cela. Pendu bien en vue au salon, on savait tout de suite qu'il m'était destiné et cette présence constante me rappelait qu'il m'attendait au moindre écart. Et le plus souvent j'étais invité à aller le décrocher moi-même. Mais tout dépend aussi du type de faute, notamment entre adultes ; on pourra alors en fonction de l'importance qu'on lui accorde donner une simple fessée, manuelle, une fessée au martinet (ou tout autre instrument souple comme le strap ou une badine bien flexible) ou, pour les cas les plus graves, une fessée manuelle complétée par une fouettée au martinet ; j'ai connu des personnes pratiquant cette gradation.
RépondreSupprimerOliver Twist
Je ne suis pas en faveur de ces gradations. Une punition doit être aussi douloureuse et humiliante que possible, même pour une faute insignifiante !
SupprimerJaroslav,
SupprimerJe ne suis pas certain de partager la totalité de votre opinion.
Si la fessée est une punition, ce avec quoi je suis d'accord, elle est forcément graduée en fonction de la faute qui en a été à l'origine. Pour avoir une vertu éducative, une punition doit répondre à la faute, elle doit dialoguer avec elle. Imaginez l'incompréhension d'un puni serait tout aussi sévèrement sanctionné pour une étourderie que pour une récidive volontaire effectuée avec préméditation. Or, s'il s'agit d'éducation, nous visons avant tout à ce que le puni comprenne la nature de la faute qu'il a commise et sa gravité. La graduation de la punition en est une condition.
Je pourrais également expliquer comment, dans une démocratie, pour être salutaire et acceptée, une punition doit être juste et en rapport à la faute. Il y a la-dessus une abondante littérature.
Enfin, pour moi, le but d'une fessée n'est pas d'humilier. C'en est un sous-produit qui a des effets non négligeables et parfois intéressants dans une visée éducative. Pour moi, la finalité d'une fessée, c'est de démontrer par les faits que celui qui la reçoit n'a pas la capacité de discernement qu'on serait en droit d'attendre de lui, compte tenu de son âge. C'est pour cela qu'il faut baisser la culotte. Il est important que la sanction suive de près l'écart qui la justifie, donc elle doit se dérouler parfois en public.
En fait, le comportement infantile qui provoque la fessée déculottée justifie que la pudeur du puni soit négligée.
L'humiliation en est un effet collatéral qui pet avoir des vertus préventives.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Geneviève, étant droitière, m'a toujours fessé du plat de la paume de sa longue et fine main ; professeur d'anglais au cours de mes cuisantes années 1970, il est vrai qu'elle n'eut jamais recours à la brosse à cheveux en bois, ni aux traditionnels accessoires français tels que martinet ou ceinture de cuir !!!
RépondreSupprimerje pense que l'un des avantages de la main, est que la main qui claque la fesse, épouse parfaitement le galbe, la courbe de la fesse qu'elle claque ... tout comme il est peut-être vrai aussi les lanières du martinet ou la ceinture de cuir qu'elle soit large ou fine ; tandis qu'avec la brosse à cheveux en bois, c'est la fesse qui épouse la forme du dos de la brosse ; de plus pour manier un tel "accessoire", il faut être un "pro" pour taper juste où il faut et ce qu'il faut, sinon risque de traumatismes à la fois physique pour les fesses et moraux pour celle ou celui qui est ainsi fessé et corrigé ;
mais si Geneviève avait utilisé la brosse pour me fesser, je pense que mes résultats, mon obéissance auraient été beaucoup plus rapides et performants ... mais mes fesses auraient-elles résisté ???
Excellents échanges sur la fessée. pour moi elle doit être exclusivement punitive martinet ou la redoutable "Cane" Anglaise sont des instruments très efficace pour châtier un coupable! Mais :Liberté! A chacun son choix;pas question d’intolérance! Amicalement. CLAUDE.
RépondreSupprimerJe ne peux qu'approuver la position de Claude. S'il s'agit d'une fessée punitive, les instruments s'imposent. Dans mon cas, ce fut exclusivement le martinet et il s'avéra d'une grande efficacité.
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