vendredi 4 mai 2018

Quelle est la meilleure position pour donner la fessée ?

Une bonne, une excellente fessée ... bien sûr, mais dans quelle position pour qu'elle soit efficace ?

Une nouvelle contribution à lire après l'introduction de Ramina. 

Dans le 26ème épisode des cuisantes aventures de «Christine» à l'institut St Marie, chez les terribles Sœurs fesseuses,  Nicolas est aux prises avec l’implacable Sœur Gabrielle, authentique athlète de la fessée : « Vitesse, précision et puissance étaient les ingrédients d’une bonne fessée selon cette ancienne judoka qui mettait là en pratique toute sa technique et son vécu des arts martiaux…»
A quand une sœur ex «tennis women» avec ses revers croisés le long de la raie ! (rires à la Peter Pan !)


Ces trois critères sont des paramètres indiscutables qui réunissent effectivement les qualités pratiques d’exécution pour réussir ce qu’on appelle couramment une bonne fessée, sans pour autant en définir la nature réelle ou les conditions.  Il y a d’autres éléments de réussite claquante sur  lesquelles nous aurons l’occasion de revenir, mais la question qui devrait naturellement s’imposer est certainement celle des positions adoptées pour administrer une bonne grosse fessée! 
Fesser, oui!... mais dans quelle position pour bien fesser ? Pour faciliter le déculottage, pour fesser fort, sans trop d’effort et tenir la distance. Pour mesurer, doser, varier le rythme, trouver la bonne cadence, utiliser au mieux sa force de frappe…gérer sa puissance de feu... selon que l'on fesse à la main ou avec un instrument de discipline. Faire mal aux fesses puisque c’est le but d'une bonne fessée ! Cela dépend beaucoup de l’exposition de celles-ci.
Eh oui, chères dames sévères, fesseuses expérimentées, chers amis fervents adeptes de la déculottée slip aux cuisses, cela saute au yeux comme une claque bien ajustée sur les fesses!  La qualité de la fessée dépend en grande partie du choix de, «the» position, du postérieur en discipline !
Le choix du positionnement  détermine, en grande partie,  le rendement attendu des fessées, selon l’échelle de gravités des motifs de la correction.  Décider de la meilleure position adaptée aux exigences fixées de la punition, (et il y en a beaucoup avec de l’imagination), c’est augmenter le capital réussite permettant d’ atteindre l’objectif éducatif de la fessée. Marquer durablement les fesses du puni en retour de l’importance des fautes commises. La mise en position pour la fessée, c’est le commencement de la soumission  et le conditionnement pour le début de la leçon.

Qu’on donne la fessée ou qu’on la reçoive, chacun devrait avoir une opinion sur cet autre brûlant sujet qui devrait, on l’espère, susciter de passionnantes prises ... de position !
(Sory gentlemen,  je n’ai pas pu résister au jeu de mot !)
Ramina.

Bonsoir,
Je pense m'être déjà largement exprimé sur la questions des positions. Vous en trouverez l'argumentation dans le texte "petit précis de pratique de la fessée éducative". Mais puisque Ramina nous y convie, je me fais un plaisir de revenir sur mes positions.

Pour celui qui est puni, deux facteurs sont essentiels : la douleur de la fessée et la nature des relations qui s'installent entre la fesseuse et son récipiendaire.

Pour ce qui est du premier paramètre, la position dans laquelle est administrée la fessée importe peu. Il s'agit de la proportionner à la faute commise, ni trop ni trop peu, afin que le souvenir de la correction soit dissuasif en vue d'une récidive. Cela est possible quelle que soit la façon dont la punitrice s'empare de son patient. Il s'agit juste que leur position réciproque permette à la fesseuse d'officier à son aise, en particulier sans trop de fatigue quand la fessée doit être sérieuse et prolongée. Il y a une multitude de possibilité pour installer son puni qui ne sont pas déterminantes puisqu'elles provoquent des effets analogues.

Il est est tout autrement pour ce qui est du deuxième paramètre. Donner une fessée, pour moi, c'est également un acte d'éducation. Nul n'apprends dans la défiance. Il faut une solide base de confiance dans celui qui punit et de sécurité pour celui qui est fessé, pour que le châtiment produise ses effets.
Les deux parties prenantes de la fessée doivent pouvoir ressentir les sensations de l'autre. Cela demande donc de la proximité, du contact entre les corps. Le puni doit pouvoir éprouver physiquement la colère et l'indignation de celle qui a décidé de le punir. A l'inverse, administrer une fessée de façon pertinente consiste à amener son puni au point de désespoir adéquat : en est-on arrivé à la rupture ? Peut-il encore en supporter un peu plus ? A-t-il retenu la leçon ? La réponse à toutes ces questions ne passe pas par du discours, mais par de la communication non-verbale. Il est donc nécessaire que la fesseuse dispose de nombreux indices, dont les réactions physiques de son puni ne sont pas des moindres.
Le contact étroit des corps de la fesseuse et de son puni, ou de sa punie, sont absolument nécessaires. Cela n'est possible qu'en adoptant certaines positions qui sont illustrées ci-dessous.

Les positions distantes sans contact entre la fesseuse et son puni ont, de plus, un caractère institutionnel. La sanction prend alors un caractère institutionnel : je te punis parce que le règlement l'exige, et non parce que je suis préoccupée par tes enfantillages et tes irresponsabilités. Il y a là une distance avec le corps qui, dans une situation ou l'intimité du corps du puni est dévoilée, me semble être une hypocrisie.

Comme vous le voyez, pour moi, la question des positions ne se discute pas. Les quelques fessées que j'ai reçues à distance m'ont d'ailleurs laissé assez indifférent, avec une capacité assez forte à résister aux diktats de l'autorité.
Au plaisir de vous lire,
JLG.



Illustrons tout cela :

fessé en travers des genoux secrétaire

Courbé sous le bras
courbé sous le bras de la bonne
Coincé entre les jambes
coincé entre les jambes
juché sur une cuisse
la cuillère sur les fesses

Et vous ? Quelle position adoptez-vous ?


17 commentaires:

  1. Bonjour Mr Ramina,

    Je me permet d'apporter mon avis quant à la "meilleure position" en matière de fessée.
    Chaque position a ses avantages et ses inconvénients.
    En premier, la corpulence de la dame fesseuse et celle de la personne punie.
    En second, l'impact de la position sur le mental du puni.
    Personnellement, je penche très fortement pour la "fessée maternelle" que nos voisins anglo-saxons désignent sous le vocable mérité de "Maternal Style". Cette position a ma préférence.
    Dans 99 % de mes saynètes, les "grands garnements" sont punis sur la partie la plus honteuse de leur anatomie dans cette position.
    C'est le côté "peau sur peau", un "tremblement de chair" redoutable sur l'échelle des fessées avec 9,9 !!!
    Le "style maternel" ramène le puni au stade de gamin immature et le contrarie au maximum. Tout cela accompagné de tout un concert de cris, larmes et autres promesses d'amendements...
    Et les Dames fesseuses jouent sur cette situation pour dégoûter le garnements qu'elle tient sur ses genoux de recommencer ses bêtises au regard de la fessée humiliante qu'il reçoit...Elle représente pour moi la position numéro 1.
    Ce qui serait intéressant est de connaître le point de vue de ces Dames dans ce sens. Rires.
    Bonne journée. Peter'.

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  2. Bonjour Peter Pan.
    Alors cher ami, pas de dessin cette semaine? ça ne laisse pas indifférent.
    Il exact que la position sur les genoux est la plus courante pour administrer une bonne fessée. Référence aux fessées maternelles avec infantilisation du puni adulte. Contact direct avec les cuisses de la fesseuse et un supplément d'émotion pour certains punis, lorsqu'elle porte des bas nylon. Petite touche de sophistication ajoutée au fantasme. Cela ça en fait aussi partie.
    Je ne partage pas complètement l'avis de JLG qui estime que la position importe peu. Il est certaines positions plus pratiques efficaces ou plus confortable. D'autres marquent davantage le mental du puni pendant sa correction, et confèrent un surcroit d'humiliation favorable à une meilleure mémorisation des motifs de la sanction.
    Une position que j'appellerais la "fessée équitable!" . Eh oui! Le puni à genoux au sol ou sur un tabouret entre les jambes de sa fesseuse. Il présente ses deux fesses bien relevées, à la même distance de la main et sous le même angle. les claques sont distribuées naturellement sur chaque avec la même intensité. Dans le cas de la fessée sur les genoux, il y a toujours une fesse plus éloignée de la main que l'autre. Elles ne se présentent pas sous le même angle de frappe.
    Une autre position aussi fonctionnelle qu'humiliante. La fesseuse pose son pied sur un siège et le puni reçoit sa fessée plié en deux sur sa cuisse relevée en pont à l"horizontale. La aussi les fesses sont bien relevées et la nécessité de se tenir en équilibre empêche la victime de se protéger le derrière avec ses main.
    Nous ne sommes plus exclusivement dans le " Style maternel" comme le définit Peter pan, mais davantage dans une relation disciplinaire entre adulte.
    En bref, uu peu de fantaisie pour agrémenter le cérémonial de la fessée.
    Ramina

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    1. Ramina,
      Je me suis fort mal exprimé pour que vous me compremiez aussi mal. Relisez mon texte ci-dessus.
      Il y est précisé qu'en ce qui concerne la possibilité d'administrer une punition douloureusement ressentie, il y a de nombreuses positions qui le permettent. Elles ne sont donc pas un facteur déterminant si on excepte celle relevant plus de la gymnastique que de la punition.
      Pour le reste, la position importe beaucoup et il me semble que nous ne sommes pas loin d'avoir le même avis.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Ramina,
      Encore une chose en ce qui concerne le dessin du mercredi. Je suis responsable de son absence. Vous trouverez les explications dans l'article qui paraîtra demain.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    3. bonjour Ramina,

      Je prends "le train en marche" dans votre débat en espérant qu'il n'est pas trop tard pour rajouter un avis.
      Bien que la position "OTK" reste toujours la favorite des amateurs en raisons de ses nombreux avantages elle a une image un peu trop maternante dans l'optique d'une sérieuse correction entre adultes et vos deux propositions d'alternatives posturales sont intéressantes néanmoins je suis dubitatif sur l'une et ai besoin de précisions pour l'autre.
      J'ai des doutes pour votre deuxième option : fesseuse debout élevant une de ses cuisses à l'horizontale pour y étendre le puni. Elle doit avoir une grande force d'abord pour le hisser puis pour le garder en posture toute la durée de la correction. Difficile de ne pas plier sous la charge, surtout sur un seul genoux (un homme est en général plus lourd qu'elle) ni de ne pas céder à ses mouvements désordonnées qui s'amplifieront ( rester stoique sous l'averse c'est rare) , donc cela risque vite de finir avec le duo à terre. Alors à réserver pour de "petits" punis ?
      mais je confirme les qualités fonctionnelles et humiliantes de cette méthode pour en avoir parfois "bénéficié" comme témoin et receveur durant mon enfance et adolescence. C'était une expérience à éviter de renouveler !

      Votre idée de "Fessée équitable" est louable en soi. Il n'est pas juste qu'une partie du fessier soit délaissée par la main vengeresse et cette façon de placer le puni résout l'inégalité de traitement mais il semble que ce soit au prix d'une super honte et souffrance. Donc le coupable serait agenouillé entre les jambes de la fesseuse en lui tournant le dos ? genoux juchés sur un petit tabouret au besoin ? : indéniable qu'il constituerait une "cible de choix" rendant aisée la frappe égale et alternée de chaque globe ou une claquée simultanée à deux mains.
      En outre la flexion qui fait évaser les fesses et tendre leur peau accroît la douleur ressentie et rend l'exposition amplifiée des parties intimes encore plus gênante.
      Ce qui rend cette manière de fesser également redoutable !

      cordialement.
      marco

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  3. JLG,
    Administrer une fessée ou la recevoir relève tout de même d'un exercice physique plus ou moins conséquent selon le force et la durée de cette fessée. Alors faire un peu de gymnastique selon la position choisie n'enlève rien à la nature de la punition. Je reconnais que certaines de ces positions nécessite un certain sens de l'équilibre. Au final le plus important n'est-il pas que la fessée soit bonne .
    En ce qui concerne l'absence de dessin, loin de moi l'intention d'en faire le reproche. Je voulais simplement faire savoir que cela ne laissait pas indifférent.
    Cordialement
    Ramina.
    Cordialement

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    1. Ramina,
      Il y a, indubitablement, une composante exercice physique que ce soit dans l'administration ou la réception d'une fessée, quelle que soit la position utilisée.
      On voit, parfois, sur certains sites, des positions qui s'apparentent plus à de la gymnastique qu'à une façon pratique de maintenir son puni en place le temps de le corriger. Il est souvent promu des positions "à l'anglo-saxonne" qui me semble donner un caractère trop institutionnel. Ce sont celles qui étaient utilisées dans les collèges en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis ente autres. J'ai eu l'occasion de dire ce que j'en pensais dans l'article "petit précis de la fessée éducative". Je n'y reviens pas. Ce ne sont pas ces positions qui me semblent convenir, telle que je vois la fessée.


      Mon argumentation visait à promouvoir quatre positions qui me semblent pertinentes pour donner une fessée tout en en maximisant les effets. Je les ai illustrées en dessin ci-dessus. Il me semble, Ramina que nous sommes assez en phase sur ce sujet.

      La position adoptée me semble avant tout devoir procurer un confort à la fesseuse. Elle devra pouvoir recourir à l'impact qui lui semble nécessaire, sans limitation, à part ses propres qualités physiques ; ainsi que de maîtriser les mouvements intempestifs auxquels le ou la punie pourrait se livrer sous la rigueur du châtiment. La position à adopter peut dépendre de la sévérité de la correction que la fesseuse s'apprête à administrer et de l'habitude pour le puni de subir la fessée.
      Le confort du puni me semble secondaire. Lors d'une fessée correctement administrée, il devrait avoir rapidement autre chose à penser. Son avis ne peut, de toute façon, pas être requis. Il ne manquerait plus que l'on demande son autorisation avant de la de le fesser. Absurde !
      (suite du texte dans le message suivant. Il semble que nous soyons limités en nombre de caractère)

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    2. Des quatre positions, placer le pupille, à plat-ventre, en équilibre sur un genou, me semble la plus instable. Un mouvement brusque et tout peut-être déséquilibré.
      En position assise, placer le puni à genoux entre ses pieds et le courber sur une cuisse, me semble la plus stable de toutes celles que je propose. Une fois le bras encerclant la taille et les jambes serrées sur celles de son pupille, les possibilités de mouvement sont limitées.

      Soyons lucides, maintenir en position disciplinaire un adulte qui se débat réellement est impossible à moins qu'il y ait une telle différence de poids entre la punisseuse et son patient qui lui permettrait de l'immobiliser en pesant, de tout son poids sur son dos. Encore faudrait-il pouvoir administrer une fessée dans ces conditions, ce qui n'est pas certain. Il reste la possibilité des liens, mais nous ne sommes plus dans la fessée domestique. Cela ne me concerne pas.
      La position a un effet essentiellement psychologique. C'est l'autorité de la fesseuse sur son puni et sa légitimité à le corriger contre son gré qui sont déterminants. Il doit en accepter l'inéluctabilité, un moment douloureux qui lui sera salutaire.
      Au-delà de la facilitation de la maîtrise des mouvements involontaires et incontrôlés qu'une sévère fessée ne manquera pas de produire, les quatre positions que je préconise, optimisent les effets de la punition. Elles placent le pupille dans une situation infantilisante, le ramenant à l'époque de sa vie où une grande personne pouvait sanctionner ses écarts quand elle le jugeait nécessaire, sans qu'il n'y puisse rien.
      Le contact important entre le corps du puni et celui de sa correctrice, ses genoux, son ventre, son flanc, son bras, sa main, lui permettra d'éprouver physiquement l'importance que celle-ci donne à la correction qu'elle lui administre, donc de l'attention qu'elle lui porte.
      Les positions dont il est questions ici délivrent à la fois un message inconscient de sécurité, indiquant au puni qu'il est en bonnes mains pour recevoir ce qui lui est dû et ce dont il a besoin, tout en lui rappelant son immaturité obligeant à le traiter comme une personne irresponsable qui ne comprend pas d'autre méthode qu'une bonne fessée déculottée.
      La honte sera alors à son paroxysme, situation indispensable pour qu'une fessée ait son plein effet.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Les positions évoquées sont parfaites pour une fessée manuelle mais peu commodes si on utilise un instrument de correction. Pour l'application du martinet, objet éducatif le plus employé, la position du puni courbé mains sur les mollets, offre fesses et cuisses bien offertes aux lanières et donne plus d'aisance à la fesseuse.

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    1. Cher lecteur anonyme,
      Il est exact que les positions que nous sommes plusieurs à évoquer et qui sont décrites ci-dessus, proscrivent l'utilisation de tous les instruments qui demandent un recul important pour leur utilisation (canne, fouet, ...). J'ai tendance à penser que leur utilisation nous place plus du côté du SM que de la punition éducative. Vous savez que c'est cette dernière qui m'intéresse et qui est le sujet principal de ce blog.
      Dans les positions évoquées, il est possible de recourir à des instruments qui, correctement maniés, peuvent être redoutables. Un puni ou une punie, à plat-ventre en travers des genoux de sa tutrice, recevant une fessée avec une règle plate en bois, ou une fine baguette de bois souple, demandera bien vite le pardon pour l'écart qui l'a conduit là où il est. Essayez également avec une ceinture dont vous aurez enroulé l'extrémité autour de votre main pour en réduire la longueur. C'est une question de vitesse d'impact et non d'ampleur du mouvement.
      En ce qui concerne le martinet, les positions évoquées permettent l'utilisation d'un modèle classique, de celui qu'on trouvait à vendre dans tous les bazars du temps de mon enfance. Il est, par contre très peu adapté à la punition d'un adulte. Même manipulé avec force et rapidité, il n'a que peu d'effet. S'il s'agit de faire impression sur le puni, il faut utiliser un modèle dont les lanières seront plus longues et plus lourdes. C'est à cette condition que la fessée retrouvera de l'efficacité. La question de la position se pose alors. la position classique "à plat-ventre en travers des genoux" ne permet pas un recul suffisant pour donner la vitesse nécessaire aux lanières avant de les abattre sur les fesses.
      Tout en maintenant la proximité entre le ou la pupille et sa fesseuse, il est possible d'utiliser un martinet. Placez, par exemple, le puni à genoux aux pieds se sa tutrice qui se tient debout, et courbez-le sous son bras. Vous avez retrouvé le recul nécessaire. Faites la même chose alors que la tutrice s'est assise sur une chaise ou un canapé et le puni à genoux entre ses pieds. Fesses et cuisses sont alors bien offertes aux lanières et cela donne de l'aisance à la fesseuse.
      Vous voyez, cela dépend de ce qu'on veut faire, mais il est possible de s'adapter, tout en restant ferme sur les principes, en particulier le nécessaire contact étroit entre la fesseuse et son pupille, paramètre indispensable à mes yeux, de la fessée éducative.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Les martinets des bazars pouvaient se montrer redoutables s'ils possédaient des lanières bien carrées en cuir; ma mère s'était fait confectionner un martinet de "cordonnier" à cinq lanières épaisses et carrées qui connut une belle carrière durant mon adolescence. La position du puni courbé mains aux mollets n'empêche pas la proximité de la fesseuse qui peut placer une main sur le bas du dos du fessé tout en maniant efficacement le martinet de l'autre main. Je suis d'accord avec le fait qu'une correction se doit d'être avant tout éducative, c'est à dire expliquée, comprise et acceptée. le martinet, en soi, est d'ailleurs un objet éducatif symbole de cette autorité entre "tutrice et pupille". Dans notre enfance et adolescence, si l'on apercevait bien en vue un martinet dans une famille, on savait qu'une certaine autorité éducative y régnait et qui en était "le bénéficiaire", comme c'était le cas chez moi. Sa seule présence visible jouait bien évidemment un rôle psychologique dans cette relation dissymétrique. Le fait d'avoir à se courber devant "la tutrice" renforce le caractère soumis du "pupille" prêt à recevoir sa punition. De plus le caractère "institutionnel" que peut prendre une punition n'empêche nullement son aspect éducatif surtout si une forte relation affective lie les deux protagonistes.
      Signé : Oliver Twist

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    3. Bonjour Oliver,
      Nous ne parlons effectivement pas des mêmes martinets. Ceux que vous évoquez ci-dessus ont l'air d'instruments redoutables.

      Pour revenir sur la question des positions disciplinaires, j'ai souvent l'impression que nombre de fesseuses et peut-être de fessés, considèrent que seuls les instruments qui nécessitent du recul ont un effet punitif suffisant.
      L'une de mes interlocutrices, fesseuse patentée elle-même, écrivait récemment : "... une telle séance est lourde à vivre pour n'importe quelle femme, notamment physiquement" et plus loin "... des femmes doivent physiquement donner de leur personne pour corriger correctement des hommes qui, comme cela est connu de tous et scientifiquement prouvé, ont plus de muscles que la gente féminine, la peau plus dure, sont lourds à porter". Elle défendait le recours à ce que j'appelle de positions distantes et aux instruments qui vont avec.
      Je me demande s'il ne s'agit pas, en fait, de fétichismes envers ces instruments (canne, fouet, paddle, ...) surtout quand les séances qu'elles proposent, consistent à les passer en revue, comme ferait un camelot qui fait l'article : et par dessus le marché, je vous mets cinquante coups de canne et je rajoute dix coups de fouet et, si vous insistez, je vous offre quelques coups de martinet... Vous voyez le genre.

      Tout cela n'est pas obligatoire pour administrer des fessées insupportables pour le ou la punie. Pour vous en convaincre, faites l'expérience suivante. Couper une petite badine, 2 à 3 mm de diamètre, 40 ou 50 cm de long, bien droite dans du bois souple : le saule, le noisetier, le châtaigner... feront l'affaire. Donnez-là à une fesseuse. Dites-lui de vous en administrer 20 ou 30 coups sur chaque fesse, sans se retenir et sans s'apitoyer de vos réactions.
      Il est probable qu'il faudra qu'elle vous immobilise avant la fin de la fessée afin de vous maintenir en place dans l'une des positions que je préconise. Vous en garderez des marques sur les fesses durant quelques temps : 12h, 24, 48... selon la facilité avec laquelle votre peau marque.
      Il n'est donc nul besoin de recul important pour administrer une correction mémorable. Cette expérience peut se faire alors que le puni est courbé sous le bras. L'alibi de la différence de poids ne tient pas.
      Cette expérience étant reproductible à l'envi, je considère que la démonstration scientifique est faite.

      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Bonjour JLG,

      Il se trouve que j'ai déjà "goûté" à la badine, certes il y a longtemps. j'avais seize ans et c'était durant les grandes vacances. J'étais avec ma mère et une de ses amies. Nous nous étions promenés le long d'une rivière et y avions pique-niqué. Ma mère m'avait déjà rappelé deux fois à l'ordre pour mon langage et mon ton insolent. Puis après un nouvel écart, elle se leva, alla vers un taillis et y coupa une fine baguette qu'elle tailla.
      - je n'ai pas emmené le martinet pour les vacances mais voilà une baguette qui le remplacera fort bien !

      Elle la fit siffler. Elle m'ordonna de me mettre en position mains sous les genoux. Puis elle me cingla les cuisses juste à la lisière de la culotte courte. Mes cuisses me cuisaient drôlement mais je savais que je n'avais pas intérêt à trop bouger. Par contre ces petits coups secs et répétés me tirèrent quelques gémissements. Des promeneurs passaient et ils s'amusèrent de la scène, nullement offusqués.
      - j'espère que tu as compris la leçon ! Cette baguette a été parfaite. Je vais la garder et l'amener au gîte ; je crois qu'elle pourra encore nous être très utile.
      Son amie approuvait et souriait ; elle connaissait parfaitement les méthodes éducatives de ma mère.
      - Le piquet, ce sera pour tout à l'heure au gîte. Mais tu marcheras devant moi mains sur la tête jusqu'à la voiture.
      - On voit bien les marques de la baguette ; ajouta son amie.
      - C'est bien pour ça qu'il doit toujours être les cuisses à l'air. D'ailleurs pour les vacances je ne lui ai pris que des culottes courtes et des shorts.

      Oliver Twist

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    5. Bonjour Oliver,
      Vous avez eu une stricte éducation. J'espère qu'à côté de ces punitions, il y avait des moments de tendresse et de complicité.
      En ce qui concerne la badine, vous confirmez mon observation. On peut donner une sévère fessée avec une badine. Je continue à penser qu'elle est utilisable avec des positions de proximité.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    6. Bonjour JLG,

      Rassurez-vous, je n'ai absolument pas manqué de tendresse même si mon éducation a été stricte, telle que beaucoup de parents la concevaient dans les années soixante. A l'adolescence, ma mère, suivant l'exemple d'autres parents et des conseils qui lui avaient été donnés, décida de passer au martinet, ce qui était très banal à l'époque. J'étais bon élève, très capable mais d'un tempérament nonchalant et un peu paresseux. Aussi le martinet devait m'inciter à travailler avec le plus d'ardeur possible. Les résultats dépassèrent ses espérances et je devins un très bon élève. Puisque le martinet était là, elle s'en servit aussi pour discipliner mon comportement notamment pour mes désobéissances, mes écarts de langage, mon manque d'ordre, mes négligences, mon orgueil. Après chaque correction, elle ne manquait pas de me consoler et de me câliner. Ses punitions étaient toujours éducatives, expliquées et méritées. Tant qu'elle m'a jugé immature avec des attitudes de gamins, la plupart du temps, elle m'habillait en culottes courtes ( même à seize ans passés, j'étais de petite taille et ne faisait pas mon âge). Aussi j'étais surtout corrigé sur les cuisses et j'avais donc à exhiber parfois des cuisses zébrées, ce qui faisait partie de la punition.
      Oliver Twist

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    7. Bonjour Oliver Twist,
      J'en suis rassuré. Ainsi décrite, votre éducation me semble plus équilibrée. Une éducation des années soixante qui vous conduit à une fascination pour la fessée et plus particulièrement pour l'instrument que votre mère utilisait : le martinet.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. les fessées de Geneviève, essentiellement "éducatives" et "motivantes" furent toujours administrées et reçues sur mes fesses nues, le "cérémonial" de la fessée se déroulant généralement dans le bureau de Geneviève, elle-même assise sur une chaise, me tenant allongé et penché en travers de ses cuisses, jambes d'un côté, tête de l'autre, me maintenant fermement par la taille, ce qui me permettait de trouver mon équilibre, soit en posant mes mains à plat sur le sol (parquet ou moquette), soit aux pieds de la chaise, soit aux jambes de Geneviève, ce qu'elle n'appréciait guère, ne voulant pas trop prendre le risque de voir ses bas ou collants filés par mes ongles ; si la fessée devait se prolonger, il n'était pas rare que Geneviève de sa main gauche, ne me maintienne plus fermemnt par la taille, mais me saisisse les deux poignets qu'elle rabattait au creux de mes main, interdissant ainsi toute protection de mes fesses de mes deux mains ... protection illusoire, nos mains étant toujours trop petites pour couvrir nos fesses, avec le risque supplémentaire que les claques ne tombent plus sur les fesss, mais le haut des cuisses ce qui est encore beaucoup plus douloureux !!!

    si la fessée devait durer plus longtemps que prévu, le "cérémonial" ne se tenait pas dans son bureau, mais dans le salon, Geneviève prenant place sur le canapé, puis moi en travers de ses cuisses, le canapé étant beaucoup plus confortable à la fois pour celle qui fesse qui n'a pas à supporter le poids du puni sur ses propres jambes et celui qui reçoit cette fessée, car entièrement allongé et n'ayant pu la tête en bas, tentant de la relever après chaque impact ...donc une situation pour laquelle la durée peut être prolongée !!!

    en ce qui me concerne, suivant le type de fessée à administrer sur ma partenaire, du moins sur ses fesses généreusement déculottées, en cas de fessée "érotique", je préfère le canapé comme endroit, tandis que pour une fessée "punitive", j'officie sur la chaise, tenant la "coupable", allongée, courbée, penchée, troussée et déculottée en travers de mes cuisses telle une "sale gamine" ou "vilaine grande fille"

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