dimanche 6 mai 2018

La fessée au martinet, question de point de vue

Gege Bonn, un nouvel auteur qui a commis plusieurs commentaires sur ce blog. Il a décidé de franchir le pas et de devenir contributeur. N'hésitez pas à lui faire part de vos retours.
Quand on a peu l'habitude d'écrire, les retours sont encore plus les bienvenus que pour les autres. Je compte sur vous tous.
Vous noterez le lien avec un texte déjà publié sur ce blog (voir ci-dessous).


Cela faisait 5 minutes que j'avais arrêté de biner les plates-bandes de la résidence. La porte fenêtre de l'appartement était visiblement mal fermée et je suis tombé totalement par hasard sur ce monologue. Et  je suis resté figé comme un benêt avec ma binette à la main.
Il était évident que la fille était en train de se prendre un gros savon par une voix feminine, et qu'en plus ce n'était pas la première fois.
Que devais-je faire? Rester et écouter la suite ... partir de là avant de me faire capter... ou me rapprocher ... Pour être le témoin d'une fessée au martinet qui allait, à mon avis, être magistrale.
"Passons aux choses sérieuses, lança la voix !"
"Viens-ici ! Tu vas prendre ta punition. Ah madame fait la maline...tu vas la sentir passer celle-là ... et dépêche-toi!"
Ces quelques paroles me décidèrent à rester. J'essaye de m'approcher de la porte fenêtre discrètement sans me faire voir. Je jette un coup d’œil rapide....
Et coup de bol !  Presque fait exprès. J'ai une femme assise de 3/4 dos, qui attend patiemment sa punie, que je vois de dos elle aussi. Parfait ! C'est la configuration idéale pour ne pas se faire gauler ... et en plus je vais avoir le beau fessier de la fille en pleine vue.

Je suis sur le coin de la fenêtre et j'observe la scène.
La dame est assise sur une chaise et tient un martinet des plus classiques à la main. Elle semble avoir une petite quarantaine d'années, bien portante, plutôt sophistiquée, avec une jupe à carreau et un haut type chemisier plutôt ouvert avec, il faut bien le dire, une belle paire de seins dedans. A vue de nez ça sent le 95c facile. Madame ne nage pas dans son chemisier!
La fille a une petite trentaine,  jupe couleur flashy qui lui arrive au milieu des cuisses, et un haut qui semble léger et ample. Elle semble de taille normale, vue de dos. 
Le visage de la dame est fermé. On sent qu'elle est bien énervée et que ça va chauffer dur. La demoiselle est toute penaude, un peu recroquevillée sur elle-même et tête basse.


 La dame désigne ses genoux : 
" Installe-toi ! 
- Oh non, s'il te plait !
- Dépêche-toi!"
La demoiselle s'installe sur les genoux ....

J'ai la vision que vous imaginez. Des jambes bien dégagées, Une jupe qui remonte presque jusqu'au début des fesses. Je regarde un peu partout autour de moi pour vérifier que je suis bien seul et que personne ne m'observe.
" Le martinet se donne toujours sur les fesses nues ! "
La dame soulève la jupe de la fille bien proprement jusqu'en haut en dégageant l'intégralité des fesses et des hanches.


la culotte baissée pour la fessée


" Oh non... s'il te plait.... Je t'en prie... Pas sur les fesses nues." 
Elle commence à pleurer, un peu comme une gamine.
" Suffit ! Un peu de tenue ! Comporte-toi comme une grand fille"
La demoiselle se calme un peu. La dame fait glisser la culotte blanche jusqu'aux chevilles.
Oh mon dieu! J'ai la vision de rêve! Des belles fesses blanches. J'aperçois, limite, l'intimité de la jeune fille ... et je l'avoue ! Je commence à monter un peu ! J'essaye de m'approcher un peu plus en toute discrétion pour ne pas louper une miette du spectacle.
" Tu vas voir je vais te faire passer l'envie de recommencer. Espèce de petite peste capricieuse. Tu vas le sentir passer cette fois"
Elle soulève le martinet et clac ! Le premier coup arrive.
La fille rétracte ses fesses et son intimité disparaît.
" Aïe! Doucement, fait doucement ..."
La dame continue à fouetter la demoiselle ... le martinet monte et s'abat sur les fesses à un rythme de métronome. Impressionnant de régularité !
A chaque coup j'ai cette magnifique vision de sa fente qui disparaît, apparaît, disparaît.... Ainsi que de ses fesses qui se rétractent. Je sens l'excitation monter au fur et a mesure de la punition. La dame s'arrête et lance
" Comment ça "fait doucement !" ? Non mais on croit rêver là !"
La supplicié pleure, Ses fesses sont bien rouges, et à mon avis bien douloureuses aussi. On y voit bien les marques maintenant.
" Tu vas voir si j'y vais doucement ... quand on est une pimbêche désobéissante voilà ce qui arrive...."
Et clac ! La dame reprend de plus belle. Maintenant elle change régulièrement l'endroit des impacts pour bien colorer l'intégralité des deux fesses avec une régularité olympienne. Ce coup ci, la demoiselle pleure abondamment et sans retenue. Ses jolies jambes remuent au rythme des claques.

Pause de la dame :
" Et j'ai dit que tes cuisses allaient prendre aussi. Comme ça tout le monde saura à la plage que tu as été punie.
- Oh non ! Pas ça ! ..."
Le martinet s'abat maintenant jusqu'au milieu des cuisses qui se colorent instantanément. La dame frappe du haut des fesses jusqu'au milieu des cuisses, en y allant plus fort sur les fesses que sur les cuisses.
Le bruit du martinet sur ces fesses est magnifique ... ainsi que les gémissements réguliers de la demoiselle à chaque coup. La dame stoppe la punition, se penche sur le derrière de la suppliciée en pleurs. Je vois à son visage qu'elle semble contente du résultat, avec un sentiment de fierté. Mon excitation est à son comble!
La dame tapote les fesses. 
" Bon, ça suffit pour aujourd'hui. Tu as les fesses bien marquées. Que ça te serve de leçon ! Tout le monde saura à la plage que tu as été vilaine comme une vulgaire petite fille pas sage ! Relève-toi !"
La demoiselle se relève en se frottant les fesses.
" Mains sur la tête ! et maintenant au coin !"
Elle désigne le coin proche de la fenêtre et du mur en face d'eux.
La fille s'exécute sans broncher. Les fesses sont bien rougies et marquées par le martinet. Les traces sont bien visibles jusqu'en bas des cuisses. Aucun doute qu'à la plage ça se verra. Et même la mini-jupe, c'est fini pour elle pour quelques temps.

Je reste planté là, contemplatif, quand j'entends : 
" Dites donc vous! Ça va, on ne vous dérange pas ?"
Oups ! Gaulé ! 
Sans m'en rendre compte je m'étais approché trop près de la porte fenêtre. Je venais de me faire surprendre comme un blaireau !
" Venez ici ..."

Ce texte est une suite du récit ci-dessous ... raconté d'un autre point de vue

          Première fessée au martinet

Le martinet a déjà été utilisé par quelques correctrices sur ce blog

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29 commentaires:

  1. Bonjour Mr GegeBonn,

    Le thème de l'Arroseur arrosé, version fessée.
    La curiosité est un vilain défaut, dit-on. Mais c'était bien trop tentant.
    J'imagine bien la scène en dessin.
    On entre dans le vif du sujet. Instantané. Concis.
    Bien fait pour cette "petite peste capricieuse" ! Et toc ! c'est qui qui commande ? Non mais !!
    La chute est attendue, sans vraiment l'être. Pas de chance.
    Alors bon courage, camarade !
    Peter'.

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    1. Peter Pan,
      Auriez-vous un dessin en tête ? Gege Bonn ne fera pas de difficulté si vous souhaitez illustrer son récit. N'hésitez pas !
      Au plaisir de vous lire,
      JLG

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    2. Bonsoir Peter Pan,
      Merci pour votre commentaire.
      Et oui c'est bien fait pour elle ! elle s'en rappellera !
      Si vous avez un dessin d'illustration qui colle parfaitement aux fesses de la demoiselle, bien sur qu'il est le bienvenue.
      Cordialement.

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    3. Désolé Peter Pan,
      Impossible de vous défiler maintenant. J'attends votre dessin.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Bonjour JLG,

    Vous me tentez... Hum... voyons... voyons... que me reste-t-il en réserve... En effet, je n'ai pas voulu m'imposer mais... demandé si aimablement... ça mérite réflexion.
    Peter Pan

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    1. Quel cabotin ! Je suis sûr que vous en mourriez d'envie.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Merci Peter Pan pour cet ajout graphique, de belles fesses bien marquées.

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    3. Bonjour,
      J'aime beaucoup le style du dessin. Il correspond parfaitement à la situation.
      Je n'ai aucun doute sur l'arrivée prochaine d'une suite écrite par Gege Bonn. Aurez-vous également un dessin à nous proposer, Peter Pan ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Bonjour chers amis,

      Les deux dernières phrases du récit constituent un probable synopsis, j'imagine, de votre prochain récit: la fessée cul nu du voyeur. Me trompe-je ? Rires.
      Bon Dimanche. Peter'

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  3. Nouvelle histoire de fessée au martinet. On finit par apprécier. Le récit est vivant. Le Style direct comme les cinglées sur les fesses de la jeune femme. Le petit voyeur risque de s'en prendre une en retour, mais on a profité de son témoignage.
    En off, et en prime, un échange de politesse amusant entre JLG et Peter Pan. Alors, dessin ou pas dessin? On se fait prier!
    Ramina

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    1. Merci du commentaire, "récit vivant...style direct..." ca fait plaisir à entendre. La suite est prête... prendra, prendra pas ? comme disait Shakespeare....
      Et oui : dessin ou pas dessin ? j'ai hate de voir.
      Gégé

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  4. bonjour à vous tous,
    votre blog est super et merci de le faire vivre
    rentrant de vacances,courtes,j'ai lu ce merveilleux récit qui confirme le premier et qui m'a renvoyé avec émoi,de nombreuses années en arrière!
    Ma mére m'avait éduquée de façon stricte et sévère et le martinet était présent pour me faire obeir et être une future bonne petite fille!
    Et il servait souvent surtout sur les cuisses:c'était vite fait bien fouettée bien punie et sans atteinte à la pudeur et de plus"tout le monde pourra voir que tu as été fouettée"
    Et de fait mes copines et copains voyaient le résultat,et ensuite ce fut les études supérieures loin de la ville ou je résidais;ma mère et une de ses amies trouvèrent plus sur que nous résidions leurs eux filles ensembles et dans un logement tenu par une amie commune.
    cette copine connaissait la façon que ma mère avait eu pour m'éduquer.
    Et une fois installées ma copine et moi ce fut un début d'année très surveillé et de travail,jusqu'au jour ou mon amie venant dans ma chambre vit le désordre important,d'un ton enjoué elle me dit"dis donc si ta mère voyait ça!"et moi de rougir un peu beaucoup
    "Que ferait elle d'après toi?je crois que tu serais bonne pour une séance de martinet?"et là j'ai rougi à fond en murmurant"je crois oui"
    Donc nous allons acheter un martinet pour te punir dit mon amie.
    Et ce qui fut dit fut fait!!Et j'ai été obligé de demander moi même un martinet à la jeune vendeuse!
    puis piteux retour pour moi,et dés le retour mon amie me dit"allez en position,comme avec ta mère"
    et je fus fouettée pour la premiére fois par ma coloc qui aeu le même discours que dans ce récit:"tu sais on va voir que tu as été fouettée avec tes minijupes que tu aimes tant porter"et ce ne fut pas la dernière fois!!
    Voilà mon histoire qui m'a marqué pendant longtemps et encore maintenant!
    Merci encore à vous de bénédicte

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    1. Chère Bénédicte,
      Savez-vous que ce blog est vivant parce qu'il croise les récits et les témoignages de nombreux auteurs ? C'est donc une oeuvre collective. Y apporteriez-vous votre pierre ?
      Je suis certain que nos serions tous intéressé par votre récit si vous voulez bien le développer un peu, en faire un récit, à part entière, que je pourrai publier sur le blog.
      J'attend votre avis sur la question.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour Bénédicte,
      Je suis d'accord avec JLG, je suis très intéressé et curieux par un récit plus détaillé de votre experience, j'en ai déjà l'eau à la bouche.
      Cordialement.

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    3. Bonsoir Bénédicte,
      Je serai ravi de discuter avec vous en privé. Je vous propose de contacter l'administrateur du site, Monsieur JLG, qui se fera un plaisir de me retransmettre votre adresse mail, ou inversement qui se fera un plaisir de vous communiquer mon adresse.
      Ne soyez pas timide, je vous attends ! ;-)
      Cordialement.

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  5. Bien Peter Pan, belle paire de fesses un peu plus rebondie, et
    toujours ces charmantes couleurs pastel en contraste avec la sévérité des fessées.
    Et bienvenue à Bénédicte et son regard féminin sur le sujet...
    Ramina

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    1. Bonjour Ramina,

      En effet, un point de vue expérimenté côté féminin apporte fraîcheur et appréciation non négligeable.
      A situation identique, homme ou femme réagissent différement selon son caractère et son vécu.
      Les Dames nous confient rarement leurs sentiments sur ce sujet... cuisant ! Indifférence ou pudeur ? Mystère.
      Peter'

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  6. Je découvre ce blog depuis quelques jours et je dois dire qu'il m'enchante. Il me ramène surtout au temps de mon adolescence. Comme Bénédicte j'ai été éduqué de façon stricte et sévère par ma mère. A l'adolescence, elle considéra que le martinet remplacerait efficacement sa main. Je portais presque tout le temps des culottes courtes et au moindre écart les lanières venaient cingler mes cuisses et laissaient des marques visibles et honteuses mai, comme disait ma mère, cela faisait partie de la punition. Le martinet était davantage employé pour corriger les garçons mais j'ai connu des filles qui le recevaient autant que leurs frères. Et pour l'essentiel, c'était surtout les mamans qui s'en servaient.
    Oliver Twist

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    1. Merci Oliver de l'appréciation élogieuse sur le blog.
      Sachez qu'il ne vit que grâce aux contributions des lecteurs : récits courts ou en épisodes, commentaires, réactions...
      Vous y apportez votre pierre quand vous voulez.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  7. En ce qui conçerne les fessées au martinet données par maman ! je peux en parler,car jusqu'à nos 18ans ma soeur et moi pour un oui ou un non nous étions souvent fessées culs nus moi et ma soeur par notre mere qui d'aillieurs le renouvelait souvent,et comme c'était une grande et forte femme "on les sentait les lanieres en cuir des qu'elles s'abatait sur nos posterieurs! de plus nous devions porter ,notre mere et ma soeur de longues blouses jaunes en nylon et qui arrivaient sur leurs chaussures ,et quant à moi j'ai été en permanence dans des blouses en nylon couleur oranges boutonées par 10 grands boutons en plastique ,donc longue aussi+de larges bretelles à pattes de cuir et bien tendues aussi !sans compter les berets qu'on portait tous les trois ,bref on ne se deplaçait jamais sans etre habillés de cette façon !Et meme à la maison nous devions restés habillés comme ça et lorsqu'on sortait pareil !Je me rapelle aussi qu'ensuite nous avons eu un petit frere et qui non seulement était habillé comme nous mais portait en plus un harnais avec laisse en cuir,jusqu'à ses 6 ans ,et jusqu'à cet age en plus il était fixé dans son lit avec son harnais pour dormir ,Bref notre mere nous avait bien sous sa main et en plus ses soeurs et les voisines tenaient avec notre mere en disant bravo madame " vous avez bien raison les enfants doivent obéhir !"Et bien entendu elles agissaient pareil ! Mais personne ne trouvairt à redire car c'était "la mode" à cette époque!

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  8. En lisant ces témoignages cela me raméne à l'époque ou en Fance les mamans françaises aimaient mettre des culottes courtes en tissu à bretelles à leurs garçons ainsi qu'une blouse en nylon !C'est vrai aussi que nos mamans aimaient également nous voir avec nos cheveux coupés à la brosse ,c'est vrai qu'à cette époque nous les garçons nous étions tous habillés comme ça deja à l'école primaire mais également au lycée également par la suite! Donc cela dura largement jusqu'à nos 16 ans et meme plus pour certains garçons que j'ai connus!Il faut dire qu'il n'y avait pas tout ce mercantilisme tel que ça exsiste aujourd'hui,dans tous les magasins à cette époque on vendait les memes articles,c'est à dire,et surtout des culottes courtes ,des bretelles à pinces ou à boutons qui maintenaient nos culottes ,qui étaient couvertes par une blouse en nylon et nos cheveux trés courts en plus nos mamans nous trouvaient meme beaux comme ça,car en vérité ce sont elles qui dirigeaient leurs maisons et leurs enfants et nos peres n'intervenaient jamais!mais meme pour elles memes elles n'étaient pas fieres non plus car autant que je m'en souviens elles étaient aussi habillées de façon simples sans chichi c'est à dire en blouses longues en nylon aussi avec aussi une charlotte en plastique sur leurs tetes et portaient également des gaines ou corsets en coutil avec des jartelles qui maintenaient leurs bas en nylon l'été et des bas en laine pour l'hiver!En faite la vie était plus austére qu'aujourd'hui et ça les jeunes d'aujourd'hui n'ont pas connus!à cette époque on gardait ses vetements longtemps et par la suite souvent on récoltait les vetements de notre famille ,tantes, grands meres cousins etc ...Nous n'avions pas de voiture non plus deja si on avait un vélo c'était bien et on ne voyageait pas loin non plus !et quand on sortait le dimanche à velo pour aller visiter la famille biensur,c'était toujours en velo et toujours habillés de la meme façon et meme nptre mere prenait son martinet dans sa poche de blouse au cas ou elle en aurait besoin pour nous fesser avec,ça aussi je m'en rapelle d'avoir été fessé bien des fois au bord de la route au martinet par maman .Comme je me rapelle également que j'ai du porter la meme paire de bretelles pendant des années et arrivé à 14 ou 15 ans je n'arrivais plus à les mettre ,et bien j'ai du les mettre quand meme,et tous les matins ma mere était obligée de m'aider à les passer en tirant dessus car elles étaient devenues trop courtes il va sans dire que mes culotte courtes m'arrivaient vraiment à ras de mon derriere et qu'en plus je n'arrivais plus à m'abaisser non plus!.<j', ai eu une nouvelle paire que lorsqu'une tante est venue nous visiter et m'en a acheté une nouvelle paire !,et en plus cétait des bretelles à boutons à pattes de cuir ,qui s'attachaient à des boutons ! et meme me boutons qui étaient cousus sur ma culotte courte ils étaient tous differents et meme pas du meme diametre mais ma mere a dit Oh ce n'est pas grave car avec ta blouse on ne le verra pas!et ainsi de suite,et lorsque je vois de la façon que j'ai été élevé et les enfants qui sont pouris de cadeaux qui n'apprécient pas d'aillieurs je me dis La onmarche sur la tete,car le jour s'il arrive un grand Clash ils vont etre bien perdus !

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  9. Nous qui habitions dans le pas de calais,c'est à dire le nord de la France,en lisant tous ces commentaires cela me raméne à mon enfance et mon adolescence!Pour commençer j'étais le seul garçon avec 2 soeurs plus agées que moi,mais tous les 3 nos devions etre toujours soit en culottes courtes ou en longs pantalons pour l'hiver de couleur marron ,mais avec des bretelles marrons à pinces en permanance,car notre mere nous les avaient achetées par conséquence Il fallait les mettre!et c'est notre mere qui verifiat si elles étaient toujours bien tendues!et si on les avaient un peu détendues ,elle décrochait le Martinet de son clou dans la cuisine à coté du frigo et nos culottes longues ou courtes étaient baisséees et on prenait au minimum 10 bons coups de martinet donnés à toute volée sur nos popotins,et devant toute la famille! En plus comme notre mere était grande et forte ,je vous garanti qu'on les sentaient les lanieres en cuir de son Martinet!De plus on devait aussi porter une blouse en nylon,bleue pour moi et roses pour mes soeurs,notre mere bien entendu la portait aussi et la sienne était longue et trés large de couleur jaune ,d'aillieurs qui lui arrivait jusqu'à ses grosses chaussures laçées et plates,ses jupes étaient également longues et en plus elle portait également en permanance un corset en coutil aves 6 larges jartelles pour tenir ses bas en laine,car je l'ai vu des fois posé sur une chaise!Donc elle aussi elle était maintenue par son corset avec ses jartelles et nous par nos bretelles!Mais encore dans les années 1970 c'était comme ça surtout dans le Nord de la France! Quant à nos cheveux la aussi notre mere ne faisait pas de distinction entre moi et mes soeurs ,2 fois par mois elle sortait sa grosse tondeuse électrique et nous avions droit à une coupe à la brosse,!Je me rapelle meme que vers leurs 15 ans mes soeurs se plaignaient en tant que fille ,non seulement d'etre obligées de porter en permanance des bretelles ,mais ausi d'avoir leurs tetes rasées comme moi un garçon!Ce qui a enervée notre mere qui leur a répondue tant que vous serez ici à la maison ça sera comme ça ,plus tard vous ferez comme vous voulez mais tant que vous serez ici c'est moi qui décide;et n'insistez pas sinon je décroche le Martinet ,de ce fait elles n'osaient plus rien dire;Mais en discutant avec nos camarades soit de l'école ou au lyçée eux aussi avaient le meme traitement que nous ! De plus tous les mardi matins,il y avait un grand marché sur la place et le on trouvait tous ces articles que j'ai nomées ,Blouses en nylon,Bretelles,corsets à jartelles,Martinets etc...Par conséquent nous n'étions pas en manque de tous ces articles et d'aillieurs se vandaient bien aussi dans notre région !bref c'est vrais que 50 ans plus tard ça n'a plus rien à avoir!

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  10. Bonjour j'ai lu ces récits de garçons et de filles comme moi ont été élevées de cette façon dans les années 70 en France,et surtout j'habitais dans le Nord ou le Martinet était souvent employé sur nos fesses ,et avec ses lanieres en cuir elles nous faisaient mal !Garçons et filles compris !D'aillieurs j'ai lu dans un commentaire sur ce sujet que ,en ce qui conçerne la vente de Martinets à lanieres en cuir Le nord -Pas de calais arrivaient en tete ,car beaucoup de magasins en vendaient dans notre région !Par conséquent nos meres ne s'en privaient pas !de nous fesser avec ,Quant à jusqu'à quel age on continuait à le reçevoir ça dépendait des mamans ,moi par exemple je l'ai reçu jusqu'à 16 ans aprés ma mere jugeant que j'étais devenu plus sage à arretée de me fesser avec.Quoique une fois j'ai demandé la permission à ma mere à 17 ans d'aller dans une soirée entre copains et copines ,et que j'avais promis d'etre rentré pour 22h et que j'ai rentré à plus de 23h !et la sentence a tombée sur moi ,car lorsque je suis rentré avec plus d'une heure de retard,chez moi Ma mere m'attendait et avait de nouveau sortie le Martinet sur la table de cuisine ,et me donnant pour commençer une bonne paire de gifles dans la figure puis m'a dit ,tu as vu l'heure tu te moques de moi la!Et j'ai du me déshabiller dans la cuisine tout nu !puis la ma mere a pris le Martinet sur la table et j'ai du me pencher audessus une chaise et la je crois que je n'ai jamais reçu une fessée au Martinet aussi long,!pas moins de 30coups bien donnés avec beaucoup de forçe!,Je l'ai senti!.Puis ma mere en remettant le Martinet dans sa poche de sa longue blouse en nylon jaune ,( car elle l'avait conservée), me dit maintenant file et surtout je te léve à 6h 30 du matin car en plus demain tu dois etre au lyçée pour 7h30!La aussi en ce qui conçerne mon habillement mes affaires était pretes sur la chaise de ma chambre et comme c'était toujours ma mere qui les choisisait pour moi,et Il n'vait rien à redire,à cette époque!en plus c'était l'été donc j'avais le droit aux culottes courtes tenues par mes bretelles à pinces un tee shirt,des soquettes avec sandales ,mais surtout une blouse en nylon de couleur marron assez longue elle aussi boutonée +le beret que deja je devais enfonçer sur ma tete en arrivant dans la cuisine,voila en tout cas c'était comme ça dans notre région !Ma mere deja levée et en blouse et elle ausii avec un beret également sur la tete disait de me dépecher!Mais elle m'a juste dit,alors tu as retenu quelque-chose de ta fessé au Martinet hier soir,parceque tu sais s'il le faut je n'hésiteras pas à m'en servir de nouveau si besoin est !et je m'en fiche que tu as 17 ans ou pas car ici s'est moi qui commande et j'ai ensuite filé au lyçée avec mes fesses voyantes toute rouges!mais voila c'étai comme ça à l'époque dans notre région!

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  11. En faite moi et mon frere nous n'avons rien connus d'autre,nous étions 2 garçons moi agé de 8 ans et mon frere agé 10ans ,nous habitions une petite ville dans les Ardennes,et jusqu'à 14 ans notre mere nous faisaient mettre comme la plupart des autres garçons que des culotte courtes bien maintenues assez haut car remontées par nos bretelles à pinces,!Bien enendu nos tetes étaient en permanance bien rasées à la tondeuse par notre mere ,qui aimait nous voir comme ça!,et pas question d'aller à l'école sans mettre une blouse en nylon!Pour l'hiver on mettait un beret bien entassé sur nos tetes rasées aussi!,Toujours comme la plupart des autres garçons Bref on'avait pas le mot à dire,car comme ça été dit nos meres employaient souvent le Martinet sur nos jambes et fesses et surtout l'hiver les lanieres en cuir nous faisaient encore plus mal qu'en été :Mais on conaissait que ça!à cette époque Meme lorsqu'on sortait avec nos parents on étaient toujours habillés de cette façon et le Martinet suivait aussi car notre mere le mettai dans son sac ,donc meme aillieurs et en jouant Il fallait faire attention car notre mere s'amenait sans crier gare et de nouveau les lanieres de martinet tombaient de nouveau sur nos jambes ou fesses!, De plus Il était souvent renouvelé ,car dés qu'il manquait quelques lanieres en cuir Il était remplaçé aussi sec!Mais meme nos cousines devaient etre habillées comme nous et le martinet elles le reçevaient autant que nous aussi,par leurs meres:et meme si elles pleuraient leurs meres n'arretaient pas de les fouetter avec avec leurs jambes et fesses !Quant à nos meres en regle général elles étaient habillées en permanance dans leurs longues et larges blouses en nylon et un beret aussi sur leurs tetes!et comme on ne parlait pas de régime arrivées à 35 ou 40 ans elles étaient fortes et étaient obligées de porter le corset en coutil avec jartelles et des bas en laine aussi!Voila comment c'était en France pendant toutes ces années!et personne rien à redire!Meme par la suite entrés au lyçée c'était le meme régime qui contunuait meme,que notre mere est venue assez souvent à la sortie meme du Lyçée toujours en blouse et beret avec son Martinet en main ,histoire de nous faire avançer également à coups de martinet sur nos jambes,et tout le mnde trouvait ça normal,et garçons u filles pareils aussi meme au lyçée !Je me rapelle aussi d'une cousine de ma mere qui était plus jeune que ma mere ,et qui la remplaçée pendan un moment ,et bien avec elle c'était la meme méthode ,en plus elle nous narguait en disant allez les garons approhez ellevez vos blouses pour que je pusse vous fessez avec le martinet,on aurait dit qu'elle y prenait unplaisir à nous fouetter et nous voir pleurer ,puis une fois nous en pleurs et elle satisfaite elle remettait le Martinet dans sa poche de blouse et voila,Et oui au moins jusque dans le début des années 1980 en France c'était courant ,à cette époqu on n'avait rien à dire ,mais que de subir!

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  12. Moi ça s'est passé d'une autre maniére,avec ma femme,et cela dés qu'on était jeunes mariés!deja qu'elle était contre dame dans une usine textile dans la région de Lyon,donc elle avait un caractére deja bien trempé!,et moi qui travaillait dans cette meme usine !Deja nous étions à cette époque obligés tous et toutes de porter des blouses en nylon blanches boutonées sur le coté + une épaisse charlotte en épais plastique jaune ,et qu'il y régnait une température de 35 degrés au moins ,et pour suer ,ça on suait,mais Il fallait garder tout ça sur nous et meme pendant les pauses du midi,sans compter qu'n devait traverser la ville toujours habillés de cette façon,!Ce que j'avoue ne me plaisait guere!Comme Il y régnait cette chaleur moi je mettais sous ma blouse avec tous les boutons mis un short,mais meme la ma femme exgigeait que je devais aussi mettre des bretelles bien tendues pour le tenir,!Bref c'est ma femme qui dirigeait tout et surtout mon habillement aussi En vérité meme étant marié avec ma femme je me retrouvais de nouveau en enfance!Mais je ne sais porquoi cette situation me plaisait ,en fait je me voyais de nouveau sous la direction de ma mere! qui était toujours trés sévère avec moi Malgé tout je l'ai accepté!De plus ma nouvelle épouse est retournée chez sa mere et y a ramenée les bretelles de son défunt pere ainsi que le Martinet familial aussi !,et en me les montrant m'a dite voila mon chéri désormais comme nous sommes mariés ,et bien c'est moi que tu écouteras ,la preuve, j'ai pensée à toi, en ramenant de belles bretelles larges et épaisses ainsi que le Martinet familial qui a servi à fesser mes fesses ,désormais tout ceci sera pour toi!,et elle a tenue parole car je devais porter les vielles et épaisses bretelles de son pere et gouter au Martinet cul nu si je faisais quelque-chose qui ne lui plaisait pas !Sans parler bien entendu sous mes blouses en nylon blanches et le beret aussi de son pere,!car comme elle me rasait également ma tete avec un grand plaisir ,tout de suite je me suis retrouvé dans mon enfance que j'ai connu!En fait elle m'acceptait comme son mari mais en meme temps comme si j'étais son enfant,dont elle pouvait m'administrer des fessées au Martinet à volonté!et me faire porter sous ma blouse blanche en nylon ces larges et épaisses bretelles toujours bien tendues par ses soins Meme pour dormir et malgré nos relations sexuelles j'étais toujours sous ses ordres et mes bretelles, ma blouse et surtout le martinet étaient étaient la pour me les rapeller!D'aillieurs plus d'une fois lorsque nous allions dans l'immense foret j'étais toujours habillé de la meme façon et trés souvent elle prenait plaisir à me fesser en soulevant ma blouse à toute volée avec son Martinet ,en vérité j'éttais tellement souvent fessé au martinet que j'avais du mal à m'assoir, Ce qui la faisait rire car en vérité cela lui plaisat énormément,Ca ne m'étonnait pas que les femmes aimaient manier et fesser les grands garçons avec leurs Martinets ,je comprends mieux aujourd'hui!Par la suite nous avons eu un garçon qui arrivé à 4 ans était toujours lui aussi fessé au Martinet comme moi et bien entendu portait des bretelles avec en plus un harnais en cuir blanc de fixé sur lui avec une longue laisse pour bien le maintenir!D'aillieurs lorsue nouspartions en voiture c'était toujours elle qui conduisait et notre garçon étai toujours solidement attaché avec ses bretelles et son harnais en voiture,sans comper luiaussi avait sa ete rasée comme moi sous son beret qui retombait jusqu'à ses yeux,En vérité ma femme nous avait bien sous sa domination !certes je ne dis pas que je n'aimais pas etre traié de cete façon mais Il y a vraiment des femmes qui aiment dominer!

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    1. bonjour , nous avons connu aussi ma soeur ainée de 2 ans et moi , une éducation stricte dans les années 70 - 80 . Notre mère utilisait le martinet régulièrement , mais sans excès . Votre témoignage me rappelle aussi un souvenir de ma petite enfance : comme vous , j' ai droit au harnais , de mes deux ans jusqu'à mon entrée en grande maternelle à 5 ans . Il était en cuir blanc , deux bretelles avec une laisse , pour toutes les sorties dans la rue , le
      marché , aller chercher ma grande soeur à l ' école . Ca m'obligeait à marcher près de ma mère ! Ca valait parfois une remarque d'une maman , ou des félicitations à maman , qui me tenait en laisse sans aucune gêne . C 'était dans les années 70 - 73 ;je ne sais pas si c'était courant ou non à l' époque . Bertrand

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    2. De toute façon la grande majorité des filles et garçons nous portions tous la blouse en nylon pour le lyçée c'est à dire jusqu'à 18ans ;et meme aussi à la maison tout le temps nos mamans exigeaient cela! Deja nos meres elles memes elles étaient tout le temps en blouses en nylon et qui étaient longues et larges avec de grands boutons en plastique avec souvent le Martinet à lanieres en cuir dans leurs poches de blouses pour fesser nos fesses voir meme nos popotins aussi Pendat cette periode nous y avons tous passés sous les lanieres en cuir du Matinet ,et qui nous faisaient si mal à nos derrieres er qui nous empechaient de nous assoir correctement sur une chaise ,mais en ce temps la il n(était pas question de discuter avec nos meres sinon la fouettée auraitété encore plus sévère De pus nos meres étaient fires de montrer leurs Martinets souvent accrochés soit dans la cuisine ou dans le couloir prés de la porte d'entrée ,justement pour montrer que c'était maman qui avait la main pour fouetter ses garçons et filles et souvent jusqu' 18 ans !et en plus nous mettions pas tous des pantalons longs bien souvent c'était des culottes courtes tenues toujours par des lages bretelles maintenues par de larges pinçes La véritè c'est qu'on ne pouvait pas faire un pas sans que le Martinet nous suivre pour tout de suite nous tanner le cuir ! et n plus les mamans étaient fieres de leurs Martinets et en vantaient les mérites en vérité le Martinet en France à vraiment compté!

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  13. Je n'ai pas connu le harnais personnellement mais je me souviens des enfants en harnais j'ai 70 ans

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  14. J aime la fessée cul nu
    Par beau papa en veste cuir.
    Très excitant.

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