Un matin je
rangeais le salon et un objet était coincé sous le canapé en fait c’était la
couleur rouge qui attira mon attention et je me baissais pour le ramasser.
Je suis
restée un peu scotchée quand je me rendis compte de ce que c’était, je tenais
dans ma main un martinet rouge avec de longues lanières en cuir et je me suis
demandée ce qu’un tel objet pouvait faire ici.
A peine eu-je
le temps de me poser cette question que la maîtresse de maison apparut dans
l’encadrement de la porte et me voyant avec le martinet dans la main :
-Où as-tu
trouvé ça ?
-Sous le
canapé
-Ah !
Marie Sophie
se mit à rire, je devais être rouge écarlate et j’étais vraiment mal à l’aise
Qui pouvait
utiliser ce martinet et pour qui ?
Comme si elle
avait lu mes pensées, cette grande femme ajouta aussitôt :
-Ne
t’inquiète pas ce n’est pas pour toi, et d’un air assez malicieux me dit :
-Pour les
jeunes filles comme toi, j’utilise ma main pour la fessée !
Je crus
défaillir, cette femme m’impressionnait et elle le savait. Marie Sophie
s’approcha pour prendre le martinet et en voyant mon mouvement de recul me dit
:
-Tu as peur,
tu as des choses à te reprocher ?
Et moi comme
une petite fille :
-Non, non
madame ………
Je ne savais
plus où me mettre et c’est elle qui mis fin à mon embarras d’une façon très
gentille, assez maternelle en me prenant dans ses bras :
- Je te
taquine, allez reprend ton travail me dit-elle en me posant un bisou
sur la joue.
Je ne me le
suis pas fait dire deux fois et terminais le plus rapidement possible.
J’ai eu un mal
fou à m’endormir en pensant sans cesse à ce qui s’était passé, la vision de ce
martinet et cette promesse d’utiliser sa main pour me donner la fessée tournait
en boucle dans ma tête.
Ma prochaine
visite devait avoir lieu le vendredi et je ne pensais qu’à ça, pourquoi ?
Cet épisode
réapparut très puissant quand arriva le vendredi et je fus presque déçue de constater son absence, un
immense sentiment de frustration s’empara de moi.
Il se passa
environ deux mois et lors d’une matinée ensoleillée, je pénétrais dans la
maison pour commencer mon travail, un mot était posé sur la table de la cuisine
me précisant les tâches à faire.
J’avais cours
en début d’après-midi et je me mis tout de suite au travail. Comme il n’y avait
personne, je mis un peu de musique et m’appliquais à faire du mieux que je le
pouvais.
Au salon, sur
le buffet un détail attira mon attention, il y avait quelques billets et je me
dis qu’en prendre un ne se remarquerait pas, mais mon éducation me fit oublier
cette idée.
Mais ce fut
plus fort que moi et je pris les billets pour les mettre dans ma poche du
tablier quand le ciel me tombât sur la tête :
-Je peux
savoir ce que tu fais, Annabelle ?
Je pensais
être seule mais Marie Sophie était là et je ne l’avais pas entendue à cause de
l’aspirateur.
-Je …Je…..
voulais les ranger …
-Comment ? Les
ranger dans ta poche ? Tu ne serais pas en train de mentir ?
J’étais
incapable à présent de sortir le moindre mot et je la vis approcher de moi d’un
pas assez rapide. Elle me tendit la main :
-Donne ! Tout
de suite ! m’intima-t-elle, sa poitrine se soulevait rapidement et c’est
la première fois qu’elle exprimait un regard aussi sévère.
Je
m’exécutais en baissant les yeux mais sans délicatesse elle me releva le
menton.
-Regarde -moi
Annabelle, tu as honte ? Je suis très déçue de ton comportement, comment
vais-je faire pour te faire confiance à présent ?
Elle était
très en colère et il se passa un événement que je n’aurais jamais cru possible
à mon âge, elle me prit par le bras pour m’entrainer avec elle, ensuite elle
tira une chaise, s’assit et me bascula sur ses genoux.
Je l’entendis
juste me dire que j’allais m’en souvenir et je compris ce qui allait m’arriver
quand la première claque s’abattit sur mes fesses.
La fessée
débuta sur ma jupe mais je n’étais pas au bout de mes surprises quand elle la
souleva et me baissa immédiatement la culotte. Elle me donnait la fessée comme
à une gamine et je n’essayais même pas de me débattre.
Elle me
claquait les fesses d’un rythme assez rapide et je peux vous dire que ça
commençait à chauffer et je fus soulagée quand la punition se termina.
Elle me
releva sans précaution,
– Je devais
être belle, la culotte sur les chevilles, je ne voyais pas mes fesses mais ça
me brûlait horriblement.
La première
phrase qu’elle prononça fut pour me dire que ce n’était plus la peine de
revenir et c’est ce qui déclencha mes larmes et je réussis à dire :
-Mais mon
loyer …..
-Tu n’avais
qu’à réfléchir avant, ce n’est pas mon souci
-Je vous en
prie …….
-Ma petite,
tu viens voler de l’argent et tu voudrais que je fasse comme s’il ne s’était
rien passé, pas de ça ma fille !!!!
Je ne sais
pas si mes sanglots l’attendrirent mais sa voix redevint presque normale
-Annabelle,
arrête de pleurer mais il faut me comprendre enfin ….
-Excusez-moi
je ne recommencerais pas, excusez-moi madame …
Elle m’attira
et comme elle l’avait déjà fait, m’enserra dans ses bras comme pour me
réconforter, j’étais serrée contre sa poitrine et cette marque d’affection me
refit fondre en larmes.
-Calme toi me
dit-elle d’une voix douce, calme toi ma chérie
Marie Sophie me
caressait les cheveux en même temps qu’elle me parlait :
-Allez c’est
fini je te pardonne, tu as mal ?
-…
J’eu un petit
frisson lorsque sa main se posa sur mes fesses et elle se mit à es
caresser pour apaiser la chaleur qui se dégageait de mon postérieur. Je me
serrais de plus en plus contre elle.
Je relevais
la tête et je vis de nouveau son visage apaisé où la colère avait disparue.
Elle m’adressa un sourire en même temps que sa caresse se faisait plus intime
en me chuchota à l’oreille :
-Viens avec
moi, je vais te mettre de la crème sur les fesses, dit-elle en me prenant la
main.
Avant que je
ne quitte la maison, Marie me sermonna très sérieusement justifiant la fessée
qu’elle m’avait administrée. Elle me dit qu’après réflexion je pouvais
continuer à travailler chez elle jusqu'à la fin de mon cycle d’étude dans cette
ville. Elle rajouta également sur un ton sans équivoque que si je m’avisais à
vouloir commettre d’autres « bêtises », elle serait là pour parfaire
mon éducation.
Ensuite elle
redevint la femme douce et prévenante que je connaissais et je me souviendrais
toujours de son sourire en me raccompagnant et surtout du baiser qu’elle posa
sur mes lèvres:
– A bientôt
jolie Annabelle.
Episode précédent : chapitre 1
Episode suivant ... peut-être
elle a bien eu raison de lui donner la fessee mais on a pas la reponse a qui sert ce martinet?
RépondreSupprimerEt oui! A quoi sert ce martinet?
RépondreSupprimerA corriger la belle Annabelle j'espère....